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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

Arsène Wenger


GBC

Messages recommandés

Si son départ n’était pas attendu et souhaité par tous, certainement que les joueurs auraient eu un sursaut d'orgueil pour leur coach.

 

Des ingrats, qui lui doivent pour la plupart beaucoup. Pitoyables joueurs

I never sleep, 'cause sleep is the cousin of death

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à la limite ils ne devaient même pas être motivé à jouer une Finale sous sa houlette.

Et ben c’est qu’ils ont 2 de QI ... car même pour leurs propres intérêts, ils auraient dû se défoncer pour aller en finale.

1/ T’es sportif de haut niveau, quand tu entends le mot « finale » c’est censé te transcender, sinon arrête la compétition et va jouer seul dans ton jardin

2/ Financièrement ils ont tout à y gagner d’aller en finale et se qualifier en LDC. Plus de primes, meilleure marge de négociation sur les prolongations

3/ Ils sont déjà tous scrutés par le prochain coach, qui doit déjà faire sa liste de boulets à exclure

4/ Ils sont aussi scrutés par d’autres clubs qui pourraient leur offrir un nouveau contrat juteux, avec une prestation pareil ça m’etonnerait que ça se bouscule au portillon pour eux ... sans LDC ils passent dans une catégorie en dessous des joueurs des clubs européens qualifiés

5/ Quand t’as un minimum d’amour propre tu te bouges le cul quand t’es en demie-finale d’une compétition européenne vue par une bonne partie de la planète. Surtout que 80% de l’effectif ils ne revivront jamais ça car ils ont tout simplement pas le niveau pour y re-accéder sauf miracle
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Invité Killian

Le caractère ça ne fait pas  tout, surtout face à l'Atletico.

 

Arsenal paye ses carences dans le jeu, l'agressivité défensive, son réalisme, l'annonce du départ de Wenger n'a rien changé.

Son coaching a été innexistant, le cas Mkhitaryan une cata.

 

Les joueurs même Ozil se sont battus, mais le football ce n'est pas que le combat.

En deux semaines on ne corrige pas des années d’errance. 

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Invité Killian

Oh que non, le prochain manager ne devra pas faire les mêmes erreurs qu'Arsène.

 

 

Le prochain coach devra surtout aux exigences de résultats et de jeu.

Qu'il soit investi oui, mais je lui souhaite d'avoir des passions et une vie à côté, c'est le meilleur moyen pour prendre du recul sur son travail et de produire du travail de qualité.

 

Surtout le prochain coach n'aura que le terrain à s'occuper, et c'est déjà bien assez.

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Qu'il soit investi oui, mais je lui souhaite d'avoir des passions et une vie à côté, c'est le meilleur moyen pour prendre du recul sur son travail et de produire du travail de qualité.

 

euh j'ai suffisamment lu de choses sur Wenger pour penser qu'il est intéressé par énormément de choses en dehors du foot et a beaucoup de recul en dehors du foot, bien plus que la plupart des coachs.

 

Par contre, la différence entre lui et les autres est que lui a décidé de se consacrer à un seul club, et effectivement c'est un choix qui n'appartient qu'à lui et que les autres ne sont pas obligés de reproduire.

 

Autre différence avec certains autres coachs certains voient en lui une volonté de s'enferrer dans un style de jeu et de joueurs que n'auraient pas d'autres coachs : s'agit-il d'un manque de recul ? je ne pense pas, je pense vraiment que c'est plutôt une question de choix, il a toujours dit que gagner n'est pas tout pour lui, le style est tout aussi important. Il y a quelques autres coachs comme ça, mais beaucoup d'autres priorisent la victoire avant tout. Ca on peut aussi lui reprocher mais je ne pense pas que ça soit par manque de recul (ou par sénilité comme certains l'en ont accusé)

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Invité Killian

euh j'ai suffisamment lu de choses sur Wenger pour penser qu'il est intéressé par énormément de choses en dehors du foot et a beaucoup de recul en dehors du foot, bien plus que la plupart des coachs.

 

Par contre, la différence entre lui et les autres est que lui a décidé de se consacrer à un seul club, et effectivement c'est un choix qui n'appartient qu'à lui et que les autres ne sont pas obligés de reproduire.

 

Autre différence avec certains autres coachs certains voient en lui une volonté de s'enferrer dans un style de jeu et de joueurs que n'auraient pas d'autres coachs : s'agit-il d'un manque de recul ? je ne pense pas, je pense vraiment que c'est plutôt une question de choix, il a toujours dit que gagner n'est pas tout pour lui, le style est tout aussi important. Il y a quelques autres coachs comme ça, mais beaucoup d'autres priorisent la victoire avant tout. Ca on peut aussi lui reprocher mais je ne pense pas que ça soit par manque de recul (ou par sénilité comme certains l'en ont accusé)

 

C'est pas moi qui le dit mais Wenger lui même, et ses proches.

 

Contrairement à SAF qui est souvent pris en contre exemple, il n'a que le football, et donc Arsenal du matin au soir.

 

Il a décidé de se consacrer à Arsenal oui et non, il était tombé dans un confort, est devenu dépassé dans beaucoup de domaine et n'as pas su se remettre en question.

Cela fait des années qu'il n'y a plus de style à Arsenal, juste un groupe de joueurs à la dérive.

Jusqu'au jour ou tout le monde en a eu marre, et que la direction lui a indiqué la sortie.

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C'est pas moi qui le dit mais Wenger lui même, et ses proches.

 

Contrairement à SAF qui est souvent pris en contre exemple, il n'a que le football, et donc Arsenal du matin au soir.

 

 

je sais pas quand il a dit ça, mais dans ses interviews il peut parler de beaucoup de sujets en disant des choses intéressantes, je doute qu'on puisse faire ça en ne s'intéressant à rien d'autre qu'au football, et je doute que beaucoup de coachs en soient capables

 

Qu'il ait peu de loisirs de pure distraction, certainement, contrairement à Sir Alex qui boit du pinard et va voir les matchs à Wimbledon en mâchant son chewing-gum, c'est peut-être ce que voulaient dire ses amis.

 

Mais qu'il ne s'intéresse qu'au football et n'ait aucun recul, ses interviews me montrent clairement le contraire.

 

Qu'il ait été "dépassé" de la manière dont vous le voyez sur ce forum, c'est-à-dire qu'il ne soit pas capable de voir ce que vous purs amateurs de foot de forum pouvez tous voir, je ne le crois pas un instant non plus.

 

Pour moi c'était ni un problème de sénilité, de manque d'intelligence ou de recul, c'était seulement qu'il voulait jouer à sa manière, la victoire n'étant pas le principal. Incontestablement il a eu beaucoup de chance de pouvoir faire les choses à sa manière dans un club aussi important, il a eu ce confort rare. Ca c'est incontestable. Mais je pense qu'il était parfaitement capable de comprendre ce que vous tous vous disiez (et bien plus), de "se remettre en question" comme tu dis, simplement il ne voulait pas changer, il ne voulait pas gagner plus d'une autre manière. C'est un choix individuel qui lui appartient, on est comme ça nous les vieux, on est moins bêtes/séniles que ce que pensent les jeunes mais on a nos principes et on est moins soumis aux modes et aux ambitions de votre époque/âge.

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C’est bien joli mais dans ce cas il a bullshité tout le monde en claironnant pendant des années que l’équipe jouait le titre, alors qu’il savait que ce n’était pas le cas.

 

 

il pensait qu'en jouant à sa manière, l'équipe pouvait jouer le titre (et on n'a pas non plus été si loin certaines fois, quand on voit que Leicester a gagné le titre, c'était pas impossible)

 

donc oui il jouait le titre mais n'était pas prêt à renoncer à sa façon de voir le foot pour autant, pour d'autres seul le résultat compte

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il pensait qu'en jouant à sa manière, l'équipe pouvait jouer le titre (et on n'a pas non plus été si loin certaines fois, quand on voit que Leicester a gagné le titre, c'était pas impossible)

 

donc oui il jouait le titre mais n'était pas prêt à renoncer à sa façon de voir le foot pour autant, pour d'autres seul le résultat compte

 

L'année où Leicester remporte le titre toutes les grosses équipes étaient à la rue... Mais on arrive tout de même réussi à se vautrer 

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il pensait qu'en jouant à sa manière, l'équipe pouvait jouer le titre (et on n'a pas non plus été si loin certaines fois, quand on voit que Leicester a gagné le titre, c'était pas impossible)

 

donc oui il jouait le titre mais n'était pas prêt à renoncer à sa façon de voir le foot pour autant, pour d'autres seul le résultat compte

 

Du coup on en revient au manque de clairvoyance s'il pensait réellement pouvoir jouer le titre. Année après année on avait envie d'y croire en temps que supporters, d'autant plis que le coach le disait, mais si on veut analyser objectivement et honnêtement le club, il y a des années (8 ans ?) qu'il n'a plus le niveau pour viser le titre. Un coup improbable comme Leicester ça arrive une fois tous les 50 ans (et c'est tombé sur Leicester, pas sur Arsenal). C'est une chose que de passer quelques journées au contact de la tête, voire en tête, c'est autre chose de maintenir une perf constante toute une saison, ce qu'on a pas vu depuis longtemps.

 

Tourne les choses comme tu veux, mais s'il y croyait c'est un manque de clairvoyance, et s'il n'y croyait pas il a bullshité. Et je l'ai déjà dit, mais le divorce avec une grosse fraction des supporters vient à mon avis de ce décalage entre un discours irréaliste et la réalité du terrain. S'il avait dit clairement qu'on avait le niveau pour être régulièrement dans le top 4, sans parler de titre en début de saison, qu'il préférait faire progresser les joueurs qu'il avait plutôt que d'acheter des stars (au lieu de dire qu'il n'y avait pas mieux que Walcott), etc, etc, tout le monde n'aurait sans doute pas adhéré mais au moins ça aurait été honnête et il aurait conservé le respect de tous.

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Du coup on en revient au manque de clairvoyance s'il pensait réellement pouvoir jouer le titre. Année après année on avait envie d'y croire en temps que supporters, d'autant plis que le coach le disait, mais si on veut analyser objectivement et honnêtement le club, il y a des années (8 ans ?) qu'il n'a plus le niveau pour viser le titre. Un coup improbable comme Leicester ça arrive une fois tous les 50 ans (et c'est tombé sur Leicester, pas sur Arsenal). C'est une chose que de passer quelques journées au contact de la tête, voire en tête, c'est autre chose de maintenir une perf constante toute une saison, ce qu'on a pas vu depuis longtemps.

 

Tourne les choses comme tu veux, mais s'il y croyait c'est un manque de clairvoyance, et s'il n'y croyait pas il a bullshité. Et je l'ai déjà dit, mais le divorce avec une grosse fraction des supporters vient à mon avis de ce décalage entre un discours irréaliste et la réalité du terrain. S'il avait dit clairement qu'on avait le niveau pour être régulièrement dans le top 4, sans parler de titre en début de saison, qu'il préférait faire progresser les joueurs qu'il avait plutôt que d'acheter des stars (au lieu de dire qu'il n'y avait pas mieux que Walcott), etc, etc, tout le monde n'aurait sans doute pas adhéré mais au moins ça aurait été honnête et il aurait conservé le respect de tous.

 

 

Le job d'un entraineur c'est pas de prédire aux fans le classement de fin d'année, c'est de faire le mieux possible. C'est du sport, c'est pas boursorama

 

Vous pouvez lui reprocher de ne pas avoir mis tous les moyens pour gagner, mais lui reprocher de ne pas vous avoir dit "écoutez les gars on va finir 5e en fin d'année" je trouve ça fort de café

 

J'avoue avoir du mal avec cette vision du sport comme un business comme un autre

 

C'est une chose que de passer quelques journées au contact de la tête, voire en tête, c'est autre chose de maintenir une perf constante toute une saison, ce qu'on a pas vu depuis longtemps.

 

il y a à peine 3 ans je crois on a fait la meilleure année civile de toutes les équipes d'Angleterre, donc je ne vois pas en quoi c'était impossible et il n'avait pas le droit d'y croire, improbable oui mais impossible non

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Le job d'un entraineur c'est pas de prédire aux fans le classement de fin d'année, c'est de faire le mieux possible. C'est du sport, c'est pas boursorama
 
Vous pouvez lui reprocher de ne pas avoir mis tous les moyens pour gagner, mais lui reprocher de ne pas vous avoir dit "écoutez les gars on va finir 5e en fin d'année" je trouve ça fort de café


Je n'ai pas dit "prédire le classement", mais être honnête sur les objectifs réalistes du club. Ca n'empêche pas derrière de faire le mieux possible pour les dépasser, ça n'empêche pas non plus de se ramasser et de faire moins bien, mais dire que oui bien on joue le titre alors qu'en réalité on en n'a pas les moyens c'est ridicule.

 

 

J'avoue avoir du mal avec cette vision du sport comme un business comme un autre

 

Quel rapport ?

 

il y a à peine 3 ans je crois on a fait la meilleure année civile de toutes les équipes d'Angleterre, donc je ne vois pas en quoi c'était impossible et il n'avait pas le droit d'y croire, improbable oui mais impossible non

 

Je peux aussi gagner au loto, ce n'est pas impossible hein...

 

La meilleure année civile ça ne veut pas dire grand chose. C'est sous la pression du favori au moment de conclure qu'on voit les champions, et Arsenal depuis longtemps flanche quand la pression est là.

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C'est sous la pression du favori au moment de conclure qu'on voit les champions, et Arsenal depuis longtemps flanche quand la pression est là.

 

 

oui j'imagine bien Wenger dire (et même penser) "raisonnablement on va faire une bonne 1e partie de saison mais quand on va être en tête on va flancher mentalement" ou bien "je dois prévenir les supporters, j'ai des bons joueurs mais je dois vous dire que mentalement ils vont flancher dès que ça deviendra important", super-manière de préparer ses joueurs.

 

Si tu considères que le flanchage mental était écrit d'avance, alors oui il est fort possible que Wenger n'ait pas eu ta "lucidité"

 

Quel rapport ?

 

 

le rapport c'est que dans un cas il y a "la glorieuse incertitude du sport", un concept avec lequel manifestement beaucoup de fans de sport ont du mal ... c'est d'ailleurs peut-être pour ça qu'ils aiment le foot de club car on a réussi à limiter l'incertitude par la différence de fric entre clubs

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oui j'imagine bien Wenger dire (et même penser) "raisonnablement on va faire une bonne 1e partie de saison mais quand on va être en tête on va flancher mentalement" ou bien "je dois prévenir les supporters, j'ai des bons joueurs mais je dois vous dire que mentalement ils vont flancher dès que ça deviendra important", super-manière de préparer ses joueurs.
 
Si tu considères que le flanchage mental était écrit d'avance, alors oui il est fort possible que Wenger n'ait pas eu ta "lucidité"

Wenger est censé connaître ses joueurs, ce dont ils sont capables individuellement et collectivement et à tous les niveaux.

 
 

le rapport c'est que dans un cas il y a "la glorieuse incertitude du sport", un concept avec lequel manifestement beaucoup de fans de sport ont du mal ... c'est d'ailleurs peut-être pour ça qu'ils aiment le foot de club car on a réussi à limiter l'incertitude par la différence de fric entre clubs

 

Quand année après année le même scénario se répète, évoquer la glorieuse incertitude du sport pour expliquer qu'on n'a jamais été en position de jouer le titre que soit-disant on visait, c'est un peu la grosse solution de facilité.

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Bon, je profite de ce dernier match à domicile pour partager un post Facebook écrit y a 2 semaines de cela. Il était adressé à des trolls parlant de Wenger comme "moins marquant que Guy Roux".

Pas du tout des gunners donc.

 

C'est assez long par contre ^^

 

[spoiler]Une semaine après l'annonce du départ de Wenger, les réactions sont assez mitigées, à ma plus grande surprise.



Certains saluent l'apport de Wenger à la Premier League, d'autres retiennent uniquement ses dernières années à Arsenal. Parce que oui, il y a eu plusieurs ères Wenger depuis son arrivée.



Il est intéressant de rappeler pourquoi Wenger est considéré comme LE coach de toute l'histoire d'Arsenal, et une légende de Premier League.

Tout d'abord, il serait bien de rappeler qu'Arsenal FC a eu déjà dans son histoire un entraineur ayant révolutionné le football mondial, en son temps, en la personne de Herbert Chapman.



Un entraineur qu'il est bien de savoir, il vaut la peine d'effectuer des recherches sur ses accomplissements. La révolution apportée au football par ce cher monsieur est plus tactique, les équipes jouant, avant lui, en 2-3-5 ou 1-1-8 (systèmes très adaptés au Kick and Rush britannique). M. Chapman fut le créateur du système dit "WM", que l'on appellerait aujourd'hui 3-4-3, qui a ensuite donné naissance au 4-4-2toujours utilisé de nos jours. Pour rappel, M. Chapman est décédé lors de sa dernière saison à Arsenal, en 1934.

Comment se fait-il que Wenger soit considéré comme le plus grand entraineur d'Arsenal alors ? Chapman a bien apporté au club son premier titre de champion de D1, et donné au club 2 autres titres nationaux, sa dernière saison, inachevée, ayant aussi menée à un titre ...

Eh bien c'est juste parce que Wenger a aussi bien révolutionné le football anglais que Chapman, dans l'aspect tactique, tout en y apportant une nouvelle touche dépassant ce cadre. Difficile à accepter, n'est-ce pas ?



La première révolution Wenger porte sur le professionnalisme des joueurs, si l'on peut dire. A son arrivée en 1992, il a trouvé sur place l'équipe du "Boring Arsenal", une équipe de guerriers à la défense imprenable et avec devant le grand attaquant qu'est Ian Wright. Il suffisait d'encaisser un seul but pour être sûr de perdre un match face à Arsenal. Cette équipe a eu à remporter le titre en 1991, avec une seule défaite enregistrée, et la coupe des vainqueurs de coupe en 1994. D'ailleurs c'est pour des raisons de corruption que l'entraineur de l'époque fut démis de ses fonctions, menant le club à Arsène Wenger.

Cette équipe du "Boring Arsenal" représentait la seconde ère dorée d'Arsenal, mais manquait cruellement de professionnalisme, comme on le conçoit de nos jours. En effet, il n'était pas rare de voir les joueurs consommer de la boisson alcoolisée à la mi-temps ou en fin de matchs, ainsi que ce qu'on appelle la malbouffe aujourd'hui.

Le premier apport de Wenger fut donc l'arrêt de tout ceci, instaurant une discipline alimentaire stricte, menant aujourd'hui à l'intégration des diététiciens dans le monde du football. Les joueurs ayant participé au "Boring Arsenal" lui en sont aujourd'hui reconnaissants, cette mesure ayant prolongé leur carrière de quelques années selon eux.



Puis arrivent les entrainements. Avant Wenger, les entrainements au football et en athlétisme avaient presque tout en commun. Endurance, vitesse, 400m à ne plus finir ... Les joueurs couraient, couraient, couraient ... Second changement apporté, les entrainements avec ballon. Depuis lors les joueurs courent toujours, mais au moins ils le font balle au pieds. Pas une révolution ? D'accord, mais tous les coachs le font aujourd'hui, donc il peut être quand même considéré comme telle.



Après les habitudes de vie et les entrainements arrivent les changements dans le jeu des équipes. Le Kick and Rush était pratiqué par toutes les équipes, mettant en exergue les attaquants rapides et puissants ainsi que les pivots à la tête très précise, assurés par une grosse défense derrière pas du tout occupée par la conservation ni la relance. On dégage le plus loin possible, vers les attaquants si possible.

Avec Wenger, on pose la balle au sol. Un mélange de jeu de possession et de jeu de contre, pour mettre à mal la domination du Manchester de Ferguson ( 13 titres en 20 ans, du jamais vu en Angleterre), allant jusqu'à créer cette rivalité entre les deux clubs entre 2001 et 2004. Ce n'est pas pour rien que Ferguson considère Wenger comme son meilleur ennemi. Rivalité dans le respect (coucou Mourinho), agressivité sur le terrain, considération au dehors. En témoigne la relation entre Vieira et Keane (un interview commun est disponible sur Youtube, ça en vaut le coup).

Ce style de jeu, pas du tout connu en Angleterre avant Wenger, l'a mené à mettre en place la meilleur équipe en terme de football, entre 2008 et 2011, après le Barça de Guardiola. Souvenez-vous juste du surnom de Barcenal ou Arselona donné à Arsenal. Un style très ibérique, fait de mouvements, de jeux en triangle, et très axé technique. Aujourd'hui, plusieurs équipes de Premier League imitent ce style, alors qu'Arsenal était le seul club à le pratiquer avant. N'est-ce pas un exemple de révolution ?



Ensuite, autre apport de Wenger dans le fonctionnement de la PL, la gestion du club. Faisons un petit rappel, au départ Arsenal était en concurrence avec Manchester United, club pionnier dans l'aspect marketing sportif, et encore parmi les mieux vendus dans le monde aujourd'hui. Puis il y a eu Chelsea ou plutôt Abramovitch, premier investisseur extérieur en PL. Le modèle Chelsea ayant porté ses fruits, avec les titres de 2005 et 2006, on a une multiplication des grands investisseurs en PL. QPR d'abord, puis Manchester City, ensuite Leicester et Fulham, avec des réussites différentes.

Face à cette nouvelle concurrence "dopée" financièrement, Arsenal se devait de réagir en mettant en place un plan viable sur le long terme. Première action : construction d'un stade ultramoderne pour augmenter les revenus de jours de match. Bye bye Highbury, Welcome Ashburton Groove, aujourd'hui dénommé Emirates Stadium. Ce joyau, ayant couté 750 millions d'euros au club, a été entièrement financé par Arsenal, presque tous les revenus financiers y passant.



Pour être positif en fin de saison, il n'est plus du tout possible d'acheter des joueurs confirmés, ni même de conserver tout l'effectif. Résultat ? Les Baby Gunners remplacent les Invincibles, tous vendus, puis les Baby Gunners sont eux même vendus en majorité, jusqu'à ce que les frais de construction du stade soient remboursés à la banque. Ce modèle est aujourd'hui répliqué par certains clubs, dont l'Olympique Lyonnais, pour la construction du Parc OL.



Et ce n’est pas tout, en terme d’apports de Wenger, les équipes dites « Invincibles » et « Baby-Gunners » ont un autre lien très important, la nature très internationale de ces effectifs. Wenger est le premier entraineur à autant miser sur les joueurs étrangers, présentant pour la première fois en PL une feuille de match sans joueur britannique en 2011. Pas du tout important ? Demandez à Aguero, De Bruyne, Salah, Kanté, Mahrez … Ces joueurs étrangers ayant marque la PL ces dernières années. Il a fallu une première fois, il y a eu la première fois avec les frenchies d’Arsenal (Henry, Pires, Vieira, Anelka …) ainsi que leurs partenaires comme Bergkamp et Ljungberg.



Enfin, sa dernière révolution fut en quelque sorte le résultat de tout ce qui précède. Wenger est le premier entraineur non britannique à succès, en PL. La preuve, le jour de sa présentation, un journal londonien ironisait en titrant à la Une « Arsène Who ? ». Aujourd’hui, Arsène Who est devenu une légende de la Premier League, présent dans le Hall of Fame de la Premier League au même titre que Sir Alex Ferguson. Il est donc en quelque sorte le précurseur des Benitez, Guardiola, Mourinho, Ancelotti et Ranieri, autres entraineurs à succès de la Premier League.



C’est donc ce grand Monsieur qui a annoncé son départ d’Arsenal. Ce grand Monsieur ayant tellement apporté au club, mais pour qui on ne retient que ses dernières saisons, pourtant marquées par 3 trophées en 5 ans, 6 si l’on compte le Community Shield. Il a été rattrapé par la faim des supporters, qui réclament un titre majeur, la Premier League de préférence, qui manque au club depuis 14 ans. Mais surtout, parce que les supporters ne croient plus que Wenger soit capable de mener le club à la victoire finale en PL ou LDC. A tort ou à raison, on estime que Arsenal a besoin d’un souffle nouveau.



Ce nouveau souffle arrivera dès l’été 2018, Arsenal ayant commencé sa restructuration depuis l’été 2017, avec l’ancien chef scout de Dortmund (Mislintat), l’ancien directeur sportif de Barcelone (Sanhelli), l’ancien responsable des contrats de Sky (Fahmy) et Burgess, un des premiers préparateurs physiques à utiliser les technologies GPS, et expert en Data Science au passage. La chaine de décision mue , les pouvoirs de Wenger diminuant de plus en plus depuis lors. L’avenir est donc encore flou, mais assez excitant du point du vue supporter, mais il ne doit pas nous faire oublier ce que Wenger a eu à réaliser pour la Premier League en général et Arsenal en particulier.



Respectons Arsène Wenger, il a eu sa période de moins bien récemment, les trolls « Wenger Out » en attestant, mais comme toute légende, il ne mérite que du respect et des remerciements, de la part de tous les amateurs de football.



Merci Arsène.[/spoiler]

"To all the Arsenal lovers take care of the values of the club."

 

Merci Arsène

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Bon, je profite de ce dernier match à domicile pour partager un post Facebook écrit y a 2 semaines de cela. Il était adressé à des trolls parlant de Wenger comme "moins marquant que Guy Roux".

Pas du tout des gunners donc.

 

C'est assez long par contre happy.png

 

[spoiler]Une semaine après l'annonce du départ de Wenger, les réactions sont assez mitigées, à ma plus grande surprise.



Certains saluent l'apport de Wenger à la Premier League, d'autres retiennent uniquement ses dernières années à Arsenal. Parce que oui, il y a eu plusieurs ères Wenger depuis son arrivée.



Il est intéressant de rappeler pourquoi Wenger est considéré comme LE coach de toute l'histoire d'Arsenal, et une légende de Premier League.

Tout d'abord, il serait bien de rappeler qu'Arsenal FC a eu déjà dans son histoire un entraineur ayant révolutionné le football mondial, en son temps, en la personne de Herbert Chapman.



Un entraineur qu'il est bien de savoir, il vaut la peine d'effectuer des recherches sur ses accomplissements. La révolution apportée au football par ce cher monsieur est plus tactique, les équipes jouant, avant lui, en 2-3-5 ou 1-1-8 (systèmes très adaptés au Kick and Rush britannique). M. Chapman fut le créateur du système dit "WM", que l'on appellerait aujourd'hui 3-4-3, qui a ensuite donné naissance au 4-4-2toujours utilisé de nos jours. Pour rappel, M. Chapman est décédé lors de sa dernière saison à Arsenal, en 1934.

Comment se fait-il que Wenger soit considéré comme le plus grand entraineur d'Arsenal alors ? Chapman a bien apporté au club son premier titre de champion de D1, et donné au club 2 autres titres nationaux, sa dernière saison, inachevée, ayant aussi menée à un titre ...

Eh bien c'est juste parce que Wenger a aussi bien révolutionné le football anglais que Chapman, dans l'aspect tactique, tout en y apportant une nouvelle touche dépassant ce cadre. Difficile à accepter, n'est-ce pas ?



La première révolution Wenger porte sur le professionnalisme des joueurs, si l'on peut dire. A son arrivée en 1992, il a trouvé sur place l'équipe du "Boring Arsenal", une équipe de guerriers à la défense imprenable et avec devant le grand attaquant qu'est Ian Wright. Il suffisait d'encaisser un seul but pour être sûr de perdre un match face à Arsenal. Cette équipe a eu à remporter le titre en 1991, avec une seule défaite enregistrée, et la coupe des vainqueurs de coupe en 1994. D'ailleurs c'est pour des raisons de corruption que l'entraineur de l'époque fut démis de ses fonctions, menant le club à Arsène Wenger.

Cette équipe du "Boring Arsenal" représentait la seconde ère dorée d'Arsenal, mais manquait cruellement de professionnalisme, comme on le conçoit de nos jours. En effet, il n'était pas rare de voir les joueurs consommer de la boisson alcoolisée à la mi-temps ou en fin de matchs, ainsi que ce qu'on appelle la malbouffe aujourd'hui.

Le premier apport de Wenger fut donc l'arrêt de tout ceci, instaurant une discipline alimentaire stricte, menant aujourd'hui à l'intégration des diététiciens dans le monde du football. Les joueurs ayant participé au "Boring Arsenal" lui en sont aujourd'hui reconnaissants, cette mesure ayant prolongé leur carrière de quelques années selon eux.



Puis arrivent les entrainements. Avant Wenger, les entrainements au football et en athlétisme avaient presque tout en commun. Endurance, vitesse, 400m à ne plus finir ... Les joueurs couraient, couraient, couraient ... Second changement apporté, les entrainements avec ballon. Depuis lors les joueurs courent toujours, mais au moins ils le font balle au pieds. Pas une révolution ? D'accord, mais tous les coachs le font aujourd'hui, donc il peut être quand même considéré comme telle.



Après les habitudes de vie et les entrainements arrivent les changements dans le jeu des équipes. Le Kick and Rush était pratiqué par toutes les équipes, mettant en exergue les attaquants rapides et puissants ainsi que les pivots à la tête très précise, assurés par une grosse défense derrière pas du tout occupée par la conservation ni la relance. On dégage le plus loin possible, vers les attaquants si possible.

Avec Wenger, on pose la balle au sol. Un mélange de jeu de possession et de jeu de contre, pour mettre à mal la domination du Manchester de Ferguson ( 13 titres en 20 ans, du jamais vu en Angleterre), allant jusqu'à créer cette rivalité entre les deux clubs entre 2001 et 2004. Ce n'est pas pour rien que Ferguson considère Wenger comme son meilleur ennemi. Rivalité dans le respect (coucou Mourinho), agressivité sur le terrain, considération au dehors. En témoigne la relation entre Vieira et Keane (un interview commun est disponible sur Youtube, ça en vaut le coup).

Ce style de jeu, pas du tout connu en Angleterre avant Wenger, l'a mené à mettre en place la meilleur équipe en terme de football, entre 2008 et 2011, après le Barça de Guardiola. Souvenez-vous juste du surnom de Barcenal ou Arselona donné à Arsenal. Un style très ibérique, fait de mouvements, de jeux en triangle, et très axé technique. Aujourd'hui, plusieurs équipes de Premier League imitent ce style, alors qu'Arsenal était le seul club à le pratiquer avant. N'est-ce pas un exemple de révolution ?



Ensuite, autre apport de Wenger dans le fonctionnement de la PL, la gestion du club. Faisons un petit rappel, au départ Arsenal était en concurrence avec Manchester United, club pionnier dans l'aspect marketing sportif, et encore parmi les mieux vendus dans le monde aujourd'hui. Puis il y a eu Chelsea ou plutôt Abramovitch, premier investisseur extérieur en PL. Le modèle Chelsea ayant porté ses fruits, avec les titres de 2005 et 2006, on a une multiplication des grands investisseurs en PL. QPR d'abord, puis Manchester City, ensuite Leicester et Fulham, avec des réussites différentes.

Face à cette nouvelle concurrence "dopée" financièrement, Arsenal se devait de réagir en mettant en place un plan viable sur le long terme. Première action : construction d'un stade ultramoderne pour augmenter les revenus de jours de match. Bye bye Highbury, Welcome Ashburton Groove, aujourd'hui dénommé Emirates Stadium. Ce joyau, ayant couté 750 millions d'euros au club, a été entièrement financé par Arsenal, presque tous les revenus financiers y passant.



Pour être positif en fin de saison, il n'est plus du tout possible d'acheter des joueurs confirmés, ni même de conserver tout l'effectif. Résultat ? Les Baby Gunners remplacent les Invincibles, tous vendus, puis les Baby Gunners sont eux même vendus en majorité, jusqu'à ce que les frais de construction du stade soient remboursés à la banque. Ce modèle est aujourd'hui répliqué par certains clubs, dont l'Olympique Lyonnais, pour la construction du Parc OL.



Et ce n’est pas tout, en terme d’apports de Wenger, les équipes dites « Invincibles » et « Baby-Gunners » ont un autre lien très important, la nature très internationale de ces effectifs. Wenger est le premier entraineur à autant miser sur les joueurs étrangers, présentant pour la première fois en PL une feuille de match sans joueur britannique en 2011. Pas du tout important ? Demandez à Aguero, De Bruyne, Salah, Kanté, Mahrez … Ces joueurs étrangers ayant marque la PL ces dernières années. Il a fallu une première fois, il y a eu la première fois avec les frenchies d’Arsenal (Henry, Pires, Vieira, Anelka …) ainsi que leurs partenaires comme Bergkamp et Ljungberg.



Enfin, sa dernière révolution fut en quelque sorte le résultat de tout ce qui précède. Wenger est le premier entraineur non britannique à succès, en PL. La preuve, le jour de sa présentation, un journal londonien ironisait en titrant à la Une « Arsène Who ? ». Aujourd’hui, Arsène Who est devenu une légende de la Premier League, présent dans le Hall of Fame de la Premier League au même titre que Sir Alex Ferguson. Il est donc en quelque sorte le précurseur des Benitez, Guardiola, Mourinho, Ancelotti et Ranieri, autres entraineurs à succès de la Premier League.



C’est donc ce grand Monsieur qui a annoncé son départ d’Arsenal. Ce grand Monsieur ayant tellement apporté au club, mais pour qui on ne retient que ses dernières saisons, pourtant marquées par 3 trophées en 5 ans, 6 si l’on compte le Community Shield. Il a été rattrapé par la faim des supporters, qui réclament un titre majeur, la Premier League de préférence, qui manque au club depuis 14 ans. Mais surtout, parce que les supporters ne croient plus que Wenger soit capable de mener le club à la victoire finale en PL ou LDC. A tort ou à raison, on estime que Arsenal a besoin d’un souffle nouveau.



Ce nouveau souffle arrivera dès l’été 2018, Arsenal ayant commencé sa restructuration depuis l’été 2017, avec l’ancien chef scout de Dortmund (Mislintat), l’ancien directeur sportif de Barcelone (Sanhelli), l’ancien responsable des contrats de Sky (Fahmy) et Burgess, un des premiers préparateurs physiques à utiliser les technologies GPS, et expert en Data Science au passage. La chaine de décision mue , les pouvoirs de Wenger diminuant de plus en plus depuis lors. L’avenir est donc encore flou, mais assez excitant du point du vue supporter, mais il ne doit pas nous faire oublier ce que Wenger a eu à réaliser pour la Premier League en général et Arsenal en particulier.



Respectons Arsène Wenger, il a eu sa période de moins bien récemment, les trolls « Wenger Out » en attestant, mais comme toute légende, il ne mérite que du respect et des remerciements, de la part de tous les amateurs de football.



Merci Arsène.[/spoiler]

 

Joli texte !

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Je suis pas triste de son départ. J'oublie pas les bons moments comme les moins bon. Mais le club regressait saison après saison. Avant il y avait des titres majeurs du beau jeux des grands joueurs. Ces dernières années pas de titre majeurs pas de beau jeux peu de grands joueurs et on passait plus les 8em de c1 pour ne plus du tout l'a joué à la fin... fallait arrêter tout ça.


On va enfin entamer une nouvelle ère. Gazidis a fait un excellent coup en signant Sven Misltintat. J'ai entièrement confiance en lui.

Rien qu'au mercato hivernal il signe 2 joueurs offensifs. Chose qu'on voyait jamais avec Wenger. Aubam est régulièrement décisif Mikhy est un joueur formidable et Mavropanos est un gros potentiel qui peut déjà avoir un impact en équipe première.


Au niveau du coach il souhaite un tacticien qui pourrait faire progresser l'équipe sans pour autant lâcher 200M. L'adjoint de Klopp ça m'intéresse beaucoup quand je vois le jeux qu'il pratique aujourd'hui à Liverpool et à Dortmund précédemment.


J'ai l'impression que le club va enfin être à sa place. Finit le confort instauré par Wenger. Ou il etait tout seul au pouvoir. Pas le moment d'être triste au contraire. La situation est très excitante.
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