Arsène Wenger

[Barty]

Bah la c'est déjà plus problématique. S'il n'écoute pas son vestiaire, effectivement c'est un problème. Par contre en aucun cas il devraient écouter les supporters ou la presse, ca c'est certain. Sinon ça fais 4-5 ans qu'il ne serait plus la.

Ecouter dans le sens plutôt de aussi se préoccuper des sentiments des supporters : des promesses de titres, mais au final les prix des places augmentent, des résultats peu convainquants (sauf FaCup) et de l'incohérence.

Tu vois, rien qu'une référence aux supporters lors des conférences de presse, sans dire sans cesse qu'ils sont émotionnels, ben ça peut montrer qu'il y a un intérêt humain et pas seulement économique avec les clients de cette entreprise.

[La_Pulga]

Ce que je veux dire c'est que le club doit vraiment plsu écouter les supporters et se remettre en question.

Wenger, pour rappel, a mis Flamini sur le banc après le Bayern car il avait remis en cause son approche du match, de même pour Rosicky et plus lointain Viera. ca a été dis par Auclair, Wenger est buté borné et ça lui fais défaut. Clairement.

D'ailleurs gros dossier signé Auclair sur la relation Wenger Viera dans le prochain FranceFootball.

[mist.gun]

Bah la c'est déjà plus problématique. S'il n'écoute pas son vestiaire, effectivement c'est un problème. Par contre en aucun cas il devraient écouter les supporters ou la presse, ca c'est certain. Sinon ça fais 4-5 ans qu'il ne serait plus la.

Il n'écoute que lui et au final on voit le résultat. Un échec cuisant. Mais c'est vrai que la faute est partagé avec le Board qui ne sert à rien.

[Sborn]

Juste, elle sort d'où cette stat? Car elle est ridicule sachant qu'on les a battu chez eux cette saison en coupe de la ligue, qu'on a également gagné 0-1 face à eux en 2013-2014, et que je me souviens également d'un ébranlée qu'on leur met chez eux en 2010 1-4.. Alors 9 sans victoire chez eux ça me paraît vachement faussé comme stat

 

Je parlais de la PL. Une victoire en 9 ans.

[Abe-Gunners]

... Et que vous comprendrez que le foot n'est pas aussi simple que ça.

 

Le foot n'est effectivement pas simple, parce que les parties prenantes sont nombreuses et il faut parfois que toutes ces parties travaillent dans le même sens et poursuivent le même but pour que tout cela marche. En revanche, on constate que le foot semble simple pour une équipe comme Leicester, disposant de moyens biens inférieurs et en quelques mois s'est transformé en favori d'une compétition que nous chassons depuis de nombreuses années et qui aujourd'hui marche sur les supposées grosses équipes anglaises avec facilité dans la mesure où leur projet porte ses fruits après une petite année. 

 

Pas si compliqué que ça visiblement... 

 

 

 

 

 

En ce qui me concerne, je me demande depuis le début de l'année : Qu'est-ce que les clubs, managers, dirigeants de Premier League pensent de l'ascension de Leicester ? Comment font-ils pour se lever le matin, se regarder dans le miroir et se dire qu'un club disposant de moyens aussi inférieurs a réussi a passer du statut de lanterne rouge du championnat le 2 Mars 2015 à celui de leader à cette même date un an plus tard ? Comment parviennent-ils à justifier la réussite du projet d'un tel club en une petite année quand les autres disposent de décennies de réflexion ?

 

Je refuse aujourd'hui d'accepter qu'un club comme Leicester parvienne à remporter cette Premier League. Non ! Pas quand des clubs disposent de moyens incroyables et de projets réfléchis pendant dans années ! Arsène Wenger, manager (et j'insiste sur le terme manager) que j'admire et qui m'inspire a élaboré un projet sensé propulser Arsenal vers une nouvelle dimension, sensé permettre au club de dominer l'Angleterre et l'Europe. Aujourd'hui, on se dirige vers un échec.

 

Tant d'efforts, tant d'épreuves traversées, tant de moyens mis en place (un stade, un centre d'entraînement, une plus grande visibilité dans le monde). Tout ça pour voir un club sorti de l'ombre gagner le championnat (ou presque) en une année ? J'en veux à tous les clubs qui figurent habituellement dans le top 10 de Premier League de laisser ça se passer. Comment peuvent-ils accepter, voire apprécier pour certains qu'un tel club remporte le championnat ? 

 

C'est une humiliation, un aveu d'impuissance et d'incompétence. 

 

Je continue ici en me concentrant un peu plus sur Arsenal. A noter que j'étais en train de me plaindre des jugements hâtifs proposés par certains nouveaux membres cette année sur la plupart des topics (au hasard, celui de Mertesacker), mais je finis également par penser que le mépris n'est pas la bonne réponse et que le forum n'est finalement que ce que nous en faisons. Bref, c'est un autre sujet.

 

J'en étais là : aujourd'hui, et ce pour la première fois depuis longtemps, je doute.

 

Comme je le disais, Arsène Wenger est un manager qui m'inspire. Il a une vision globale, long-termiste admirable. Il accorde de l'importance à l'harmonie, et une capacité à relativiser qui ne cessera de m'impressionner. Avec de telles qualités, je ne pouvais qu'être optimiste vis-à-vis de son projet et je continue aujourd'hui de penser que son travail entre 2006 et 2012 est incroyable. Il a été l'homme de la situation, permettant au club de construire un projet sur le long-terme sans perdre en régularité ou en visibilité. Tout n'a certainement pas été parfait sur cette période, mais il a à mon avis réalisé un travail satisfaisant et ses quelques échecs ont été compréhensibles ou logiquement excusés.

 

Mais cette année, il y a de nombreuses critiques justifiées auxquelles il ne peut échapper. Tout d'abord, pour juger avec pertinence la situation actuelle, il faut reprendre le détail des choix réalisés lors des derniers mois voire dernières années. A la fin de la saison 2014-2015, nous remportons un nouveau titre, la FA.Cup pour la deuxième année consécutive. C'est une belle réussite, mais les raisons pour lesquelles nous n'avons pas réussi à nous battre pour le titre de champion d'angleterre sont assez évidentes. Comment en est-on donc arrivé là ? 

 

L'effectif en lui même pour commencer. Il nous manquait un gardien de classe mondiale, un meilleur défenseur central pour accompagner Koscielny, un milieu défensif plus complet que Coquelin capable à la fois de récupérer des ballons et d'organiser le jeu avec un rôle reculé, et des joueurs offensifs plus intelligents et réguliers. Ce sont les points sur lesquels une majorité de personnes suivant le club s'accordaient y compris la légende Thierry Henry. Depuis plusieurs années, nous avons constaté que le destin d'Arsenal sur une saison reposait sur la forme exceptionnelle de quatre à cinq joueurs maximum capables de proposer d'excellentes et régulières performances sur une période minimale de 6 mois. De 2012 à 2014, nous avons eu Arteta, Sagna, Ramsey, Cazorla, Szczesny et Koscielny essentiellement. Et sur ces deux dernières saisons, Cech, Özil, Bellerin, Monreal, Coquelin et Alexis ont su briller et porter l'équipe. Le rôle d'Arsène était donc de compter sur ces joueurs, de les faire progresser et maintenir leur forme sur une période supérieure à 6 ou 8 mois tout en les associant à des joueurs suffisamment fiables au fil des saisons pour les soutenir. Aujourd'hui, c'est le premier échec que je soulève à travers ce post : les joueurs clés des saisons précédentes ne retrouvent pas leur forme, et les joueurs présentant un bon potentiel peinent à arriver à maturité ou sont mis de côté.

 

Certains critiqueront sa frilosité sur le marché des transferts, d'autres son incapacité à insuffler ce mental de vainqueur. Je n'ai même pas envie de discuter d'une potentielle solution parfaite, je ne suis pas payé 10 millions d'euros par saison pour le faire. La frustration de cette saison me fait juste remarquer que les résultats ne sont pas à la hauteur des objectifs et du projet qui nous est vendu depuis quinze ans. 

 

Parlons strictement football. Je parlais un peu plus tôt des raisons qui ont protégé le statut de Wenger ces dix dernières années. Il est évident que le beau jeu en est une. En est-ce toujours une ? Il faut croire que non. Nous ne proposons plus un jeu aussi alléchant, nous marquons moins de buts, nous perdons plus de matchs, nous sommes moins solides à domicile et les joueurs semblent perdus. Nous vivons l'une des pires saisons de sa carrière au club et ses déclarations sont aujourd'hui contraires aux résultats que nous pouvons observer sur le terrain. L'alsacien nous a pourtant invité à lui faire confiance, il a loué l'état d'esprit de son effectif, et les biens-faits de la cohésion qui caractérise notre équipe depuis quelques années. Pourtant, encore une fois, les joueurs semblent perdus sur le terrain, et je vois deux explications possibles à partir de deux sources. La première source, c'est le livre de John Cross qui donne de nombreux détails sur la manière avec laquelle les choses sont gérées en interne à Arsenal Football Club depuis l'arrivée de Wenger, et la seconde, c'est l'ensemble des déclarations combinées des parties prenantes : joueurs, préparateurs, journalistes, dirigeants et le coach lui-même. On a effectivement entendu année après année que la philosophie de Wenger était de pousser les joueurs à exprimer leur talent, leur inspiration sur le terrain, et que son rôle était surtout d'assurer un cadre optimal pour que les joueurs puissent exprimer au mieux leur génie sur le terrain. La question est alors de savoir dans quelle mesure il respecte lui-même ses propres déclarations. On a bien compris qu'il était un coach qui n'inondait pas ses joueurs de consignes tactiques, mais on ne peut pas décemment imaginer non plus qu'il ne fait rien. Un exemple simple de consigne est la manière avec laquelle nous ressortions le ballon avec le double pivot Coquelin-Cazorla. Pour ceux qui ne l'ont jamais remarqué, le schéma était toujours le même, Coquelin monte un cran plus haut et joue dos au but tandis que Cazorla dans un rôle de regista faisait face au jeu dans une position plus basse. Le rôle du français en montant légèrement de cette manière est de proposer constamment une solution courte vers l'avant à Cazorla et le français se contentait dos au but de remettre le ballon à l'espagnol jusqu'à ce que ce dernier soit capable de trouver un milieu offensif avec une passe qui transperce la première ligne adverse. Cela permettait à Cazorla de contrôler le tempo, et si un joueur adverse venait le presser, il avait constamment une solution courte et simple vers l'avant qui lui permettait de récupérer le ballon quelques secondes plus tard et ce schéma se répétait jusqu'à ce que l'espagnol trouve un joueur plus offensif. C'est tellement régulier que cela ne peut être qu'un schéma travaillé.

 

Il appartient donc à chacun d'estimer l'implication tactique d'Arsène, mais quelle qu'elle soit, aujourd'hui, je ne peux que me tourner vers notre coach, parce que ce ne sont pas mes choix, ce ne sont pas les choix des fans ou des clubs concurrents, ce sont ses choix et, uniquement ses choix, son projet. On parle d'un entraîneur qui a fait le choix de s'enfermer dans une bulle, une bulle composée de joueurs, de préparateurs et de dirigeants considérés comme "Soft" pour reprendre les propos de Philippe Auclair. Mais le problème quand on prend toutes les responsabilités sur ses épaules sur de nombreuses années, c'est qu'il faut en assumer les conséquences, seul !

 

Et aujourd'hui, ces choix ne portent pas leurs fruits et il est encore une fois : seul ! On le voit partout, ses joueurs ne savent plus quoi faire sur le terrain, et ne semblent même plus le comprendre comme le montre le cas Joël Campbell, mais pire, j'ai le sentiment qu'il est aujourd'hui tombé dans le déni (dont on se moquait d'ailleurs chez un José Mourinho par exemple) en prétendant notamment que ses joueurs avaient montré un état d'esprit irréprochable après le match contre Manchester United quelques jours après les avoir sévèrement rabaissé suite à la défaite contre la meilleur équipe du monde. Il devient de plus en plus difficile de suivre la logique de ses choix et de ses déclarations, et si habituellement, sa capacité à rebondir dans les périodes difficiles nous rappelaient son génie, on tombe aujourd'hui dans une période où nous semblons plus bas que jamais.

 

Sa capacité à mener le club avec régularité dans les résultats tout en proposant du beau jeu au cœur d'un projet qui limitait sa marge d'action le protégeait. Aujourd'hui, il n'a plus cette limite et au-delà des résultats de ces deux derniers mois et même de la réussite des autres clubs autour de nous, nous constatons une régression au moment précis où nous étions sensés observer une amélioration, un décollage. C'est triste ! Je ne peux qu'espérer un regain soudain de forme sur cette fin de saison. Je ne demande qu'à être surpris une nouvelle fois par son génie. Je ne souhaite qu'une chose, c'est qu'il nous montre une fois de plus que, seul contre tous, il avait raison depuis le début. Mais, la réalité est que je ne me sens pas coupable aujourd'hui de douter de sa capacité à se relever de cette période difficile. 

[PaulBerv]

Même si on le savait plus ou moins,

 

Morgan Piers confirme que Guardiola voulait entraîner Arsenal avant City avec Henry comme adjoint... Revoir un message pareil me fout encore plus les boules quoi sérieux. Si nos dirigeant avaient un minimum d'ambition ils n'auraient pas hésité une seule seconde et on aurait passé ce dernier pallier. Mais non.

 

lien: https://twitter.com/piersmorgan/status/705297272171597824

[K'1rou76]

Le foot n'est effectivement pas simple, parce que les parties prenantes sont nombreuses et il faut parfois que toutes ces parties travaillent dans le même sens et poursuivent le même but pour que tout cela marche. En revanche, on constate que le foot semble simple pour une équipe comme Leicester, disposant de moyens biens inférieurs et en quelques mois s'est transformé en favori d'une compétition que nous chassons depuis de nombreuses années et qui aujourd'hui marche sur les supposées grosses équipes anglaises avec facilité dans la mesure où leur projet porte ses fruits après une petite année.

 

Pas si compliqué que ça visiblement...

 

 

 

 

 

 

Je continue ici en me concentrant un peu plus sur Arsenal. A noter que j'étais en train de me plaindre des jugements hâtifs proposés par certains nouveaux membres cette année sur la plupart des topics (au hasard, celui de Mertesacker), mais je finis également par penser que le mépris n'est pas la bonne réponse et que le forum n'est finalement que ce que nous en faisons. Bref, c'est un autre sujet.

 

J'en étais là : aujourd'hui, et ce pour la première fois depuis longtemps, je doute.

 

Comme je le disais, Arsène Wenger est un manager qui m'inspire. Il a une vision globale, long-termiste admirable. Il accorde de l'importance à l'harmonie, et une capacité à relativiser qui ne cessera de m'impressionner. Avec de telles qualités, je ne pouvais qu'être optimiste vis-à-vis de son projet et je continue aujourd'hui de penser que son travail entre 2006 et 2012 est incroyable. Il a été l'homme de la situation, permettant au club de construire un projet sur le long-terme sans perdre en régularité ou en visibilité. Tout n'a certainement pas été parfait sur cette période, mais il a à mon avis réalisé un travail satisfaisant et ses quelques échecs ont été compréhensibles ou logiquement excusés.

 

Mais cette année, il y a de nombreuses critiques justifiées auxquelles il ne peut échapper. Tout d'abord, pour juger avec pertinence la situation actuelle, il faut reprendre le détail des choix réalisés lors des derniers mois voire dernières années. A la fin de la saison 2014-2015, nous remportons un nouveau titre, la FA.Cup pour la deuxième année consécutive. C'est une belle réussite, mais les raisons pour lesquelles nous n'avons pas réussi à nous battre pour le titre de champion d'angleterre sont assez évidentes. Comment en est-on donc arrivé là ?

 

L'effectif en lui même pour commencer. Il nous manquait un gardien de classe mondiale, un meilleur défenseur central pour accompagner Koscielny, un milieu défensif plus complet que Coquelin capable à la fois de récupérer des ballons et d'organiser le jeu avec un rôle reculé, et des joueurs offensifs plus intelligents et réguliers. Ce sont les points sur lesquels une majorité de personnes suivant le club s'accordaient y compris la légende Thierry Henry. Depuis plusieurs années, nous avons constaté que le destin d'Arsenal sur une saison reposait sur la forme exceptionnelle de quatre à cinq joueurs maximum capables de proposer d'excellentes et régulières performances sur une période minimale de 6 mois. De 2012 à 2014, nous avons eu Arteta, Sagna, Ramsey, Cazorla, Szczesny et Koscielny essentiellement. Et sur ces deux dernières saisons, Cech, Özil, Bellerin, Monreal, Coquelin et Alexis ont su briller et porter l'équipe. Le rôle d'Arsène était donc de compter sur ces joueurs, de les faire progresser et maintenir leur forme sur une période supérieure à 6 ou 8 mois tout en les associant à des joueurs suffisamment fiables au fil des saisons pour les soutenir. Aujourd'hui, c'est le premier échec que je soulève à travers ce post : les joueurs clés des saisons précédentes ne retrouvent pas leur forme, et les joueurs présentant un bon potentiel peinent à arriver à maturité ou sont mis de côté.

 

Certains critiqueront sa frilosité sur le marché des transferts, d'autres son incapacité à insuffler ce mental de vainqueur. Je n'ai même pas envie de discuter d'une potentielle solution parfaite, je ne suis pas payé 10 millions d'euros par saison pour le faire. La frustration de cette saison me fait juste remarquer que les résultats ne sont pas à la hauteur des objectifs et du projet qui nous est vendu depuis quinze ans.

 

Parlons strictement football. Je parlais un peu plus tôt des raisons qui ont protégé le statut de Wenger ces dix dernières années. Il est évident que le beau jeu en est une. En est-ce toujours une ? Il faut croire que non. Nous ne proposons plus un jeu aussi alléchant, nous marquons moins de buts, nous perdons plus de matchs, nous sommes moins solides à domicile et les joueurs semblent perdus. Nous vivons l'une des pires saisons de sa carrière au club et ses déclarations sont aujourd'hui contraires aux résultats que nous pouvons observer sur le terrain. L'alsacien nous a pourtant invité à lui faire confiance, il a loué l'état d'esprit de son effectif, et les biens-faits de la cohésion qui caractérise notre équipe depuis quelques années. Pourtant, encore une fois, les joueurs semblent perdus sur le terrain, et je vois deux explications possibles à partir de deux sources. La première source, c'est le livre de John Cross qui donne de nombreux détails sur la manière avec laquelle les choses sont gérées en interne à Arsenal Football Club depuis l'arrivée de Wenger, et la seconde, c'est l'ensemble des déclarations combinées des parties prenantes : joueurs, préparateurs, journalistes, dirigeants et le coach lui-même. On a effectivement entendu année après année que la philosophie de Wenger était de pousser les joueurs à exprimer leur talent, leur inspiration sur le terrain, et que son rôle était surtout d'assurer un cadre optimal pour que les joueurs puissent exprimer au mieux leur génie sur le terrain. La question est alors de savoir dans quelle mesure il respecte lui-même ses propres déclarations. On a bien compris qu'il était un coach qui n'inondait pas ses joueurs de consignes tactiques, mais on ne peut pas décemment imaginer non plus qu'il ne fait rien. Un exemple simple de consigne est la manière avec laquelle nous ressortions le ballon avec le double pivot Coquelin-Cazorla. Pour ceux qui ne l'ont jamais remarqué, le schéma était toujours le même, Coquelin monte un cran plus haut et joue dos au but tandis que Cazorla dans un rôle de regista faisait face au jeu dans une position plus basse. Le rôle du français en montant légèrement de cette manière est de proposer constamment une solution courte vers l'avant à Cazorla et le français se contentait dos au but de remettre le ballon à l'espagnol jusqu'à ce que ce dernier soit capable de trouver un milieu offensif avec une passe qui transperce la première ligne adverse. Cela permettait à Cazorla de contrôler le tempo, et si un joueur adverse venait le presser, il avait constamment une solution courte et simple vers l'avant qui lui permettait de récupérer le ballon quelques secondes plus tard et ce schéma se répétait jusqu'à ce que l'espagnol trouve un joueur plus offensif. C'est tellement régulier que cela ne peut être qu'un schéma travaillé.

 

Il appartient donc à chacun d'estimer l'implication tactique d'Arsène, mais quelle qu'elle soit, aujourd'hui, je ne peux que me tourner vers notre coach, parce que ce ne sont pas mes choix, ce ne sont pas les choix des fans ou des clubs concurrents, ce sont ses choix et, uniquement ses choix, son projet. On parle d'un entraîneur qui a fait le choix de s'enfermer dans une bulle, une bulle composée de joueurs, de préparateurs et de dirigeants considérés comme "Soft" pour reprendre les propos de Philippe Auclair. Mais le problème quand on prend toutes les responsabilités sur ses épaules sur de nombreuses années, c'est qu'il faut en assumer les conséquences, seul !

 

Et aujourd'hui, ces choix ne portent pas leurs fruits et il est encore une fois : seul ! On le voit partout, ses joueurs ne savent plus quoi faire sur le terrain, et ne semblent même plus le comprendre comme le montre le cas Joël Campbell, mais pire, j'ai le sentiment qu'il est aujourd'hui tombé dans le déni (dont on se moquait d'ailleurs chez un José Mourinho par exemple) en prétendant notamment que ses joueurs avaient montré un état d'esprit irréprochable après le match contre Manchester United quelques jours après les avoir sévèrement rabaissé suite à la défaite contre la meilleur équipe du monde. Il devient de plus en plus difficile de suivre la logique de ses choix et de ses déclarations, et si habituellement, sa capacité à rebondir dans les périodes difficiles nous rappelaient son génie, on tombe aujourd'hui dans une période où nous semblons plus bas que jamais.

 

Sa capacité à mener le club avec régularité dans les résultats tout en proposant du beau jeu au cœur d'un projet qui limitait sa marge d'action le protégeait. Aujourd'hui, il n'a plus cette limite et au-delà des résultats de ces deux derniers mois et même de la réussite des autres clubs autour de nous, nous constatons une régression au moment précis où nous étions sensés observer une amélioration, un décollage. C'est triste ! Je ne peux qu'espérer un regain soudain de forme sur cette fin de saison. Je ne demande qu'à être surpris une nouvelle fois par son génie. Je ne souhaite qu'une chose, c'est qu'il nous montre une fois de plus que, seul contre tous, il avait raison depuis le début. Mais, la réalité est que je ne me sens pas coupable aujourd'hui de douter de sa capacité à se relever de cette période difficile.

Amen!

 

Quel bon post, cohérent et résumant bien l'avis général des fans ici.

[Arno]

Même si on le savait plus ou moins,

 

Morgan Piers confirme que Guardiola voulait entraîner Arsenal avant City avec Henry comme adjoint... Revoir un message pareil me fout encore plus les boules quoi sérieux. Si nos dirigeant avaient un minimum d'ambition ils n'auraient pas hésité une seule seconde et on aurait passé ce dernier pallier. Mais non.

 

lien: https://twitter.com/piersmorgan/status/705297272171597824

Déjà est ce que c'est fiable ou pas ?

 

Enfin je demande même pas. J'attendrai que Guardiola sorte ces propos de sa prore bouche, car si c'est réel, il le confirmera un jour.

[Xavgunner_6]

Même si c'était vrai il est trop tard maintenant et ya quaSi plus de coach dispo sur le marché.

[PaulBerv]

Déjà est ce que c'est fiable ou pas ?

 

Enfin je demande même pas. J'attendrai que Guardiola sorte ces propos de sa prore bouche, car si c'est réel, il le confirmera un jour.

Bah même avant qu'il signe là-bas il y avait des rumeurs comme quoi il préférai notre club. Piers Morgan j'avoue assez peu le connaître mais ça ne m'étonnerait pas qu'il ai raison.

 

A confirmer bien sûr.

[The Leftovers]

Le foot n'est effectivement pas simple, parce que les parties prenantes sont nombreuses et il faut parfois que toutes ces parties travaillent dans le même sens et poursuivent le même but pour que tout cela marche. En revanche, on constate que le foot semble simple pour une équipe comme Leicester, disposant de moyens biens inférieurs et en quelques mois s'est transformé en favori d'une compétition que nous chassons depuis de nombreuses années et qui aujourd'hui marche sur les supposées grosses équipes anglaises avec facilité dans la mesure où leur projet porte ses fruits après une petite année. 

 

Pas si compliqué que ça visiblement... 

 

 

 

 

 

 

Je continue ici en me concentrant un peu plus sur Arsenal. A noter que j'étais en train de me plaindre des jugements hâtifs proposés par certains nouveaux membres cette année sur la plupart des topics (au hasard, celui de Mertesacker), mais je finis également par penser que le mépris n'est pas la bonne réponse et que le forum n'est finalement que ce que nous en faisons. Bref, c'est un autre sujet.

 

J'en étais là : aujourd'hui, et ce pour la première fois depuis longtemps, je doute.

 

Comme je le disais, Arsène Wenger est un manager qui m'inspire. Il a une vision globale, long-termiste admirable. Il accorde de l'importance à l'harmonie, et une capacité à relativiser qui ne cessera de m'impressionner. Avec de telles qualités, je ne pouvais qu'être optimiste vis-à-vis de son projet et je continue aujourd'hui de penser que son travail entre 2006 et 2012 est incroyable. Il a été l'homme de la situation, permettant au club de construire un projet sur le long-terme sans perdre en régularité ou en visibilité. Tout n'a certainement pas été parfait sur cette période, mais il a à mon avis réalisé un travail satisfaisant et ses quelques échecs ont été compréhensibles ou logiquement excusés.

 

Mais cette année, il y a de nombreuses critiques justifiées auxquelles il ne peut échapper. Tout d'abord, pour juger avec pertinence la situation actuelle, il faut reprendre le détail des choix réalisés lors des derniers mois voire dernières années. A la fin de la saison 2014-2015, nous remportons un nouveau titre, la FA.Cup pour la deuxième année consécutive. C'est une belle réussite, mais les raisons pour lesquelles nous n'avons pas réussi à nous battre pour le titre de champion d'angleterre sont assez évidentes. Comment en est-on donc arrivé là ? 

 

L'effectif en lui même pour commencer. Il nous manquait un gardien de classe mondiale, un meilleur défenseur central pour accompagner Koscielny, un milieu défensif plus complet que Coquelin capable à la fois de récupérer des ballons et d'organiser le jeu avec un rôle reculé, et des joueurs offensifs plus intelligents et réguliers. Ce sont les points sur lesquels une majorité de personnes suivant le club s'accordaient y compris la légende Thierry Henry. Depuis plusieurs années, nous avons constaté que le destin d'Arsenal sur une saison reposait sur la forme exceptionnelle de quatre à cinq joueurs maximum capables de proposer d'excellentes et régulières performances sur une période minimale de 6 mois. De 2012 à 2014, nous avons eu Arteta, Sagna, Ramsey, Cazorla, Szczesny et Koscielny essentiellement. Et sur ces deux dernières saisons, Cech, Özil, Bellerin, Monreal, Coquelin et Alexis ont su briller et porter l'équipe. Le rôle d'Arsène était donc de compter sur ces joueurs, de les faire progresser et maintenir leur forme sur une période supérieure à 6 ou 8 mois tout en les associant à des joueurs suffisamment fiables au fil des saisons pour les soutenir. Aujourd'hui, c'est le premier échec que je soulève à travers ce post : les joueurs clés des saisons précédentes ne retrouvent pas leur forme, et les joueurs présentant un bon potentiel peinent à arriver à maturité ou sont mis de côté.

 

Certains critiqueront sa frilosité sur le marché des transferts, d'autres son incapacité à insuffler ce mental de vainqueur. Je n'ai même pas envie de discuter d'une potentielle solution parfaite, je ne suis pas payé 10 millions d'euros par saison pour le faire. La frustration de cette saison me fait juste remarquer que les résultats ne sont pas à la hauteur des objectifs et du projet qui nous est vendu depuis quinze ans. 

 

Parlons strictement football. Je parlais un peu plus tôt des raisons qui ont protégé le statut de Wenger ces dix dernières années. Il est évident que le beau jeu en est une. En est-ce toujours une ? Il faut croire que non. Nous ne proposons plus un jeu aussi alléchant, nous marquons moins de buts, nous perdons plus de matchs, nous sommes moins solides à domicile et les joueurs semblent perdus. Nous vivons l'une des pires saisons de sa carrière au club et ses déclarations sont aujourd'hui contraires aux résultats que nous pouvons observer sur le terrain. L'alsacien nous a pourtant invité à lui faire confiance, il a loué l'état d'esprit de son effectif, et les biens-faits de la cohésion qui caractérise notre équipe depuis quelques années. Pourtant, encore une fois, les joueurs semblent perdus sur le terrain, et je vois deux explications possibles à partir de deux sources. La première source, c'est le livre de John Cross qui donne de nombreux détails sur la manière avec laquelle les choses sont gérées en interne à Arsenal Football Club depuis l'arrivée de Wenger, et la seconde, c'est l'ensemble des déclarations combinées des parties prenantes : joueurs, préparateurs, journalistes, dirigeants et le coach lui-même. On a effectivement entendu année après année que la philosophie de Wenger était de pousser les joueurs à exprimer leur talent, leur inspiration sur le terrain, et que son rôle était surtout d'assurer un cadre optimal pour que les joueurs puissent exprimer au mieux leur génie sur le terrain. La question est alors de savoir dans quelle mesure il respecte lui-même ses propres déclarations. On a bien compris qu'il était un coach qui n'inondait pas ses joueurs de consignes tactiques, mais on ne peut pas décemment imaginer non plus qu'il ne fait rien. Un exemple simple de consigne est la manière avec laquelle nous ressortions le ballon avec le double pivot Coquelin-Cazorla. Pour ceux qui ne l'ont jamais remarqué, le schéma était toujours le même, Coquelin monte un cran plus haut et joue dos au but tandis que Cazorla dans un rôle de regista faisait face au jeu dans une position plus basse. Le rôle du français en montant légèrement de cette manière est de proposer constamment une solution courte vers l'avant à Cazorla et le français se contentait dos au but de remettre le ballon à l'espagnol jusqu'à ce que ce dernier soit capable de trouver un milieu offensif avec une passe qui transperce la première ligne adverse. Cela permettait à Cazorla de contrôler le tempo, et si un joueur adverse venait le presser, il avait constamment une solution courte et simple vers l'avant qui lui permettait de récupérer le ballon quelques secondes plus tard et ce schéma se répétait jusqu'à ce que l'espagnol trouve un joueur plus offensif. C'est tellement régulier que cela ne peut être qu'un schéma travaillé.

 

Il appartient donc à chacun d'estimer l'implication tactique d'Arsène, mais quelle qu'elle soit, aujourd'hui, je ne peux que me tourner vers notre coach, parce que ce ne sont pas mes choix, ce ne sont pas les choix des fans ou des clubs concurrents, ce sont ses choix et, uniquement ses choix, son projet. On parle d'un entraîneur qui a fait le choix de s'enfermer dans une bulle, une bulle composée de joueurs, de préparateurs et de dirigeants considérés comme "Soft" pour reprendre les propos de Philippe Auclair. Mais le problème quand on prend toutes les responsabilités sur ses épaules sur de nombreuses années, c'est qu'il faut en assumer les conséquences, seul !

 

Et aujourd'hui, ces choix ne portent pas leurs fruits et il est encore une fois : seul ! On le voit partout, ses joueurs ne savent plus quoi faire sur le terrain, et ne semblent même plus le comprendre comme le montre le cas Joël Campbell, mais pire, j'ai le sentiment qu'il est aujourd'hui tombé dans le déni (dont on se moquait d'ailleurs chez un José Mourinho par exemple) en prétendant notamment que ses joueurs avaient montré un état d'esprit irréprochable après le match contre Manchester United quelques jours après les avoir sévèrement rabaissé suite à la défaite contre la meilleur équipe du monde. Il devient de plus en plus difficile de suivre la logique de ses choix et de ses déclarations, et si habituellement, sa capacité à rebondir dans les périodes difficiles nous rappelaient son génie, on tombe aujourd'hui dans une période où nous semblons plus bas que jamais.

 

Sa capacité à mener le club avec régularité dans les résultats tout en proposant du beau jeu au cœur d'un projet qui limitait sa marge d'action le protégeait. Aujourd'hui, il n'a plus cette limite et au-delà des résultats de ces deux derniers mois et même de la réussite des autres clubs autour de nous, nous constatons une régression au moment précis où nous étions sensés observer une amélioration, un décollage. C'est triste ! Je ne peux qu'espérer un regain soudain de forme sur cette fin de saison. Je ne demande qu'à être surpris une nouvelle fois par son génie. Je ne souhaite qu'une chose, c'est qu'il nous montre une fois de plus que, seul contre tous, il avait raison depuis le début. Mais, la réalité est que je ne me sens pas coupable aujourd'hui de douter de sa capacité à se relever de cette période difficile. 

Excellent post Abe !! Franchement rien à redire !

[Kampberg]

@Abe, mais je pense qu'on est à peu près tous d'accord pour dire que Wenger à fait de grandes choses durant des années, mais le fait est que comme je le disais, il n'a pas su faire entrer le club dans une nouvelle ère, restant cloîtrer à ses principes parfois archaïques et contre productifs pour le football d'aujourd'hui. Mais le soucis Abe est je pense plus profond que Wenger, il se situe d'abord au niveau de Kroenke, et de ses ambitions pour le club, avons-nous vraiment l'impression que le club ai tant d'ambition que ça ? Non, Wenger n'a aucune pression et beaucoup disent que depuis 2006 il vit dans sa bulle, refusant tout avis contraire au sien dans le club, ne prenant que des yes-man dans son effectif.

 

Wenger à rendu bien des services, mais il doit avoir la sagesse de s'arrêter quand il le faut, combien de joueurs dans le football se sont acharnés alors qu'ils n'avaient plus le niveau ? Regardez le cas Totti à la Roma, c'est une telle légende au club que ce dernier vit au rythme de ses battements de cœur... Il en va de même pour Arsenal avec Wenger, trop de pouvoir et pas de pression... Wenger estime semble-t-il (suffit d'écouter ses propos en général) qu'une saison ou l'on termine à la 4eme place est une saison réussie, il n'a pas l'ambition nécessaire pour faire retrouver les hautes sphères du football européen.

 

Dans l'article que je m'étais amuser à écrire avant le match face au Barca, j'avais dis que les trois prochains matches de PL (MU, Swansea et Tottenham) seraient primordiaux pour Wenger et ses ouailles afin de montrer s'ils étaient capables pour une fois d'avoir ce fameux déclic mental suite à la fin du match face à Leicester... Résultat ? C'est tout l'inverse, aucun choc, rien calme plat du rythme sinusoïdale de l'équipe... Comme d'habitude au final. Toutes les occasions qu'on a eu cette saison, l'équipe n'a pas réussie à se transcender (hormis en CL à la limite). C'est là aussi ou pour moi le projet de Wenger à montrer ses limites... Il n'a jamais su inculquer à ses joueurs cette rage de vaincre, peut-être que ce dernier ne s'est pas remis de la finale de 2006 comme Auclair (qui le connait très bien il me semble) l'a plus ou moins dit.

[Abe-Gunners]

@Abe, mais je pense qu'on est à peu près tous d'accord pour dire que Wenger à fait de grandes choses durant des années, mais le fait est que comme je le disais, il n'a pas su faire entrer le club dans une nouvelle ère, restant cloîtrer à ses principes parfois archaïques et contre productifs pour le football d'aujourd'hui. Mais le soucis Abe est je pense plus profond que Wenger, il se situe d'abord au niveau de Kroenke, et de ses ambitions pour le club, avons-nous vraiment l'impression que le club ai tant d'ambition que ça ? Non, Wenger n'a aucune pression et beaucoup disent que depuis 2006 il vit dans sa bulle, refusant tout avis contraire au sien dans le club, ne prenant que des yes-man dans son effectif.

 

Wenger à rendu bien des services, mais il doit avoir la sagesse de s'arrêter quand il le faut, combien de joueurs dans le football se sont acharnés alors qu'ils n'avaient plus le niveau ? Regardez le cas Totti à la Roma, c'est une telle légende au club que ce dernier vit au rythme de ses battements de cœur... Il en va de même pour Arsenal avec Wenger, trop de pouvoir et pas de pression... Wenger estime semble-t-il (suffit d'écouter ses propos en général) qu'une saison ou l'on termine à la 4eme place est une saison réussie, il n'a pas l'ambition nécessaire pour faire retrouver les hautes sphères du football européen.

 

Dans l'article que je m'étais amuser à écrire avant le match face au Barca, j'avais dis que les trois prochains matches de PL (MU, Swansea et Tottenham) seraient primordiaux pour Wenger et ses ouailles afin de montrer s'ils étaient capables pour une fois d'avoir ce fameux déclic mental suite à la fin du match face à Leicester... Résultat ? C'est tout l'inverse, aucun choc, rien calme plat du rythme sinusoïdale de l'équipe... Comme d'habitude au final. Toutes les occasions qu'on a eu cette saison, l'équipe n'a pas réussie à se transcender (hormis en CL à la limite). C'est là aussi ou pour moi le projet de Wenger à montrer ses limites... Il n'a jamais su inculquer à ses joueurs cette rage de vaincre, peut-être que ce dernier ne s'est pas remis de la finale de 2006 comme Auclair (qui le connait très bien il me semble) l'a plus ou moins dit.

 

Oui, évidemment, les dirigeants ont une large part de responsabilité également. D'ailleurs, parmi tous les investisseurs du monde, on a choisi celui qui était lié à Wal-mart dont la famille à l'origine de cette entreprise est réputée pour leur manque d'éthique et leur intérêt particulier pour l'argent, juste l'argent. 

 

Mais je n'en sais pas encore assez sur cette période de transition 2007-2008 qui fut déterminante avec le départ de Dein et l'arrivée de Kroenke. Je vais chercher des articles et continuer la lecture du bouquin de Cross pour en savoir plus. 

[CypressHill]

Évidemment que Wenger n'est pas le seul coupable, puisque les dirigeants ont aussi la capacité d'agir, sauf qu'ils en ont complètement rien à cirer.

 

Du coup Wenger tel un dictateur à l'échelle du football, reste en poste peu importe les circonstances tout en se carrant de l'avis d'autrui, ce qui nous conduit a la situation actuelle que je trouve catastrophique sur le plan éthique.

 

La fameuse stabilité qui lui permets de ne pas en branler une, même celle ci on y a même pas le droit, ça aurait pu être le strict minimum.

[pti ed]

Ce qui est dur et que Abe dis c'est le tournant qu'on aurait du prendre.

 

Je veux rajouter que ce tournant (fin du payement du stade ,arrivé de Steve Bould ) s'annonçait par une sorte de maturité dans notre jeu , moins foufou plus solide défensivement,et laissait esperer des parcours plus solide dans les diverses compétitions .

Et  je me place en tant que supporteur du jeu d'Arsenal (pas Arsenal en tant que produit marketing), je trouve vraiment que sur ces 5 derniers mois ça devient de plus en plus dur de regarder cette équipe (au complet je ne parle pas des individus ) jouer.

 

Alors oui ce sont les joueurs qui pratiquent le football et toute la sauce que nous ressert , mais sur ce match en particulier j'attendais des choix "forts"  (évidents) de la part du coach vu la dynamique du Club et le contenu proposé par certains joueurs ,  ce que j'ai vu ma profondément dessus plus qu'une défaite contre le bayern ou le barca .

 

Alors je vais pas crier "Wenger , OUT! "  car je pense que la politique de recrutement n'est pas totalement géré par le bonhomme car quand je l'entendais commenter des match avec des reuz , gotze et co, on sait qu'il apprécie et désire ce genre de joueur  mais c'est aussi le fait qu'il apprécie ce genre de joueur qui ma profondément énervé puis déçu quand il a décidé de faire  ses changements.

 

Vraiment j'espère que l'homme et l’entraîneur va vite se remettre en question car avant ou se faisant mettre  de façon générale avec de la vaseline ( un beau jeu , des espoirs en tant que joueurs ou de titre) mais la on le prends sec et moi j'aurais bien voulu mais mon corps défendant ne l'autorise pas(j'arrive de plus en plus a arrêter de regarder un match en cours ce que je ne faisait pas avant) .

 

#PenseAnosCorpsDeSupporteurs

[Nujabes]

En parlant de Bould, depuis le départ de Pat Rice, je constate une baisse d'années en années de notre jeu offensif. On est plus solides derrière.

Y aurait-t-il un lien?

[JeremL]

Le plan diabolique de Wenger c'est de rien dépenser pendant 10 ans pour faire un construire un stade 100k places 

[Tommy]

T'es comme un père pour moi, Wenger. On va enfin être champion. Et cela, grace à toi. Merci.

[guyguess]

T'es comme un père pour moi, Wenger. On va enfin être champion. Et cela grace à toi. Merci.

De toute façon en fin de saison c'est soit un génie, soit un incompétent.

[Tommy]

 

 

 

[Moe Green]

T'as pas le droit Coquelin

[Tommy]

T'as pas le droit Coquelin

 

C'est la faute de Wenger. C'est lui qui lui a dit de tacler.

[CypressHill]

Encore une fois sous Wenger, l'équipe craque à peine 5 min après chaque rougew c'est pas anodin.

 

Il y en a vraiment marre de ce dictateur qui ne veut pas se tirer parce qu'il arrive à finir 4eme chaque saison. Wenger se fait martyriser par n'importe quel coach de milieu de tableau y a pas a chier.

 

L'équipe est incapable d'enchaîner 3 passes depuis 10 plombes, je ne sais même pas comment lui la fameuse légende d'Arsenal, peut encore se regarder dans la glace. Ah oui l'oseille et toujours l'oseille. Zone de confort jamais vue pour un coach.

[maurice.ducatillon]

Encore une fois sous Wenger, l'équipe craque à peine 5 min après chaque rougew c'est pas anodin.

 

Il y en a vraiment marre de ce dictateur qui ne veut pas se tirer parce qu'il arrive à finir 4eme chaque saison. Wenger se fait martyriser par n'importe quel coach de milieu de tableau y a pas a chier.

 

L'équipe est incapable d'enchaîner 3 passes depuis 10 plombes, je ne sais même pas comment lui la fameuse légende d'Arsenal, peut encore se regarder dans la glace. Ah oui l'oseille et toujours l'oseille. Zone de confort jamais vue pour un coach.

Tu juges vraiment que Coquelin a besoin de qelqu'un pour pas lui dire de faire ce genre de bêtise?

[Sborn]

Tu juges vraiment que Coquelin a besoin de qelqu'un pour pas lui dire de faire ce genre de bêtise?

 

On voit la différence entre Wenger et Pocchetino.

 

Coquelin avait jaune et était pas dans son match, avec des tacles non maitrisés, il le laisse sur le terrain. Lamela a pris un jaune, commençait à péter des cables, il le sort.

 

On a vu qui a eu raison au final.