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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

Les anciens Gunners


JERSON

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Merci Auré, bon boulot. C'est toujours frappant de voir ou certains joueurs finissent... On se rend bien compte que le foot va très vite, et qu'une carrière se joue sur des détails.

Je me rappel par exemple de Yennaris comme d'un joueur prometteur.

Sinon Ozyakup a marqué son premier but en sélection (12 cap) contre les Pays bas durant la trêve.

Merci  :ok:

Ozyakup c'est un de ceux qui ont le mieux réussis, j'aimerais bien le voir en europe un de ces jours. Lansbury je pense qu'il arrivera un jour en PL, c'est une valeur sûre de Championship et son club joue la montée depuis 2 ans, ça me ferait plaisir de le voir en D1.

​Mais oui, globalement ils ont tous sombrés...

 

Des joueurs en qui j'ai beaucoup cru, comme Henderson ou Yennaris, font des carrières abominables...

 

Nordveit, Ebicilio, Vela, Armand Traoré, Miyaichi, JET, Hoye :)

Ah oui!

 

Nordtveit est toujours à Gladbach, il va bientôt jouer son 150ème match même s'il a perdu sa place de titulaire, et il est titulaire en équipe nationale.

Ebecillio est toujours à Twente, en Eredivisie

Vela est toujours titulaire à la Sociedad mais il leur a un peu mis une douille, depuis qu'on leur a vendu notre clause de rachat il ne marque plus ^^

Traoré est toujours à QPR, il me semble qu'il ne joue pas beaucoup

Miyaichi n'est pas parti depuis longtemps, je ne sais pas ce qu'il devient à San Pauli...

JET, je l'avais oublié celui-là, il a rejoint QPR cet été, libre de tout contrat. Avant, à Bristol City, il a joué 82 matchs pour 24 buts en 2 saisons. Il n'a joué que 32 minutes sur les 5 matchs de Championship de QPR pour l'instant

Justin Hoyte a maintenant 30 ans et est sans club après avoir passé l'essentiel de son temps à Middlesbrough (160 matchs) puis Milwall.

Gavin Hoyte a rejoint le Barnet FC cet été et évolue donc en League Two (D4).

J'aime Kampberg.

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Je me demandais ce que deviennent nos "indésirables" récents, les Park, Denilson, Bendtner, et notre génération ratée, Afobe, Aneke, Miquel...

Donc j'ai fait de rapides recherches, pour ceux qui comme moi sont curieux.

 

Park, il a maintenant 30 ans. Après son départ il a été faire un petit billet dans un club du golf, Al-Shabab Riyad, puis il est rentré au pays, dans son premier club pro.

Denilson, lui a 27 ans et a fait le chemin inverse: il est rentré au pays, à Sao Paulo, où il n'a joué que 17 matchs en 2 ans, puis il est parti chercher la paye dans un club emirati, Al-Wahda Club.

Bendtner, 27 ans également. Il est toujours à Wolfsburg, barré par Bas Dost. Il a quand même réussi à marquer sur ses 31 minutes de jeu cette saison en Bundi.

Almunia, après 2 saisons comme titulaire à Watford, il a été contraint d'arrêter sa carrière à cause d'un problème cardiaque.

Squillaci, à 35 ans il évolue toujours à Bastia, où il est titulaire en L1 depuis 2 ans.

Djourou, toujours à Hambourg où il est titulaire et désormais capitaine.

Eboué, après 4 ans à Galatasaray, il est parti à la fin de son contrat et est désormais joueur libre.

Arshavin, s'est engagé cet été avec le Kuban Krasnodar, après avoir passé 2 saisons comme remplaçant au Zenith.

Frimpong, lui aussi évolue en russie, au FK Ufa, où il n'a joué que 90 minutes sur 7 matchs de championnat cette année.

André Santos, après avoir fait la tournée des clubs au Brésil, il a fait quelques matchs en Inde et est revenu à Botafogo.

Mannone, après une (bonne) saison en tant que titulaire à Sunderland, il a retrouvé le banc au profit de Pantillimon.

 

Les jeunes:

Miquel, il a rejoint le club de 2ème division espagnole Ponferradina, après avoir résilié à l'amiable avec Norwich où il n'a joué que 2 matchs en 1 an.

Ozyakup, titulaire à Besiktas depuis 3 saisons, il commence bien la 4ème avec 3 assists et 1 but en 3 matchs sur 3 possibles.

Aneke, titulaire en belgique à Zulte, il s'est fait opérer cet été d'une lésion au ménisque et est indisponible pour plusieurs mois.

Afobe, il fait les beaux jours de Wolverhampton, notamment la saison dernière où il a inscrit 13 buts en 25 matchs.

Freeman, à 23 ans et après 2 saisons dans les bas-fonds du foot anglais avec Stevenage, il a sauté la marche en rejoignant la Championship et Bristol.

Lansbury, titulaire indiscutable à Nottingham depuis 3 ans (104 matchs de championnat), c'est leur meneur de jeu. Il a failli rejoindre la PL via Burnley cet été mais a choisi de rester aider Nottingham à monter.

Henderson, après des galères à Coventry (2 matchs), Hull (0) et Stevenage (3), il a rejoint Crawley Town il y a un an et vient de prolonger pour 6 mois.

 

Vous vous souvenez d'autres "anciens" récents?

 

Merci Auré !  :ok:

 

Et Kristoffer Olsson il devient quoi ?  :amoureu:

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Il a eu une grosse blessure mais il commence à gagner pas mal de temps de jeu au FC Midtjylland, champion du Danemark et qualifié pour les poules de l'Europa League. Sur les quelques highlights que j'ai vu, il était plutôt bon. Il a été convoqué en équipe de Suède il me semble aussi.

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Personnellement je pense que c'est inimaginable pour 2 raisons:

 

- sa trahison évidemment, dans la même veine que Fabregas qui va à Chelsea, Adebayor qui va à Tottenham, c'est un manque de respect pour leur ancien club et c'est impardonnable.

- Son niveau de jeu, c'est un "has been". Il a été très bon, mais depuis plusieurs années maintenant il est médiocre... Du coup, aucune utilité de le recruter.

J'aime Kampberg.

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  • 1 mois plus tard...
  • 2 semaines plus tard...

Ben NY c'est affilié à City, il va pouvoir faire ses armes en pro après avoir fait ses preuves en réserve, ils le préparent peut-être pour l'équipe première.

Arsène Wenger : "I went for a challenge that I knew would be difficult because we had to fight with clubs who lose £150m per year when we had to make £30m per year."

 

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  • 2 mois plus tard...
  • 1 mois plus tard...
  • 4 semaines plus tard...

Robert Pires a fait un appel du pied au club cette semaine dans une interview donnée au journal espagnol 'El Mundo" :

"Moi, entraîneur ? Pour le moment, non. Si demain, on me laissait choisir, je travaillerais avec Arsenal comme directeur sportif. C’est mon projet. Je dois parler avec le club à ce sujet" a expliqué l'ancien international français."

 
 
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  • 4 mois plus tard...

Si on devait avoir un Directeur Sportif sous Wenger, il faudrait nécessairement que ce soit un ancien du club avec qui il pourrait lui faire confoance

Il a déjà dit qu'il ne pourrait plus jamais travailler avec un directeur sportif, ça ne peut pas coller avec sa façon de bosser désormais.

Arsène Wenger : "I went for a challenge that I knew would be difficult because we had to fight with clubs who lose £150m per year when we had to make £30m per year."

 

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Kallstrom sur son expérience à Arsenal, c'est vraiment génial ce qu'il dit, un suédois a traduit sur reddit ce qu'il a dit à la radio

 

There's a Swedish tradition to let famous Swedes do radio essays on public radio. Earlier this week, Arsenal Ex-Loanee Kim Källström did one. Here's a few interesting quotes re:Arsenal. Nota bene: I did quick translations, but I didn't check them twice.

 

"I look like a boy as I walk across the grass, with the ball under my arm. Well-groomed side-parting, a clean red shirt, white sleeves, and a golden cannon on my breast. I'm a man past thirty years of age, in a boy's dream. It's the semifinal of the English FA cup, against Wigan, with 82,000 people on the stands of Wembley Stadium, among which 50,000 root for us. They are loud and starving fans that hunger for a title. They haven't won anything for nine years, which is an eternity for a club that is considered one of the greatest in the World. They have the most loyal fans, gooners. By strange and unexpected detours, I've ended up at the top club Arsenal, in north London. With straight legs, I bend down and put the ball on the spot. I throw a quick glance at the keeper. I've already decided where to place it. I try not to smile. The moment is here. I'm here - in the middle of the latin motto of the club: Victoria Concordia Crescit. Victory grows through harmony. I can't help myself but smile slightly. I haven't even played half an hour for Arsenal. I debuted against Swansea, for eleven minutes, and now I was substituted on in extra time when it was to be decided. Fifteen minutes of a footballer's life, which changed my story."

"I got a call from my agent, Roger Ljung [World Cup bronze medalist in '94]. 'Do you want to be loaned out to a club in the Premier League?" "No." "Do you want to be loaned out to Arsenal?" "YES!"

 

"It was transfer day and a rumour of a new player had leaked. The training facilities were filled with supporters, journalists and tv was transmitting live. When we arrived at Heathrow, we had to drive to a field and switch cars so that no one would recognise the vehicle. Everyone was nice to me, and I get training clothes and number 29. I was sent to a team physician for the obligatory medical exam. While the physician is going through the tests, I'm sitting in the cafeteria, drinking a cup of washy English coffee. I'm dressed in the club colours, in the civilian outfit of the professional football player, meaning a t-shirt, shorts and flip-flops. Players pass by on the way to today's training. I knew a few of them, as they were French, and we small-talk a bit. The physician fetches me, and I'm driven quickly to a hospital for a X-ray exam. Something's wrong. We return to the training facilities. I'm put in a situation that reminds me of a talent show on tv. I'm standing in front of a jury, in Arsenal clothes, the cd with my X-ray images, and bad posture. In front of me sits the team physician, the sporting director, and the powerful manager Arsene Wenger, who has run the club with an iron fist and a low-key attitude for almost 20 years. The physician starts speaking. He understands that Arsenal is a big thing for me and that my hopes have been lit, but the back problem is too bad, and he's sorry. He lays down the facts. There are three cases of vertebral fractures, and I'm out for atleast 4-6 weeks. I'm shocked - disappointed, but I understood. Against the evidence of the X-ray images, neither boyhood dreams or arguments help. I understand. 'If you're injured, you're injured', I say, but in truth I was angry as hell. There's silence in the room. Wenger hasn't said anything. He hasn't even looked at his colleagues as they inform me of their logical verdicts. He thinks for himself. I wait for him to say something. He sighs, and says 'The transfer windows shuts in a few hours. It's impossible to find a replacement. Either I take you or no one.' Surprised, the others turn to the big boss. No one knows how he'll continue, but they know that his words are law. It's evident that he has not anchored his decision among the rest of the staff. Wenger decides. "You'll stay, heal, and train. I'll take you when you're fit."

 

"Now, the next circus starts. I could follow the events in real time, as the media started writing and friends contacted me. In spite of a time difference of four hours, and the Russian football association being closed, the transfer was done. The contract was signed in the last hour. I had left Spartak Moscow when everyone was asleep; I was just gone the next morning. I got a few good luck texts, but other than that, Russia was over for this time."

 

"I train like a mad man in England. I'm good at that. One day at the gym, Wenger stops by. When he enters a room, everybody sort of stops, as if they're waiting for a signal. He has that effect on people. I keep peddling on the exercise bike, as I'm trying to beat a certain time. Wenger is watching with his French, slightly casual, yet serious, gaze. We small-talk and we're on the right track. I felt like I was building confidence with the leader, without having kicked a ball yet. After five weeks of hard rehab, and the uncertainty whether my back would be restored, I'm suddenly back on the pitch. It was a long time since the club had won anything, and the British capital is boiling, with the tabloids as directors. We're favourites against Wigan in the semi-finals, but we only manage to achieve a draw at full-time. The clock ticks, without anyone ending it. I'm sitting on the bench without any personal expectation. There's seven minutes left and I'm suddenly substituted for an exhausted Aaron Ramsey. The ref blows the whistle. Now, one of the finalists must be decided by a penalty shootout. A simple and brutal way to end things. Now, understanding of the game, tactics, and physical prowess are meaningless. Now, there is only a confused mess of nerves and chance. Penalty shoot-outs in football crown kings, and always a scapegoat. You must score. All the pressure is on the taker. I hear Wenger shouting in French: "Kim, do you take penalties?" "Yeah, I'd be glad to take one." "Good. You're second." I decide early where to shoot it. When I walk alone to the spot, in a stadium with three times as many spectators as there are inhabitants of my hometown, Sandviken, I must suppress my smile. It's a long way to walk across the pitch. I'm relaxed - perhaps happy. I put the ball on the spot. Now, I just have to back up and find the right distance to the ball, run up, and strike the ball hard and high to the left. Just do what I usually do, what I know, and always have done. I've done it a thousand times before, and there's no nervousness. The keeper goes early, in the opposite direction of where I had decided to put it. When I watch the penalty on Youtube, the feelings return. The calm and the joy, but I'm surprised where the ball ended up. The ball ended up in the lower left corner, opposite of how I remembered it. I had decided to put it high to the left, but I remembered it as I actually put it low to the right. I'm confused, but the ball ended up in the net. We won the final and we're praised by over 200,000 supporters on the streets of London. Although my contribution was small in the 120-year history of the club, it was a highlight for me. The greatest fifteen minutes of my life, and it turns out I don't remember what happened. Where was I in that deciding moment? Trance, shock, delirium, coma, nervous breakdown, call it whatever you want. The only thing I know for sure is that sports and football are incomprehensible. That's why we love it. As long as that penalty continues to end up in the net, my experience is true. I'm sure of it."

 

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