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[19] Santi Cazorla


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Invité Killian

Il est en fin de contrat en juin, s'il arrête ce serait bien de le voir quelques minutes à l'Emirates CUP cette année qui devrait avoir lieu en semaine avant City face à Monaco.

 

 

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https://www.theguardian.com/football/2025/jun/22/real-oviedo-promotion-la-liga-santi-cazorla

 

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22 après la relégation,  "dans la boue", les fans ont été témoin du retour en Liga du club qu'ils n'ont jamais voulu abandonner.

 

 

Quelque part au milieu de tout ces gens, des cris et des pleurs et des embrassades interminables, Santi Cazorla à dit que c'était le rêve de sa vie. Le rêve de toute leur vie. A 23h43 le 21/06/2025, l'homme qui a été champion d'Europe deux fois avec la plus grande génération Espagnole, qui a gagné à Wembley, au Camp Nou et à Santiago Bernabéu, était accroupit au bord du terrain Carlos Tartiere prêt pour une dernière course. Et lorsque le coup de sifflet final à retenti - la fin d'un match et de toute une époque - se lançant du haut de ses 40 ans mais comme un enfant et menant tous les joueurs vers le terrain.

 

Depuis la ligne de touche ils suivirent, enfin libérés. Partout ils en firent autant, les 29,624 fans,  les tribunes qui se vidèrent sur le terrain. Un quart de siècle plus tard, Real Oviedo est de retour en première division. «Cela fait des années que nous sommes dans la boue» dit Cazorla : ils ont disparus en deuxième, troisième puis quatrième division, et avaient failli disparaître ici à deux reprises; ici, contre Mirandés dans les playoff, le match qu'il qualifia comme «le plus important de ma carrière»

Ils avaient encaissés un but tôt, étaient menés de deux buts au score cumulé, et avaient été contraint aux prolongations sous la pression, même s'ils savaient que ce ne serait pas simple. Mais maintenant ils y sont parvenus, ils sont de retour. L'année de leur centenaire. 

 

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Cazorla est né à Fonciella, un village de 100 habitants dans la paroisse de Lugo de Llanera, à dix minutes d'Oviedo. Comme son père, Jose Manuel, un ambulancier décédé en 2007, Cazorla est un supporter d'Oviedeo. Il est petit mais il a quelque chose de spécial, tellement spécial que ses coéquipiers Robi Toral et Piero Mandos, ramsseurs de balles et équipiers chez les jeunes, les gens aimaient le regarder taper dans le ballon à la mi-temps sur le terrain lors des spectacles, même s'il à toujours dit que son grand frère Nando était meilleur. Il a rejoint Oviedo à 8 ans, a vu l'équipe reléguée à 16 et forcé de partir à 18 tout en ayant jamais joué pour l'équipe première. Quand il a enfin pu le faire c'était en seconde vision, 20 ans plus tard - mieux qu'avant même si ce n'est pas leur place.

 

Oviedo à été relégué à Majorque en 2001. En 2003 ils ont été descendu de deux divisions d'un coup, en Tercera, une 3e division composée de 17 groupes avec près de 350 équipes, sur des terrains de petites tailles rarement meilleurs que ceux des parcs. La boue est vraie, ce n'est pas une métaphore. Une crise financière à forcée Cazorla à partir au moment ou il aurait pu jouer. En 2005, ils ont été promus en secunga B dans laquelle 80 équipes sont partagées en 4 divisions régionalisées. Et en 2015, ils ont été promus en seconde division mais ils s'est passé presque dix ans sans que l'équipe atteigne les playoffs qui leur aurait permis de rejoindre la dimension supérieure.

 

Cazorla à pris le train en marche ou il était et même si c'était sa volonté, cela pèse. Il joue avec le salaire minimum et sans prime. «J'aurais joué gratuitement mais c'était interdit» dit-il. Il n'a fait qu'une demande : que les 10% des ventes de maillots à son nom servent à l'académie. Des enfants comme lui, Juan Mata ou Michu, ne seront plus forcés de partir à nouveau.

 

reste de la traduction à venir

 

 

 

Modifié par Peter Pan
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Cazorla à subi une blessure qui l'a tenu éloigné des terrains pendant 636 jours. Il a été opéré 12 fois. Dix centimètres lui ont été retirés de se tendons d'Achille, une infection le rongeait. Ses os sont devenus souples comme de la pâte à modeler. Le tatouage sur son bras à été coupé en deux et greffée sur son talon, le nom de sa fille coupée en deux. Arsène Wenger à dit que c'est la pire blessure qu'il n'a jamais vu. Les docteurs lui ont dit de se contenter de pouvoir  marcher autour de son jardin. C'est un miracle qu'il puisse jouer à nouveau, un retour qui remonte à 5 années. Désormais il a 38 ans.

 

Lors de sa première saison Oviedo à également atteint la finale des playoff et furent battus par l'Espanyol. Tout le monde s'imaginait que c'était fini. Mais il n'a pas souhaité partir de cette manière. Cette saison un coup franc de la part de Cazorla contre Almeria à propulsé l'équipe en finale des playoff. Il a loupé le premier match à Miranda, regardant le match depuis une cabine de presse en raison d'une blessure et Oviedo perdit 1-0. Contre Mirandés lors du match retour un samedi soir, quand Mirandes pris l'avantage à nouveau, il pris les devants. Quand Oviedo a eu un penalty juste avant la mi-temps, il pris le ballon, l'embrassa et marqua. Le stade devint fou. 

 

Ilyas Chaira marque le but du 2-1, emmenant l'équipe en prolongation. Ensuite, Cazorla étant forfait, Francisco Portillo marqua un superbe but, 3/1. 3/2 au score cumulé. De la magie ici aussi : Portillo a réussi à passer de la seconde à la première division à cinq reprises. Interrogé sur son expérience, Cazorla admis être nerveux, mais c'est finalement arrivé. 24 ans plus tard, Oviedo est de retour en Liga.

 

Il reste encore pas mal à traduire mais ça parle moins de Cazorla  et plus d'Oviedo, des fans et d'autres joueurs importants du club. 

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