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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

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  1. Je vais encore paraître pour l’extrémiste de service mais il est urgent de le lourder à la prochaine trêve international. Désolé les gars mais si on continue avec lui on fonce droit dans le mur et avec l'investissement fait cet été on a pas le droit économiquement d’être hors top 4, or de ce que je vois depuis plusieurs mois et encore plus depuis debut de saison ya pas de quoi espérer, ya pas d'axe ou tu peux te dire "à ici ya de quoi progresser, soyons patient etc.." non rien c'est le néant absolue, collectivement on est pauvre bordel.
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  2. Je trouve pas du tout. En terme de talent, au même âge, il est pas si loin de ces mecs, il est capable de faire des trucs qu'aucun autre milieu ne sait faire dans notre effectif. Maintenant, je ne comprends absolument pas ton jugement dessus, surtout quand on voit notre début de saison catastrophique dans le jeu, dans les intentions, du fait qu'on aligne pas le même milieu 3 matchs de suite, qu'on change de système trop souvent Quand ceballos est à l'aise, je trouve qu'il a un impact énorme sur l'équipe au contraire. Surtout quand il est bien entouré de milieux mobiles. Ceballos actuellement me fait penser à Sterling de Liverpool, même si les postes n'ont strictement rien à voir. Sterling on sentait déjà à la période Liverpool que le talent était colossal, il avait de l'or dans les pieds, qu'il pouvait être parmi les meilleurs joueurs à son poste s'il s'en donnait les moyens et avec un bon coaching. Pourtant, il a atteint un plafond à Liverpool, où il commençait à évoluer dans la mauvaise direction, à tel point que quand les rumeurs sterling à Arsenal étaient sorties, en échange de Sanchez, je n'en voulais pas, et je ne regrette pas parce que chez nous il ne se serai jamais développé de cette manière. Et sous Guardiola, dans le jeu de City, Sterling a franchi un cap, et fait parti des meilleurs joueurs offensifs d'Europe actuellement, il a progressé dans tous les compartiments de jeu. On peut penser aussi à Klopp qui a fait franchir un cap à ses joueurs avec sa philosophie de jeu ambitieuse, à dortmund, ou à Liverpool ou Salah/Mané/Firmino sont devenus des joueurs de très grande classe notamment grâce à son travail. Et bien Ceballos je pense que c'est pareil. Il a de l'or dans les pieds, ça me parait évident, et je suis certain que dans un contexte plus favorable, dans une équipe joueuse, il s'épanouirait totalement et franchirait un véritable cap. Avoir un coach de qualité, qui a une philosophie de jeu qui permet de faire progresser ses joueurs, c'est primordial. Pour le moment, la philosophie d'Unai chez nous ne fait pas progresser les joueurs offensifs créatifs. Je peux me planter et peut être que Ceballos a un plafond assez bas. Mais avant de le juger définitivement ainsi, j'attendrai qu'il joue 5 matchs de suite, dans un système à peu près cohérent et des coéquipiers qui ne le tirent pas vers le bas. Là c'est quand même compliqué, quand il fait un bon match, il n'est pas titulaire à celui d'après. On est encore à chercher une équipe type, à essayer plusieurs systèmes.
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  3. Nous avions dévoilé les multiples turpitudes de Doyen, spécialisé dans l’achat et la revente de parts de footballeurs (la TPO, lire ici), une pratique bannie par la Fifa en 2015 car assimilée à de l’« esclavage moderne ». Fort d’un capital de plus de 100 millions d’euros, Doyen était un acteur majeur de ce business, et son patron portugais, Nelio Lucas, l’un des hommes les plus influents du football européen. Outre le négoce de parts de footballeurs, la firme gérait les droits à l’image de stars planétaires, comme Neymar Jr., David Beckham, et le sprinter Usain Bolt. Nous avions révélé que Doyen était contrôlé par un clan kazakho-turc aux connections mafieuses, associé à des projets immobiliers louches avec Donald Trump. Nos enquêtes avaient aussi révélé à quel point Doyen était prêt à tout pour faire prospérer son business dans le foot : clauses abusives avec clubs, commissions occultes, caisses noires dans des paradis fiscaux et usage de filles venues de l’Est. Doyen a même tenté de mettre des prostituées dans le lit du président du Real Madrid pour lui vendre le joueur français Geoffrey Kondogbia (lire ici). Trois ans après nos articles, Doyen est donc visé par la justice espagnole. Paradoxe : le lanceur d’alerte Rui Pinto, qui nous a fourni les documents Football Leaks, est en détention provisoire depuis plus de trois mois au Portugal… à la suite d’une plainte de Doyen ! Comme nous l’avions révélé, Doyen Sports est immatriculé à Malte et contrôlé par des sociétés-écrans. Le montage était destiné à la fois à cacher le fait que le groupe est contrôlé par la famille Arif, des oligarques kazakho-turcs, et à échapper au fisc – l’impôt sur les sociétés n’est que de 5 % à Malte (lire ici nos enquêtes Malta Files). Le groupe a pourtant réalisé plus de 31 millions d’euros de recettes en Espagne entre 2011 et 2014. Ce pactole vient de la vente de ses parts dans des joueurs (dont le Colombien de l’AS Monaco Radamel Falcao et les Français Josuha Guilavogui et Geoffrey Kondogbia), ainsi que des prêts accordés par le groupe à plusieurs clubs espagnols, dont l’Atlético de Madrid et Séville. Rien que pour l’année 2013, le juge espagnol estime que Doyen a évadé 4,5 millions d’euros d’impôts sur les sociétés. Le préjudice total pour l’État espagnol va dépasser les 5 millions d’euros, « sans compter les revenus supplémentaires pas encore pris en compte [par l’enquête], à la fois en 2013 et sur la période qui a suivi », indique l’acte d’accusation rédigé par le juge José de la Mata. Le groupe a fermé en 2016 son bureau de Londres, dédié à l’activité sportive, et a transféré ses équipes à Dubaï, paradis fiscal parmi les plus opaques de la planète. L’ancien patron Nelio Lucas a pour sa part quitté Doyen en septembre 2017 pour fonder une nouvelle société, baptisée Vela Investments. https://www.mediapart.fr/journal/international/180719/football-leaks-doyen-sports-poursuivi-pour-fraude-fiscale-en-espagne?utm_source=20190718&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-20190718&M_BT=135393249294
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  4. Le problème avec Özil c'est surtout que si on le met dans de bonnes conditions on a un joueur formidable, à 1000 lieues des jeunes que tu cites. On se prive d'un sacré joueur en jouant la facilité. T'es pas motivé ? Reste en tribune. Facile pour un club qui a du fric. Alors que si on lui secouait les puces on en tirerait du bénéfice sportif, et pas qu'un peu. L'attitude d'Özil est exécrable mais je trouve que quand on aborde le sujet, on minimise beaucoup le rôle du coach, Wenger puis Emery. Un joueur qui égal presque le record de passes décisives de Titi et qui a le talent d'Özil, je trouve ça bien plus intelligent de bosser à le faire retrouver son impact que de le laisser moisir dans un coin. Se passer d'Özil ce n'est pas se passer de Jenkinson quoi. Ca vaut le coup d'essayer de tirer le meilleur parti du joueur. Là Emery suit l'exemple de Wenger, il choisi la solution de facilité. Pareil pour le contre-argument de l'équilibre tactique d'ailleurs, on ne me fera pas croire qu'en mettant deux mobylettes comme Guendouzi et Torreira derrière lui on s'exposerait plus qu'avec Xhaka seul devant la défense. Et devant tu as Pépé, Aubameyang et Lacazette qui n'attendent que ça, un pourvoyeur de ballons. Tu peux même enlever un des trois et glisser Ceballos pour renforcer le milieu. Özil à l'instant T on lui met l'étiquette d'irrécupérable, mais ce n'est pas que de sa faute, ses managers n'ont pas été assez exigeant. On l'a laissé devenir une croute le mec alors qu'il a de l'or dans les pieds. A 27-28 ans, tu foutais Özil à Liverpool, je suis persuadé qu'en un an il doublait son volume de jeu et finissait meilleur passeur de PL. On a des coachs qui ne veulent pas faire mal aux joueurs, c'est un gros problème. Et puis le truc de "ceux qui se donnent à fond à l'entraînement jouent", c'est de la connerie, les exemples de joueurs ne branlant rien aux entraînements mais cassant tout au stade sont nombreux. Hazard, Ronaldinho, Riquelme, Quaresma...
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