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Rien à voir pour moi. Eux sont en total perte de confiance, ils bafouent leur football, chaque joueur individuellement connait une perte de confiance énorme, ce qui donne lieu à des erreurs monumentales (le meilleur exemple étant Gvardiol qui donne minimum 2 ballons de but à l'adversaire à chaque match). Nous, on contrôle 90 pourcents de nos matchs, on ne laisse que des miettes à nos adversaires, on n'a aucun maillon faible dans l'équipe mis à part Martinelli peut-être. Le seul reproche qu'on puisse nous faire c'est de placer le curseur un peu trop sur le contrôle justement, au détriment de la créativité mais je préfère 1000 fois avoir nos problèmes que les leurs. Faut pas déconner, on n'est pas 2eme pour rien.6 points
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Mais le staff a de toute manière très mal bossé cet été, pour être honnête je sais même pas si Arteta voulait vraiment Sterling vu comment on s'y pris à la dernière minute pour se diriger vers lui. Le club pensait très certainement que Saka allait faire une saison entière sans trop de blessure (un peu comme Odegaard)4 points
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Quand j'y repense ce rappel a totalement changé notre fin de saison et surtout il a totalement changé la carrière de Coquelin !3 points
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Prenable prenable , je lis que ça et entre temps ils ont une seule défaite, 45 points et 9 points d'avance sur nous ( peut être 12 si on perd et ils gagent leur match). Franchement, j'ai vu plusieurs de leur matchs, Salah est sur une autre planéte cette saison , TTA revenu a un niveau dingue surtout offensivement, leur milieu est super solide, la paire VanDijk - Konaté c'est du lourd et enfin contrairement à nous offensivement Slot a 6 joueurs qui peuvent jouer dans toutes les positions. Je les vois vraiment pas baisser le pied surtout que City a baissé les bras en PL... ils doivent pas avoir trop peur de nous vu notre inexpérience. Nous , on a perdu 2 points contre Brighton a cause de l'arbitre, on a perdu 2 points contre City bêtement , on a perdu 2 points contre les reds a cause des blessures et on a perdu 2 points contre Everton a domicile... Les autres points perdus sont mérités je trouve... 8 points qui nous aurait mis dans une situation confortable mais forcé de constater que rien ne marche en notre faveur. Blessure de notre capitaine, blessure de White et là blessure grave de Saka notre meilleur joueur. Faut continuer a essayer de prendre le max de points mais j'y crois que trés peu...2 points
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Si si, c'est une équipe de peintres. Sur le papier ils ont des bons joueurs, mais ils défendent terriblement mal et baissent la tête très vite quand cela tourne mal. Je rappelle si jamais cela a échappé à quiconque que on leur en a mis 5 aussi il y a un mois. Et 6-0 la saison passée.2 points
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Moi je vois une équipe qui la provoque la chance, j'ai beau rager a chaque but faut reconnaître que dans les intentions c'est admirable.2 points
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Fin du marché des transferts : pour le football, ce sera la révolution ou le krach La Cour de justice de l’Union européenne a sifflé la fin de l’actuel système des transferts de footballeurs, menaçant la survie économique de nombreux clubs. Le prochain système réduira-t-il ou aggravera-t-il les inégalités entre eux ? Cet arbitre intervient rarement dans le jeu, mais ses décisions ont l’effet d’un « séisme » ou annoncent une « révolution ». Près de trente ans après l’arrêt Bosman, qui avait brutalement dérégulé le « marché » des footballeurs professionnels, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a sifflé la fin de la partie. Sa décision du 4 octobre 2024, qui devrait entrer dans l’histoire comme « l’arrêt Diarra », remet profondément en cause non seulement le système des transferts, mais aussi toute l’économie du football professionnel européen, obligeant les instances sportives à une réforme majeure. « On n’a pas la certitude que l’arrêt Diarra va mettre un terme définitif à tout système des transferts, mais l’actuel système, c’est fini », résume Antoine Duval, juriste au Centre de droit international et européen du sport de l’Institut Asser. Pour comprendre les enjeux de l’affaire, il faut remonter à l’arrêt Bosman, en décembre 1995. A la suite d’un litige opposant le joueur Jean-Marc Bosman et le club de Liège (Belgique), la CJUE décide de rendre moins contraignantes les règles qui entourent alors les contrats des joueurs, interdisant en particulier les quotas de nationalités au sein des effectifs au nom de la libre circulation des travailleurs au sein de l’Union. Faute de nouvelles régulations, la portée de l’arrêt est spectaculaire : il entraîne une explosion du nombre et des montants des transferts, la concentration des meilleurs joueurs au sein des clubs les plus riches, et leur transformation en actifs spéculatifs (Ce marché du travail est très segmenté : plus de 90 % des transferts de footballeurs ne font pas l’objet d’indemnités, seule une minorité d’entre eux ayant une valeur marchande (et touchent des rémunérations très élevées). Les transferts prennent alors une place centrale dans un football à plusieurs vitesses. Certains clubs, plutôt modestes mais experts en formation de joueurs, se spécialisent dans la formation et la vente de jeunes espoirs, sachant qu’il leur est impossible financièrement de les garder. Parmi eux, de nombreux clubs français (Le Havre, Auxerre...). D’autres clubs, de richesse intermédiaire, se spécialisent dans l’achat et la revente de joueurs à fort potentiel, à l’image en France de Lille ou de Monaco. Enfin, les clubs les plus riches profitent de la dérégulation pour attirer à prix d’or les prospects venus des clubs et championnats moins prospères. Dès lors, les montants des transferts deviennent un enjeu cardinal pour les finances des clubs. Ces montants sont déterminés par la négociation entre clubs, et dépendent, outre de la valeur sportive présumée du joueur, de critères comme son âge, son poste, sa nationalité, et surtout la durée restante de son contrat. Dans l’esprit, le montant d’un transfert correspond en effet au « rachat » par le club acheteur de la durée du contrat non effectuée au sein du club vendeur (A l’échéance de leur contrat, les joueurs sont libres de disposer de leur prochain employeur. Ainsi, Kylian Mbappé, dont la valeur de transfert était estimée autour de 180 millions d’euros en 2023, est parti cet été vers le Real Madrid sans que ce dernier n’ait rien à verser au Paris Saint-Germain. D’où la pression mise sur les joueurs pour qu’ils prolongent leurs contrats, quitte à ce que leur durée ne soit quasiment jamais respectée). Le droit de rompre son contrat, comme tout travailleur Malgré la dérégulation, les acteurs du foot ont maintenu certaines contraintes dans le but de garantir un minimum de stabilité des effectifs et la régularité des compétitions. Le système actuel, fixé par un règlement de la Fifa (la confédération mondiale du football) en 2001, est donc resté largement dérogatoire au droit européen. Par exemple, les joueurs professionnels ne peuvent changer de club en dehors des périodes autorisées (les « mercatos » d’été et d’hiver). Mais ce que la CJUE vient d’invalider, c’est que, contrairement aux travailleurs ordinaires, la Fifa leur interdit de rompre unilatéralement leur contrat, sous peine d’une suspension et de lourdes sanctions financières pour eux et pour leur nouveau club. Cette interdiction de rompre son contrat a justement été illustrée par le milieu de terrain français Lassana Diarra quand il décide de quitter le Lokomotiv Moscou, qui lui a signifié une réduction de salaire, au terme de la première des quatre années de son contrat, afin de rejoindre le Sporting de Charleroi en Belgique. S’appuyant sur le règlement de la Fifa, le Lokomotiv obtient alors la condamnation de Lassana Diarra à une suspension de quinze mois et à lui verser 10,5 millions d’euros. Menacé de devoir régler solidairement ce montant et de subir des sanctions sportives, Charleroi renonce à recruter le joueur, qui saisit alors la justice belge, soutenu par les syndicats de footballeurs. La CJUE, saisie à son tour par la Cour d’appel de Mons, vient donc de donner raison au joueur, estimant que le règlement de la Fifa incriminé, en faisant peser des risques juridiques, financiers et sportifs « de nature à entraver le transfert international des joueurs », est incompatible avec les principes de la libre concurrence et de la libre circulation des travailleurs. En clair, si un joueur veut rompre son contrat, il ne devrait régler qu’une indemnité sans rapport avec le montant de l’indemnité de transfert auparavant versée par le club pour le recruter (ni avec le montant espéré dans le cadre d’un nouveau transfert). Un paradoxal système de redistribution Or si les joueurs peuvent rompre leurs contrats plus facilement et à peu de frais, les valeurs de transfert s’effondreront. Problème : si la fin de ce cynique « marché des footballeurs » se justifie, elle tarirait les revenus de nombreux clubs et championnats dont le modèle économique repose sur la formation et la valorisation des footballeurs, c’est-à-dire sur la perception d’indemnités de transfert. « Les clubs portugais, néerlandais, belges, par exemple, ont besoin de ces revenus, leurs droits de diffusion télévisés nationaux étant beaucoup plus faibles », souligne Antoine Duval. Les clubs français, très vendeurs (hors PSG) et déjà en grande difficulté économique, seraient eux aussi très fragilisés. « Le système actuel des indemnités de transfert a paradoxalement le mérite de jouer le rôle redistributeur que n’ont pas endossé les instances régulatrices du sport, explique Loïc Ravenel, chercheur au Centre international d’étude du sport (CIES). Sans lui, beaucoup de clubs feraient faillite. » En haut de la pyramide, les clubs et championnats les plus riches, en particulier l’hégémonique Premier League anglaise, qui investissent beaucoup dans le talent sportif, affichent des balances de transferts largement négatives – leurs autres ressources (droits de diffusion, revenus commerciaux, de sponsoring et de marketing) compensent. Ces investissements « ruissellent » ainsi vers le bas, complétés par des mécanismes de solidarité qui allouent une fraction des montants des transferts vers les clubs ayant participé à la formation du joueur – jusqu’au niveau amateur. « Le marché des transferts ne fait pas entrer d’argent dans l’économie du football, il en fait sortir au profit d’intermédiaires et d’investisseurs, et circuler de manière folle. Ce système est arbitraire, pèse sur les joueurs, crée une bulle spéculative et a des conséquences extrêmement délétères : évasion fiscale, opacité, corruption, etc. Mais, malgré tout, il constitue un système redistributif », abonde Antoine Duval. « Une chance de réinventer l’économie du football » Le juriste s’élève au passage contre « l’idée totalement fausse selon laquelle l’Union européenne aurait “néolibéralisé” le football » : « L’arrêt Bosman a été accusé de tous les maux, alors qu’il prônait beaucoup plus de solidarité et de redistribution… mais pas sur la base d’un marché des transferts. Aujourd’hui, on en revient à cette injonction, jamais concrétisée par les pouvoirs sportifs : comment organiser la redistribution des clubs et ligues très riches vers les clubs et ligues moins riches ? » La Fifa a ouvert un round de négociations avec les différentes parties prenantes, en particulier les représentants des joueurs, qui souhaitent remettre à plat le système à leur avantage (En cas d’effondrement du marché des transferts, les moyens financiers des clubs riches seraient essentiellement réaffectés aux rémunérations des joueurs les plus convoités pour une part, aux actionnaires de ces clubs pour une autre.). Que peut-il en ressortir ? « L’arrêt Diarra signifie a minima qu’il faut un cadre, une méthode pour définir plus objectivement le montant d’une indemnité de transfert. Toutes les parties ayant trop à perdre à une suppression des transferts, cela les engage à élaborer des règles communes, une sorte de nouvelle convention collective. Et si l’on veut préserver les principes du sport européen (Contrairement à celui des ligues professionnelles nord-américaines (fermées mais très redistributives), le modèle européen implique « l’ouverture » des compétitions avec le système de promotion-relégation qui assure une mobilité entre les différentes divisions), il faudra bien organiser la redistribution des ressources », anticipe Loïc Ravenel. Pour l’heure, la Fifa considère n’avoir à modifier que l’article 17 de son règlement, incriminé par la CJUE, pour se mettre en conformité et permettre aux prochains « mercatos » de se dérouler normalement. « Les négociations pourraient viser les moindres bouleversements possibles, en définissant un système des transferts “light” », admet Antoine Duval. « On peut aussi militer pour un système de redistribution plus mutualisé, plus justement organisé avec des contributions mieux réparties entre tous les clubs qui ont formé un joueur, des prélèvements sur les droits TV redistribués par les ligues nationales ou par la Fifa via une sorte de fonds de réserve », avance pour sa part Loïc Ravenel. « On a une chance de réinventer l’économie du football, veut croire Antoine Duval. L’enjeu est de convaincre les organisations sportives de trouver une autre voie pour limiter les inégalités en assurant solidarité et redistribution. » Economique et juridique, le débat est également politique. La partie est ouverte et son résultat d’autant plus incertain que les règles du jeu ne sont pas encore connues. Seule chose certaine : depuis Bruxelles, l’arbitre la suivra d’un œil intransigeant. https://www.alternatives-economiques.fr/fin-marche-transferts-football-sera-revolution/00112963?utm_source=emailing&utm_medium=email&utm_content=08112024&utm_campaign=hebdo2 points
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Après soyons fair play. Liverpool mérite clairement d'être leader de ce championnat cette saison Il ont gardé leur puissance offensive. Leurs meilleurs éléments en défense. Et contrairement aux années précédentes il ont plus de maîtrise technique avec Macalister. Szoboszlai. Deux joueurs que je voulais voir chez nous plus Gravenberch. Et Liverpool j'en parlais au début de saison mais Liverpool ça attaque fort. Ca se projette et ils ont de très bon élément en attaque. Arteta contrairement à 2022 2023 n'a pas réussit à trouver son équipe équilibré défensivement et offensivement. Il est trop dans le contrôle et la retenue aujourd'hui. Sauf le match contre Palace ou il a pris des risques en descendant Kai au milieu. Comme tu dis on a pris des rouges. Odegaard out deux mois. Maintenant c'est au tour de Saka... ca fait beaucoup de contrainte pour être champion. Mais comme j'avais dit faut rien lâcher pour autant. On sait jamais. Mais faut féliciter Liverpool et leur coach.2 points
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Je vois ce que tu veux dire mais nos 8 se retrouvent souvent dans des phases de constructions ou une vraie qualite de passe serait utile j'ai plein de moment en memoire ou rice par exemple percute puis se retrouve bloque car il ne sait pas faire une passe qui casse les lignes. Que ce soit soit rice merino havertz personne n'essaie de casser les ligne par des passes ce qui rend aussi notre jeux stereotype...1 point
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On leur a mis 5 buts y a quelques matchs sans forcé et en étant pas dans un forme et un optimisme débordant. Meme chose quelques mois plutôt quand on va chez eux et qu’on leur en passe 6. Sur le papier, y a des bons joueurs mais dans la cohérence et la mise en place c’est une vrai cata. Puis après tu cites leurs matchs réussis mais bon… Contre Newcastle le résultat reflète pas du tout le match, contre MU, Dalot raté un immanquable qui aurait pu changer la destinée de United (enfin, pas sûr vu les merveilleuses idées de Amorim qui n’a rien de plus inspirant que EtH jusqu ici) Bref tout ça pour dire qu’ils ne sont absolument pas des références. Quant à Pool, je reste sur ma position, super équipe oui, et comme tu dis faut leur laisser leur mérite d’être là où ils sont aujourd’hui, par contre je les vois mais à des kilomètres et des kilomètres de l’équipe qu’était City ces 4 dernières saisons, ils semblent prenable quand même et chose curieuse, peut être plus à Anfield qu’à l’extérieur.1 point
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Le sentiment que j’ai avec cette équipe c’est qu’ils peuvent te faire chier ou complètement si la mise en place de départ est pas adaptée. Mais aujourd’hui c’est Liverpool qui les a fait explosé, comme tu dis, ce match mérite plus de mettre en avant la force de Liverpool que la faiblesse de West Ham. ‘En tout cas, cette saison que je me suis dit « enfin un match qui peut être piège, on va voir comment ils s’en sortent, ils m’ont fait éteindre la tv au bout de 20mn1 point
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Autant je les ai par moment trouvé en réussite, autant sur ce match c’est difficilement défendable comme avis. Ils ont surdomines la première mi-temps, ont généré énormément d’occasions et West Ham a fini par céder.1 point
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offensivement c’est de loin la meilleure équipe du championnat. c’est super varié, le danger peut venir de n’importe où, et Salah est en ce moment le meilleur joueur offensif du monde…1 point
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Toujours sympa une petite contre performance de dernière minute de nos meilleurs ennemis les Spurs1 point
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Il fait plaisir Myles mais j'espère qu'on va pas insister trop longtemps a le faire jouer latéral.1 point
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Je préfère toujours quand le rouge du maillot ferme complètement la partie entre le col et l'épaule. C'est un peu le défaut d'adidas chez nous avec leur volonté de maintenir les 3 bandes iconiques sur les manches. Pas fan des incursions blanches qui dessinent le flanc. Un peu comme cette saison je trouve que ça donne un côté tenue d'entraînement. J'aime bien la phase spéculative sur le textile, c'est futile et ça détend. Ça devrait se préciser à partir de Mars je pense.1 point
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Si on peut pas faire confiance à Martinelli/Sterling pour remplacer DEUX MOIS Saka c'est vraiment que le staff a mal bossé cet été1 point
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On a fait une demi saison, Tomiyasu a été incapable de jouer, on va attaquer la seconde partie de saison, on ne sait toujours pas quand il va revenir, et c’était déjà plus ou moins le cas la saison dernière. Aujourd’hui sa polyvalence, il l’utilise surtout entre la table du kine et la salle de soin… J’adore son profil, mais deux saisons d’affiliées où il ne joue pas car pas fit. On ne peut pas le garder… @rashsenal Jai du mal à comprendre cet avis. En phase de possession, nos latéraux se retrouvent déjà au milieu dans le cœur du jeu et haut sur le terrain. ‘En quoi le fixer en 8 changerait quelque chose ? Surtout qu’on demande au 8 (Havertz / Merino et Xhaka avant) de plus se projeter et d’être à la réception. Dans la manière dont on construit notre jeu, quel serait l’intérêt ?1 point
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Il peut tenir plusieurs rôle sur 90mn c'est impressionnant. Je le préfère beaucoup plus en "8" (SS*) qu'en 9, vrai caméléon qui comprend tout tactiquement. On comprend pourquoi les top coachs l'adorent1 point
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Vu le timing, j’ai une préférence pour un joueur qui est déjà en PL. Si on veut qu’il soit opérationnel de suite, il faut un joueur en PL.1 point