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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

[29] Marouane Chamakh


Bilo

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Je sais il essaye tant bien que mal de cacher mais c'est encore plus voyant comme ça et puis le gel avec... mon dieu que c'est moche!  :excl:  :lol:

 

Faudrait vraiment que quelqu'un soit honnête un jour avec lui et lui dise quoi ^^ si ça se trouve cela fait 15 ans que tous ses proches se foutent de lui en cachette mais personne ose :lol:

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  • 1 année plus tard...

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Crystal-palace-marouane-chamakh-ne-rejouera-plus-de-la-saison/642173

 

Lui et Nasri même combat. On peu pas kiffer la chicha ou encore faire la une des tabloïds anglais tout en étant en canne sur le terrain.

Dommage que le seul marocain qui ai porté le maillot des Gunners n'ai pas montré mieux que des prestations irrégulières et une absence de progression durant ces saisons passées en PL ,contrairement à d'autres attaquants  qui avaient marqué les esprits en Ligue 1 et (Benzema, Giroud, Aubameyang,...). On est d'accord que Giroud n'arrive pas à la cheville des 2 autres mais il a su élever son niveau de jeu depuis qu'il a quitté Montpellier.

« Si vous n’êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment. »Malcolm X

 

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http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Crystal-palace-marouane-chamakh-ne-rejouera-plus-de-la-saison/642173

 

Lui et Nasri même combat. On peu pas kiffer la chicha ou encore faire la une des tabloïds anglais tout en étant en canne sur le terrain.

Dommage que le seul marocain qui ai porté le maillot des Gunners n'ai pas montré mieux que des prestations irrégulières et une absence de progression durant ces saisons passées en PL ,contrairement à d'autres attaquants  qui avaient marqué les esprits en Ligue 1 et (Benzema, Giroud, Aubameyang,...). On est d'accord que Giroud n'arrive pas à la cheville des 2 autres mais il a su élever son niveau de jeu depuis qu'il a quitté Montpellier.

 

Ce que le marocain a su faire durant les premiers mois qu'il a joué en tant que titulaire régulier. Avant de devoir être redirigé vers le banc à cause d'une concurrence impossible à affronter pour lui (van Persie). Du coup, peu de temps de jeu avec tout ce qui va avec. Tu remplaces dans le temps Giroud et Chamakh, pas sûr que Giroud ai un parcours plus glorieux que le marocain chez nous. Après tout ça n'est que spéculation, bien sûr.

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  • 9 années plus tard...

https://www.sofoot.com/articles/marouane-chamakh-je-nai-jamais-eu-une-connexion-comme-avec-gourcuff

 

marouane-chamakh-je-nai-jamais-eu-une-co

 

(...)

 

Citation

Ce départ libre, c’est le seul petit bémol de ton passage à Bordeaux.

Les supporters ne sont peut-être pas au courant des tenants et des aboutissants. À la base, j’étais prêt à prolonger. C’est la façon dont ils ont voulu me prolonger que je n’ai pas appréciée. Au moment où on gagne le titre, on commence les échanges avec Arsène, qui perdait Adebayor à l’époque. En fait, il y avait un antécédent avec Triaud, car Wiltord avait fait grève pour passer de Bordeaux à Arsenal (en 2000). Notre président, il l’avait comme ça. (Il pince sa gorge.) Je me retrouve au milieu de quelque chose dont je n’étais pas au courant. Je suis un dommage collatéral de tout ça. Donc il ne me laisse pas partir à Arsenal et je me concentre sur les Girondins. Il y avait une offre autour des 9-10 millions d’euros à un an de la fin de mon contrat, c’était raisonnable. Je lui dis qu’avec le titre, c’est peut-être le moment de partir, il me dit que non car il y a la Ligue des champions. Ça n’est pas une question d’argent, mais de vouloir partir sur une bonne note. J’avais un agent. Le président avait promis, je crois, 1,8 million d’euros à celui qui arriverait à me faire prolonger. Il y a des gens comme (Jean-François) Larios qui étaient venus me menacer.

 

Comment ça ?

Il m’appelait à 3-4 heures du matin tous les jours pour que je prolonge. Alors que ça n’était pas mon agent, mais il était peut-être sous substances. Au bout de deux ou trois semaines, je l’ai dit à Gasset, il a passé un coup de fil, et derrière c’était fini. Et il n’y a pas que ça, il y a plein de choses qui ont fait que je devais partir. Je suis peut-être gentil, mais je ne suis pas c**. J’aurais pu jouer avec le frein à main (lors de sa dernière saison), mais j’ai tout donné pour essayer de partir sur une bonne note. Ça ne s’est pas passé comme prévu sur l’indemnité versée aux Girondins. Moi, j’avais tout fait pour que ça se passe bien.

 

Tu avais vraiment ce souhait de rejoindre Arsenal.

Une fois que j’ai confirmé aux Girondins, c’était tout pour la Premier League. J’avais l’opportunité de rejoindre mon club préféré, même si c’était celui qui me faisait la moins bonne offre. J’avais des offres en Italie, en Russie, avec des primes à 12 millions d’euros. J’ai pratiquement tout refusé parce que c’était une conviction, que je sois titulaire ou pas. À l’époque, Arsenal était connu pour ne pas offrir de gros salaires. Liverpool me proposait quasiment deux fois plus.

Il vient d’où, ton amour pour Arsenal ? La période des Invincibles ?

Exactement. C’était bien sûr Arsène, Thierry Henry, Wiltord, Pirès, Vieira, Bergkamp. C’était une équipe de fous à l’époque. Et depuis ça, je suis resté un Gunner. (Sourire.)

Quand tu arrives là-bas, tu sens que tu grimpes d’un step ?

Bien sûr. Il y avait Van Persie et un Danois, comment il s’appelait p***** ? (On lui souffle Nicklas Bendtner.) Voilà, donc j’allais me battre avec eux. J’ai eu la confiance du coach, donc ça s’est très bien passé. Au début en tout cas. J’ai eu beaucoup de réussite à mon arrivée. Samir Nasri m’a pris sous son aile, c’est là que notre amitié s’est créée. On est plus que des frères, même s’il nous a quittés un an après, cet enculé est parti pour City. Mais il habitait toujours à Londres, il faisait des allers-retours en train. On se voyait souvent.

S’il n’y avait pas eu Robin van Persie, tu penses que tu te serais imposé à Arsenal ?

Déjà, s’il n’y avait pas eu Robin van Persie, je pense qu’Arsène aurait recruté un autre joueur. Parce que dans ce profil, Robin était beaucoup plus fort que moi. C’est quelque chose que j’ai toujours accepté, je ne suis pas fou. Je ne pouvais pas me permettre d’aller voir Arsène et de dire : « Je dois jouer à la place de Robin. » Moi, ce que je voulais, c’était d’avoir beaucoup plus de temps de jeu. Jamais je n’ai essayé de me comparer à lui, parce qu’on avait un jeu différent, et lui était un joueur de classe mondiale. Il a quelque chose de spécial, Robin. J’en ai profité quand il n’était pas là (gêné par les blessures, Van Persie n’a connu qu’une seule titularisation avant décembre), et quand il est revenu, il a marché sur l’eau pendant un an et demi et il a pris le trophée de meilleur joueur de Premier League (en 2012). Je relativise comme ça. Je suis resté trois saisons à Arsenal, j’ai réalisé mon rêve, marqué quelques buts. C’est quelque chose qui restera, dans ma vie. Je finis sur un match de référence contre Reading (victoire 5-7). Ce match, il nous a fait perdre la tête. C’est un match mémorable, pour le club et aussi pour moi, parce que je marque deux buts et je m’en vais un mois après.

 

grande.webp

 

Elle était comment, ta relation avec Robin ?

C’était super d’entrée. Bon, il est néerlandais, il a un caractère un peu spécial, mais je m’entendais super bien avec lui. Je ne pouvais qu’être spectateur et applaudir. Ça marchait très bien, parce que sa femme est d’origine marocaine. J’étais surpris parce que quand je suis arrivé, il m’a parlé en marocain. Podolski, pareil, je me dis : « C’est quoi ce truc de fou ? » Il parlait mieux que moi. Après, j’ai appris que sa femme était marocaine et qu’il avait grandi dans un entourage marocain.

Et ta relation avec Wenger, elle s’est détériorée sur la fin ?

Oui, beaucoup, parce qu’il n’y avait plus de communication. De manière générale, je ne suis pas là pour me faire ami avec le coach. C’est sa femme qui m’appréciait beaucoup en dehors, je m’en souviens. Ce que je demandais, c’est de jouer un peu plus, je ne lui demandais pas de changer de tactique. On est rentrés dans un dialogue de sourd. J’étais patient, mais avec le meilleur joueur de Premier League à côté, je n’avais pas les arguments. Ça s’est quand même terminé sur une bonne note. Au moment où Crystal Palace me veut, je fais tout pour aller là-bas parce que je voulais vraiment rester à Londres. Mais c’était compliqué avec le directeur sportif d’Arsenal et quand j’ai appelé Arsène, il a réglé la situation en cinq minutes. Il voulait me faire plaisir, il avait compris que c’était ce qu’il me devait. C’était un super coach, un érudit. On s’entraînait sur une pelouse spéciale le vendredi : la même pelouse qu’à l’Emirates, avec les mêmes distances, au détail près. Il ne néglige rien. Avec Arsène, tu apprends beaucoup sur la tactique.

 

C’est son management que tu déplores ?

Quand il faut prendre une décision, il va peut-être enlever la personne qui lui posera le moins de problèmes. Énormément de joueurs me disaient : « Pourquoi tu ne joues pas ? Pourquoi t’es pas dans le groupe ? » Samir, Abou (Diaby), tout le monde. Je ne comprenais pas moi-même. Mais c’est le football. Aujourd’hui, si je devais signer pour la moitié de la carrière que j’ai faite, je le ferais. Même toute une carrière en Ligue 2, je signe demain. Mon plus grand regret, ce n’est pas de ne pas avoir fait de Coupe du monde, mais de ne pas avoir fait de CAN au Maroc. Je voulais finir en beauté en 2015, pour boucler la boucle. Mais finalement, on ne la fait pas à cause d’Ebola (n’ayant pas obtenu le report de la compétition, le pays avait renoncé à l’organiser, en raison de l’épidémie). Je vous jure, c’est sûr qu’on l’aurait gagnée.

 

Durant ton passage en Angleterre, il y a aussi eu West Ham.

Je me fais prêter de janvier à mai, mais je prends la plus grosse carotte de l’histoire, par Sam Allardyce, qui d’ailleurs s’était fait virer quand il était sélectionneur, parce qu’il avait fait des magouilles. Moi, il m’a niqué. Je ne voulais pas parler parce que j’aurais pu tuer sa carrière. Il m’appelle tout le mois de décembre, pratiquement tous les jours, pour me dire qu’il me veut en prêt parce qu’Andy Carroll s’est blessé. J’arrive là-bas, je joue un ou deux matchs, et après, c’est à peine s’il me parle. Il m’avait dit qu’Andy Carroll serait absent trois ou quatre mois, et il revient au bout de trois semaines. C’était irrationnel. Ce mec m’a dégoûté du football. Tant mieux qu’il ne soit plus dans le milieu du foot. Alou Diarra m’avait dit avant d’arriver : « Attention, entre ce qu’ils disent et ce qu’ils font, il y a un gros fossé. » Si je l’avais écouté, j’aurais peut-être fait un autre choix.

Ça s’est mieux passé pour toi à Crystal Palace.

Je découvre un Londres différent, populaire. C’était un club un peu plus relax, qui me ressemble plus. Le challenge du président, c’était de se maintenir deux fois d’affilée, ce que le club n’avait jamais fait. Et on l’a tenu. On nous appelait l’équipe de légende. Il a fallu se battre pour la survie, c’était ça tous les jours. On était une équipe casse-couille à jouer, et moi j’appréciais ça. C’est nous qui enlevons le titre à Liverpool. J’ai toujours connu des équipes avec le ballon, haut de tableau, où c’était à l’adversaire de jouer par rapport à nous. Là, c’était le contraire. Dès le lundi, on faisait de la vidéo pour savoir comment les bloquer. Parce qu’on était conscients qu’on leur était inférieurs. Dans le jeu, il me mettait un peu plus en retrait, pour essayer de faire le relais avec les milieux. Je pars sur la finale de FA Cup, même si je refuse d’être dans le groupe. J’étais blessé, et le président voulait que je vienne assister à la finale, je lui dis : « Qu’est-ce que j’en ai à foutre, fais plaisir à un jeune, mets-le dans le groupe. » Je ne savais pas qu’on irait en finale, j’avais prévu de partir à Cuba avec ma famille et mes beaux-parents.

 

Comment s’est passée ton intégration là-bas ?

L’un de mes premiers matchs, c’est à Southampton, et je m’en souviendrai toute ma vie parce que ce jour-là, je me bats avec un coéquipier. Un mec qui s’appelle Moxey, latéral gauche (Dean Moxey, également passé par Derby County et Bolton, NDLR). Pendant le match, il ne fait que mal me parler, il dit que je ne défends pas. Au bout de 20-25 minutes, je ne suis même plus dans mon match. À chaque fois que je descends, je m’embrouille avec lui. À la mi-temps, je vois rouge. Je l’attends, bagarre, on nous sépare. Même Pochettino (alors coach adverse, NDLR) était venu, tout le monde. J’ai regretté, parce que ce n’était pas moi. Mais c’était la meilleure façon de se faire respecter. Le coach me dit : « Viens te battre avec moi, laisse-le. » Mais je ne vais pas me battre avec toi ! Je crois qu’il va me sortir, mais en fait il me laisse dans le match. Je m’en suis sorti avec une amende. Je ne me serais jamais imaginé me battre et je n’ai plus jamais eu à le faire. Quand j’ai commencé, aux Girondins de Bordeaux, j’ai vu Dugarry et (Eduardo) Costa se battre, j’avais jamais vu ça de ma vie, j’en tremblais. Et je me suis retrouvé acteur en 2014. Mais derrière, j’ai tout donné, on s’est maintenus, et on voit où ils en sont aujourd’hui, c’est juste exceptionnel.

 

(...)

 

J'ai posté seulement la partie sur la PL et Arsenal mais toute son interview est intéressante. Le passage sur sa coupe de cheveux est drôle aussi : 

 

Les cheveux gominés, ça aide pour le jeu de tête ?

Au contraire, ça m’a dérangé parce que parfois, j’avais un peu de gel qui tombait et ça me brûlait les yeux. C’est vrai qu’à l’époque, je faisais des coupes un peu bizarres, et ça arrivait jusqu’au Maroc. Les coiffeurs me disaient que les gens demandaient « la coupe à la Chamakh ». Il y a 15 ans, il n’y avait pas un coiffeur qui ne me le disait pas. C’était juste n’importe quoi ici.

Modifié par Peter Pan
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Très sympa cet interview.

Et frappant le moment ou il dit qu'à cet époque post construction Emirates on proposait des contrats moins payés que la Série A, en Russie ect, ou 2 fois moins que Pool.

 

Tu comprend un peu pourquoi le club a baissé d'un coup dès cette période ou juste un peu après, et comme ça a du être dur pour Wenger, de vendre de gros joueurs pour récupérer certains talentueux d'autres moins.

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