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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

[Liga]


Invité

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Ah oui je ne dis pas le contraire, des fois ça combine bien et il y a des joueurs qui manient bien le ballon. Mais c'est comme je disais plus haut, j'ai l'impression qu'ils se mettent pas mal au niveau de leurs adversaires. Comme tu le dis, face au Real ils te sortent des matches de porcs avec un football très attrayant de la première à la dernière minute, et à côté de ça, tu te tapes des purges contre des équipes en bois où ils se contentent de s'imposer 1-0 sur un but de raccroc sur corner ou autre.

C'est un peu à l'opposé du Real qui te fait croire qu'ils sont excellents en plantant 10 buts à une équipe à la ramasse, et qui n'est pas foutu de se procurer la moindre occasion et qui prend le bouillon dès que le niveau s'élève en face. A choisir, je préfère amplement l'Atlético de ce point de vue :D

Je te rejoins sur tout ce que tu dis Mark' , je voulais juste me prononcer sur ce qui est de leur style de jeu , beaucoup disent que c'est une équipe qui s'y connait juste dans les contre et dans le domaine CPA alors que c'est faux. Quand elle joue Barcelone elle essaye toujours de les presser dans leur camp tout en utilisant de l'agressivité , quand ça joue Madrid , ils essayent de sortir proprement le ballon et en jouant sur les côtés pour trouver la faille. 

 

C'est comme ça qu'on gagne la Liga , des matchs piégé chez Grenade - Rayo - Malaga ou encore Eibar. C'est des matchs que tu gagnes durement , durant tout le match tu te défonce pour chercher les 3 pts , c'est pour ça que ce genre de match sort toujours par 1-0. 

Giancarlo Antognoni - Gabriel BatisutaSocrates - Rui Costa.

 

 

 

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Mais le truc c'est que CR7 est juste un monstre. Ça fait juste 2 saison qu'il pue. Le comparer à Ronaldo après c'est vrai que c'est débile. L'un est ailier. L'autre pur buteur et terrible en 1vs1. Champion du monde. Bref je pense aussi que dans nos jugements ya de la nostalgie. Comme les anciens qui te disent que Platini est 1000 fois plus fort que Zidane.

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Oui comme je dis ya un truc autour de certains joueurs qui nous ont procuré une émotion etc mais en régularité et performance. Le portugais n'a rien à envier qu brésilien. Il peut lui envier son style et l'émotion qu'il a procuré à notre génération et celle d'avant car des CR7 et Messi ont une aura beaucoup moins grande que les Maradona etc. C'est juste une question de ressenti mais objectivement le portugais a sa place parmi les très grands noms.

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1- Évites de mettre CR7 et Messi dans le même sac.

2- Tu reparles encore une fois de Ronaldo je te vire du club :P

3- Ronaldo a révolutionner son poste, pourtant il y en a eu des gros noms avant et après lui mais jamais personne n'a autant révolutionné son poste que lui. Suarez c'est l'ombre de Ronaldo, donc si déjà on considère Suarez plus important que CR7 je te laisse conclure ce raisonnement...

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1- Évites de mettre CR7 et Messi dans le même sac.

2- Tu reparles encore une fois de Ronaldo je te vire du club :P

3- Ronaldo a révolutionner son poste, pourtant il y en a eu des gros noms avant et après lui mais jamais personne n'a autant révolutionné son poste que lui. Suarez c'est l'ombre de Ronaldo, donc si déjà on considère Suarez plus important que CR7 je te laisse conclure ce raisonnement...

 

Je pensais plus que Ronaldo avait révolutionné la médecine à force de se péter le genou et de servir de cobaye. :ph34r:

"Behind every kick of the ball there has to be a thought." Dennis Bergkamp

 

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Je dis pas que c'est le seul, mais qu'à mes yeux c'est celui qui l'a le PLUS révolutionné. Tout les profils d'attaquants en une personne.

 

https://www.youtube.com/watch?v=hVhnl-F3dFQ

 

Quand l'autre disait «Jouer avec Ronaldo dans son équipe, c'est commencer le match à 1-0» c'est de Ronaldo Luiz Nazario de Lima qu'il voulait parler enfait :P

 

La tête de Simeone :laughing1:

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Déjà CR7 et Ronaldo n'ont pas le même poste de prédilection donc pas les même caractéristiques à la base. Ensuite niveau performance je le répète. Je ne vois pas en quoi CR7 fait tâche à côté de Ronaldo point. C'est un fait. La plupart d'entre vous. Vous jugez CR7 sur ses deux dernières années. A croire qu'avant c'était pas un joueur de football

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Au fait. Juste question. Le style de jeu de CR7 il ressemble à qui ? Parce que Messi on le compare à Maradona dans le style etc. Mais CR7 j'ai pas entendu de comparaison avec un type d'avant. Attention je ne dis pas que CR7>Messi à cause de ça. Je parle du style. J'ai l'impression que le portugais à un style propre à lui ( du moins avant. Aujourd'hui il a le style d'une merguez)

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Raul, Ronaldo, Figo, Zidane, Beckham... C'est vrai que ça vendait du rêve comme pas possible, j'étais môme donc je ne te cache pas que l'effectif du Real me faisait rêver.

Pourtant, ils n'ont pas tellement fait mieux que les Galactiques actuels. Beaucoup de gros noms, beaucoup de médiatisation, un palmarès tout à fait honorable, mais pas non plus exceptionnel à l'échelle du football mondial.

 

C'est également l'occasion de faire un petit bilan comparatif sur les deux ère Galactique du Real, puisqu'on commence la 7e saison depuis le retour de Perez en 2009. Les nouveaux ont t-ils fait mieux que les premiers ?

 

En partant de Figo, hein, qui a été considéré comme le premier "Galactique", en 2000.

 

Le Real Madrid de 2000 à 2006

- 2 Liga : 2001, 2003

- 1 C1 : 2002

- 1 Supercoupe de l'UEFA : 2002

- 1 Coupe Intercontinentale : 2002

- 2 Supercoupe d'Espagne

 

7 titres en 6 saisons, rien de honteux, mais pas non plus une razzia monstre quoi.

 

Il y a eu ensuite la parenthèse sous Ramon Calderon, la retraite de Zizou, les départs de Beckham et Ronaldo, ainsi que Roberto Carlos.

 

De 2006 à 2009

- 2 Liga : 2007, 2008

 

Joli ratio sur une période deux fois plus courte, mais ce n'est pas la période la plus reconnue au Real Madrid, surtout avec des résultats décevants au niveau européen.

 

Retour de Perez, puis la nouvelle ère des Galactiques 2.0. Pas une grosse recrue par an, on sort l'artillerie lourde. Cristiano Ronaldo, Kaka, Benzema et Xabi Alonso arrivent la même année. Suivront ensuite les Di Maria, Ozil, Modric, Bale, James...

 

Le Real Madrid de 2009 à 2015

- 1 Liga

- 1 C1

- 1 Supercoupe de l'UEFA

- 1 Mondial des Clubs

- 2 Copa del Rey

- 1 Supercoupe d'Espagne

 

7 titres en 6 saisons également. Là encore, rien de déshonorant, c'est même un palmarès que pas mal de clubs peuvent envier. Mais on a déjà vu mieux.

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Ce qui fait tâche pour le Real, c'est surtout son nombre de Liga depuis 6-7 ans, une seule, pour un club de ce standing c'est tout simplement ridicule.

Surtout que en plus du Barca, l'Atletico aussi aura gagné un titre en Liga.

Exceptionnel, certes, mais un titre quand même.

 

Le championnat, c'est la régularité, la stabilité, tout ce qu'il manque au Real.

Ricqo.png

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Mercredi 6 mai 2015, Camp Nou, Barcelone. Il est presque 22h30 et Lionel Messi vient de renier 300 ans d’esclavage aux yeux du monde entier après avoir rendu Jérôme Boateng tétraplégique. Evidemment, Messi confirme –si tant est qu’un doute persistait– qu’il est le meilleur joueur du monde. Qu’ils sont loin, lui et ses potes, tellement loin de leurs adversaires. Tellement loin de Cristiano l’égoïste tout juste bon à tirer les pénaltys, et la tronche quand son pote Arbeloa lui vole un but. Alors, une fois de plus, la populasse ricane. Bande d’ingrats.

 

Contre vents et marées

 

L’histoire aurait pu s’arrêter un 12 janvier à Zürich, lorsque Cristiano Ronaldo soulève son deuxième Ballon d’Or consécutif et son troisième personnel. L’histoire aurait pu s’arrêter là, aux échos d’un « Suuuuuuu » presqu’aussi ridicule que la déclaration qui allait suivre : « Je vais peut-être rattraper Messi… mais ça ne m’empêche pas de dormir ». Voilà donc à quoi pense un joueur qui vient de remporter la plus prestigieuse distinction individuelle de son sport. Enfin, pas un joueur. Ce joueur. Celui-là même dont le seul et unique leight-motiv depuis toutes ces années est d’être le meilleur, envers et contre tout, contre tous ceux qui estimaient le combat perdu d’avance. Contre tous ces ignorants qui voudraient voir Cristiano capituler.

 

La vérité est pourtant là, sous nos yeux. Soyons parfaitement clairs, Lionel Messi est intrinsèquement et factuellement le meilleur joueur du monde. Vivacité, technique, dribbles, créativité, finition, vista, l’argentin allie toutes les qualités dont peut rêver un footballeur. S’il apparaît très clair qu’au maximum de ses capacités l’argentin surplombe tous les joueurs de la planète, cela ne doit en aucun cas se transformer en immunité face aux quelques hérétiques qui oseraient le tutoyer. Car c’est bien de ça qu’il s’agit au fond. Personne -si ce n’est quelques comptes Twitter dédiés à chaque minute de la vie de Ronaldo- ne nie la supériorité intrinsèque de Messi sur le portugais. Mais cela doit-il clore le débat pour autant ? Le talent inné de Messi sera toujours supérieur à celui, acquis à la sueur de son front, de Cristiano. Alors quoi ? On ferme la boutique, Messi était, est et sera toujours le meilleur ? No way sir.

 

N’en déplaise à certains, cette vérité établie s’est parfois cassée la figure face au travail et à l’acharnement à devenir le meilleur d’un homme. Ils auraient tant aimé qu’il s’y fasse, qu’il finisse par se lasser lui aussi. Qu’il se dise que la marche était trop haute. Mais il n’en fut rien. La vérité, c’est que d’aussi loin qu’il ait pu partir par rapport à Messi en terme de qualités intrinsèques, Ronaldo a, sur de nombreuses périodes et même sur une ou deux saisons, plus que titillé l’argentin : il s’est hissé à son niveau et l’a, parfois, dépassé. Alors, évidemment, Ronaldo ne sera jamais cet ailier capable de se muer en numéro 10 afin de bonifier le jeu de son équipe. Évidemment, Ronaldo aura toujours moins de facilité à combiner dans les petits espaces. Bien sûr, ses dribbles auront toujours l’air moins naturels. Et alors ? Le football ne serait donc qu’un unique style, une seule façon d’y jouer ? Si Messi possède des caractéristiques techniques que ni Cristiano ni aucun autre joueur sur la planète ne possède, rien n’interdit à ceux-ci de développer leurs propres forces et aptitudes afin de tenter de s’en rapprocher. Le style « ailier capable de redescendre pour prendre le jeu à son compte » n’est pas donné à tout le monde, et de ce fait, il ne constitue pas le critère suprême pour déterminer qu’un joueur serait meilleur qu’un autre. Non, tout ce qui ne rentre pas dans le cadre du jeu de l’argentin n’est pas moins bien. Non, ne pas avoir les mêmes caractéristiques ne condamne pas à être en-dessous, toujours, tout le temps.

Et le fait est que cette stratégie a déjà fonctionné : outre l’escroquerie intellectuelle qui consiste à faire croire que Ronaldo n’a jamais été aussi déterminant pour son Real que Messi ne l’a été pour son Barça, que dire de la saison 2012/2013, où dans un Madrid déchiré entre le camp Mourinho et celui de Casillas, Cristiano surnageait et portait à bout de bras son club ? Aux oubliettes, également, la saison dernière où Cristiano emmène son équipe sur le toit de l’Europe pendant que Messi vomissait sur de rustres terrains d’Amérique du Sud ? Aux orientations du jeu de Messi, répondaient la percussion de Ronaldo. Aux changements de directions toujours plus déroutants, répondaient une détente phénoménale. A la précision millimétrée d’un pied gauche diabolique, répondait un pied droit infatigable.

Qu’à forme égale, l’argentin soit supérieur au portugais apparaît très peu discutable. Mais cela ne lui garantit aucunement le fait d’être le meilleur sur une période donnée. En l’occurrence, de 2013 à 2015, Cristiano s’est arraché, a redoublé d’efforts dans un seul et unique objectif : aligner de meilleures performances que son rival. Job done.

 

Vous kiffez sur des gros pédés...Vous m'oubliez !Vous kiffez sur des gros pédés…Vous m’oubliez !

C’est sans doute cet aspect-là de la personnalité du portugais qui le rend si particulier. A son arrivée au Real, il se heurte d’emblée à la période de domination Pep/Messi. On le croit loin derrière, définitivement dépassé. Et 3 ans plus tard, à force d’entraînement, de pompes et d’abdos, il finit par repasser devant. Sporadiquement, certes, qui serait assez idiot pour le nier ? Tôt ou tard, l’argentin reprendra son trône. Mais aucun autre joueur sur la planète, et très peu dans l’Histoire, n’aurait réussi l’immense exploit de prendre deux Ballon d’Or à Messi durant sa période de domination sur le football mondial. Alors, on nous expliquera que Messi était blessé, qu’il n’avait plus la tête au foot ou qu’il préparait la Coupe du Monde. Grand bien lui fasse. En attendant, c’est Cristiano qui en a profité, et aucun autre joueur ne peut en dire autant.

N’en déplaise à certains, Messi n’a rencontré que très peu de joueurs capables de lui tenir la dragée haute. En réalité, Messi n’a connu -et ne connaîtra sans doute- qu’un seul rival capable de se hisser à son niveau. Et il s’appelle Cristiano Ronaldo.

 

Psychologie dominicale

 

Que n’entend-on pas de la part des psychologues de comptoir sur Cristiano Ronaldo, que n’apprend-on pas sur la personnalité de cet égoïste obnubilé par sa course au titre de Pichichi depuis le but d’Arbeloa face à Almeria. Triste personnage que ce joueur qui râle après le but d’un coéquipier, n’est-ce pas ? Et pourtant, il conviendrait –une fois encore– de nuancer la vindicte populaire qui s’est abattue sur le portugais. Non pas pour aller à contre-courant ou défendre un joueur apprécié, cela n’aurait que peu de sens, mais bien pour alerter quant à la mémoire sélective, partielle et partiale quand il s’agit du numéro 7.

 

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Bien sûr, Cristiano aurait aimé pousser lui-même ce ballon au fond, ni lui ni personne d’autre ne prétendra le contraire. Toutefois, le prolongement de ce raisonnement qui amène à clamer que Ronaldo tirerait son groupe vers le bas de par « sa mentalité de gamin » et son obsession de concurrencer Messi se fracasse lui aussi la figure face à la réalité. De tous les joueurs qui ont côtoyé le portugais, pas un ne fait exception quant à la description de son attitude: c’est un formidable coéquipier et un bon gars dans la vie de tous les jours. Tous les entraîneurs qui l’ont eu sous leurs ailes, et pas des moindres (Ferguson, Pellegrini, Mourinho, Ancelotti), le décrivent comme un formidable apport pour le vestiaire, Carlo allant même jusqu’à déclarer que son groupe actuel est le plus soudé qu’il ait eu sous ses ordres. Bizarre, alors, que celui-ci comporte en son sein un gamin égoïste et plus préoccupé par la lutte avec son rival que par la réussite de ses potes.

Au-delà de toutes les spéculations psychologiques basées sur un Vine de 6 secondes, ce qui est factuel et vérifié, c’est qu’avec son talent, son perfectionnisme et sa notoriété, Cristiano aurait très bien pu être néfaste à un collectif et jouer la diva dans quelques vestiaires. Pourtant, rien de ce genre n’est jamais remonté, et ce n’est pas la qualité de la cible qui aurait fait défaut : la presse spécialisée *rires de la salle* se serait aussitôt empressé de décortiquer la mentalité du Despot Ronaldo (et cela s’applique à tous, Messi « le dictateur » en est témoin). Si les témoignages de ses différents coachs et coéquipiers ne sont –évidemment– pas paroles d’évangiles, nul doute qu’une telle unanimité quant à son comportement quotidien et son influence sur un groupe traduit beaucoup mieux la réalité qu’un geste d’humeur interprété par des millions de procureurs au service du si précieux « bon comportement ».

 

« Cristiano est unique de par son talent et son professionnalisme – il est extraordinairement régulier. C’est un professionnel remarquable, il est entièrement dévoué à l’équipe et au club, il ne parle pas beaucoup, mais c’est un leader. » Carlo Ancelotti

Personne ne peut nier que Cristiano peut se transformer en gamin capricieux quand les choses ne tournent pas dans le sens qu’il veut. Personne ne peut nier qu’il accorde beaucoup (trop ?) d’importance aux statistiques dans sa lutte avec Messi, au point de le rendre idiot. Mais c’est le revers de la médaille. C’est cette obsession perpétuelle, cette haine de la défaite et cet acharnement à remplir les objectifs fixés qui l’ont amené à concurrencer l’argentin depuis 2010. Que ceux qui le haïssent crachent sur un Cristiano aussi à cheval sur chaque détail, chaque action, chaque fait de jeu est finalement assez logique, car c’est précisément ce qui l’a emmené si près d’un Messi pourtant si loin intrinsèquement.

 

Aussi, les mauvaises langues pourront toujours se marrer de ce portugais mégalomane qui se tue à la tâche pour égaler un concurrent qui le surclasse sans même le considérer. Elles pourront toujours perdre leur salive à expliquer qu’un mec qui fait tourner le Real

depuis 2010 est comparable à Gareth jepoussetoutdroitmonballon Bale. Elles pourront toujours, au gré de la culture de l’instant, tenter de placer Neymar, Suarez et d’autres joueurs plus spectaculaires à son niveau de performance et de régularité. Si la Coupe du Monde est l’occasion pour elles de ricaner une énième fois de Cristiano, elle témoigne en réalité de tout ce dont est fait le bonhomme : sa lutte héroïque, depuis son triplé de gladiateur à Solna jusqu’à son ultime tentative face au Ghana, autour du champ de ruine que représente son Portugal est une magnifique ode au football. Mais ils ne comprennent pas. Ils ne comprendront jamais. « Le football de Ronaldo est d’une profondeur inaccessible aux bien-pensants » écrivait Thibault Leplat. C’est exactement cela. Qu’ils se marrent donc, ces ignorants. Ils sont son plus beau moteur.

 

 

http://ultimodiez.net/2015/05/14/cristiano-ronaldo-ou-lamnesie-generale/

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Oui mais je pense que l'auteur souligne que CR7 est jugé sur ses performances depuis 2 ans en omettant pas mal de contexte. Il est à chaque fois moqué (il le cherche aussi) et mis plus bas que terre. tres souvent tu vas voir les gens encensés un joueur sans le comparer à quelqu'un et dès que c'est CR7 on minimise ce qu'il fait en comparant à Messi alors que les 2 sont différents. Comme dis dans l'article CR7 est inferieur à Messi. Seul les fans pensent l'inverse mais c'est un des seuls qui est allé au bout pour aller le chercher

De la mauvaise manière pour moi parce que aujourd'hui il ne pense que stats malheureusement mais il aura été par période presque aussi bon que Messi mais à sa manière

 

 

Faut pas oublier tout ce qu'il a fait avant. J'ai l'impression que les gens oublient le CR7 avant 2013. Que ce type a affronté l'équipe la plus forte du monde voire de l'histoire et qu'il était dans un Real en reconquête avec la politique que lo' connaît. Mais quoi qu'il arrive Messi le mange. Mais le portugais ne démérite pas

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Oui mais je pense que l'auteur souligne que CR7 est jugé sur ses performances depuis 2 ans en omettant pas mal de contexte. Il est à chaque fois moqué (il le cherche aussi) et mis plus bas que terre. tres souvent tu vas voir les gens encensés un joueur sans le comparer à quelqu'un et dès que c'est CR7 on minimise ce qu'il fait en comparant à Messi alors que les 2 sont différents. Comme dis dans l'article CR7 est inferieur à Messi. Seul les fans pensent l'inverse mais c'est un des seuls qui est allé au bout pour aller le chercher

De la mauvaise manière pour moi parce que aujourd'hui il ne pense que stats malheureusement mais il aura été par période presque aussi bon que Messi mais à sa manière

 

 

Faut pas oublier tout ce qu'il a fait avant. J'ai l'impression que les gens oublient le CR7 avant 2013. Que ce type a affronté l'équipe la plus forte du monde voire de l'histoire et qu'il était dans un Real en reconquête avec la politique que lo' connaît. Mais quoi qu'il arrive Messi le mange. Mais le portugais ne démérite pas

 

Voire meilleur à une certaine période où Messi était à son pire niveau connu (saison 2013/2014), faut pas avoir peur de le dire.  

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Amen ! 

 

Enfin un article qui retranscrit complètements pourquoi j'admire se joueur ! Même si aujourd'hui, il ne me vend plus une goutte de rêve contrairement à ces débuts à Man U... 

 

En tout cas, à faire lire à nombre de ces détracteurs ! 

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