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  1. Le cache-cash fiscal du président du FC Nantes Enquêtes judiciaires, contrôle fiscal, échecs sportifs, entraîneur viré, manifestations de supporters en colère : Waldemar Kita, président du FC Nantes, est cerné de toutes parts. À tel point que le riche l’homme d’affaires de 66 ans, propriétaire du club de football depuis 2007, a publiquement dit envisager un possible départ. « Moi, je suis prêt à ouvrir le capital, prêt à partir », a-t-il déclaré dimanche à Presse Océan. Grâce à des documents inédits issus notamment du dossier judiciaire, Mediapart est en mesure de révéler les détails et l’ampleur de la fraude fiscale présumée reprochée à Waldemar Kita, qui fait l’objet depuis 2017 d’une enquête préliminaire menée par le parquet national financier (PNF). Selon notre enquête, réalisée en partenariat avec Mediacités et les quotidiens belges Le Soir et De Standaard, Waldemar Kita, qui a fait fortune grâce à ses laboratoires de médecine esthétique, risque une amende fiscale de plusieurs dizaines de millions d’euros. Sollicité, le PNF s’est refusé à tout commentaire sur le contenu de l’enquête. Selon un document judiciaire obtenu par Mediapart, le président du FC Nantes a lésé le fisc français de 14,8 millions d’euros, uniquement au titre de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Le fisc envisage en prime de lui infliger une pénalité de 80 %, la plus élevée, applicable en cas de « manœuvres frauduleuses ». Il risque donc un redressement de plus de 20 millions d’euros, rien que pour l’ISF. Selon notre enquête, Waldemar Kita a par ailleurs touché, entre 2010 et 2019, au moins 70 millions d’euros au Luxembourg, sur lesquels il n’a payé aucun impôt sur le revenu en France, puisqu’il est résident fiscal en Belgique. L’enquête du PNF a rassemblé de nombreux éléments montrant que cette domiciliation à Bruxelles serait fictive. Joint par téléphone, Waldemar Kita a démenti (« Je suis résident belge, vous confondez tout ») et nous a immédiatement renvoyés vers son conseiller en communication de crise, avec cet avertissement : « Faites attention à ce que vous écrivez quand même. Peut-être que vous voulez un petit peu ma peau. Mais faites attention. » Nous avons ensuite reçu une réponse écrite de ses avocats, Jean Reinhart et Louis-Marie Absil (à lire intégralement dans l’onglet Prolonger). Ils ont refusé de répondre sur les faits « afin de respecter le secret de l’enquête », et menacent « d’engager des poursuites contre les personnes qui [nous] auraient communiqué des prétendues informations issues de l’enquête actuellement en cours ». « M. Waldemar Kita réaffirme être parfaitement en règle avec l’ensemble des administrations fiscales dont il relève et continuera, comme il l’a toujours fait, à s’expliquer avec les seules personnes ayant qualité à l’interroger sur son statut fiscal personnel », ajoutent ses avocats, estimant que notre article relève d’une « volonté de nuire à M. Waldemar Kita et à sa famille ». La justice a ouvert un second front la semaine dernière. Le 8 décembre, des policiers de la PJ de Nantes ont débarqué au centre d’entraînement du FC Nantes à La Jonelière. Une perquisition réalisée dans le cadre d'une nouvelle enquête préliminaire, menée cette fois par le parquet de Nantes, pour « exercice illégal de la profession d’agent sportif, faux et usage de faux », selon Presse Océan et Ouest France. Contacté, le parquet de Nantes a refusé de répondre. Selon plusieurs sources internes au club, les enquêteurs s’intéressent à certaines ventes de joueurs orchestrées par le sulfureux Mogi Bayat. Cet agent franco-iranien vivant en Belgique, très proche de Waldemar Kita, a une telle influence sur les transferts qu’il est considéré comme le directeur sportif officieux du FC Nantes. En Belgique, Mogi Bayat a fait un mois de détention provisoire à l’automne 2018, et a été inculpé pour « blanchiment d’argent » et « participation à une organisation criminelle » dans le cadre du « Footbelgate », une vaste enquête judiciaire menée par le parquet fédéral belge sur des fraudes présumées lors de transferts de joueurs. Selon des sources judiciaires belges, l’enquête du parquet de Nantes a démarré fin 2018 après que le parquet fédéral a alerté la justice française sur le transfert du milieu de terrain belge Anthony Limbombe au FC Nantes pour 10 millions d’euros, un record dans l’histoire du club. Le joueur a été placé en garde à vue à Nantes en novembre 2018. Selon L’Équipe, Mogi Bayat est soupçonné d’avoir touché la moitié de la prime à la signature de 3 millions d’euros payée au joueur, afin de contourner la loi française qui plafonne les commissions d’agent à 10 % du montant du transfert. « L’enquête préliminaire [du parquet de Nantes] ne me vise pas personnellement », a démenti Mogi Bayat à Mediapart. « C’est n’importe quoi ! Je suis serein, décontract’. Quand vous pensez faire bien, il n’y a pas de raison de s’alarmer », a réagi Waldemar Kita dimanche dans Presse Océan. En plus des deux enquêtes judiciaires sur le club et son patron, le FC Nantes fait actuellement l’objet, selon nos informations, d’un nouveau contrôle fiscal. Le FC Nantes avait déjà subi, au début des années 2010, un redressement fiscal pour avoir éludé en partie le paiement de la taxe professionnelle, via la comptabilisation d’opérations avec sa holding belge, comme l’a révélé notre partenaire Mediacités. Waldemar Kita contrôle le club via une société boîte aux lettres immatriculée à Bruxelles, Flava Groupe. Il a injecté 55,6 millions d’euros dans le FC Nantes, qui ne lui a reversé à ce stade que 18,7 millions de dividendes. Cette multiplication des affaires intervient au pire moment, tant la situation du club est inflammable. L’entraîneur Christian Gourcuff a été limogé le 7 décembre dernier (c’était le 14e coach en treize ans…) pour cause de défaites à répétition, qui ont fait tomber le FC Nantes à la 14e place de la Ligue 1, et sur fond de critiques sur le management de Waldemar Kita et de son fils Franck, directeur général du club. Chez les ultras, la colère gronde, et pas seulement à cause de l’échec sportif. Le projet de construction d’un nouveau stade YelloPark, porté par Kita, a été abandonné par la métropole de Nantes après la révélation de l’affaire de fraude fiscale présumée en février 2019. Certains supporters ont manifesté dimanche 13 décembre aux abords du stade de la Beaujoire. Le mot d’ordre est « Kita dégage ! », ou #KitaOut sur les réseaux sociaux. Des banderoles, parfois dures, voire insultantes, s’affichent dans Nantes pour dénoncer le « FC Kita ». L’affaire la plus dangereuse pour le patron du FC Nantes reste toutefois l’enquête pour « fraude fiscale aggravée » et « blanchiment » ouverte par le PNF en octobre 2017, à la suite d'un article publié en 2016 par Le Monde. Grâce aux Panama Papers, le quotidien a révélé que Waldemar Kita possède un yacht à 2,5 millions d’euros, le K Grace, acquis par le biais d'une discrète société offshore immatriculée aux îles Vierges britanniques, Dylan Limited. À l’époque, l’homme d’affaires avait choisi une ligne de défense à la Donald Trump. Sa résidence belge ? « Ce n’est pas mon adresse. Ce n’est pas moi, voilà merci. » Le yacht aux îles Vierges ? Une homonymie malencontreuse. « Des Kita, j’en ai trouvé plein. C’est un nom très connu en Asie, où il y a des Waldemar Kita, mais ils sont noirs, ils ne sont pas blancs. » C’est pourtant bien Waldemar Kita qui s’est offert ce navire, après la vente en janvier 2007, au géant américain Allergan (fabricant du Botox), de sa première entreprise : le laboratoire Cornéal, spécialisé dans l’ophtalmologie, puis dans les produits esthétiques à base d’acide hyaluronique, utilisés pour combler les rides ou agrandir les pénis. Société boîte aux lettres, sans bureaux ni salariés Waldemar Kita s’est fiscalement installé en Belgique juste à temps pour toucher sa part de la vente, soit 130,8 millions d’euros, sur lesquels il n’a payé d’impôts ni en France, ni en Belgique, où les plus-values ne sont pas taxées. « Il a voulu s’affranchir d’un assujettissement à l’ISF et l’impôt sur les plus-values en France », nous a confié un ancien proche collaborateur. C’est grâce à cet argent défiscalisé qu’il a acheté à partir de 2007 le FC Nantes, le yacht, un jet privé, mais aussi son luxueux appartement parisien de l’avenue Hoche pour 6,4 millions d’euros, celui de son fils dans la très chic avenue Montaigne pour 4,8 millions, et les bureaux parisiens de son nouveau laboratoire dans le XVIe arrondissement. Le 19 février 2019 au petit matin, les policiers de la Brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF) perquisitionnaient simultanément le FC Nantes, les bureaux et les domiciles parisiens de Waldemar et de son fils, Franck. Dans la foulée, l’homme d’affaires, son épouse Chantal et leur fils étaient placés en garde à vue et interrogés par les policiers. Lors de la perquisition avenue Hoche, les enquêteurs ont constaté que « les époux Kita étaient tous deux présents à cette adresse, qui semblait constituer leur domicile principal », selon un document judiciaire. Le même jour, à la demande du PNF, des policiers belges se sont rendus à Uccle, dans la banlieue de Bruxelles, pour perquisitionner un étroit et modeste immeuble en briques. Il s’agit, officiellement, de la résidence principale du couple. Surprise, ce n’était pas Waldemar Kita à l’intérieur, mais un autre individu, dont nous n’avons pas pu obtenir l’identité. Selon nos informations, le PNF a accumulé de nombreux éléments tendant à démontrer que les Kita n’habitent pas en Belgique. L’analyse de sa téléphonie, de ses dépenses, factures, remboursements de santé et voyages en jet privé montrent que le couple passerait la majorité de son temps en France. Lors de ces vérifications, les enquêteurs ont découvert que le FC Nantes a créé et alimenté un compte au nom de Waldemar Kita, doté d’une carte bancaire. Ce compte sert à payer les frais professionnels du président, dont ses voyages en jet privé pour assister aux matches du club en France. Est-il bien raisonnable que le FC Nantes finance de telles dépenses ? La question se poserait d’autant plus si des vols payés par le club ont été effectués à bord des jets de Waldemar Kita. En 2009, il avait confié au magazine Ultimate Jet qu’il utilisait son propre avion dans le cadre de ses fonctions au FC Nantes : « Quand je dois aller signer un contrat avec un joueur ou le faire venir, j’utilise le jet. » Waldemar Kita s’est d’abord offert un Cessna Citation II, puis en 2018 un Hawker 900XP. L’appareil est exploité par la compagnie française Valljet, dont Waldemar Kita détient 30 %. Elle facture l’heure de vol entre 2 000 et 3 000 euros. Le FC Nantes a-t-il contribué, en payant les trajets de son président, à financer son avion personnel ? Waldemar Kita a refusé de répondre. Selon un de ses proches, à la suite des perquisitions de février 2019, Waldemar Kita s’est mis à chercher d’urgence un nouveau logement belge plus conforme à son standing que le précédent, avec l’aide de l’indispensable Mogi Bayat. Interrogé par Mediapart, l’agent dit ne pas être intervenu « dans le choix du logement ». « Par contre, les Kita étant des amis, c’est avec plaisir que je leur donne mon avis si nécessaire sur les quartiers de Bruxelles. » Waldemar Kita a trouvé, en mars 2019, une luxueuse maison de 780 m2 à Bruxelles, dans le « square du bois ». Il s’agit d’une partie privatisée de l’avenue Louise, protégée par une imposante grille, surnommée « le square des milliardaires ». Le couple réside administrativement à cette adresse. Le fisc a estimé qu’en omettant de déclarer son patrimoine en France, le couple Kita a éludé 14,8 millions d’euros d’ISF, hors intérêts de retard et pénalités. D’où les saisies pénales, révélées par L’Équipe, effectuées début 2020. Le PNF a fait saisir l’appartement parisien de l’avenue Hoche et le yacht K Grace, basé au port d’Antibes. Waldemar Kita a obtenu par la suite sa restitution, en échange de la saisie conservatoire de 2,5 millions d’euros. Le montant total des impôts éludés est en réalité plus élevé, puisque qu’en plus de son patrimoine, l’enquête judiciaire porte aussi sur « les revenus de M. Kita », nous a confirmé le PNF. Or, il a, selon notre enquête, touché, au travers de ses sociétés, au moins 70 millions d’euros au Luxembourg depuis 2010. Cet argent vient de sa seconde entreprise, les Laboratoires Vivacy. Le labo et l’usine sont à Archamps, en Haute-Savoie, près de la frontière suisse. Tout comme Cornéal, Vivacy fabrique des produits pour la médecine esthétique à base d’acide hyaluronique. L’entreprise a été créée en mai 2007, officiellement par une ancienne collaboratrice de Kita chez Cornéal. Il n’y a nulle trace du patron du FC Nantes parmi les actionnaires. Mais apparaît ensuite un nouvel associé, un gestionnaire de fortune suisse nommé Jurg Kundert. En 2010, le labo passe sous le contrôle d’une holding luxembourgeoise, V Plus, comme l’a révélé Mediacités. Là encore, c’est Kundert qui en est l’actionnaire majoritaire, avec 67 % des parts. Jurg Kundert, qui n’a pas répondu à nos questions, semble donc avoir été utilisé comme prête-nom par Waldemar Kita. Sans doute l’homme d’affaires ne voulait-il pas apparaître car la vente de Cornéal à Allergan en 2006 incluait une clause de non-concurrence pendant trois ans. Waldemar Kita n’est devenu officiellement actionnaire de V Plus qu’en 2015, à travers une société offshore luxembourgeoise nommée Dylan (comme celle qui possède son yacht). La même année, il monte une nouvelle société en Suisse, Vivacy International, chargée de distribuer les produits du groupe à l’étranger. Cette société boîte aux lettres, sans bureaux ni salariés, était basée, lors de sa création, au siège du cabinet fiduciaire de Jurg Kundert, l’homme qui aurait servi de prête-nom à Waldemar Kita. Vivacy International sert-elle à transférer en Suisse une partie des profits de Vivacy afin de réduire l’impôt payé en France ? « C’est l’Europe. J’ai le droit. En quoi ça vous gêne ? », avait-il répondu en 2018 à Mediacités. Le montage est en tout cas fiscalement avantageux. Selon nos informations, Waldemar Kita a reçu, entre 2010 et 2019, plus de 20 millions d’euros de dividendes de V Plus, sur lesquels il n’a payé aucun impôt en France. Il a aussi gagné beaucoup d’argent en revendant des actions. En 2012, le fonds d’investissement français Initiative & Finance acquiert 37,3 % du capital de V Plus, pour un montant inconnu. Waldemar Kita n’a, là encore, payé aucun impôt en France sur cette vente. En 2015, Initiative & Finance a revendu ses parts au groupe chinois Bloomage contre 59 millions d’euros. « L’enjeu, c’était l’enregistrement de notre gamme de produits en Chine pour une commercialisation là-bas, ni plus ni moins », confie un ancien dirigeant de Vivacy. Trois ans plus tard, les relations se tendent avec les Chinois. En 2018, Waldemar Kita créée une nouvelle société au Luxembourg, Valeron, qu’il détient à 51%, avec pour associé à 49 % son fidèle bras droit Michel Cheron. Valeron rachète les parts de Bloomage pour 70 millions d’euros, intégralement financés par une dette bancaire. En 2019, Valeron et Dylan, la holding luxembourgeoise de Kita, vendent 38 % du groupe Vivacy à deux fonds d’investissement (Bock Capital et TA Associates) pour 140 millions d’euros. Une fois la dette de Valeron remboursée, la plus-value s’élève, selon nos informations, à 68 millions d’euros, dont 50 millions d’euros pour Waldemar Kita. Lequel n’a, une fois encore, pas payé d’impôts en France. https://www.mediapart.fr/journal/france/171220/le-cache-cash-fiscal-du-president-du-fc-nantes?utm_source=20201217&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-20201217&M_BT=135393249294
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  2. Eze qui parle de son passage chez les jeunes d'Arsenal et de son rêve de jouer dans le club à l’époque. Peut-être un peu H.S mais je ne savais pas trop ou le mettre.
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  3. https://arseblog.com/2022/02/artetas-discipline-it-cant-be-all-or-nothing/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook&fbclid=IwAR2TKFlz3cYYVbrn6cpEmWJId8l9LbR-UBOQUJj-XVkvGMgoGhVVNkHdavQ Article assez intéressant qui résume ce côté tout ou rien d'Arteta, certains aiment ça d'autres non. Comme dit dans l'article avec l'expérience qu'il va prendre il pourra sans doute ajuster ce curseur là.
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  4. Il fait d'ailleurs une très belle CAN. Il avait notamment été élu homme du match face à la Côte d'Ivoire. Vraiment un joueur sous coté ce El Neny, un peu triste de l'avoir si peu vu cette saison avec nous, cela dit il montre tout son talent avec sa séléction.
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  5. Un vrai "tirant" et c'est pas notre ami @Ezio qui dira le contraire.
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  6. Exactement, après Arteta il semble plus dans l’idée de faire tourner les runs de match que de chanter tous les 2 jours. Mais tout ça vient du fait qu’on joue un jour par semaine. Si on était en CL on se rendrait même pas compte qu’on a 4 titulaires pour 3 postes. Après on a été épargné par les blessures et le Covid à ces postes. Ça durera pas éternellement. Bref je pense qu’il y a aucun soucis. Il vont tous faire plus de 20 matchs titulaires. Ça veut aussi dire que le match ou un sera moins bien on peut enfin faire des vrais changements à la 60ieme minutes. De toute façon j’ai toujours pensé que c’était ça l’environnement idéal pour faire progresser les jeunes: de la concurrence mais pas contre une légende du club titulaire à coup sûr. C’est bien plus sain que 35 titularisations et le gros que la responsabilité offensive sur leurs épaules. C’est ce que Saka a eu un peu la saison passée et ça peut être un peu trop pour un jeune de 20 ans.
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