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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

[10] Mesut Özil


GBC

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La passe dans la surface qu'il met à Ramsey quand ce dernier frappe juste au-dessus de la barre, celle là est exceptionnel et illustre parfaitement le joueur... Il fait des choses splendides

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La passe dans la surface qu'il met à Ramsey quand ce dernier frappe juste au-dessus de la barre, celle là est exceptionnel et illustre parfaitement le joueur... Il fait des choses splendides

Celle la doit aller au fond. Ramsey a largement le temps d'avancer ou de faire 2 touche de balle de +

Diawara, Makélélé, Bonobo, Ronaldinho

T'es capoté, Tu fais un bébé, J'veux le fêter, Comme Bebeto

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Celle la doit aller au fond. Ramsey a largement le temps d'avancer ou de faire 2 touche de balle de +

Oui c'est clair... Non seulement l'occasion est grande mais a ce moment là elle nous aurai garanti la victoire. C'est la limite d'une statistique... Ozil peut avoir beaucoup plus de passe décisive... Mais sur le terrain statistiques ou non ce joueur fait des merveilles

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Ramsey à quand même prouvé qu'il avait un vrai potentiel de finisseur Jil. Début 13/14 c'était impressionnant, tout rentrait.

[url="http://i382.photobucket.com/albums/oo265/mpolamide/wilshere.gif"]http://i382.photobuc...de/wilshere.gif[/url]

[url="http://www.total-futbol.com/"]http://www.total-futbol.com/[/url]

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Je peux pas m’empêcher d’être frustré quand je vois Mesut qui touche le ballon entre les lignes mais qui ne peut pas envoyer de caviar dans la profondeur car ce n'est pas le style de notre attaquant, on voit que ça le met souvent en difficulté et le pousse à trop gardé la balle et donc parfois la perdre et ça va lui retombé dessus, car on va dire qu'il est pas concerné...

On a un des meilleurs 10 au monde que l'on fait joué derrière un attaquant qui marque 90% de ses buts sur des centres (comme hier)... Sachant ça j'aimerai qu'on essaie ce qu'on faisait en début de saison dernière avec Alexis en 9 1/2 derrière Giroud et Ozil à gauche même si je sais qu'il n'y est pas super à l'aise..

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Cette relation avec Benzema ... Arsène, Make it happen ! 

"This isn't a football club, this is a bottling service, we provide a bottling service for Evian, Perrier and f*cking Coca-Cola ! And these bottlejobs are getting paid more than Liberia's deficit to miss form 4 yards out !" - Hugh Wizzy

 

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Cette relation avec Benzema ... Arsène, Make it happen ! 

 

 

 

Je te l'avais dis Abe, tout le monde parlait de sa relation avec CR7 en terme de passes D, mais la vraie relation technique c'était avec Benzema. Et encore là, c'est une compilation, fallait voir les matchs, y'a des moments c'était jouissif.

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Grosse interview du Mesut parue aujourd'hui, jme suis motivé à la traduire pour nos amis qui ne sont pas hyper fluent en anglais. Il y a sûrement quelques fautes n'étant pas totalement bilingue, merci de votre compréhension ! 

 

L'interview porte surtout sur son parcours, sa vie à Londres et dans la ville précédente et permet de s'immerger un peu plus dans son quotidien. Rien de révolutionnaire, pas d'anecdotes folles mais c'est toujours sympa d'en savoir plus sur nos joueurs.

 

L'original est à retrouver ici : http://www.arsenal.com/news/features/20150813/-i-ve-always-felt-right-at-home-here-

 

 

C'est l'écrivain du 18ème siècle Samuel Johnson qui déclara : "Lorsqu'un homme est fatigué de Londres, il est fatigué de la vie; car il y a à Londres tout ce que la vie a à offrir"

 

Mesut Özil sourit lorsqu'il entend la citation. "Je me suis toujours senti chez moi ici" acquiesce-il d'un signe de la tête. "Londres c'est un grade différent, une ville avec tant de cultures différentes et c'est quelque chose que je n'ai jamais vu auparavant. Ca me donne l'opportunité de ne pas apprendre une seule culture. Où que j'aille, tu rencontres une telle diversité de gens et c'est quelque chose qui me fascine."

 

"C'est aussi pourquoi j'adore vivre à Londres. C'est juste incomparable et lorsque ma famille qui vit en Allemagne vient visiter Londres, ils sont tous très positifs sur la ville et à quel point elle est agréable. Je ne peux que le confirmer".

 

Mesut a grandi à Geselkirchen, une ville fortement industrialisée dans la Ruhr en Allemagne. C'était ici, dans la véritable Affenkafig -ou cage à singe- que le champion du monde a poli son talent pour la première fois. Le Football était part entière de sa routine journalière. Peu importe qu'il fasse nuit ou qu'il neige. Il jouait toujours, principalement avec ses frères et amis, prétendant être Zinedine Zidane.

 

Durant le recensement allemand de 2009, la petite banlieue de Bismarck où il a passé son enfance, comptait environ 16.000 habitants. A première vue, l'endroit ne pouvait pas être plus différent que Londres. Mais tout comme la capitale anglaise, Bismarck est un mélange de cultures, abritant des populations du monde entier.

 

"Le quartier où j''ai grandi était l'un où de nombreux étrangers s'étaient installés", expliqua Mesut lors du programme d'avant-match de l'an dernier. "Pas seulement des turques mais aussi du monde entier : Des libanais, du moyen-orient, d'Afrique, un véritable mélange. Ca n'était peut-être pas le plus beau quartier ou le plus agréable mais j'avais tellement d'amis qui vivaient à proximité, qui venaient tous d'horizons différents et j'ai vraiment aimé mon enfance là-bas."

 

"Plusieurs familles dans le quartier vivaient parfois des périodes difficiles et le football était la réponse pour nous les enfants. C'était un échappatoire. Tu adorais jouer car cela voulait dire que tu n'avais pas de problèmes. Tu étais là sur le terrain et il n'y avait que le football. Peu importe si tu étais riche ou pauvre, allemand ou turque. Le football nous rassemblait et on était toujours de bonne humeur ensuite."

 

Adopter de nouvelles manières de vivre a toujours été vital pour Mesut. Ses grands-parents sont venus en Allemagne en tant que travailleurs étrangers et son grand-père travaillait dans les mines avant de finalement s'installer en Rhénanie du Nord-Westphalie, la "région" la plus peuplée du pays. L'éducation multiculturelle l'a aidé à s'installer rapidement à Londres quand il est arrivé en 2003.

 

"C'est vraiment agréable de vivre ici, et surtout parce que je n'ai pas eu à m'acclimater à quoique ce soit", explique-t-il. "A Madrid, tu dois légèrement t'adapter à la culture espagnole. Mais grâce aux nombreuses cultures présentes ici, j'ai eu l'opportunité de ne pas réellement ajuster ma façon de vivre".

 

"C'est vraiment bien. Tu as l'opportunité de prendre un peu de chaque culture. Si tu veux de la cuisine anglaise, japonaise ou allemande, tu peux l'avoir. Il y a un peu de tout et c'est pourquoi c'est jamais ennuyant. Tu as de nombreuses opportunités d'essayer de nouvelles choses, et c'est exactement la même pour la nourriture. Tu n'as nulle part ailleurs toutes les possibilités que tu as à Londres. C'est pourquoi j'aime sortir le soir et essayer différentes choses, pas un seul type. J'aime particulièrement la nourriture turque mais je suis ouverts à toutes les cuisines venant de toutes les cultures et c'est ce que je fais".

 

Mesut n'est pas étranger à l'expérimentation de nouveaux environnements - il n'avait que 19 ans quand il a parcouru 200 kilomètres pour rejoindre le Werder Brême depuis Schalke 04.

 

"Geselkirchen est l'endroit où je suis né et j'ai grandi, et là où ma famille et amis vivent" raconte-il. "Je suis vraiment en contact avec la ville. J'ai commencé ma carrière de footballeur là-bas et j'ai de superbes souvenirs de Schalke. A l'époque j'avais un coach, Norbert Elgert, qui m'a toujours superbement soutenu et m'a aidé à avancer. J'ai eu l'opportunité d'être footballeur professionnel là-bas et grâce à ça je suis très reconnaissant de cette époque."

 

"Ensuite je suis allé à Brême et j'ai eu d'agréable moments. Les gens de Brême adorent le Werder et lorsque je repense à mon séjour là-bas, c'était une superbe expérience pour moi. J'ai vraiment apprécié vivre là-bas et les gens étaient très amicaux."

 

Sa mission de deux ans dans le nord de l'Allemagne a amené Mesut à un autre niveau. Il marqua le but vainqueur pendant la finale de la DFB Pokal - l'équivalent de la FA Cup - lors de sa première saison et aida le Werder à se qualifier pour la Champions League la saison d'après. Après avoir impressionné à la fois dans son championnat et lors de la Coupe du Monde 2010, Mesut était de nouveau en mouvement, cette fois-ci vers le Real Madrid.

 

"En 2010, j'ai fait un nouveau pas en avant vers Madrid" se rappelle-t-il. "C'est quelque chose dont je suis vraiment, vraiment très fier. J'ai été capable de travailler avec quelques-uns des meilleurs joueurs au monde et la ville était intéressante car c'est également une ville à rayonnement mondial. La météo était excellente - pendant 6 voire 7 mois tu ne vois que le soleil. J'ai vécu beaucoup de choses là-bas et ai réellement apprécié."

 

Après, il y a évidemment eu Arsenal et le déménagement vers Londres.

 

"Je me suis toujours bien senti ici, surtout parce que mes amis et coéquipiers m'ont toujours très bien soutenu" remarque-t-il. "La ville est très intéressante aussi."

 

"J'adore la culture anglaise et le sens de l'humour. Par exemple après que nous ayons gagné la finale de la FA Cup en 2014, j'ai crié "Ja Gunners Ja" vers la caméra et c'est presque devenu un culte ici. Les fans m'ont très bien soutenu et c'est pourquoi je le fais. Lorsque je poste quelque chose sur Instagram, j'utilise toujours le hashtag #YaGunners"Ya. J'aime ce sens de l'humour et le trouve agréable.

 

J'aime être à Londres parce que la ville offre tellement de choses. C'est pourquoi j'adore vivre ici. Je ne pense pas que tu aies une telle diversité de choix ailleurs en Europe à part à Londres. Il y a tellement à faire, tellement d'options pour passer du temps, et c'est vraiment bien pour nous. Je viens de Geselkirchen, d'une petite ville où il y a beaucoup moins de possibilités qu'à Londres. C'est pourquoi je savoure mon séjour ici".

 

La famille joue un rôle très important dans la vie de Mesut et avec Londres seulement à une heure de vol de l'Allemagne, les opportunités de passer du temps avec ses proches sont fréquentes.

 

"Surtout quand je suis chez moi, les gens que je connais savent que je n'aime pas beaucoup parler de football. Je préfère complètement changer de sujet. C'est pour cette raison que je passe énormément de temps avec ma famille et mes amis. Ils me connaissent et savent quand changer de sujet. Quand je suis en-dehors du terrain, le plus important c'est de passer du temps avec ma famille.

 

"J'aime passer du temps avec mes amis. Ce qu'on fait ? On sort souvent au restaurant le soir. J'ai un établissement favori dans le nord de Londres, où je vais beaucoup. En dehors de ça, je fais les choses spontanément. Ma famille et amis viennent souvent me rendre visite et on décide à ce moment ce que l'on va faire. Si ils veulent connaître davantage la ville et voir des attractions touristiques, on ira et on prendra une belle photo comme souvenir. On ne planifie pas vraiment ce que l'on va faire en se disant "Ce soir on fait ci, ça et ça."

 

"J'aime également passer du temps chez moi mais on ne reste pas en place. En fait c'est même l'inverse, on s'aventure dehors et on découvre des endroits. Dans le passé j'ai beaucoup entendu parler de Londres et à quel point la ville est intéressante. Avant de rejoindre Arsenal, je n'ai en fait jamais visité la ville. Maintenant je vis ici et j'aime ça."

 

Le plaisir n'est pas seulement limité à la vie de Mesut en dehors du football. Ses performances dans la seconde partie de la saison 14/15 en sont témoins. Le meneur de jeu a probablement accompli sa période de forme la plus régulière et consistante sous le maillot d'Arsenal après être revenu d'une blessure au genou en Janvier, gagnant deux fois le prix du meilleur joueur du mois et étant couronné d'une seconde médaille de vainqueur de la FA Cup en autant de participations.

 

"Je me sens le plus heureux lorsque je suis sur le terrain avec le ballon dans les pieds et je prends mon pied actuellement", nous a t-il confié dans l'édition de Juin. C'est évident que Mesut apprécie sa vie à présent - à la fois en dehors et sur le terrain. Et avec la faim de succès du garçon de Bismarck, il y a toutes les chances que la saison 2015/22016 pourrait être une saison spéciale pour lui et pour Arsenal.

 

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gros gros taf thereisbergkamp , bravo pour ton travail

ozil ambassadeur de londres !
 

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Pelé:"He is the best player in the world; He has just been a little unlucky in the past.";                   Maradona: "Totti is the world's number one" ;                     Mourinho: "He's the best player in the Italian championship in terms of spectacle and quality of play."                    Ferguson: "Totti is the fantastic player";                           Wenger: "Totti is a top, top class player. He used to play in behind the strikers and then one day they had no central striker so they played him up front and won game after game. He suddenly became the topscorer in Italy as a central striker. That means this guy has absolutely everything"             Platini: " Totti est un artiste du football. Son seul défaut est d'être romain."

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http://www.eurosport.fr/football/premier-league/2015-2016/arsenal-liverpool-wenger-sait-que-le-chemin-du-titre-passe-par-les-pieds-d-ozil_sto4875011/story.shtml

 

 

PREMIER LEAGUE - Arsenal, qui reçoit Liverpool lundi (21h00), en clôture de la 3e journée, a besoin d'un grand Mesut Özil pour reconquérir un titre de champion d'Angleterre qui le fuit depuis 2004. Le meneur allemand n'a pas répondu aux attentes lors de ses deux premières saisons chez les Gunners. Son manager, Arsène Wenger, en est conscient. Et il est convaincu que ça va changer.

Mesut Özil est toujours un génial intermittent. Du moins pour l'instant. En l'espace de deux matches de Premier League, le stratège allemand d'Arsenal a déjà montré toutes ses facettes. Une prestation sans relief, malgré quelques éclairs, pour une défaite à domicile, face à West Ham (0-2). Malmené par Reece Oxford, défenseur des Hammers âgé de seulement 16 ans, l'ancien joueur du Real a eu droit à sa pluie de critiques et de moqueries habituelle quand il passe à côté d'un rendez-vous.

 

Changement de décor la semaine dernière. Özil a livré une performance remarquable pour guider les Gunners vers la victoire, sur le terrain de Crystal Palace (1-2). Des dribbles déroutants et des passes inspirées, à l'image de celle adressée à Olivier Giroud pour l'ouverture du score. L'Allemand a été brillant et décisif. Et il a eu droit à sa pluie de louanges habituelle quand il est à l'heure au rendez-vous. Et quand il justifie enfin cette flatterie de José Mourinho à son sujet.

" Il n'y en pas deux comme lui. Pas même une mauvaise copie."

Mourinho sait de quoi il parle. En trois saisons au Real Madrid, le technicien portugais a eu le temps de se rendre compte du talent d'Özil. Mais surtout de son impact sur l'équipe madrilène. Si le club merengue a pu mettre un terme à la domination du Barça sur la Liga en 2012, il l'a dû aussi aux 20 passes décisives de son meneur allemand. Özil passait aussi à côté de certains matches avec le Real. Mais ça ne l'a pas empêché d'être directement impliqué sur quasiment 25 buts par saison en Liga.

Saison Matches Buts Passes décisives 2010/11 36 6 19 2011/12 35 4 20 2012/13 32 9 16

Jusqu'ici, Arsène Wenger a eu toutes les raisons d'être frustré par le rendement d'Özil à Arsenal, tant il était nettement inférieur à celui qu'il affichait au Real. L'Allemand a connu davantage de pépins physiques à Londres qu'à Madrid, où il bénéficiait aussi de la présence d'un finisseur hors-norme, Cristiano Ronaldo, pour exploiter ses offrandes. Au bout du compte, chez les Gunners, Özil n'a jamais été directement impliqué sur plus de 15 buts par saison en Premier League.

Saison Matches Buts Passes décisives 2013/14 26 5 10 2014/15 22 4 6

Le manager des Gunners reste pourtant l'un des premiers défenseurs du plus gros transfert de l'histoire du club, recruté au Real pour 50 millions en toute fin de mercato. "Il est arrivé tard à l'été 2013, sans préparation dans l'équipe, rappelait-il début août. En 2014, il est revenu épuisé par la Coupe du monde et après, il a été blessé pendant quatre mois. Il a vraiment commencé à s'adapter sur la deuxième moitié de la saison passée. Cette saison est très importante pour lui."

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Mesut Ozil - AFP

Comme Arsenal, comme beaucoup d'observateurs, Wenger attend plus d'Özil. Aussi parce qu'il le considère davantage en mesure de dominer son sujet en Premier League aujourd'hui. "Il est plus autoritaire dans sa façon de dicter le jeu qu'auparavant, estime-t-il. Il est plus fort physiquement, c'est sûr, et mieux armé pour lutter en Premier League. Je suis confiant sur le fait qu'il puisse être l'un des grands joueurs de la saison 2015-2016." Pour Wenger, il peut même être le plus grand.

" Özil peut devenir le joueur de l'année"

C'est exactement ce dont Arsenal a besoin. Les Gunners se sont dotés d'un grand gardien cet été avec Petr Cech, mais la reconquête d'un titre de champion d'Angleterre - qui leur échappe depuis 2004 - passe forcément par les pieds de Mesut Özil. L'Allemand doit être plus décisif et régulier pour que l'équipe de Wenger puisse rivaliser avec Chelsea, Manchester City et Manchester United. Il ne doit plus être un génial intermittent. Il doit être génial, tout simplement.

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Ahlala ces journalistes...

Comme d'hab c'est soit tout noir soit tout blanc, genre quand il nous a rejoint c'était le meilleur 10 du monde, le Réal qui perd son nouveau Zidane, la recrue du siècle, et 4 mois après c'était un pestiféré, le plus gros flop de l'histoire d'Arsenal, il faut absolument le revendre et le brader, etc etc.

Pareil pour cet article, t'as l'impression que les mecs se sont pas mis à jour depuis 1 an, et le gars prend même pas la peine de souligner qu'il est excellent depuis 7 mois, qu'il est revenu épuisé de la coupe du monde et qu'il a été blessé 3 mois et demi...

Et puis le fameux argument des stats, comme si son seul rôle était de faire des passes dé.

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Euhhh niveau objectivité ce forum n'est pas vraiment mieux que ces torchons. Au moins les journalistes sont payés pour dire des conneries, ici on le fait gratuitement.

Andrey (Arshavin), s’il te plait, raconte moi une histoire de ton enfance, juste en quelques mots, si tu le peux.
[b]Andrey Arshavin : je suis né.[/b]

[center][img]http://img864.imageshack.us/img864/7827/fanart1103large2.jpg[/img][/center]

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