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https://www.skysports.com/football/news/11670/13024102/mikel-arteta-exclusive-interview-declan-rices-aura-kai-havertzs-intelligence-and-why-arsenals-best-is-yet-to-come Merci @The Wilsh pour avoir partagé un extrait de son interview dans le topic d'Havertz. C'est vrai que l'interview est bien donc j'ai décidé de la traduire, encouragé par vos remontées positives lors des dernières traductions. Merci les gars En raison d'une suspension Mikel Arteta sera en loge à Villa Park samedi mais il se concentre sur le positif. «Une très belle vue.» sourit-il. Qui plus est, il ne changerait pas grand chose des scènes de liesses vécues contre Luton. «Je pense que vous en savez plus en gagnant de la manière dont on a gagné. Déjà, parce que vous faites l'expérience de ces émotions et ces sentiments dans l'équipe. C'est unique et c'est la beauté du sport. Ensuite parce vous pouvez en tirer des leçons, de grandes leçons des choses qu'on a réussies mais aussi des choses qu'on doit améliorer, pour être certain de ne plus se mettre dans cette position de nouveau» Il est utile pour cette équipe d'Arsenal de savoir que même si elle est en difficulté elle peut trouver une solution. La tête de Declan Rice est l'un des nombreux buts de dernière minute cette saison et une preuve supplémentaire de la mentalité de gagnant patiemment insufflée par le manager. «Il s'agit juste d'injecter ce désir de gagner et de comprendre que le jeu peut vous placer dans des situations que vous devez surmonter. Quand vous n'êtes pas au mieux dans certains espaces, particulièrement dans votre surface, vous devez être excellent dans les autres zones afin de mériter la victoire. Même à la mi-temps, j'ai senti l'envie de de notre équipe de faire ça malgré une atmosphère à la fois difficile et super.» Un test encore plus compliqué les attends contre Aston Villa. L'équipe d'Unaï Emery à gagné 14 matchs consécutifs à domicile après un très grand match contre Manchester City mercredi soir. Mais Arsenal est en bonne position également, premier du championnat et plein d'amertume d'avoir perdu de peu le titre la saison passée. Arteta hoche la tête avec regret lorsqu'on lui demande si ça fait toujours mal. Mais les leçons sont faites pour être apprises. «L'une d'entre elles est que quand vous arrivez en Mars, Avril, vous avez besoin de 24 joueurs prêts, en forme, au top, parce que c'est à ce moment que le titre se joue. Nous n'avions pas ça. Nous avions des joueurs clés blessés et cela a affecté l'équipe. Ensuite il s'agit de maintenir un élan quand vous l'avez et ne rien lâcher. Pour ça il fallait probablement en passer parce qu'on a vécu l'année dernière, un apprentissage. C'est comme un point de passage mais il faut voir plus loin et c'est la beauté du sport. Tu l'as, tu peux le voir de temps en temps mais il faut que cela t'habite un peu plus et de manière encore plus convaincante afin de parvenir à obtenir ce que tu souhaites.» Arteta a fairt quelques ajustements dans son approche afin de maximiser leurs chances, mettant davantage l'accent sur la résilience et la solidité défensive. Cet Arsenal contrôle davantage ? Il préfère un autre mot. «Davantage que le contrôle, je veux dominer. Dominer dans la bonne position et ne pas permettre à l'adversaire de respirer. C'est ce qu'on fait. Contrôler certaines zones du terrain, ça ne m'intéresse pas du tout parce que ça peut nous mettre en difficulté. Nous voulons dominer, nous voulons être une menace et nous voulons que nos adversaires soient sous pression tous le temps.» Arsenal a réussie cette partie récemment. La victoire contre Luton, malgré des anomalies dans sa défense, est la sixième de suite toutes compétitions, durant lesquelles ils ont marqués 18 fois. Il s'en dégage un équilibre entre l'attaque et la défense. «C'est l'art de ce jeu - ou se situe cette ligne. C'est comme quand tu as une couverture sur toi et que tu as froid au cou, donc tu tires dessus, mais ensuite tu as froid aux pieds et tu veux faire l'inverse. C'est toujours un équilibre précaire. Parfois il y a des joueurs qui t'offrent ça. Parfois c'est la formation. Parfois c'est l'expérience ou l'état du jeu qui te l'offre. Mais une équipe doit être capable de dominer et d'avoir du succès.» Comment Rice «l'unique» aide C'est pour cette raison qu'Arsenal à souhaité dépenser la somme record de 105m de livres cet été. Arteta à encensé l'aura du joueur de 24 ans après la victoire contre Luton. Mais ce n'est qu'une partie de ce qu'il offre. Quelles sont les autres qualités qu'Arteta estime le plus ? «Sa manière de dominer dans des aspects clés du jeu. Avant tout, c'est sa lecture du jeu, son intelligence, ses prises de décision avec ou sans le ballon, quand passer le ballon, comment le faire, ou regarder, comment exécuter, à quel momen, ce qui est très, très important dans cette position. Puis, il y a le fait qu'il est capable de voir les choses avant les autres, que ce soit au milieu du terrain ou dans la surface adverse. C'est un gros avantage. Arteta s'émerveille de l'impact de Rice depuis le début de saison. L'Espagnol revient sur une idée qu'il a déjà utilisée afin d'évoquer l'influence de Rice sur ses coéquipiers. «C'est difficile à expliquer mais si je dois le faire, ce serait comme une ampoule. C'est le sentiment que j'ai quand je le vois jouer ou qu'il est à mes côtés. «Déjà lorsqu'il joué avec West Ham, j'avais le sentiment que ce gars à une présence unique, il a quelque chose de différent. Je pense que l'équipe a besoin de quelque chose comme ça.» Avait-il imaginé, cependant, que Rice serait si bon, si vite ? Le style de West Ham est très différent de celui d'Arsenal et pourtant Rice s'est déjà adapté. Le coach sourit. « Quand je l'imagine, chaque pensée est extrêmement positive. Bien sûr, nous savions qu'il allait être très cher, mais c'est déjà un joueur qui jouait à un haut niveau, donc toutes mes prédictions ne pouvaient être que positives. Après, le résultat à été très très rapide et le crédit lui revient. Il s'est adapté et tout le monde l'a beaucoup aidé également.» La progression de «l'intelligent» Havertz Pour Kai Havertz, acheté 65m£ à Chelsea, ça a pris plus de temps. Son démarrage étrange a frustré les supporters et Arteta à admis que ça avait eu un impact psychologique sur le joueur. «Je pense que tout le monde ressent ce qui se passe autour d'eux. Quand ce n'est pas positif, ça peut vous toucher. Quand c'est très positif, ça peut aussi vous toucher. Mais je pense qu'il a senti le soutien de ses coéquipiers et du club. Et maintenant il ressent aussi celui des supporters, ce qui est très important et peut te permettre de te transcender. Je pense que c'est pour ça que nous voyons une meilleure version.» Remplacer Granit Xhaka dans le milieu d'Arsenal n'allait pas être aussi simple. «Granit était un joueur immense pour nous. Il nous manque, oui. Il me manque personnellement car je l'aime aussi en tant que personne.» Havertz a marqué son 3e but en 4 matchs lors de la victoire contre Luton et il n'est pas le seul qui doit s'adapter. Son manager à dû aussi trouver comment l'utiliser au mieux. «Je dois faire ça avec chaque joueur. Tu ne peux pas avoir qu'une idée. A la fin, il faut que la position, le rôle et la demande correspondent aux qualités du joueur afin de les améliorer. Si quelque chose ne marque pas, vous devez légèrement changer ça et l'adapter parce que, à la fin, nous voulons que cela ait l'impact le plus positif possible pour l'équipe. Je pense qu'il avait besoin de se sentir à l'aise afin d'offrir ça. Oui, Havertz semble plus à l'aise maintenant. C'est un joueur très différent de Xhaka mais sa performance contre Luton, durant laquelle il a crée plus de chances, a eu plus de frappes et a gagné le plus de duel que n'importe lequel de ses coéquipiers, prouve à quel point il peut être utile. En plus de la taille et du physique qui offre à Arsenal des possibilités pour des passes directes, il y a les mouvements sans ballon qui sautent aux yeux pour son but contre Luton et le but marqué par son coéquipier Gabriel Jesus, durant lequel Havertz emmène deux joueurs avec lui. «Il a une grande qualité c'est son qi football, comment il voit les espaces, le moment durant lequel il utilise ces espaces, comment il bouge en fonction de ses adversaires. Ce n'est pas facile de le voir mais selon moi, c'est sa meilleure qualité.» Pourquoi il y a encore davantage à venir. Arteta va essayer de mettre en lien ces qualités à Villa Parka mais il n'y a aucune garantie que Havertz démarre. Le débat qui entoure Raya et Ramsdale domine mais, même en comptant les blessés, il y a de la compétition pour gagner sa place dans l'équipe. Arteta ressent qu'il y a une place pour s'améliorer. Arsenal semble plus mature que la saison dernière, plus durs, plus difficiles à battre, mais c'est le deuxième effectif le plus jeune du championnat. En fait, avec une moyenne de 25 ans et 11 jours le 11 de départ est encore plus jeune que la saison passée. «Je suis convaincu que nous pouvons faire beaucoup, beaucoup mieux en tant qu'équipe et que nous avons toujours le potentiel pour de nombreuses individualités d'atteindre un meilleur niveau. Ils ont faim. Ils veulent vraiment le faire et nous avons de très bonnes personnes pour les faire se développer. Premièrement, nous devons gagner des trophées majeurs. Nous ne l'avons pas fait. Pour faire ça, c'est la façon dont nous devons nous comporter quotidiennement avec constance, à l'entraînement, nous jouons et comment nous dépassons les situations difficiles. Actuellement, nous avons de nombreux blessés au club et l'équipe continue de gagner et de très bien jouer. C'est un challenge pour l'équipe et elle y réponds. Il s'agit de la manière dont vous surmontez les obstacles, dans cette ligue il y en a des petits et des grands et c'est la manière dont vous les surmontez qui détermine votre position en fin de saison.» Reste à savoir si l'équipe y parviendra. Comme Arteta l'a souligné, le titre se décide en Mars/Avril. Pour l'instant il y a le match de samedi contre Aston Villa et de s'assurer que - même s'il ne participera pas - Arsenal soit l'équipe qui fera la fête à la fin.3 points
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Plus de capacités physiques, plus d'implication à la finition des actions, moins à la construction du jeu, voilà l'évolution du poste souhaitée par Arteta et plutôt bien imagée dans ces chiffres. Ce profil correspond plus encore à notre équipe (principes, coéquipiers), mais c'est une prouesse de faire fonctionner ça en ayant autant de domination sur les rencontres. Tableau extrait de la très bonne interview d'Arteta chez Sky Sports où il parle notamment d'Havertz et Rice.3 points
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Il a dégoupillé Arrêta, il en a réellement ras le bol des instances et leurs règles à la c**1 point
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Sans même parler d'envie de gagner... Quand tu voyais Mo, blessé, ou même maintenant, qui ne joue que quelques minutes par mois et qui est présent malgré tout à tous les matchs et célèbre comme un fou avec les potes un grand sourire jusqu'aux oreilles. Non c'est pas la même implication. C'est pas l'amour du club qui le porte... La différence doit aussi se ressentir dans le vestiaire.1 point
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Effectivement c’est clownesque. Je vois pas comment on peut inventer une pro activité ou quoique ce soit sur cette intervention, elle est complètement loupée et au lieu de sortir en corner, elle peut aussi aller dans notre but, mais bref. Faut quand même songer à aller consulter l’opticien pour pas voir l’erreur là dessus ou les nombreuses fautes à la main qu’il a fait dans ses sorties… @Tetsuyah Mais je vois personne defoncer Raya illegitement enfaite, beaucoup (une bonne majorité) constate qu’on a concédé des occasions ou des buts sur pas mal de ses interventions plutôt ratée. Et un gardien Error Prône est pas forcément un mauvais gardien, j’en vois beaucoup dire qu’il faut maintenir la confiance à Raya, j’en fais partie mais arrêter de le défendre contre vent et marree quand il se troue, et vraiment par pitié, dissocier ses performances du cas Ramsdale. Si Aaron était pas là, ses erreurs seraient soulignées aussi. Et si Ramsdale faisait les mêmes erreurs que lui, elle serait soulignée aussi. A titre d’exemple, on avait deux gardiens error prôné à l’époque avec Chesney et Fabianski, ça en faisait pas des mauvais gardiens, mais leurs erreurs et grosses gaffes étaient soulignées quand il en faisait, ou est ce que tu vois de l’acharnement sur le cas Raya ? J’en vois aucun d’acharnement. Si tu veux voir de l’acharnement et de la bêtise, tu vas sur le topic de Havertz au mois d’août jusqu’à novembre ou bien sur celui de Xhaka de 2017 à 2022. Là y a vraiment des trucs et des dingueries qui sont sorties, mais sur Raya, on constate juste qu’il sous performe dans des domaines bien définis. EDIT : J’ajouterais que si Ramsdale faisait les erreurs de mains de Raya et qu’on aurait pas l’Espagnol mais Turner sur le banc, elles seraient tout aussi soulignée, comme celles qui ont été soulignées lors de ses 2 dernières prestations où il était vraiment pas à son avantage.1 point
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Je suis d'accord avec ton analyse. Je les ai regardé un peu en début de saison avant qu'on les affronte justement pour me faire une idée de l'écart et j'avais trouvé qu'il s'était considérablement réduit. C'était déjà le cas l'année passée, mais y'avait deux machines quand même pour faire la différence et qui ne sont plus là aujourd'hui en la personne de Gündogan et De Bruyne (qui va revenir néanmoins). Ils sont aussi extrêmement dépendant de Rodri, mais ça on le savait depuis un petit moment. Doku tout le monde s'extasie, mais il pêche encore énormément à la finition. Nunes c'est bien parti pour être un flop comme Phillips. Kovacic c'est vraiment pas ouf du tout, par rapport à Gündogan y'a clairement deux classes d'écart. Quant à Gvardiol, c'est un DC de base et il a encore beaucoup de mal à assimiler le boulot de latéral, mais il est encore jeune. Il est par conséquent évident qu'ils se sont affaiblis par rapport à la saison dernière. Les départs conjugués de Mahrez, Palmer, Laporte, Mendy () et surtout Gündogan, associés à l'absence de De Bruyne, font qu'ils sont clairement moins efficace offensivement. Ils n'ont plus forcément la maîtrise au milieu non plus et ça c'est vu hier soir. Kamara et Luiz ont complètement bouffé Stones et le jeune Lewis. On a vraiment une carte à jouer cette année, mais malheureusement Liverpool est revenu dans la course et c'est certainement l'équipe la plus performante avec nous et Villa jusqu'ici. Je n'enterre évidemment pas City, mais ils me font nettement moins bonne impression d'année en année quand même, sans doute aussi parce que la concurrence est plus rude depuis qu'on est revenu à notre place, tout comme Liverpool.1 point
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*Pourquoi je rentre encore dans ce débat* Pour ma part, et je le répète, j'estime que la marge de progression de l'espagnol est plus intéressante que celle de Ramsdale. On sait tous que Arteta cherche un gardien pro-actif et j'ai le sentiment (subjectif) que c'est contre nature de la part de Ramsdale, comme si il se forçait pour épouser la philosophie de Arteta. Là où j'ai le sentiment (toujours subjectif) que c'est plus naturel pour Raya. Et je ne parle pas de jouer aux pieds, mais vraiment d'être "pro-actif". Les gens cantonnent Raya à son jeu aux pieds, et j'étais le premier à le penser au début. Mais dès les premiers matchs, j'ai compris ce que signifiait être "pro-actif" pour un gardien, juste en l'observant de mes yeux de néophytes. Là où certains vont voir les arrêts, d'autres vont voir l'ensemble. C'est un débat qui se tient, car le rôle principal du gardien c'est "d'arrêter". Tout comme le rôle du buteur, c'est de marquer. Je vous pose la question : Est ce que vous trouvez que Mbappé est bon depuis le début de la saison ? Moi absolument pas. Il marque mais est très souvent catastrophique dans le jeu. Certains te diront que c'est pas important tant qu'ils marquent, d'autres te diront que c'est nettement insuffisant. Malgré tout, ça reste une arme qui peut décider du sort d'un match. Et pourtant, il n'a jamais gagné le CL. Ça signifie bien qu'il y'a d'autres manières de se passer de ce genre d'individualité. Je trouve que cet exemple peut s'apparenter ici, Arteta souhaite amener une autre caractéristique du goal quitte à sacrifier (peut être) le principal, pcq ça sied mieux à sa vision du jeu. Peut-on lui en vouloir de suivre ses convictions ? Là est tout le débat. C'est un débat sans fin pcq ce sont deux écoles d'apprécier le foot qui s'opposent, c'est à la sensibilité de chacun. Ce qui est frustrant dans ce débat, c'est ceux qui refusent de comprendre pourquoi on soutient Raya. Ce n'est pas seulement par confiance aveugle pour le coach, mais aussi pour ce qu'on voit qu'il apporte et peu apporter par la suite. Je ne dis absolument pas que Raya est LE goal qu'il nous faut à moyen/long terme. Ça, ça ne dépendra que de lui. Mais je dis qu'il a les armes pour nous faire passer un cap. Ce que je ne ressens pas chez Ramsdale, avec qui je ressens plus un plafond de verre. C'est à Raya aujourd'hui de nous prouver que Arteta à raison de lui apporter cette confiance.1 point
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35M ? Tu veux dire si Manchester United nous donne 35M pour le prendre ? Non.1 point
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Je trouve le match d’hier plus intéressant a cause du contexte. Le match face à Lens, on se l’ait rendu très facile rapidement et ensuite tout ce que l’on tentait était réussi. Le contexte du match d’hier était beaucoup plus compliqué, et il ne s’est pas caché, et a délivré une performance réellement abouti également1 point
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J'ai trouvé son match à Lens potentiellement meilleur quand même, mais oui il a encore montré de belles choses hier. Il semble avoir cessé d'être paralysé avec le ballon. J'attends qu'il débloque un peu sa finition quand même, sa tête sur le centre de Zinchenko c'est vraiment mal exécuté. Pour l'instant tout ses buts c'est des finitions assez faciles à réaliser et dont l'exécution ne paraît pas forcément clean. Qu'il mette un petit banger petit filet opposé à 20m pour finir définitivement de se mettre en confiance et on a notre LCM.1 point
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Tu verras que si on gagne la PL il prendra un jaune pour avoir soulevé la coupe...1 point