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lô le gunners

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  1. lô le gunners

    [Entraineur] Mikel Arteta

    on n'a pas progressé sur la gestion des matchs; on a stagné cette année avec un recrutement plus que discutable , dommage
  2. lô le gunners

    [9] Gabriel Jesus

    https://www.onzemondial.com/premier-league/arsenal-gabriel-jesus-l-incroyable-porte-bonheur-des-gunners-935714
  3. Fin du marché des transferts : pour le football, ce sera la révolution ou le krach La Cour de justice de l’Union européenne a sifflé la fin de l’actuel système des transferts de footballeurs, menaçant la survie économique de nombreux clubs. Le prochain système réduira-t-il ou aggravera-t-il les inégalités entre eux ? Cet arbitre intervient rarement dans le jeu, mais ses décisions ont l’effet d’un « séisme » ou annoncent une « révolution ». Près de trente ans après l’arrêt Bosman, qui avait brutalement dérégulé le « marché » des footballeurs professionnels, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a sifflé la fin de la partie. Sa décision du 4 octobre 2024, qui devrait entrer dans l’histoire comme « l’arrêt Diarra », remet profondément en cause non seulement le système des transferts, mais aussi toute l’économie du football professionnel européen, obligeant les instances sportives à une réforme majeure. « On n’a pas la certitude que l’arrêt Diarra va mettre un terme définitif à tout système des transferts, mais l’actuel système, c’est fini », résume Antoine Duval, juriste au Centre de droit international et européen du sport de l’Institut Asser. Pour comprendre les enjeux de l’affaire, il faut remonter à l’arrêt Bosman, en décembre 1995. A la suite d’un litige opposant le joueur Jean-Marc Bosman et le club de Liège (Belgique), la CJUE décide de rendre moins contraignantes les règles qui entourent alors les contrats des joueurs, interdisant en particulier les quotas de nationalités au sein des effectifs au nom de la libre circulation des travailleurs au sein de l’Union. Faute de nouvelles régulations, la portée de l’arrêt est spectaculaire : il entraîne une explosion du nombre et des montants des transferts, la concentration des meilleurs joueurs au sein des clubs les plus riches, et leur transformation en actifs spéculatifs (Ce marché du travail est très segmenté : plus de 90 % des transferts de footballeurs ne font pas l’objet d’indemnités, seule une minorité d’entre eux ayant une valeur marchande (et touchent des rémunérations très élevées). Les transferts prennent alors une place centrale dans un football à plusieurs vitesses. Certains clubs, plutôt modestes mais experts en formation de joueurs, se spécialisent dans la formation et la vente de jeunes espoirs, sachant qu’il leur est impossible financièrement de les garder. Parmi eux, de nombreux clubs français (Le Havre, Auxerre...). D’autres clubs, de richesse intermédiaire, se spécialisent dans l’achat et la revente de joueurs à fort potentiel, à l’image en France de Lille ou de Monaco. Enfin, les clubs les plus riches profitent de la dérégulation pour attirer à prix d’or les prospects venus des clubs et championnats moins prospères. Dès lors, les montants des transferts deviennent un enjeu cardinal pour les finances des clubs. Ces montants sont déterminés par la négociation entre clubs, et dépendent, outre de la valeur sportive présumée du joueur, de critères comme son âge, son poste, sa nationalité, et surtout la durée restante de son contrat. Dans l’esprit, le montant d’un transfert correspond en effet au « rachat » par le club acheteur de la durée du contrat non effectuée au sein du club vendeur (A l’échéance de leur contrat, les joueurs sont libres de disposer de leur prochain employeur. Ainsi, Kylian Mbappé, dont la valeur de transfert était estimée autour de 180 millions d’euros en 2023, est parti cet été vers le Real Madrid sans que ce dernier n’ait rien à verser au Paris Saint-Germain. D’où la pression mise sur les joueurs pour qu’ils prolongent leurs contrats, quitte à ce que leur durée ne soit quasiment jamais respectée). Le droit de rompre son contrat, comme tout travailleur Malgré la dérégulation, les acteurs du foot ont maintenu certaines contraintes dans le but de garantir un minimum de stabilité des effectifs et la régularité des compétitions. Le système actuel, fixé par un règlement de la Fifa (la confédération mondiale du football) en 2001, est donc resté largement dérogatoire au droit européen. Par exemple, les joueurs professionnels ne peuvent changer de club en dehors des périodes autorisées (les « mercatos » d’été et d’hiver). Mais ce que la CJUE vient d’invalider, c’est que, contrairement aux travailleurs ordinaires, la Fifa leur interdit de rompre unilatéralement leur contrat, sous peine d’une suspension et de lourdes sanctions financières pour eux et pour leur nouveau club. Cette interdiction de rompre son contrat a justement été illustrée par le milieu de terrain français Lassana Diarra quand il décide de quitter le Lokomotiv Moscou, qui lui a signifié une réduction de salaire, au terme de la première des quatre années de son contrat, afin de rejoindre le Sporting de Charleroi en Belgique. S’appuyant sur le règlement de la Fifa, le Lokomotiv obtient alors la condamnation de Lassana Diarra à une suspension de quinze mois et à lui verser 10,5 millions d’euros. Menacé de devoir régler solidairement ce montant et de subir des sanctions sportives, Charleroi renonce à recruter le joueur, qui saisit alors la justice belge, soutenu par les syndicats de footballeurs. La CJUE, saisie à son tour par la Cour d’appel de Mons, vient donc de donner raison au joueur, estimant que le règlement de la Fifa incriminé, en faisant peser des risques juridiques, financiers et sportifs « de nature à entraver le transfert international des joueurs », est incompatible avec les principes de la libre concurrence et de la libre circulation des travailleurs. En clair, si un joueur veut rompre son contrat, il ne devrait régler qu’une indemnité sans rapport avec le montant de l’indemnité de transfert auparavant versée par le club pour le recruter (ni avec le montant espéré dans le cadre d’un nouveau transfert). Un paradoxal système de redistribution Or si les joueurs peuvent rompre leurs contrats plus facilement et à peu de frais, les valeurs de transfert s’effondreront. Problème : si la fin de ce cynique « marché des footballeurs » se justifie, elle tarirait les revenus de nombreux clubs et championnats dont le modèle économique repose sur la formation et la valorisation des footballeurs, c’est-à-dire sur la perception d’indemnités de transfert. « Les clubs portugais, néerlandais, belges, par exemple, ont besoin de ces revenus, leurs droits de diffusion télévisés nationaux étant beaucoup plus faibles », souligne Antoine Duval. Les clubs français, très vendeurs (hors PSG) et déjà en grande difficulté économique, seraient eux aussi très fragilisés. « Le système actuel des indemnités de transfert a paradoxalement le mérite de jouer le rôle redistributeur que n’ont pas endossé les instances régulatrices du sport, explique Loïc Ravenel, chercheur au Centre international d’étude du sport (CIES). Sans lui, beaucoup de clubs feraient faillite. » En haut de la pyramide, les clubs et championnats les plus riches, en particulier l’hégémonique Premier League anglaise, qui investissent beaucoup dans le talent sportif, affichent des balances de transferts largement négatives – leurs autres ressources (droits de diffusion, revenus commerciaux, de sponsoring et de marketing) compensent. Ces investissements « ruissellent » ainsi vers le bas, complétés par des mécanismes de solidarité qui allouent une fraction des montants des transferts vers les clubs ayant participé à la formation du joueur – jusqu’au niveau amateur. « Le marché des transferts ne fait pas entrer d’argent dans l’économie du football, il en fait sortir au profit d’intermédiaires et d’investisseurs, et circuler de manière folle. Ce système est arbitraire, pèse sur les joueurs, crée une bulle spéculative et a des conséquences extrêmement délétères : évasion fiscale, opacité, corruption, etc. Mais, malgré tout, il constitue un système redistributif », abonde Antoine Duval. « Une chance de réinventer l’économie du football » Le juriste s’élève au passage contre « l’idée totalement fausse selon laquelle l’Union européenne aurait “néolibéralisé” le football » : « L’arrêt Bosman a été accusé de tous les maux, alors qu’il prônait beaucoup plus de solidarité et de redistribution… mais pas sur la base d’un marché des transferts. Aujourd’hui, on en revient à cette injonction, jamais concrétisée par les pouvoirs sportifs : comment organiser la redistribution des clubs et ligues très riches vers les clubs et ligues moins riches ? » La Fifa a ouvert un round de négociations avec les différentes parties prenantes, en particulier les représentants des joueurs, qui souhaitent remettre à plat le système à leur avantage (En cas d’effondrement du marché des transferts, les moyens financiers des clubs riches seraient essentiellement réaffectés aux rémunérations des joueurs les plus convoités pour une part, aux actionnaires de ces clubs pour une autre.). Que peut-il en ressortir ? « L’arrêt Diarra signifie a minima qu’il faut un cadre, une méthode pour définir plus objectivement le montant d’une indemnité de transfert. Toutes les parties ayant trop à perdre à une suppression des transferts, cela les engage à élaborer des règles communes, une sorte de nouvelle convention collective. Et si l’on veut préserver les principes du sport européen (Contrairement à celui des ligues professionnelles nord-américaines (fermées mais très redistributives), le modèle européen implique « l’ouverture » des compétitions avec le système de promotion-relégation qui assure une mobilité entre les différentes divisions), il faudra bien organiser la redistribution des ressources », anticipe Loïc Ravenel. Pour l’heure, la Fifa considère n’avoir à modifier que l’article 17 de son règlement, incriminé par la CJUE, pour se mettre en conformité et permettre aux prochains « mercatos » de se dérouler normalement. « Les négociations pourraient viser les moindres bouleversements possibles, en définissant un système des transferts “light” », admet Antoine Duval. « On peut aussi militer pour un système de redistribution plus mutualisé, plus justement organisé avec des contributions mieux réparties entre tous les clubs qui ont formé un joueur, des prélèvements sur les droits TV redistribués par les ligues nationales ou par la Fifa via une sorte de fonds de réserve », avance pour sa part Loïc Ravenel. « On a une chance de réinventer l’économie du football, veut croire Antoine Duval. L’enjeu est de convaincre les organisations sportives de trouver une autre voie pour limiter les inégalités en assurant solidarité et redistribution. » Economique et juridique, le débat est également politique. La partie est ouverte et son résultat d’autant plus incertain que les règles du jeu ne sont pas encore connues. Seule chose certaine : depuis Bruxelles, l’arbitre la suivra d’un œil intransigeant. https://www.alternatives-economiques.fr/fin-marche-transferts-football-sera-revolution/00112963?utm_source=emailing&utm_medium=email&utm_content=08112024&utm_campaign=hebdo
  4. ça va être difficile pour Brest ; le shakhtar va être le match clé
  5. lô le gunners

    [20] Nuno Tavares

    je viens de voir sa stat : 9 matchs , 8 passe décisives c'est assez fou, un peu comme willock en 20/21 avec newcastle parfait pour le vendre
  6. J'ai l'occasion d'avoir le third version authentique pour 70 boules mais pas floqué... j'espérais le floqué SAKA... quelqu'un connait un site pour trouver les vrai floquage ?
  7. lô le gunners

    Staff

    c'est la crise ?
  8. Arsenal Liverpool a toujours une saveur particulière, hâte à demain
  9. lô le gunners

    [26] Folarin Balogun

    j'étais à SRFC - Monaco hier ; il a fait un excellent match; rapide et puissant, il a mis un très beau but plein de sang froid sorti sur blessure à cause de son épaule apparemment...
  10. je viens de voir le maillot en boutique ; les logo addidas et de AFC sont énormes... prennent trop de place à mon gout le home est globalement pas mal mais n'égale pas le 2020 qui est sublime
  11. Sans doute adieu le titre pour Liverpool...
  12. lô le gunners

    [3] Kieran Tierney

    titulaire ; fait le taf mais régulièrement blessé toujours du mal à comprendre ce qu'il fait en liga ; la réal sociédad est 6éme ce qui est très bien pour ce club
  13. le club vient de sortir une nouvelle collection de vêtement sympa mais les prix sont WTF en cette période d'inflation... https://arsenaldirect.arsenal.com/Clothing/Mens-Clothing/c/mens-clothing
  14. lô le gunners

    [Entraineur] Mikel Arteta

    bravo le staff, bravo Arteta, bravo les joueurs ; la copie est propre dans l'ensemble, un match convaincant tant sur le fond que sur la forme c'est la première fois cette saison que je trouve Arsenal convaincant pour la course au titre city a un très gros mois de mars, si on fait le taff d'ici là sait on jamais ... à voir si Arteta va réussir à jongler entre la PL et la LDC
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