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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 04/14/23 dans toutes les zones

  1. y'en as un qu'on est sûr de pas voir courtisé par Paris c'est ça l'info surtout.
    5 points
  2. Si tu t’en fou tu n’es pas obligé de réagir, on est sur un forum, désolé que toutes les informations ne t’intéresse pas, mais si ça n’a pas d’intérêt pour toi tu n’es pas obligé d’y réagir… Ses convictions religieuses ça le regarde, malheureusement étant éloigné des terrains c’est plus pour faire vivre son topic que du voyeurisme, et ça fait toujours plaisir d’avoir des infos d’un joueur qui est blessé, à défaut d’en avoir sur le terrain…
    3 points
  3. On s'en fout non ? C'est quoi l'intérêt d'afficher les convictions religieuses des joueurs ?
    2 points
  4. Oui enfin on est sur un échantillon qui ne permet même pas de porter un premier jugement, il n'a même pas l'équivalent de 90 minutes à Arsenal. Il s'acclimate tranquillement en vue de la saison prochaine, là on le jugera, et si le club a mis 25M€, ce n'est pas pour le prêter 6 mois plus tard sans lui avoir donner sa chance. En plus il aura sans doute un rôle à jouer en tant que latéral gauche en plus de doubler Gabriel, son profil me fait penser qu'il pourrait être top dans ce rôle. Trusty ne jouera probablement jamais une minute au club.
    2 points
  5. A quel point ça serait vrai ? Comme d'hab on peut pas savoir.
    1 point
  6. C'est quand même dommage de voir qu'il a aucun rôle dans cette course au titre. Ok il a pas joué depuis longtemps mais si on lui donne peu de minute il retrouvera jamais la forme. Revoir le ESR de 2021 derrière notre trio offensif incroyable, j'ai vraiment envie de voir ça.
    1 point
  7. Franchement j'aimais pas Nasri mais en écoutant son interview, son discours a beaucoup plus de sens je trouve
    1 point
  8. Depuis l'été dernier, la boisson Prime est partenaire de l'équipe d'Arsenal. (David Price/Arsenal FC via Getty Images) Prime, la boisson dopée à la caféine qui divise. Lancée il y a un an, liée à l'UFC et à Arsenal, la boisson énergisante Prime - non commercialisée en France - a réalisé rapidement de très belles ventes. Mais fait tiquer les médecins, notamment pour sa forte teneur en caféine. « La boisson sportive qui connaît la croissance la plus rapide de l'histoire ! » Le 12 février dernier, le slogan s'affiche dans un spot de pub de trente secondes diffusé pendant le Super Bowl, soit une exposition à plus de 110 millions de téléspectateurs américains. On y voit Logan Paul, influenceur-vidéaste, ex-catcheur et boxeur à ses heures perdues, brandir l'une des canettes Prime Hydration, saveur framboise-pastèque, et vendre les qualités de cette gamme de boissons commercialisée depuis janvier 2022 aux États-Unis, un an plus tard en Australie et en Grande-Bretagne, où le club de foot d'Arsenal a même conclu un partenariat avec elle. 10 millions de dollars de recette trois mois après son lancement Sur son site, Prime est officiellement présentée comme la boisson officielle de l'UFC, la plus importante ligue mondiale de MMA. Cette « boisson magique » est donc en partie détenue par Logan Paul et le rappeur-youtubeur britannique KSI. Même génération, même sphère d'influence, une jeunesse abreuvée de contenus sur les réseaux sociaux... Des vidéos relayées par Sky News en décembre dernier montrent des scènes de chaos à l'ouverture d'un supermarché pour pouvoir se procurer ces « drinks » devenus subitement tendance, vendues en stocks limités à 1,99 livre l'unité (soit 2,25 euros) dans le cadre d'une méga promotion. Derrière cette frénésie se cache un questionnement un peu plus profond. Car désormais, la gamme se divise en deux boissons distinctes : la Prime Hydration et la Prime Energy. Et c'est bien la seconde qui fait clignoter tous les signaux d'alerte chez les médecins et particulièrement les nutritionnistes du monde du sport dans un marché en permanente expansion. La boisson Prime est détenue en partie par l'influenceur américain Logan Paul (à d.) et au rappeur-youtubeur britannique KSI (à g.). (Facebook DrinkPrime) Selon le magazine britannique The Grocer, Red Bull aurait quasiment triplé ses ventes sur la dernière décennie alors que la toute nouvelle venue, Prime, aurait atteint les 10 millions de dollars de recette trois mois seulement après son lancement. Caféine et taurine, le pouvoir de séduction Étrangement, depuis le début 2023, toutes les canettes de Prime Energy sont « sold-out » sur le site internet de la marque. Rançon de la gloire ou nouvelle arme commerciale destinée à créer une mythologie autour de cette boisson ? On ne le saura pas officiellement car les têtes pensantes de la société n'ont répondu à aucune de nos sollicitations. En quelques clics, nous nous sommes tout de même procuré un pack de cinq canettes de Prime Energy par le biais d'une société américaine de vente en ligne pour un coût total de 91,69 euros, taxe et frais de livraison inclus. Par précaution, le contenu a été analysé par le laboratoire X-Pertise Consulting du professeur Pascal Kintz, docteur en toxicologie à Strasbourg, qui a souvent été appelé en soutien de sportifs déclarés positifs par contamination accidentelle, lors de la prise de compléments alimentaires par exemple. « Par le passé, certains fabricants de ce type de boissons, peu scrupuleux, avaient introduit des anabolisants ou de la créatine de façon cachée pour les rendre plus efficaces. » Rien de tout cela dans les résultats, qui mettent seulement en évidence la présence de caféine et de taurine, deux produits à fort pouvoir de séduction auprès des consommateurs de boissons énergisantes : « Je ne comprends pas comment une boisson comme Prime Energy peut se démarquer du marché. Quinze euros la canette sur internet, pour 200 mg de caféine, c'est fou. Elle présente une concentration de caféine élevée mais pas extraordinaire : à l'époque de mes études, certains surdosaient déjà à six cachets de Guronsan en une seule prise le matin, soit 50 mg de caféine l'unité... » Actuellement, les prix des canettes Prime Energy explosent sur internet. (Pascal Bastien/L'Équipe) Nous avons également présenté la composition de la populaire canette à l'ensemble du staff de la « mission nutrition » de l'Insep (Institut national du sport, de l'expertise et de la performance), en charge de l'accompagnement de quelque 700 athlètes regroupés sur le site du bois de Vincennes. Autour d'Eve Tiollier, les diététiciens-nutritionnistes (Charline Courtois, Océane Poulizac et Valentin Lacroix) sont unanimes sur la première impression visuelle, un packaging flashy : « C'est le piège de ce type de produits, ils sont banalisés, facilement accessibles et présentés comme de simples boissons. » « Avec une canette comme celle-ci, on sort du cadre, on arrive vite à une consommation excessive de caféine » Les diététiciens-nutritionnistes de l'Insep Quel que soit l'emballage, les breuvages énergisants n'ont pas la cote auprès de nos experts. Ils sont contre-indiqués sans réserve. Le premier danger est le surdosage de caféine présenté par la Prime Energy, 200 mg pour une canette de 355 ml, soit plus du double que dans une canette de Red Bull (80 mg pour 250 ml) alors que la teneur en caféine d'un expresso varie entre 40 à 70 mg. « La caféine est une substance ergogénique destinée à améliorer la performance. Mais il faut cadrer son utilisation, en déterminer la quantité et avec une canette comme celle-ci, on sort du cadre, on arrive vite à une consommation excessive. Il est ainsi admis scientifiquement que la caféine produit son effet recherché à partir de 2 à 3 milligrammes par kilo de poids de corps, « ensuite, on joue sur une balance entre performance et santé », prévient Valentin Lacroix, nutritionniste à l'Insep. « Il n'y a pas d'effets dose-dépendant, c'est-à-dire que ce n'est pas "plus on en prend, plus c'est efficace" mais au-delà de 6, voire 9 mg par kilo de poids de corps, on franchit nettement les barrières de sécurité et on tombe dans les effets néfastes. » Le laboratoire X-Pertise Consulting (ici le Dr Laurie Gheddar), basé près de Strasbourg, a analysé la version Prime Energy de la gamme de boissons. (Pascal Bastien/L'Équipe) En ce début de printemps, la Prime Energy ne semble pas encore s'être propagée dans la sphère sportive. Triathlète et marathonien, en pleine préparation pour le Marathon des Sables, Fabrice Kuhn est aussi médecin spécialisé dans la nutrition, auteur de Nutrition de l'endurance : les secrets pour booster vos performances (Thierry Soucas éditions). Lui aussi est perplexe devant ce nouvel élixir du fameux « coup de fouet » tant recherché par les sportifs. « Je pense que la consommation d'une seule canette peut apporter l'effet escompté du shoot de caféine mais, à l'image des culturistes qui abusent de la caféine en poudre sur des séances difficiles de CrossFit par exemple, les choses peuvent devenir problématique avec cette boisson. À partir d'une deuxième canette, on entre dans un dangereux cercle vicieux. » La caféine classée parmi les substances « sous surveillance » Surviennent alors les effets secondaires tels que l'arythmie cardiaque, l'hypertension, les tremblements, la tachychardie, l'angoisse ou les insomnies, tout ce qui rend les nutritionnistes sportifs hyper méfiants. « Cela pose question sur le plan éthique », précise Valentin Lacroix. Eve Tiollier insiste sur le fait de pouvoir « maîtriser les apports en volume, et c'est impossible, aussi bien avec la poudre qu'en canettes ». D'autant que l'absorption de boissons énergisantes peut s'ajouter à la consommation habituelle du café au petit-déjeuner. L'Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments) rappelle qu'une consommation de 400 mg de caféine étalée sur l'ensemble de la journée « ne pose pas de problème de sécurité pour les adultes en bonne santé ». « Le risque de la caféine, c'est son effet diurétique, ajoute le professeur Pascal Kintz, du cabinet X-Pertise. En en abusant, on va perdre de l'eau et des minéraux. Certes, la caféine n'est pas considérée comme un produit dopant mais elle est classée parmi les substances "sous surveillance", un peu comme le sont le tramadol, la nicotine ou le viagra ». Pour éviter la tentation, les nutritionnistes de l'Insep préfèrent donner une alternative à leurs athlètes : les gels ou les chewing-gums énergisants. Ils sont commercialisés en pharmacie et leur teneur en caféine est de 50 mg l'unité. La notice indique qu'un « dosage compris entre 50 et 75 mg (soit 1 à 2 mg par kg de poids de corps) influence essentiellement le temps de réaction et la vigilance mentale. Pour améliorer l'endurance, des doses plus élevées, comprises entre 100 et 300 mg (2-6 mg/kg), sont nécessaires. » Les fans d'Arsenal peuvent se procurer la boisson Prime au sein de l'Emirates Stadium. (Marc Atkins/Getty Images) Pour Valentin Lacroix, « le chewing-gum permet une assimilation plus rapide par le cerveau et favorise la baisse du ressenti de la douleur à l'effort. Mais tout est une question d'individualisation, il faut d'abord le tester à l'entraînement car pour la caféine aussi, il y a de bons répondeurs, des non-répondeurs et de mauvais répondeurs. L'avantage, avec les chewing-gums, c'est qu'il y a moins d'effets indésirables. » « Ils veulent jouer sur l'effet zéro sucre, et donc mettre en avant un effet conjugué du tonique et de la perte de poids... » Fabrice Kuhn, médecin du sport La méfiance à l'égard de Prime Energy repose sur ce surdosage en caféine mais une autre caractéristique interpelle. « Ils veulent jouer sur l'effet zéro sucre, prévient le médecin Fabrice Kuhn, et donc mettre en avant un effet conjugué du tonique et de la perte de poids. Le café joue sur la combustion des sucres et, si c'est bien marketé, ça passe... » On relève le côté pervers de l'absence de sucres, ici remplacés par des édulcorants. Le goût sucré est bien présent mais sans l'apport calorifique. « Il s'agit d'un piège, alerte Valentin Lacroix, car le cerveau n'enregistre pas ces apports et peut mal réguler la balance énergétique. Un mécanisme de compensation survient alors et aboutit à une surconsommation au moment du repas ! » Pour compléter le tableau, la taurine figure dans la composition de Prime Energy. Longtemps, cet acide aminé a bénéficié d'une certaine aura pour ses prétendus effets boosters. Il a été à l'origine de l'interdiction du Red Bull en France avant que la communauté scientifique ne considère ces effets mineurs et non dangereux, d'où la levée de l'interdiction de la boisson en France en 2008. Dans l'immédiat, l'Efsa n'a reçu aucune demande d'évaluation de Prime Energy dans l'éventualité d'une prochaine commercialisation. publié le 13 avril 2023 à 16h23mis à jour le 13 avril 2023 à 16h54
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  9. Oui c'est aussi une possibilité, il a notamment été utilisé à ce poste lors du dernier match de Palace ce week-end. Néanmoins à titre personnel ce n'est pas là que je le préfère. Et dans un autre débat on a Fabio Vieira en doublure à ce poste qui se développera je l'espère... Ça sera sans doute un autre des objectifs du board de recruter un latéral droit et/ou un défenseur central (Tomiyasu étant polyvalent). Il faudra suivre un potentiel départ de Tierney également qui pourrait nous obliger à bouger sur le mercato.
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