Franchement, je suis aussi très heureux de le voir aujourd'hui réussir.
Ce qu'il a réussi à faire est tout bonnement magistral. Et pour moi, ce qui était le plus dur, c'était hors du terrain.
Recréer une mentalité saine de travail, un environnement de travail cohérent, purger un groupe, développer des jeunes, c'est extrêmement dur à faire.
A chacun de ses choix forts, on est jugés. Si ça rate, tout le monde est prêt à te sauter à la gorge.
Sur ce mercato estival, si une de ces recrues n'avaient pas fonctionné, on ne serait pas là aujourd'hui. Et à la fin de la saison, vu le budget qu'on lui a donné, il aurait pris la porte.
En plus de cela, c'est que ça reste dans l'identité d'Arsenal. Donner sa chance à un entraîneur qui n'a pas forcément prouvé au plus haut niveau.
Et ça, c'est beau.
On a eu énormément de chance de tomber sur lui. On a un autre exemple de club qui n'a justement pas trouvé son Arteta, Manchester United.