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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

[10] Mesut Özil


GBC

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Beethoven t'es pas le seul effectivement.

Et c'est encore pire d'admettre que c'est posté sans recherche d'utilité, fait des snapshots à tes potes, nous on s'en fout que tu ai le calbut collant après une roulette d'Özil.

 

Si t'es un minimum civilisé tu prends en compte le fait que pas mal de personnes t'ont déjà fait des remarques et tu fais un effort plutôt que de répondre de façon aussi agressive que ridicule "fais moi pas chier".

J'aime Kampberg.

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Je posterai encore des coeurs, et des post de fan boy, contents ou pas. Donc ca sert a rien de ramener ta pomme toi aussi copain. Facon j'arrive pas à me retenir.

Ben écoute fais comme tu le sens, moi aussi il me fait rêver ce joueur mais je me sens pas obliger de poster des messages de pucelle en chaleur tous les 3 jours.

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Ben écoute fais comme tu le sens, moi aussi il me fait rêver ce joueur mais je me sens pas obliger de poster des messages de pucelle en chaleur tous les 3 jours.

 

 

Ca vous dérange vraiment ?

C'est pas comme s'il en postait 5 fois par jour non plus :/

Ca ne nuit pas spécialement à la lecture du topic et ça change des éternelles critiques que peuvent subir nos joueurs H24 :)

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Surtout que le mec répète a chaque post que Mesut le fait rêver. Il fait la meme chose sans le coeur de fan boy dans le post quoi, il critique alors qu'il fait à peu pres la meme. Genius.

Non c'est pas ça la différence. Moi je suis ouvert à la critique sur Mesut quand celle-ci est constructive et je vais pas dire en permanence que c'est le joueur parfait. Je considère pas non plus que tous ceux qui le critiquent sont des rageux qui ne regardent pas les matches et ne comprennent rien au foot (ce que tu sous-entend en permanence).

En gros c'est impossible d'avoir un débat sensé avec toi sur les performances d'Ozil puisque tout est toujours parfait d'après toi, et donc tes posts sont totalement inutiles puisque tu répètes toujours la même chose.

 

C'est con, sur tous les autres topic je te trouve plutôt pertinent, et tu comprends mieux le foot que la majorité des membres du forum de mon point de vue.

 

Je répète à chaque fois qu'il me fait rêver ? J'ai du le dire 3-4 fois sur environ 50 messages dans son topic mais je te laisse libre de tes interprétations.

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Beethoven t'es pas le seul effectivement.

Et c'est encore pire d'admettre que c'est posté sans recherche d'utilité, fait des snapshots à tes potes, nous on s'en fout que tu ai le calbut collant après une roulette d'Özil.

 

Si t'es un minimum civilisé tu prends en compte le fait que pas mal de personnes t'ont déjà fait des remarques et tu fais un effort plutôt que de répondre de façon aussi agressive que ridicule "fais moi pas chier".

Snapchat-sonyleak.jpg

 

Ca ma tué "Snapchot" mdrr

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http://www.sofoot.com/de-la-delicatesse-antique-de-mesut-ozil-212693.html

 

DE LA DÉLICATESSE ANTIQUE DE MESUT ÖZIL

Mardi soir, Arsenal jouait sa survie européenne face au Dinamo Zagreb à l’Emirates Stadium. Dans ce morceau de modernité qui nous annonce un football au futur plus commercial que culturel, le Nord de Londres a assisté à un combat sensible entre l’authenticité old school de Mesut Özil et la modernité concrète d’Alexis Sánchez.

PAR MARKUS KAUFMANN DIMANCHE 29 NOVEMBRE

 

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De la délicatesse antique de Mesut ÖzilDe la délicatesse antique de Mesut Özil

Emporté à toute vitesse par le souffle modernisateur de l’industrie du spectacle et poussé sans frein par sa popularité croissante, le football a changé. Alors qu’il était autrefois la scène d’un théâtre de sentiments populaires et de voix cassées, le jeu est devenu un enjeu commercial. Et dans cette bataille-là, en 2015, l’Emirates Stadium est certainement l’un des vaisseaux les plus futuristes de notre galaxie. Un vaisseau peuplé par une armée silencieuse qui n’a pas fait le poids face à la centaine de Croates présents dans le froid glacial de Londres. Parce que les tribunes anglaises ont changé, et le terrain aussi. La légende raconte qu’autrefois, le football britannique était fait de ballons volants et d’os cassés…

Fighting spirit et génie rêveur

 

 

À la 20e minute, le Barça mène déjà 2-0 au Camp Nou, tandis que les retardataires n’ont pas fini de remplir l’Emirates. C’est le moment que choisit Alexis Sánchez pour faire revivre un moment de pure british football. À la lutte sur son côté gauche, le Chilien se livre à un combat de boxe avec son adversaire direct. Après un coup d’épaule encaissé, puis un deuxième, le Chilien finit par perdre l’équilibre et rendre le ballon. Mais il ne s’arrête pas là. Jamais résigné, il se relève et part harceler son adversaire comme s’il s’agissait d’une affaire de famille. À la suite d’un sprint d’une vingtaine de mètres, il laisse exploser un tacle aussi propre que périlleux et récupère le ballon sous les applaudissements. Le fighting spirit existe encore, mais il s’exprime aujourd’hui dans le corps d’un attaquant sud-américain d’1m69.

 

Seulement, il n’existe pas chez tout le monde. Alors que Sánchez semble vivre pour les contacts et les duels, Mesut Özil vit pour les éviter. Dans ses mouvements, ses courses et ses dribbles, le meneur respire la fragilité. Placé en plein milieu du terrain entre les courses infatigables d’Alexis et l’hyperactivité de Cazorla, Özil trimbale son allure flegmatique avec une discrétion élégante et une discontinuité naturelle. C’est délicat, insaisissable, fascinant, étonnant. Un talent déconnecté. Sur les phases sans ballon, Özil ressemble à un enfant réservé qui ne s’implique pas dans les démarches collectives des groupes de son âge. Il est planté là, sur la pointe des pieds, l’air dubitatif. Comme s’il dormait sans fermer les yeux. Quand Sánchez tacle, gagne un duel, se relève puis enchaîne cinq petits contrôles de la tête pour se dégager du marquage, Özil regarde. Quand Flamini et Monreal se jettent pour mettre le pied sur le ballon, Özil regarde. Quand Bellerín accélère et remonte tout le terrain en un instant, Özil regarde, encore.

Vestige et modernité

Presque détaché de ceux qui l’entourent, Özil dégage un flegme que les Anglais, au fond, doivent savoir apprécier. Surtout, il transmet une certaine allergie à la violence et aux contacts. Placé à droite sur son pied gauche, sa conduite de balle ressemble à un numéro d’équilibriste. Les yeux à peine ouverts, il a l’air faible, mou, trop doux. Lorsqu’il demande le ballon, Özil se contente d’un signe de la main discret – un seul – et abandonne rapidement sans s’énerver. Un observateur non averti pourrait y voir de la négligence et un manque d’implication grossier. Alors que Messi, Robben ou encore Sánchez aiment répéter et multiplier les touches de balle pour donner plus de consistance et de souffle à leur conduite de balle, Özil semble adopter une tout autre philosophie : dans un autre souci de réserve, peut-être, Özil aime laisser rouler le ballon et le contrôler une fois sa course lancée, et exclusivement du pied gauche. Et même lorsqu’il porte les offensives des siens, ses touches de balle se limitent toujours au strict minimum. En clair, Özil semble venir d’un monde où les écrans de télévision sont encore en noir et blanc. On l’imagine facilement caresser un ballon de cuir lourd et jouer au ralenti au milieu de joueurs moustachus aux shorts courts.

 

Si Özil est aussi énigmatique en cette soirée pourtant anecdotique d’un match de poule de C1, c’est parce que la modernité semble jaillir partout autour de lui, comme si elle venait tester sa résistance. Il y a l’Emirates, en tout premier lieu. Mais ce stade a le secret pour se faire oublier, au contraire d’Alexis. Quand Özil exerce son pressing trompe-l’œil, Alexis part glisser sur une dizaine de mètres pour tenter de sauver un ballon perdu dans le gouffre de la ligne de fond. Le Chilien est l’archétype du footballeur moderne, un vrai attaquant post-Ronaldo. En un même match, son explosivité lui permet de tacler, sauter, rebondir, tirer, dribbler, marquer, passer, gicler. Héros venu de l’autre bout du monde avec un prénom facilement prononçable pour la fanbase internationale des Gunners, Alexis est né pour briller en Premier League. Mais ce n’est pas tout. Si Özil fait contraste, c’est aussi parce que Santi Cazorla. Au milieu des tentatives de jeu ibérique de Wenger, l’Espagnol dicte le tempo, gère la conservation du ballon, oriente et fait parler sa science de la possession, un autre concept adoré par notre modernité. Qui plus est, Cazorla joue parfaitement des deux pieds, comme s’il venait du futur.

Délicatesse silencieuse

Alors que ces deux joueurs parlent facilement à l’observateur lambda, Özil est bien plus difficile à cerner. Özil est champion du monde avec la Mannschaft, mais il est aussi l’un des plus grands artisans du football de contre de Mourinho à Madrid. Alors que Cazorla joue des deux pieds, l’Allemand ne jure que par l’hémisphère gauche de son corps à l’allure maladroite. Özil, c’est la possession sans le pressing. Özil est un parti pris. Et mardi soir, ainsi, l’Emirates avait les yeux fixés sur les courses d’Alexis plutôt que sur les mouvements furtifs de l’Allemand. Si les efforts répétés d’Alexis sont une œuvre intéressante et révélatrice de l’évolution du football des années 2010, l’œuvre d’Özil ressemble aux vestiges d’un jeu enterré qui n’est plus visible à l’œil nu.

 

À Madrid, après 3 années de bons et loyaux services, 27 buts, 81 passes décisives et une infinité de contre-attaques orchestrées aux côtés de Benzema et Cristiano, Özil avait fini par se faire remplacer définitivement par l’hyperactivité plus « moderne » de Di María et Modrić. L’an passé à Londres, nombreux sont les observateurs de la Premier League qui auraient aussi aimé le remplacer par un milieu offensif plus « concret » . Mardi soir, il a une nouvelle fois joué son jeu de numéro 10 authentique : une note mélodieuse mais presque insaisissable, noyée au milieu d’un concert de football-spectacle. Une note que tout l’Emirates n'a pas remarquée, mais qui a touché le cœur de ceux qui ont bien voulu l'écouter.

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Ces derniers temps, on a l'impression qu'il n'y a que lui qui peut débloquer la situation de notre côté avec une passe magique ou un geste...

 

Dommage que les autres ne suivent pas

 

Et Alexis.

Ils commençaient à former un très joli duo tous les 2.

Les 2 passes qu'il lui donne en 2 matchs sont splendides.

 

mais fallait que le chilien se blesse.

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C'est vrai qu'Alexis & Mesut ça commençait à vraiment bien marcher...

 

 

Mesut Özil

 

A pity we didn't win the match today! ???? But the Premier League table is incredibly tight this season... so it's all still possible!???? I hope Laurent and Alexis we'll be back very soon! #AFC #COYG #BPL

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Deux ans après son arrivée en provenance du Real Madrid, Mesut Özil donne enfin sa pleine mesure. L’international allemand est devenu le chef d’orchestre d’Arsenal, qui accueille Sunderland samedi (16h00), pour le compte de la 15e journée. Un chef d’orchestre à nouveau décisif.

l fut un temps où Mesut Özil errait comme une âme en peine. Un temps où le stratège allemand ne mettait pas un pied devant l’autre. Un temps où il portait sur ses épaules le poids des 50 millions d’euros déboursés par Arsenal. Cette époque est révolue. Aujourd’hui, après deux saisons sur courant alternatif, l’ancien joueur du Real Madrid a gagné en régularité. Il répond aux attentes d’Arsène Wenger.

"Plus responsable, plus engagé", pour reprendre les termes du manager londonien, Özil "montre qu’il est devenu un très grand joueur et un leader sur le terrain". La métamorphose est spectaculaire. Les chiffres ne disent pas le contraire : sur ses 12 derniers matches de Premier League, le meneur de jeu d’Arsenal est impliqué sur 13 réalisations.

 

"Je suis toujours là à regarder si je peux donner une passe ou marquer un but, insiste le principal intéressé sur le site Internet de son club. Mon objectif est d'inscrire plus de buts cette saison que lors des deux dernières, et je pense que je suis sur une bonne dynamique pour réussir "

Même s’il a marqué lors des deux dernières sorties londoniennes, face à Zagreb (3-0) et à Norwich (1-1), l’international allemand n’a jamais été un buteur dans l’âme. Lui, c’est plutôt un as de la passe. Décisives. Des caviars, il en a déjà distribués 11 cette saison. Dans ce domaine, seul Hulk fait mieux. Et encore : le Brésilien évolue à Saint-Pétersbourg, dans un championnat nettement moins huppé.

Le Top 10 des passeurs en Europe au 4 décembre 2015
  • 1. Hulk (Zenit / BRE / 29 ans) : 19 passes décisives en 27 matches toutes compétitions confondues
  • 2. Mesut Özil (Arsenal / ALL / 27 ans) : 11 passes décisives en 19 matches
  • 3. Douglas Costa (Bayern Munich / BRE / 25 ans) : 11 passes décisives en 26 matches
  • 4. Raffael (Borussia Mönchengladbach / BRE / 30 ans) : 9 passes décisives en 20 matches
  • 5. Ryad Mahrez (Leicester / ALG / 24 ans) : 9 passes décisives en 21 matches
  • 6. Oleg Ivanov (Terek Grozny / RUS / 29 ans) : 8 passes décisives en 18 matches
  • 7. Cristian Eriksen (Tottenham / DAN / 23 ans) : 7 passes décisives en 19 matches
  • 8. David Silva (Manchester City / ESP / 29 ans) : 6 passes décisives en 10 matches
  • 9. Zlatan Ibrahimovic (Paris-SG / SUE / 34 ans) : 6 passes décisives en 19 matches
  • 10. Marco Asensio (Espanyol Barcelone / ESP / 19 ans) : 5 passes décisives en 10 matches
Lahm : "Le joueur le plus intelligent avec qui j’ai évolué"

Du haut de ses 11 passes décisives, Özil a déjà fait mieux que lors de ses deux premières années en Premier League. Comme une réponse à ceux qui doutaient de sa capacité à devenir le chef d’orchestre des Gunners. "Il est un des joueurs les plus intelligents avec lesquels j'ai évolué, insistait récemment son jeune coéquipier Héctor Bellerín, dans une interview accordée à Sky Sports. Il a une vision pour faire des passes que personne d'autre ne voit. Je ne pense pas qu'il y a meilleur numéro 10 que lui en ce moment. Quand il est arrivé à Arsenal, nous étions tous excités, et maintenant, il nous montre ce dont il est capable."

Pour le côtoyer en sélection depuis maintenant six ans, Philipp Lahm ne peut qu’acquiescer : "Mesut est probablement le joueur le plus intelligent avec qui j'ai évolué dans ma carrière, c'est probablement le joueur le plus intelligent d'Europe. Mesut voit des choses que seul lui peut voir. Il a une telle vision de jeu."

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Mesut Özil lors de la finale Allemagne - Argentine - AFP
Giroud se régale

Une "vision de jeu" dont profite pleinement Olivier Giroud. Le Français a retrouvé l’efficacité devant le but. Et Özil n’y est pas étranger : l’ancien Montpelliérain doit 5 de ses 7 derniers buts au meneur de jeu allemand.

Dans un secteur décimé par les blessures, la simple présence de l’ex-joueur de Schalke et du Werder Brême est un gage de maîtrise technique. Arsène Wenger s’en frotte désormais les mains. Avec du recul, les 50 millions d’euros déboursés en 2013 ne paraissent plus si excessifs. Les Gunners seraient même prêts à prolonger son contrat, qui expire en juin 2018. Il y a encore trois mois, une telle perspective aurait semblé hors sujet.

 

 

http://www.eurosport.fr/football/premier-league/2015-2016/premier-league-avant-arsenal-sunderland-mesut-ozil-est-redevenu-las-de-la-passe_sto5014448/story.shtml

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Que dire à part qu'il est un peu comme dans un film bien connu, seul au monde. 

 

Ca aura vraiment été la seule ou une des seules (parce que les performances de Cech et Kosc sont également à souligner) lumière de ce match tant il a été au-dessus du monde. Pourtant il a été moins précis que d'habitude mais c'est sûrement explicable à la fois par la prise de risque de ses passes qui sont toujours intelligentes, dans le sens du jeu et, par l'énergie ridicule déployée par la plupart de ses coéquipiers. Combien de fois ils étaient mous, n'attaquaient pas leurs ballons et imprécis dans leur contrôle.

 

Il a été bon depuis son retour de blessure en janvier mais là depuis le début de saison il est juste exceptionnel. C'est tout simplement lui le patron, lui qui est à la base de tout, lui qui conserve le ballon, lui qui crée le danger, lui qui dribble, lui qui crée le mouvement et même lui qui défend. Tout est dans le tempo, bien pensé, juste.

 

C'est juste génial ce qu'il fait en étant entouré de tels unijambistes aujourd'hui et je sais pas comment il garde son calme lorsqu'il transmet des ballons ça te sort des contrôles de D2B ou des vendanges millésime Ramsey.

Surtout qu'il a été suivi de près par un M'Vila de très bonne facture.

 

Pourvu qu'il ne se blesse pas bon sang.

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