[Liga]

[ayoubaoui]

Un grand buteur ce Ronaldo.

[Darwan]

FERMEZ LÀ TOUS, VOILÀ LE VRAI JOUEUR ARRIVÉ QUE DEPUIS 6 ANS A MADRID ET QUI NIQUE TOUT EN AYANT LE TEMPS DE S'ÉPILER, POSER EN CALEÇON et de se taper IRINA (oui c'est du boulot).

 

 

Honnetement, c'est pas mal, il est à 55 Buts du records de buts en liga, pour un mec arrivait y'a 6 ans, il a bien bosser la chose. Messi finira meilleur buteur de la liga c'est quasiment sur mais CR7 a le mérite de pas être très loin et d'être son dauphin (l'éternel dauphin).

 

Vous remarquerez qu'ils n'ont pas mis les assists mdr. pourtant il est pas dégueu dans ce domaine, il fait toujours sa dizaine d'assists par saison.

 

 

 

Lui comme il est beau et Madrilène, je n'ai pas de reproche à faire

[Axelou]

Après, en C1, en Liga et pour les Clasico, c'est surtout un retard sur Messi qui est déjà devant lui en étant plus jeune. Même si Messi joue en Liga et des Clasico depuis le début de sa carrière.

Mais Ronaldo reste un monstre lui aussi. Même si en terme de chiffres "bruts", il est s'est lancé un défi colossal en allant défier Messi qui est dans son cocon à Barcelone.

[ayoubaoui]

Oui, c'est un grand buteur.

 

Malheureusement, il a du épurer son jeu un max pour pousser cette guerre des stats. Ce mec c'est le Gerd Muller de l'époque.

[RollsReus]

moi j'aime ce duel, putin je pourrai le raconter à mes gosses, on a vécu un des plus gros duel de l'histoire. Puis le mental de CR7, il s'est fait tellement démonté par Messi durant des années mais il a jamais laché et a repoussé ses limites chaque saison, c'est beau.  Au final, ça sera le plus beau dauphin de l'histoire. Messi étant supérieur et plus jeune si on arrête la carrière des deux et qu'on prend leur titres en club, individuel et leurs stats.

[Darwan]

J'ai pas envie de provoquer une 3 eme guère mondial MAIS est-ce que je suis le seul à trouver que Messi à eu une période de BOUM 2011-2012 et que depuis son niveau de cesse de regrèsser même si il reste à des année lumières des adversaires ( J'AI BIEN DIT DES ANNEES LUMIRE RESTEZ CALME ET LACHEZ CETTE ARME)

 

Tandis que Ronaldo, il me semble que chaque année il s'améliore. Ce qui est impressionant sachant qu'il approche de la trentaines.

[ayoubaoui]

On peut dire ca de tous les joueurs. Même Gignac a connu une période de BOUM en cadets.

[RollsReus]

Messi a commencé trop tot et il avait déjà une blessure jeune. Là je pense qu'il vit avec la peur de rechuter mais oui comparé à avant on dirait qu'il a regressé, il lui manque surtout son coup de rein.

 

 

Sinon j'ai trouvé ça.  On remarque qu'en réalité, CR7 a joué plus de matchs que Messi en sélection mais que CR7 a mis plus de buts "officiels" que de buts dans des amicaux contrairement à l'argentin.  Il est aussi beaucoup plus décisifs dans les phases de qualifications que ça soit en buts ou PD (bon ok y'a presque 20 matchs de plus pour CR7 ).

 

[Javi Espinosa]

Non l'écart entre eux était monstrueux, comme Messi baisse un peu, l'écart se ressère , on a donc l'impression que Ronaldo s'améliore.

[RollsReus]

Non l'écart entre eux était monstrueux, comme Messi baisse un peu, l'écart se ressère , on a donc l'impression que Ronaldo s'améliore.

 

C'est pas une impression, il s'améliore, pas forcément dans le jeu où Messi est au dessus de tout mais en termes de stats, il fait chaque saison mieux, fait tomber des records et dans le jeu, c'est déjà mieux qu'il y a  3 saisons voire 2.

[ayoubaoui]

C'est pas une impression, il s'améliore, pas forcément dans le jeu où Messi est au dessus de tout mais en termes de stats, il fait chaque saison mieux, fait tomber des records et dans le jeu, c'est déjà mieux qu'il y a 3 saisons voire 2.

Il a jamais mieux fait qu'en 2011-2012. Où est l'amélioration ? Peut-être cette saison, mais elle n'est pas encore terminée.

 

Sinon, si la séléction portugaise en ce moment c'est de la m****, jusqu'en 2008, c'était une des meilleures du monde, quand l'Argentine était au fond du trou. La tendance s'est inversée maintenant.

[Axelou]

Il y a aussi l'effet Guardiola.

Guardiola a crée et monté une machine en faisant de lui le monstre qu'il est devenu.

 

Le Barca s'est gavé pendant ces 4 saisons mais le football est aussi fait de cycle et Guardiola a choisi de s'en aller. Depuis, le Barca accuse un peu le coup mais reste malgré tout dans le haut du panier européen. Pourtant il y a eu feu Tito pendant une (demi) saison et sa santé qui commençait déjà à poser problème. Martino qui aura fait carpet et payer une saison blanche. A voir comment Enrique va pouvoir se maintenir au poste.

 

Pour Ronaldo, il change d'année en année, certains apprécient, d'autres regrettent parfois le feu follet de United mais il a toujours fait en sorte de tirer son équipe vers le haut et c'est toujours rendu indispensable pour son manager. Donc qu'il soit plus orienté vers le but ou pas, lui est à l'aise et se plait comme ça, ses entraineurs aussi et le Real aussi. C'est bien là le principal. Il joue à fond sur ses qualités.

[RollsReus]

Il a jamais mieux fait qu'en 2011-2012. Où est l'amélioration ? Peut-être cette saison, mais elle n'est pas encore terminée.

 

Sinon, si la séléction portugaise en ce moment c'est de la m****, jusqu'en 2008, c'était une des meilleures du monde, quand l'Argentine était au fond du trou. La tendance s'est inversée maintenant.

 

tu trouves qu'il fait pas mieux qu'en 2011/2012? je le trouve beaucoup plus fort que cette saison là. surtout qu'il était blessé cette saison et a des chiffres presque aussi bon voire meilleure qu'en 2011/2012 où il n'était pas blessé.

[ayoubaoui]

Tu parlais de stats. Sa meilleure saison en chiffres (buts), c'est 2011-2012. Et, peut-être qu'il fera mieux cette année, on attend la fin de saison, mais 2012-2013 et 2013-2014, il marque moins.

 

Comme Messi d'ailleurs, même si en 2012-2013 l'Argentin était parti pour niquer tous les records avant sa blessure contre Paris.

[Darwan]

Pour le coup, je parle dans le jeu. Aujourd'hui je trouve que Ronaldo après s'être épuré un maximum dans son style afin de marquer toujour d'avantage. Or il arrive aujourd'hui à élargir ça palette de jeu tout en continuant à marquer. Fin à chaque match que je regard, une fois qu'il a inscrit son but quotidien, il ce met à jouer les ozil et tente de faire briller les autres. Ce qui est une évolution de drastique

 

Tandis que Messi me semble plus capable aujourd'hui à exceller de la même manière devant le but et dans le jeu. J'ai le sentiments qu'a chaque match MAINTENANT il doit faire le choix entre être bon dans le jeu ou être bon devant le goal. Ce qui avant ce poser pas tellement il alliais les deux avec classe.

[ayoubaoui]

Je répondais à Roll, qui lui parlait de stats je crois.

 

Après, bien sur qu'il est meilleur aujourd'hui qu'en 2012. Ce qui a changé ? L’entraîneur.

 

Sinon, ton sentiment sur Messi est erroné. 

[Darwan]

Je répondais à Roll, qui lui parlait de stats je crois.

 

Après, bien sur qu'il est meilleur aujourd'hui qu'en 2012. Ce qui a changé ? L’entraîneur.

 

Sinon, ton sentiment sur Messi est erroné. 

 

Possible, à vrai dire je regard les match du Barca que tant qu'il ne mène pas au score en espérant qu'il perde, une fois qu'il prenne le large je bouge. ( ça fait très haters dit comme ça ahah).

[Javi Espinosa]

Ca fait très subjectif depuis tout à l'heure pas vraiment hater

[Darwan]

Bah frenchements, j'essaye d'être le plus objectifs possible surtout que je n'ai strictement rien contre Messi même si je préfère le real et CR7.

 

Concernant CR7 là je suis pas du objectifs mais sur Messi je le suis. Sauf que je suis plus sévère envers lui qu'envers les autres. Comme tout coach est plus exigent envers son meilleure éléments

[ayoubaoui]

Alors tu devrais être exigeant envers Benzema, ou Modric. 

[Darwan]

Je suis exigent envers Ozil le meilleure éléments du football derrière Messi.

 

Le pire c'est que le je pense vraiment !  Mais au réal, j'attends beaucoup de isco. C'est celui qui à les meilleures chances de devenir la nouvelle icônes du real quand Cr7 sera fatigué.

[RollsReus]

Ayoubaoui c'est pour toi. Super article de Thibaud Leplat à propos de Guardiola et de ce qu'il a apporté au football. Thibaud prépare d'ailleurs un livre sur lui.

 

 

 

Après ce match, ils diront qu'ils se sont ennuyés. Ceux-là même qui aimaient compter les buts comme les puces et placer chaque mouvement au verdict de la super, ultra, méga, giga loupe, ne regarderont certainement pas cet Espagne-Allemagne au microscope. En invoquant une sorte de science infuse et innée, ils en voudront à tous ces empalmeurs de subtiliser le ballon et de s'amuser à créer des espaces devant eux, plutôt que de courir très fort, de remporter plein de duels inutiles, de ne penser qu'« à la gagne », cette maudite « gagne ». Au nom de l'efficacité, il s'est commis beaucoup de choses qu'on a encore du mal à se faire expliquer. On a créé des armées de machines inutiles qui font bien mieux que nous des quantités de choses.

Depuis que les caissières ont été remplacées par des robots parlants et que des milliers d'écrans se sont substitués à des millions de voix humaines, on a du mal à expliquer à nos enfants à quoi peut bien servir d'étudier le latin, le grec, l'allemand, la littérature ou d'aimer jouer au ballon sur un terrain vague avec les copains plutôt qu'à une Coupe du monde en réseau tout seul dans son salon. Depuis que le foot est devenu un sport de rongeur, les compteurs de puces du Voyage au bout de la nuit ont enfin trouvé une utilité sociale « Puces de Pologne d'une part, de Yougoslavie... d'Espagne... Morpions de Crimée... Gales du Pérou... Tout ce qui voyage de furtif et de piqueur sur l'humanité en déroute me passait par les ongles. C'était une œuvre, on le voit, à la fois monumentale et méticuleuse. Nos additions s'effectuaient à New York, dans un service spécial doté de machines électriques compte-puces. » Et Pep quitta New York pour Munich.

Guardiola, double champion du monde

En fait, ce qui lui manquait, à Pep, c'était « le jeu en soi. Pas tout ce qu'il y a autour. Comment une équipe joue, comment tu peux la battre, les particularités précises des joueurs dont tu disposes et comment les utiliser pour gagner un match. Voilà la seule raison pour laquelle moi, je me suis mis dans cette invention. S'il n'y avait plus cela... Tout le reste, je n'en ai pas besoin constamment. Je pourrais vivre parfaitement sans cela et même mieux : je vivrai mieux sans tout cela. Mais le jeu en soi, lui, est désirable ». Pourtant, depuis que Pep est revenu, les compteurs de puces se plaignent encore. Comme ils disaient la Liga inintéressante du temps où son Barça roulait avec 10 points d'avance sur le reste de la meute, aujourd'hui c'est la Bundesliga qui est à leurs yeux « trop déséquilibrée » à cause de son Bayern qualifié à son tour de «  trop dominateur ».

Alors, pour leur faire plaisir, on obtempère et regarde les deux dernières Coupes du monde, seule compétition représentative d'une époque à leurs yeux. Depuis qu'il est en activité, 14 des 22 derniers champions du monde qui existent sur Terre ont eu Guardiola comme entraîneur au quotidien les années précédentes. Les Barcelonais avec l'Espagne en 2010 : Carles Puyol, Gerard Piqué, Sergio Busquets, Xavi Hernández, Pedro Rodríguez, Andrés Iniesta, David Villa. Les Munichois avec l'Allemagne en 2014 : Manuel Neuer, Jérôme Boateng, Philipp Lahm, Bastian Schweinsteiger, Mario Götze, Toni Kroos et Thomas Müller. Le pire c'est qu'il n'y eut (presque) personne pour regretter la défaite de la Hollande ou de l'Argentine. C'est peut-être bien la première fois depuis le Brésil de 1970.

Se poser la question

Voilà le paradoxe de Guardiola. Plus il parle de jeu, plus on nous parle de trophées, d'efficacité, de résultats. Et alors s'il leur répond en leur parlant à son tour de trophées (en six ans, Guardiola a disputé 25 compétitions avec deux équipes différentes et en a remporté 18, soit presque les trois quarts), ils lui répondent que le football est à tout le monde, qu'il n'y a pas qu'une seule façon de jouer qui vaille, que c'est grâce à des effectifs généreux que Pep s'est rempli les armoires. Ces tautologies sont aussi discutables que celle de l'œuf et de la poule. Mais le plus grand exploit de Pep n'est pas dans ses victoires. Il est dans la question elle-même. En plaçant le jeu au centre, il a contraint même les plus retors à se prononcer sur leurs critères esthétiques : possession ou style direct ? Espace ou ballon ? Passe décisive ou but ? Avant Pep, ce dilemme n'existait pas, ou pas aussi fort.

En révolutionnant le jeu frileux et réactif des années 2000, il a donné un coup de jeune à sa discipline et rafraîchi le goût de son époque. Bielsa reconnaissait en 2011 qu'avec Pep, les masques étaient en train de tomber : « Ce Barça n'est pas spécial pour ses résultats ou son système tactique. Dans cette époque où tous les chiffres sont des emblèmes, le Barça a émis des signaux de plus grande consistance qui perdureront dans la mémoire de ceux qui aiment le football et tiennent en sa façon d'avoir choisi une manière d'attaquer et de défendre. » Pep a redonné à l'Espagne et à l'Allemagne l'envie de s'amuser. Son plus beau trophée n'est pas en or ou en laiton. Il est en chair et en esprit. C'est celui du style.
 

Suivre Thibaud Leplat sur Twitter Par Thibaud Leplat

 

 

 

http://www.sofoot.com/des-puces-et-du-pep-192032.html

[ayoubaoui]

Ah Pep. L'escroc pour qui j'ai le plus de respect.

 

Merci Roll !

[Javi Espinosa]

L'imposture ou l'imposteur pour certains

 

Pep

[RollsReus]

« Depuis l’année dernière, je suis critiqué. Quand les résultats qu’attendent les gens ne sont pas au rendez-vous, tout le monde est critiqué. Tout paraît facile vu de l’extérieur, mais ça ne l’est pas », a-t-il confié, revenant sur la blessure du Mondial 2014, perdu en finale contre l’Allemagne. « J’aurais aimé mieux jouer en demie et en finale. Mais les matches se sont passés comme ça. Si j’avais marqué en finale, on aurait dit que mon Mondial avait été spectaculaire. Que j’avais brillé à chaque match... Je n’ai pas marqué et on m’a beaucoup critiqué pour ces matches. Je le dis, ce ne furent pas mes meilleurs matches, mais ils n’ont pas non plus été si mauvais », a-t-il regretté avant de faire le point sur son avenir.
 

 

« Je vis au jour le jour. Je pense à faire une grande saison et à gagner les titres que nous voulons à Barcelone. Rien de plus. On verra ensuite. Il se passe beaucoup de choses en football... J’ai toujours dit que j’aimerais rester à jamais là-bas, mais parfois tout ne se passe pas forcément comme on veut », a-t-il expliqué. Mais s’il est resté fidèle à son discours habituel, le Blaugrana s’est montré davantage énigmatique, laissant notamment entendre que la situation du Barça pourrait influer sur son avenir. « Si ça ne tenait qu’à moi, je resterais pour toujours. Mais comme je l’ai dit, tout ne se passe pas toujours comme on le veut. Encore plus en football. C’est compliqué, encore plus avec ce qui se passe aujourd’hui à Barcelone », a-t-il conclu.

 

 

http://www.footmercato.net/liga/barca-messi-parle-de-son-avenir_142589