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Invité

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Kroos il lui manque de la vivacité pour jouer 10, il peut y être très bon mais je le trouve bien meilleur plus bas également. Il est parfait à la première passe.

Arsène Wenger : "I went for a challenge that I knew would be difficult because we had to fight with clubs who lose £150m per year when we had to make £30m per year."

 

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Oui mais c'est toujours un plus, surtout aussi haut sur le terrain. Ça l'empêche pas d'être très bon, mais ça l'empêche peut-être d'être parmi les meilleurs à ce poste je pense.

Arsène Wenger : "I went for a challenge that I knew would be difficult because we had to fight with clubs who lose £150m per year when we had to make £30m per year."

 

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Interview de Valdano qui encore une fois, montre qu'il est un homme cultivé et classe. Il parle des statistiques. Du journalisme actuel etc. Fait par Thibaud leplat

 

Onze Mondial le mag’ est parti à la rencontre de Jorge Valdano. Ami intime de Marcelo Bielsa et de Pep Guardiola, ancien joueur du Real Madrid, champion du monde 1986 avec Maradona, ancien directeur sportif du Real puis directeur général sous Mourinho, Valdano est un personnage remarquable avec qui il fait bon parler. C’est ce que nous avons fait, longuement.

 

 

 

Jorge, au Real, tu as joué avec Michel avant de devenir son coach. Comment était-il ?


 

Un talent supérieur aux autres, très précis. Un joueur exquis techniquement, très intelligent et avec un grand amour pour le football. Même si avec moi il jouait plutôt sur le côté, il était capable d’organiser toute l’équipe. Il a toujours eu un grand sens esthétique et l’intelligence pour principal ornement.

 

Les entraîneurs ont-ils un devoir moral vis-à-vis de la société ?

 


S’ils l’ont, ils ne s’en rendent pas compte. Il y a quelques situations, assez peu fréquentes, qui nous mettent face à ce débat. Regarde ce qui s’est passé avec Arturo Vidal durant la Copa America
 (le milieu du Bayern a eu un accident
de voiture en état d’ébriété en pleine compétition, ndrl). Beaucoup de gens ont exigé de l’entraîneur qu’il fasse un exemple en expulsant le joueur de la sélection. Il a refusé. Pour moi, Sampaoli a très bien fait.

 

Parce qu’il a gagné à la fin ?

 

Non, parce que l’entraîneur a un engagement moral : préparer l’équipe le mieux possible. C’est au dirigeant et non à l’entraîneur d’analyser les conduites éthiques et les messages à donner vis-à-vis de la société. L’obligation de l’entraîneur est de rendre une équipe compétitive et qu’elle reflète son style de gestion. Il ne viendrait à l’idée de personne de demander à un guitariste drogué ou alcoolique d’abandonner
sa guitare pour se soigner. Au football c’est la même chose. Quand il arrive
un problème extra-sportif à un joueur, la dernière chose à faire serait de lui enlever le football, sa profession. Au lieu de lui enlever un problème, on lui en ajouterait un autre.

 

Tu es un des rénovateurs du journalisme sportif en Espagne.
Tu as notamment créé dans les années 90 l’émission El Día Despues sur Canal Plus Espagne (qui a
inspiré l’actuel J+1). Quelle est ton opinion sur l’évolution récente du journalisme sportif (réseaux sociaux, communication des clubs…) ?


 

Il y a une distinction à faire. D’un côté il y a le journalisme de spectacle. Pour être plus clair je vais te citer un jeune journaliste espagnol qui m’a dit il y a quelque temps la chose suivante : “En ce moment pour arriver à travailler, il faut soit être très mignonne, soit dire n’importe quoi. De toute évidence, je ne suis pas très mignonne, il ne me reste donc qu’une seule issue…”. Le journaliste aujourd’hui cherche à avoir de la visibilité et la visibilité est difficile à obtenir par le biais de l’intelligence. C’est surtout grâce à l’impact visuel, l’exagération, la simplification qu’il l’obtient. Il y
a encore trente ans, les journalistes faisaient un effort terrible pour que personne ne sache de quelle équipe ils étaient supporters. Aujourd’hui c’est le contraire. Ils font un effort terrible pour que tout le monde sache bien de quelle équipe ils sont supporters. Ensuite il y a un autre journalisme qui utilise le sport pour nous parler de la grandeur et de la misère de l’être humain, qui a une vision esthétique, épique, éthique d’un match. Il est capable de te raconter un match comme un conte. Le résultat final est même parfois meilleur que le match lui-même.

 

Ces deux courants sont radicalement opposés.

 


Le journaliste doit voir les choses d’un point de vue clairement défini. S’il enfile le maillot d’une équipe avant de parler, son point de vue est celui de un peu ailleurs. Le problème de l’ignorance, c’est qu’elle est fière d’elle- même.

 

C’est même votre définition ?

 

Tout à fait. En réalité, le vrai moteur 
c’est le courage. Le courage d’affronter l’ignorance, le courage de penser contre le résultat. Il en faut, parce que dans le football, le résultat c’est Dieu. Personne n’ose jamais critiquer le résultat, encore moins celui qui gagne.

 

Ni le résultat, ni les statistiques…

 

Les statistiques sont un soutien scientifique à l’ignorance. Aujourd’hui, on sait combien de kilomètres a parcouru n’importe quel joueur. Mais à aucun moment on est capable de dire 
si ces efforts ont été de longue ou de courte durée, rapides, lents, précis, imprécis, s’il l’a fait pour donner le ballon à l’adversaire ou pour marquer…

 

À ton époque, as-tu été confronté aux statistiques ?


 

Oh, oui (rires) ! Je le raconte dans mon dernier livre. La première fois que j’ai été confronté aux statistiques, c’était au Real. J’étais encore joueur 
et quand parfois je ne jouais pas
un match, je voyais le préparateur physique prendre des centaines de notes pendant les matchs. Il n’y avait pas encore l’ordinateur à l’époque, il faisait tout à la main. Il disait : “Ce joueur a couru 20 mètres à vitesse moyenne, ensuite a marché je-ne-sais-combien de mètres etc.” Toutes ces mesures étaient approximatives bien sûr, mais les données retranscrites étaient presque aussi précises que maintenant. Alors un jour, je lui ai demandé ce qu’il était en train de faire et à quoi ça pouvait bien servir. Et lui, tout en notant, me répond : “Je ne sais pas encore. Mais le jour où je saurai à quoi ça sert, je te préviendrai” (rires). Voir le football de cette façon, c’est le réduire à son expression minimale. C’est s’éloigner du jeu, du rêve, de la créativité, de la spontanéité, de toutes ces choses assimilées au bonheur.

 

Beaucoup d’entraîneurs et avec eux beaucoup de journalistes diront qu’il faut faire avec les joueurs que l’on a, que l’objectif c’est de battre untel ou untel, de gagner des matchs, remporter des titres etc.

 

Il ne faut pas contredire complètement cette opinion. C’est vrai que le Real Madrid a une obligation de donner du spectacle supérieure à celle de l’Eibar, sans aucun doute. Mais regarde le Rayo Vallecano. Il est capable de jouer un football bien au-dessus du niveau de la ceinture, avec des joueurs qui s’en approchent à peine. Quand je suis arrivé à Tenerife, l’équipe était relégable
et il restait huit matchs à jouer. Dont quatre face à Séville, le Real, Valence et Barcelone. La situation était complexe. Mais on a décidé de ne pas courber l’échine et de jouer d’égal à égal avec
le Real et le Barça, de les défier dans les yeux, techniquement et physiquement. Cette attitude est une source de motivation très importante pour un footballeur. Au final, on a battu Valence, le Real, Séville et le Barça. La conviction de l’entraîneur est fondamentale pour que le footballeur croie en lui.

 

 

 

« Le problème de l’ignorance c’est qu’elle est fière d’elle-même »

 

Comment y parvient-on ?

 

En convainquant les joueurs. N’importe quel joueur de première division est parfaitement capable de faire une passe de vingt mètres. Après, c’est la rapidité d’exécution qui compte. Un joueur de deuxième division doit être précis à une vitesse de 60%, un joueur de première division à 80%, un joueur international à 100%. La rapidité mentale et technique l’appartenance. Moi par exemple, je regarde le football de mon propre point de vue, ma subjectivité, mon sens de l’éthique, mon idée de la beauté, ma passion pour le jeu.

 

Ce qui est curieux c’est que la France est un pays de culture, de conversation, mais le journalisme sportif, lui, a une réputation d’ignorance…

 

Si c’est comme ça en France, imagine un peu ailleurs. Le problème de l’ignorance, c’est qu’elle est fière d’elle- même.

 

C’est même votre définition ?

 

Tout à fait. En réalité, le vrai moteur
 c’est le courage. Le courage d’affronter l’ignorance, le courage de penser contre le résultat. Il en faut, parce que dans le football, le résultat c’est Dieu. Personne n’ose jamais critiquer le résultat, encore moins celui qui gagne.

 

Ni le résultat, ni les statistiques…

 

Les statistiques sont un soutien scientifique à l’ignorance. Aujourd’hui, on sait combien de kilomètres a parcouru n’importe quel joueur. Mais à aucun moment on est capable de dire 
si ces efforts ont été de longue ou de courte durée, rapides, lents, précis, imprécis, s’il l’a fait pour donner le ballon à l’adversaire ou pour marquer…

 

À ton époque, as-tu été confronté aux statistiques ?


 

Oh, oui (rires) ! Je le raconte dans mon dernier livre. La première fois que j’ai été confronté aux statistiques, c’était au Real. J’étais encore joueur
et quand parfois je ne jouais pas
un match, je voyais le préparateur physique prendre des centaines de notes pendant les matchs. Il n’y avait pas encore l’ordinateur à l’époque, il faisait tout à la main. Il disait : “Ce joueur a couru 20 mètres à vitesse moyenne, ensuite a marché je-ne-sais-combien de mètres etc.” Toutes ces mesures étaient approximatives bien sûr, mais les données retranscrites étaient presque aussi précises que maintenant. Alors un jour, je lui ai demandé ce qu’il était en train de faire et à quoi ça pouvait bien servir. Et lui, tout en notant, me répond : “Je ne sais pas encore. Mais le jour où je saurai à quoi ça sert, je te préviendrai” (rires). Voir le football de cette façon, c’est le réduire à son expression minimale. C’est s’éloigner du jeu, du rêve, de la créativité, de la spontanéité, de toutes ces choses assimilées au bonheur.

 

Beaucoup d’entraîneurs et avec eux beaucoup de journalistes diront qu’il faut faire avec les joueurs que l’on a, que l’objectif c’est de battre untel ou untel, de gagner des matchs, remporter des titres etc.

 

Il ne faut pas contredire complètement cette opinion. C’est vrai que le Real Madrid a une obligation de donner du spectacle supérieure à celle de l’Eibar, sans aucun doute. Mais regarde le Rayo Vallecano. Il est capable de jouer un football bien au-dessus du niveau de la ceinture, avec des joueurs qui s’en approchent à peine. Quand je suis arrivé à Tenerife, l’équipe était relégable
 et il restait huit matchs à jouer. Dont quatre face à Séville, le Real, Valence et Barcelone. La situation était complexe. Mais on a décidé de ne pas courber l’échine et de jouer d’égal à égal avec
 le Real et le Barça, de les défier dans les yeux, techniquement et physiquement. Cette attitude est une source de motivation très importante pour un footballeur. Au final, on a battu Valence, le Real, Séville et le Barça. La conviction de l’entraîneur est fondamentale pour que le footballeur croie en lui.

 

 

 

« Maradona, il suffisait de lui donner le ballon »

 

Comment y parvient-on ?

 

En convainquant les joueurs. N’importe quel joueur de première division est parfaitement capable de faire une passe de vingt mètres. Après, c’est la rapidité d’exécution qui compte. Un joueur de deuxième division doit être précis à une vitesse de 60%, un joueur de première division à 80%, un joueur international à 100%. La rapidité mentale et technique 
change en fonction du niveau. C’est ce qui définit le football.

 

Tu as longtemps joué avec Maradona. Quand on a un tel génie dans une équipe, comment fait-on pour le gérer ?

 

Tu peux lui faire confiance. Le génie est capable de résoudre des situations à sa hauteur, capable de faire des miracles footballistiques. Ensuite,
 sans rien lui demander, il absorbe
 seul toute la pression. Quand je jouais avec Maradona, je savais que si j’avais un problème, il suffisait de lui donner le ballon. Ensuite, ce qui est encore plus important, je savais aussi que si
on perdait le match, les journalistes m’oublieraient facilement et que ce serait toujours de sa faute à lui. C’est la même chose aujourd’hui avec Messi et l’Argentine. Si l’Argentine gagne c’est grâce à Messi, si elle perd, c’est à cause de lui.

 

J’ai entendu dire que le Paris-Saint- Germain t’avait contacté pour le poste de directeur sportif. Tu pourrais revenir dans le football ?

 

Il y a effectivement eu un contact
 avec le PSG par l’intermédiaire de quelqu’un
 mais rien de direct, rien de sérieux. Quand les choses sont sérieuses, on frappe directement à ta porte. On ne
te passe pas un coup de fil, on te le dit directement et en personne. Pour la suite, je n’écarte rien. Tout ce que j’ai fait après ma période d’entraîneur
n’a jamais été le fruit de décisions préméditées mais plutôt de rencontres fortuites.

 

 

 

Par Thibaud Leplat

 

http://www.mensquare.com/onzemondial/etranger/102409-valdano-itv-madrid-bielsa-psg

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Je pense que c'est même son plus beau coup franc. Il peut pas mieux la mettre !

Saison 2007-2008 de MU  :amoureu: . Quand on voit où on en est aujourd'hui, ça met un peu de baume au coeur ^^.

Tu devrais narguer tous les Madridiste qui font les malins car toi ta connu le meilleur CR7 et de loin...

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Pas à mes yeux celui de MU était un magnifique footballeur qui était capable de dribbler, marquer, jouer avec les autres etc.... Celui du Real est redoutable buteur mais rien de plus.

 

Sur ses deux premières saisons (et sporadiquement ensuite, genre le début de saison passé) c'était bien plus qu'un simple buteur. 

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C'est vrai que le pauvre Mandanda aura tout tenté, mais c'était juste impossible.

 

Tout ses CF

 

Par contre, ça montre surtout à quel point il a régressé depuis 2 ans. Même si il a toujours eu pas mal de déchets, il en mettait régulièrement. De plus, il ne tire les CF que pour frapper au but, il ne joue jamais la passe, ce qui est dommage vu sa qualité de centre.

 

Pour ce qui est du "meilleur" CR7, je ne me pose pas la question. J'adore le joueur et il a eu son évolution. Il a fait ce qu'on lui demandait à MU, et il fait ce qu'on attend de lui aujourd'hui au Real.

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Cristiano Ronaldo évoque sa personnalité et le fait que certaines personnes ne l’apprécient pas. Une chose qui ne touche pas le moins du monde le Portugais, au contraire.

 

« Je ne suis pas la personne la plus humble du monde, je le reconnais. Je ne suis pas faux. Mais j’aime apprendre. Je me fous que des gens me détestent. Quand on joue à l’extérieur, il y a toujours des gens contre moi mais j’aime ça. Il faut prendre le bon côté des choses avec ceux qui vous détestent. J’ai besoin d’ennemis. Cela fait partie du business. Ils commencent à crier dès que je touche le ballon. Cela a commencé quand j’avais 18 ou 19 ans. Ce n’est pas un problème pour moi, c’est une motivation. »

L’attaquant madrilène a aussi évoqué sa relation très forte avec Sir Alex Ferguson : « Quand mon père était entre la vie et la mort, il était dans un hôpital à Londres, et il n’était vraiment pas bien. Donc, j’ai dit à Ferguson que je voulais le retrouver mais c’était à un moment crucial de la saison. Il m’a dit : ‘Le football ne signifie rien à côté de ton père. Vas-y.’ Et je le remercierai jamais assez. »

 

http://real-france.fr/cr7-jai-besoin-dennemis/

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"Messi favori pour le B.O ? ça ne me gène pas. Quand on regarde mes huit dernières saisons j'ai toujours été au sommet. Et c'est difficile. Nommez-moi un autre joueur qui y soit parvenu. Après, être numéro un ou deux, c'est une question de détails comme lorsque tu gagnes des trophées ou non."

 

 

Le Lusitanien, trois fois vainqueur du Ballon d'Or (2008, 2013, 2014), a eu du mal à voir Lionel Messi remporter quatre fois de suite la prestigieuse distinction (2009, 2010, 2011, 2012). "Cela a été compliqué de voir Messi gagner plusieurs Ballons d'Or", a déclaré CR7. Je me disais: 'à quoi bon aller au gala?' ".

 

 

http://www.eurosport.fr/football/liga/2015-2016/ronaldo-cela-a-ete-complique-de-voir-messi-gagner-plusieurs-ballons-d-or_sto4974818/story.shtml

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Il a le mérite d'assumer son arrogance. Par contre, c'est aussi un faux-cul à sa manière, surtout quand il parle d'aller au gala.

Quand Blatter s'est moqué de lui publiquement en le comparant à un militaire, lui et son entourage on réagit. Ca ne l'a pas empêché d'aller lui faire une accolade avec un grand sourire lorsqu'il est allé cherché son BO 2013 quelques mois plus tard.

 

Bref, il veut ses titres individuels, rien de nouveau sous le soleil. Mais il ne s'en cache pas.

 

Par contre, quand il parle des titres collectifs comme des "détails", ça montre quand même que c'est presque secondaire pour lui.

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Il a le mérite d'assumer son arrogance. Par contre, c'est aussi un faux-cul à sa manière, surtout quand il parle d'aller au gala.

Quand Blatter s'est moqué de lui publiquement en le comparant à un militaire, lui et son entourage on réagit. Ca ne l'a pas empêché d'aller lui faire une accolade avec un grand sourire lorsqu'il est allé cherché son BO 2013 quelques mois plus tard.

 

Bref, il veut ses titres individuels, rien de nouveau sous le soleil. Mais il ne s'en cache pas.

 

Par contre, quand il parle des titres collectifs comme des "détails", ça montre quand même que c'est presque secondaire pour lui.

 

 

Tu as mal lu, il dit "les titres individuels et collectifs se jouent sur "des détails". "

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Tu as mal lu, il dit "les titres individuels et collectifs se jouent sur "des détails". "

Si je me fie à ton post, c'est pas du tout comme ça que je l'interprête.

Il dit qu'être premier ou second (au BO) est une question de détails, comme PAR EXEMPLE de gagner des titres.

 

Alors que justement, c'est l'inverse, le titre collectif devrait primer dans la logique, et le Ballon d'Or serait un "détail", ou un bonus, pour ne pas trop minimiser cette récompense.

 

En tout cas, c'est comme ça que je l'ai compris.

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Si je me fie à ton post, c'est pas du tout comme ça que je l'interprête.

Il dit qu'être premier ou second (au BO) est une question de détails, comme PAR EXEMPLE de gagner des titres.

 

Alors que justement, c'est l'inverse, le titre collectif devrait primer dans la logique, et le Ballon d'Or serait un "détail", ou un bonus, pour ne pas trop minimiser cette récompense.

 

En tout cas, c'est comme ça que je l'ai compris.

 

Il dit que les titres collectifs comme les titres individuels se jouent sur des détails, pas qu'ils ont peu d'importance.

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Bah tu comprend très mal ou j'ai mal copié l'extrait. Le mec dit clairement que la premier et seconde place de meilleur joueur se joue sur des détails comme les titres collectifs ".

Et bien justement, les titres ne sont pas des "détails".

Une C1 peut définir le meilleur joueur "du monde" (de la saison), mais gagner une C1, ça n'a rien d'un détail, c'est un putin d'accomplissement. Son rival Messi a fait le triplé, c'est donc "juste" trois petits détails ? Ronaldo n'a jamais fait le triplé dans sa carrière, que ce soit avec MU ou avec le Real.

 

Ce que je vois comme des détails, c'est plutôt les statistiques individuels comme le nombre de buts, par exemple. Mais un titre, je ne considère pas ça comme un détail. C'est une finalité, l'essence même d'une compétition de sport.

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Et bien justement, les titres ne sont pas des "détails".

Une C1 peut définir le meilleur joueur "du monde" (de la saison), mais gagner une C1, ça n'a rien d'un détail, c'est un putin d'accomplissement. Son rival Messi a fait le triplé, c'est donc "juste" trois petits détails ? Ronaldo n'a jamais fait le triplé dans sa carrière, que ce soit avec MU ou avec le Real.

 

Ce que je vois comme des détails, c'est plutôt les statistiques individuels comme le nombre de buts, par exemple. Mais un titre, je ne considère pas ça comme un détail. C'est une finalité, l'essence même d'une compétition de sport.

Il n'a pas dit que les titres étaient des détails mais que ça se JOUE sur des détails (comme les blessures), j'ai compris comme ça.

Loin des endroits où être mauvais n'est plus un tabou, celui que tu aides devient celui qui t'abat.

 

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Et bien justement, les titres ne sont pas des "détails".

Une C1 peut définir le meilleur joueur "du monde" (de la saison), mais gagner une C1, ça n'a rien d'un détail, c'est un putin d'accomplissement. Son rival Messi a fait le triplé, c'est donc "juste" trois petits détails ? Ronaldo n'a jamais fait le triplé dans sa carrière, que ce soit avec MU ou avec le Real.

 

Ce que je vois comme des détails, c'est plutôt les statistiques individuels comme le nombre de buts, par exemple. Mais un titre, je ne considère pas ça comme un détail. C'est une finalité, l'essence même d'une compétition de sport.

 

 

Axelou, tu m'as mal lu sur ce coup je crois. Je me répète : il a dit "les titres individuels comme collectifs se jouent sur des détails", c'est à dire à très peu de choses.  Il n'a pas dit les titres collectifs sont un détail.

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