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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 10/18/22 dans toutes les zones

  1. Oui c'est ça, on devrait avoir du nouveau avant 2023, soit il prolonge pour plusieurs années (ce que le club semble négocier actuellement) soit le club active l'option dans les deux mois pour avoir + de temps dans les négociations si ça coince. L'option il semble qu'il y a qu'Arsenal qui a le pouvoir de l'activer.
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  2. Gavi ? Il est très très talentueux c'est clair, et en sélection il est titulaire à son âge c'est fort. Néanmoins, jamais il doit le gagner... Pas cette année en tout cas.
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  3. Cama je l'adore, c'est un futur top joueur, mais il n'était pas du tout titulaire en club (1800 minutes sur la saison dernière, 500 cette saison contre 3300 et quasi 1000 pour Saka), c'est complètement aberrant. Bellingham doit être 1 et après ça se tape pour le reste entre Saka, Musiala, Gvardiol.
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  4. Je ne comprends même pas comment on peut encore, en 2022, s'intéresser à cette mascarade qui ne rime à rien.
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  6. Le joueur d'équipe par excellence. Qui a passé des années à occuper un rôle de lieutenant et a été sous-côté à cause de ça. en reprenant le leadership de l'attaque , il redevient un top buteur ce qu'on attendait de lui lors de ses années à l'OL. Il porte quasiment seul l'attaque de son équipe pour gagner la Liga 2020, il passe pas loin la saison d'après. Et cette saison est incroyable il sauve son équipe à chaque fois qu'elle est sur le point de couler. Jamais vu une campagne de LDC aussi héroïque. ( Il y a déjà eu meilleur en terme de niveau global mais le côté clutch pas sûr du tout) . Le tout sans jamais forcer son jeu , il a pas besoin de tirer énormément pour marquer . Par contre Courtois je vois pas ce qu'il doit faire de plus pour arriver sur le podium. Hyper décisif en Liga et en LDC lui aussi. Des pénos arrêtés , des parades quand son équipe est au bord de l'élimination , une finale de LDC monstrueuse.
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  7. Ronaldo et Messi ils avaient aquagym ? Très content pour Karim qui semble être devenue une personne mature, en plus d'un footballeur extraordinaire. Un ballon d'or Français
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  8. Pour moi il n’y a de comparaison possible ni avec Xhaka ni avec MØ dans leurs rôles actuels. Et je parle de profil, pas de niveau. Pour MØ, les décalages par la passe, le goal threat, la coordination du pressing haut, ce n’est pas son jeu. Pour Xhaka, les appels en profondeur, la dernière passe, les retours défensifs, idem c’est pas son jeu. Tu parles régulièrement de lui, à chaque fois j’ai l’impression que tu en es fan sans vraiment le connaître. Désolé hein. Mais tu affirmes qu’il a tel ou tel profil alors que plusieurs membres te répondront que non. Au final ce joueur il n’a rien pour lui : la réputation de son agent, ses demandes salariales, ses références en club, son profil pas forcément défini… J’ai du mal à comprendre comment on peut militer pour qu’il vienne chez nous.
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  9. Cocorico ! Sauf énorme scandale, notre français KB9 sera sacré Ballon d'Or ce soir ! Quelle saison il nous a fait, le Nueve. Karim Benzema saison 2021 / 2022 : - Ligue des Champions - Liga - Ligue des Nations - Supercoupe de l'UEFA - Meilleur buteur de la Liga - Meilleur buteur de la Ligue des Champions - Meilleur joueur de la Liga - Meilleur joueur de la Ligue des Champions 46 matches / 44 buts (Real Madrid) 10 matches / 6 buts (Equipe de France) 56 matches / 50 buts / 16 passes décisives TCC CHAMPION
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  10. Athlétisme ; digne d'un film : est-il possible que l’échantillon d’un sportif italien propre, Alex Schwazer, devenu héraut de la lutte antidopage, ait été volontairement manipulé dans le but de le disqualifier ? Toute l’Italie se prend de passion pour ce feuilleton. L’affaire Alex Schwazer tient l’Italie en haleine depuis près de 5 ans. Il faut dire que le scénario est digne d’un polar : un athlète, ancien dopé, se confesse, revient à sa discipline, et pour prouver qu’il est fort même sans dopage, s’associe à un coach paladin du sport propre. Mais il se fait de nouveau contrôler positif dans des conditions extrêmement douteuses. Après avoir blanchi des athlètes dopés, un complot a-t-il pu être mis en place pour rendre coupables des athlètes propres mais gênants ? Le procès qui se tient actuellement à Bolzano, en Italie, tente de répondre à cette question. Schwazer est un athlète italien spécialiste de la marche athlétique, la même discipline que le Français Yohann Diniz. En 2008, aux JO de Pékin, il remporte la médaille d’or sur 50 km à seulement 24 ans. Puis commence une longue traversée du désert qui le pousse, dit-il, « à faire comme les Russes. La tête n’y était plus, j’ai décidé de faire comme eux », expliquera Schwazer, en larmes, face à la presse en juillet 2012. À la veille des JO de Londres, il est en effet rattrapé par la brigade, avec de l’EPO dans le sang. En Italie, c’est le psychodrame : la presse accable Schwazer. Chacun a un avis sur ce garçon qui a trahi ses supporters et les règles du sport propre. Même Yohann Diniz, qui avait auparavant de l’estime pour le talent du transalpin, le décrit comme « un sale type ». Dans ses aveux, Schwazer détaille sa collaboration avec les sulfureux médecins Francesco Conconi et son dauphin Michele Ferrari, mais aussi le fait que le staff de la fédération italienne d’athlétisme était au courant de ses pratiques illicites, notamment par les deux médecins fédéraux. Un procès est donc ouvert contre ces deux praticiens, dont l’un, Antonio Fischetto, est un étroit collaborateur de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF à l’époque, renommée depuis World Athletics). Pendant l’enquête, courant 2013, Fischetto, sans savoir qu’il est sur écoutes, parle de Schwazer au téléphone en des termes peu amènes : « Ce boche doit mourir tué, ils doivent enculer Kostner. » « Boche » car Schwazer vient du département du Tentrin-Haut-Adige où la population est en partie de langue maternelle allemande. Quant à la patineuse Carolina Kostner, il s’agit à l’époque de sa petite amie. Fischetto, son collègue et une employée de la fédération italienne ont été condamnés en première instance pour complicité de pratique dopante. Puis blanchis en appel, il y a tout juste quelques mois. En dépit de sa collaboration avec les institutions qui luttent contre le dopage, Schwazer est quant à lui suspendu pour 3 ans et 9 mois. L’athlète transalpin soutient cependant qu’il a remporté sa médaille la plus importante, celle des JO de 2008, en étant propre. Et pour démontrer à ceux qui en doutent qu’il peut gagner sans se doper, il décide, en 2015, de se faire entraîner par Alessandro Donati, professeur de sport, coach d’expérience et surtout figure de la lutte antidopage en Italie et dans le monde. Donati, qui fut un temps un étroit collaborateur de l’Agence mondiale antidopage, accepte de relever le défi à une condition : Schwazer doit être contrôlé très régulièrement par une équipe de scientifiques qui ont la confiance de Donati, et qui ne travaillent pour aucune fédération ou agence qui puisse laisser penser à un conflit d’intérêts. La collaboration porte vite ses fruits, avec, en ligne de mire, les JO de Rio. Mais l’année 2016, qu’il rêve fastueuse, commence de façon inhabituelle pour l’athlète transalpin. Le 1er janvier 2016, peu après 7 heures du matin, une équipe de deux contrôleurs d’une société allemande, GQS, mandatés par l’IAAF, débarque chez lui, dans le hameau de montagne de Racines (quelques dizaines d’habitants tout au plus). Il s’agit d'un contrôle antidopage sang-urine. La tête encore dans les brumes du réveillon qui s’est terminé quelques heures plus tôt, Schwazer se soumet au contrôle qui dure un peu plus d’une heure. Tous les tests auxquels il est soumis depuis quelques mois en vue de la fin de sa disqualification (fin avril 2016), mandatés par l’agence italienne, l’AMA ou l’IAAF, sont parfaitement réguliers. Celui du jour de l’An 2016 le sera aussi d’ailleurs ! Fin janvier 2016, l’IAAF reçoit les résultats du test du laboratoire de Cologne : négatif. Ce résultat est aussi notifié à l’athlète qui poursuit sa préparation tranquillement à Rome. Mais le département antidopage de l’IAAF, dirigé par Thomas Capdevielle, n’est visiblement pas convaincu par le résultat de ce contrôle du 1er janvier commandé le 16 décembre 2015, soit le jour même de la déposition au tribunal de Schwazer mettant en cause le docteur Antonio Fischetto. Ainsi, le 29 mars 2016, l’IAAF demande au laboratoire allemand de garder l’urine de l’athlète, alors que normalement les échantillons négatifs sont détruits 90 jours après l’analyse. L’IAAF demande aussi au laboratoire de Cologne de « mieux regarder », et d’exécuter en particulier un examen sur le profil hormonal de l’athlète. L’examen, qui commence le 14 avril 2016 pour se terminer le 12 mai, conclut cette fois à la positivité de l’échantillon à la testostérone exogène. Capdevielle reçoit cette nouvelle le 13 mai, mais l’IAAF diffuse officiellement la communication de la positivité de Schwazer plus d’un mois après, le 21 juin. L’athlète est immédiatement suspendu. L’athlète est alors revenu à un excellent niveau, redevenu une chance de médaille : il a brillamment remporté le 50 km des championnats du monde par équipes à Rome le 8 mai. Même si pendant la compétition, quelques athlètes italiens, comme le sauteur en hauteur Gianmarco Tamberi, qualifient le marcheur de « honte d’Italie », contestant sa sélection en équipe nationale. Au soir du 21 juin le staff de Schwazer s’affole : une plainte contre X est déposée, ainsi que la demande d’analyse urgente de l’échantillon B du prélèvement du 1er janvier. La date limite pour les inscriptions aux JO est fixée au 2 juillet, mais Thomas Capdevielle n’est pas pressé et fixe la date pour l’analyse de l’échantillon B au 5 juillet. Par la suite, le directeur du laboratoire de Cologne déclarera qu’il y avait la possibilité de les faire pour le 28 juin, mais que l’IAAF avait choisi la date du 5 juillet. Les conseils de Schwazer frappent à la porte du TAS de Lausanne pour demander la levée provisoire de la suspension de l’athlète, mais le Tribunal arbitral du sport rejette cette demande lors d’une audience qui se tient à Rio de Janeiro, dans le cabinet d’un avocat brésilien. Schwazer écope d’une disqualification de 8 ans, jusqu’en 2024. Le dopage étant, dans le système juridique italien, une infraction qui relève du droit pénal, une enquête est ouverte contre Schwazer fin septembre 2016. Cette enquête a duré 4 ans ; elle vient de se terminer le 14 septembre 2020 et on connaîtra le fin mot de l’affaire d’ici un mois. Mais, tout de suite, les auditions et les premières investigations révèlent de nouveaux faits étonnants s’agissant du contrôle du 1er janvier. D’abord, le lieu du contrôle est indiqué dans le PV. Normalement ce n’est pas le cas, pour éviter d’identifier l’athlète. La bourde, volontaire ou pas, des préleveurs est « corrigée » par le laboratoire qui, sur son PV, note « non renseigné ». Ensuite, la procédure d’acheminement des échantillons qui doit être garantie par les préleveurs jusqu’au laboratoire n’est pas respectée – ce qui suffit normalement à rendre invalide un contrôle antidopage. En effet, le jour de l’An, le laboratoire de Cologne est fermé (c’est d’ailleurs une journée où normalement on ne pratique pas de contrôle antidopage). L’échantillon va dès lors reposer dans un frigo dans un local, dont une seule personne est censée avoir la clef. On découvrira que six personnes en possèdent une en réalité. « Pour un éventuel sabotage d’échantillon, le 1er janvier après-midi, c’est royal, vu que les bureaux sont vides », commente Donati, coach de l’athlète italien. Les enquêteurs italiens demandent donc les échantillons A et B de l’athlète pour les faire analyser par le département de recherche scientifique des Carabinieri, dirigé par le colonel Giampietro Lago. Ce dernier, avant d’être un militaire, est un biologiste, spécialisé dans l’ADN. S’ensuit une longue bataille juridique entre les justices italienne et allemande. Puis quand la justice italienne obtient enfin gain de cause, c’est le laboratoire allemand qui bloque, avant de se soumettre, ce qui aboutit à un résultat stupéfiant : l’échantillon de l’urine B de Schwazer contient une concentration d’ADN infiniment trop haute pour l’ADN physiologique d’un homme. D’autant que les sportifs de haut niveau n’ont pas des concentrations d’ADN plus hautes que le reste de la population, bien au contraire. Cette urine a tout l’air d’avoir été manipulée, même si l’Agence mondiale antidopage réfute cette analyse. Un complot est-il possible ? La thèse est renforcée par le travail de hackers qui révèlent des échanges de courriels entre Thomas Capdevielle, responsable de l’antidopage à l’IAAF, l’avocat de l’IAAF Ross Wenzel et le directeur du laboratoire de Cologne Hans Geyer. Dans ces échanges, qui datent du 20 février 2017, Thomas Capdevielle s’inquiète du fait que le laboratoire allemand ne se plie pas aux exigences de l’IAAF. Il écrit à l’avocat de l’IAAF : « Est-ce qu’ils réalisent qu’ils font partie du complot contre AS [Alex Schwazer – ndlr] et les possibles conséquences pour eux ? » https://www.mediapart.fr/journal/france/260920/l-italie-se-dechire-sur-une-folle-histoire-de-dopage?utm_source=20200926&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-20200926&M_BT=135393249294
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