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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

Kampberg

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Tout ce qui a été posté par Kampberg

  1. Kampberg

    La tactique

      Des gens disaient pareil à des mecs comme E-Penser, DirtyBiology, Nota-Bene et j'en passe, regarde ou ils en sont aujourd'hui.   La vulgarisation intéresse réellement sur youtube car c'est un média horizontal, c'est ce qui fait sa force et je pense que tu dois pouvoir trouver un public ^^.
  2. Kampberg

    La tactique

    Il y a un vrai truc à exploiter dans le youtube français niveau tactique n'empêche.
  3. Kampberg

    La tactique

      Oui c'est pas son plus complet, celui que l'Italie et sur l'Atlético est plus fourni, tiens celui sur Guardiola:   http://analysport.fr/guardiola-bayern/     Franchement le mec qui fait ça est vraiment bon, j'aime beaucoup les petites vidéos explicatives, les termes utilisés, j'ai vraiment appris pleins de trucs.
  4. Kampberg

    La tactique

      Oui c'est bien ça, après Tuchel a moins d'expérience (il a d'ailleurs étudié pendant un an le jeu de Guardiola), mais il a aussi ce coté formateur qu'il va améliorer avec le temps je pense, notamment avec tout les jeunes qu'il a pris cette année qui sont sans doute plus malléables que des joueurs confirmés.
  5. Kampberg

    La tactique

    http://analysport.fr/dortmund-tuchel/   Pour Mohito et les autres afin de saisir ce qu'est le jeu de position, l'article est génial et explique très bien ce concept si cher à Guardiola repris à la sauce Tuchel qui a tout pour devenir un excellentissime coach. Comme le note très bien l'auteur, j'adore cette capacité qu'à se dernier à pouvoir analyser très vite la situation afin de s'adapter en cours de match, les nouveaux coachs en sont de plus en plus capable et ça tend vers des tas de choses intéressantes à l'avenir, la gestion de la micro-tactique en cours de match va devenir de plus en plus primordiale.
  6. Comme promis je continue le débat, je dois dire que je suis assez d'accord avec toi et je vais tenter tout de même de nuancer en évoquant d'autres sports et d'autres principes du football.   Tout d'accord, et c'est comme tu le dit la magie du terrain, le terrain est trop grand pour être couvert par onze joueurs, et c'est là que ton idée d'espace quelque soit le niveau de la défense se vérifie, il est impossible de couvrir, de protéger tout le terrain, ainsi des espaces s'ouvrent, plus ou moins selon les équipes. Cruyff disait jadis: "Le football est un jeu d'erreur. Celui qui fait le moins d'erreur l'emporte". Je trouve ce principe à la fois simple et génial car tout coach a ainsi pour but de minimiser ces erreurs, et donc par extension de minimiser les espaces laissés par son équipe tout en créant des espaces chez l'adversaire, c'est là toute la complexité du football ! Comment créer des espaces dans le bloc adversaire sans mettre en péril l'équilibre de ton équipe ?   Ainsi pour certains coachs intelligents, le rectangle vert se transforme en échiquier et ses joueurs son ses pions, c'est à lui de leurs donner toutes les armes, toutes les consignes adéquates afin de vaincre l'adversaire, mais là ou tout se complexifie c'est qu'il ne peut tout dicter à ses joueurs, le joueur à lui aussi un rôle à jouer, c'est là que l'excellence d'un coach s'arrête et la dimension individuelle arrive. Même le meilleurs coachs du monde ne peuvent tout prévoir, tout anticiper, je citerais en exemple la demie finale aller de CL de 2015 entre le Barca et le Bayern. Avant d'entrer sur le terrain, Pep a déjà des pions en moins, Robbery sur le flanc, Lewandoski diminué, mais qu'importe il se présente au Camp Nou avec un plan tactique parfait, le Bayern dispute la possession au grand Barca qu'il a lui même façonné dans son antre, chose quasiment impossible pour la majorité des équipes, mais même si je n'aime certaines de ses facettes, les équipes de Pep ne rentrent pas dans ces majorité. Néanmoins, malgré ce plan qui fonctionnait, malgré des limites évidentes (le Bayern sans Robbery à cette époque était bien moins dangereux) et le Bayern pouvait espérer sortir de ce match avec un résultat positif, mais un joueur en décida autrement. Oui, Messi, ce petit joueur (j'y reviendrai à la taille) sort de sa boite et crucifie son ancien mentor à lui seul. C'est un exemple parfait que le temps d'un instant, un joueur peut décider à lui seul du sort d'un match, mais c'est une chose très rare et peu de joueurs avaient ce talent (citons Cruyff, Maradona, Ronaldo,Zidane, Platini et bien d'autres).   Un truc d'ailleurs complètement dingue dans le football, c'est la capacité de certains joueurs à arrêter le temps, l'espace d'un instant certains grands joueurs étaient capables de par leurs technique au dessus de la moyenne de stopper la trotteuse. Quand dans quelques situations, un joueur normal aurait à peine le temps de contrôler la gonfle, d'autres on le temps de regarder devant eux, contrôler la balle, passer leur adversaire et marquer, le tout en quelques secondes...  Typiquement, les numéros un et deux de Bergkamp sur cette vidéo, c'est incroyable ce qu'il fait.   [spoiler]https://www.youtube.com/watch?v=KYTezHuUcw0[/spoiler]   Je pourrais citer des tas d'autres exemples mais il suffit de se refaire le match de Zidane en 2006 contre le Brésil, l'espace de 90 minutes, Zizou était tout simplement hors du temps. Sans déconner j'avais revu le match il y a quelques temps maintenant, j'avais oublié que Ronnaldinho et Kaka étaient sur le terrain tant Zidane avait éclipsé tout les autres joueurs.   Ces moments sont rares et magiques et beaucoup adorent le football pour ces moments là. Mais le football reste un sport collectif, et c'est ce que j'aime, c'est bien plus rare de voir un seul joueur porter une équipe dans ce sport que dans d'autres comme au Basket par exemple (logique, moins de joueurs). Personnellement, j'aime voir certaines individualités, mais je crois que ce que je préfère dans le football, c'est voir une équipe se déplacer de façon harmonieuse, il s'agit cette fois à l'inverse de réduire les individualités et de penser collectif, cette magie quand un équipe se déplace en bloc à la perfection, comme si tout les joueurs étaient liés par un fil invisible souvent tissé par le coach lui même. Ces dernières années, nous pouvons citer l'Atlético de Simeone et l'Italie de Conte. Ces deux équipes avaient cette force incroyable d'avoir un bloc totalement harmonieux, c'est grâce à cela que les colchoneros étaient capables de presser très haut n'importe quelles équipe même le Bayern et le Barca. C'est grâce à cela que l'Italie s'est très facilement débarrassé de la Roja à l'Euro. Ainsi les joueurs ne sont plus vus comme des êtres à part, mais comme faisant parti intégrante d'un groupe, un bloc dont toutes les partitions se déplacent en fonction les uns des autres. A mon sens, je trouve que cette harmonie n'existe dans aucun autre sport collectif et c'est une des grandes forces du football.   Autre point que j'aimerais noter plaçant le football tout en haut, la dimension physique. Oui aujourd'hui le football peut encore être dominé pendant dix ans par un joueur mesurant 1m69, la taille, la force importe peu tant que le talent est là. Malheureusement dans des tas d'autres sports, le critère physique est primordial, au Basket par exemple il me semble qu'il n'y a plus eu de joueurs très important qui soit "petit" depuis Iverson, et c'est en général pareil dans les autres sports.   Malgré tout, je trouve que d'autres sports sont intéressant aussi stratégiquement, par exemple, un truc que j'adore au basket que j'ai découvert récemment (étant dans une ville ou le Basket est roi, je m'y suis mis), c'est vraiment cet avantage de pouvoir jongler très facilement avec les joueurs en court de match, ça ajoute une dimension intéressante qui n'existe pas dans le football, de plus je trouve le basket très intéressant stratégiquement, l'utilisation du chrono est bien plus poussée et plus importante et défendre est très difficile tant l'attaque est avantagée, c'est tout le contraire du football.   Enfin, il y a une dimension ou le football n'est pas roi dans le monde du sport, et elle est mentale, je trouve les sports individuelles bien plus difficiles mentalement et notamment deux sports: la boxe (et les sports de combat) et le tennis. Oui dans le football la dimension mentale est importante, mais elle l'est tout de même beaucoup moins que dans ces sports. Le tennis est un sport sublime grâce à cela aussi, voir un affrontement psychologique entre deux joueurs, chacun essayant de fissurer le mental de l'autre à coup de boutoir, à coup d'amortis, de lobs et de stratégie. Quand l'affrontement s'éternise, quand le physique ne suit plus, tout se joue dans la tête c'était le cas lors de certaines finales de GC ces dernières années que ce soit Federer-Nadal en 2009 ou certaines finales entre Nadal et Djokovic dont une qui avait durée plus de 5 heures et les joueurs ne pouvaient même plus se tenir debout à la fin. Sur le court, c'est un affrontement jusqu'à la mort, pas de limite de temps, seulement une limite en fonction de ton niveau, de ton physique et de ton mental (je ne me permet pas de parler de boxe je n'y connais pas grand chose, mais l'importante psychologique me semble assez évidente).   Bref, pareil que mon voisin du dessus, bravo à ceux qui ont eu le courage de lire, en espérant que ça ai plu à certains, et que ces mêmes gens disent si selon eux le football est le sport roi et pourquoi selon eux ce sport est si spécial.
  7. Kampberg

    Mercato général

      Pire que ça, Xhaka est même pas cité... Ils sont vraiment trop con, qu'est-ce que ça me les brise de voir des mecs payé à écrire des conneries et qui se disent journaliste sportif alors qu'ils aucune connaissance footballistique.
  8.   C'est pas bête pour le topic effectivement ! Sinon pour le niveau des médias dans les autres pays, ils sont beaucoup plus critique en Italie et donnent bien plus d'importance justement à tout ce qui est tactique (ah d'ailleurs j'ai fini de lire l'article d'Analyze sport sur Tuchel et le jeu de position, j'en parlerais dans le topic approprié), d'ailleurs je ne sais pas si tu sais, mais Sacchi passe souvent à la télévision, il est un peu considéré comme le maître là-bas car c'est justement lui qui a changé les mentalités en Serie A et aussi celles des journalistes. En effet, avec la Gazzetta dello sport sous pavillon du Vatican, le jeu prôné dans les médias était un jeu organisé, assez strict avec une organisation précise et un jeu plutôt défensif, mais ici on a un inversement avec Sacchi qui a révolutionné la tactique dans le football avec son approche différente du football, les journalistes s'en inspirent aujourd'hui. Un petit exemple, lors du Roma-Real Madrid de cette année, le Real avait gagné il me semble, mais Zidane s'était fait assassiner par la presse italienne parce que son équipe n'avait aucune cohérence tactique et se reposait uniquement sur ses individualités, jamais on verra ça chez nous.   En Angleterre ça m'a l'air d'un bien meilleur niveau aussi, les analyses sont plus poussées, et les grands tacticiens sont respectés (il n'y a qu'à voir toute la folie autour de Pep et Conte depuis leur arrivée). En Espagne et en Allemagne je ne sais pas du tout en revanche.   J'essaierais de demander à mon prof quand justement ce rapport s'est inversé en France et quand est-ce que la presse à changée, je pense qu'il doit le savoir, je vais aussi lui parler du journal dont tu m'as parlé ça m'intéresse.   @Stravoguine, après je trouve qu'il y a d'autres sports qui sont aussi intéressants à ce niveau, je n'y connaissais rien en basket mais j'ai commencé à regarder quelques trucs et moi qui prenait ça pour un sport vraiment à l'américaine (ou les stats sont justement beaucoup utilisée), j'ai découvert qu'il y avait  aussi des aspects tactiques intéressants ! Après je suis un très grand fan de tennis (j'en ai fais 7 ans), là aussi il y a un aspect tactique mais c'est surtout psychologique et physique, et c'est un sport individuel, je ne sais pas si cela peut rentrer dans le débat.
  9. Kampberg

    Mercato général

    La D2 anglaise a dépensé plus que la Ligue 1, et là pour le coup il y a une vraie bulle qui se forme sur l'espoir de remonter en PL afin d'obtenir les monstrueux Droit TV.
  10. Kampberg

    [10] Jack Wilshere

    Je sais pas du tout si c'est vrai que j'ai pas écouté la BBC mais si c'est vrai, pas sur que ce soit vraiment l'idée de le relance (si quelqu'un à le truc d'Orstein)   Bossa ‏@chn_arsenal  2h2 hours ago Ornstein said on BBC-radio that Wenger wasn't 100% against adding a buy-option to Wilshere's loan deal. Wilsh was clearly pushed out by AW.
  11. Un joueur que j'ai vraiment envie de voir s'imposer à l'avenir (outre Koziello bien sur), c'est Morgan Sanson que je trouve très très intéressant, il a toutes les qualités requises pour jouer au milieu à un poste reculé, intelligence de jeu, technique, vista, plus qu'à espérer qu'il explose définitivement cette saison et qu'il ne se blesse plus.
  12.   Faudrait que je retrouve un truc qu'avait link Roustan, en gros un mec peu connu devait venir parler à la télévision, et ce dernier voulait parler de jeu, tactique, etc, et on lui a dit en gros "non c'est trop compliqué pour les gens, parle de statistiques, de chiffres, de choses qui parlent à tout le monde".   Le problème est là je pense, le jeu a comme tu dis complètement été délaissé car jugé trop compliqué et pas assez vendeur... C'est pour ça que je trouve que les statistiques sont le cancer du football (pour un buteur je peux à peu près comprendre, pour le reste c'est débile), aujourd'hui les médias jugent le football à travers le prisme des statistiques, et les gens font pareil en général, aujourd'hui quand on veut connaître un joueur, la majorité des gens vont demander son nombre de but, de tacles, de kilomètres parcourus plutôt que de prendre le temps de regarder un petit match. On tente de quantifier le football...   Or j'aimerais rappeler une citation de Cruyff que je trouve intéressante: "Quand vous disputez un match, c'est statistiquement prouvé qu'un joueur a le ballon trois minutes en moyenne. Donc, le plus important c'est ce que vous faites les 87 minutes pendant lesquelles vous n'avez pas le ballon. C'est ce qui détermine si vous êtes un bon joueur ou pas."   Amusant car il utilise justement le terme "statistiquement", mais c'est ça le soucis, les 87 minutes restantes ne sont pas quantifiable, le nombre de kilomètres parcourus ne sert à rien, mais ça fait vendre, un petit exemple.   A la mort du hollandais volant, j'ai acheté l'édition spéciale sur Cruyff avec la couverture "Il était le jeu", et c'est fou comme cette dernière ne colle pas avec certains articles dedans ou l'Équipe a tenté de décortiquer son jeu avec... des statistiques, et ça occupait une part importante là dedans alors que les témoignages étaient plus intéressants ! C'est surement pour ça que le journal dont tu parles à disparu, et pas d'autres.   Les gens lambda qui ne consomment du football que via la télévision ont généralement cette vision biaisée du football. Un autre exemple, l'autre jour, je discute avec un mec dans un bar via des amis, je ne le connaissais pas, bref la conversation dévie sur le football, et ce dernier me dit que pour lui le meilleur analyste en France était... Pierre Menes, j'étais mort putain, j'ai essayé de lui expliquer que c'était quelqu'un qui faisait vendre à la télévision mais qu'il avait une culture foot plutôt limitée et qu'il était plus intéressant de se tourner vers des auteurs comme Leplat, Kaufmann ou Roustan. Ce dernier ne connaissait pas les deux premiers et m'a dit que Roustan n'était qu'un gros beauf qui n'y connaissait rien, c'est pas comme si Cruyff lui même avait loué les qualités d'analyse de ce dernier mais bon... Bref j'ai pas insisté plus que ça même si je lui ai conseillé quelques trucs.   Le mal dans le football d'aujourd'hui est là, on a trop chercher à le simplifier alors que, n'en déplaise à Ribery et sa remarque sur Pep, le football n'a rien de simple, faire évoluer harmonieusement onze joueurs sur un terrain de football de façon cohérente est d'une grande complexité, mais c'est accessible à tous si on s'en donne les moyens, mais pour ça il faut passer par une refonte totale de l'analyse footballistique en France qui a tellement de défauts...   Autre problème journaliste/joueur, comme le dit l'interview d'Archambault, il n'y a pas que les salaires qui ont changés, la différence de classe a aussi changée, entraînant jalousie et problèmes qu'on connait aujourd'hui. Du coup aujourd'hui beaucoup de journalistes sont là pour démonter certains joueurs, et forcément comme beaucoup de joueurs ne sont pas forcément très malin, ils se mettent encore plus sur la défensive entraînant toujours plus de tensions et l'énorme cassure qu'il y a entre les deux milieux que l'on connait aujourd'hui... Quand tu vois que Bielsa conseil à ses élèves et joueurs de ne pas parler aux journalistes, ou le moins possible car ils sont nocifs, effectivement les mentalités ont évoluées...   C'est fort préjudiciable,  les journalistes ont un devoir de clarté et d'honnêteté intellectuelle d'abord, mais surtout de transmission du jeu, et cette dernière à complètement disparue ce qui a pour le résultat bon nombre de gens pas forcément au fait de tout ni habitué à parler de jeu. Malheureusement, le problème existe dans toutes les tranches du journalisme, nous sommes loin du "J'accuse" de Zola, aujourd'hui, jamais plus les journalistes n'oseront critiquer les hautes sphères de notre monde, car ce sont leurs patrons tout simplement, tu ne mord pas la main qui te nourrit.   Bref je divague, mais le livre dont tu parles semble intéressant je vais essayer de trouver ça car ça semble vraiment pas mal. Toujours un plaisir d'échanger avec toi.
  13.   Oui c'est exact, l'année dernière c'était tellement frustrant de ne pas avoir de nouveau joueur de champs, là on en a trois à observer, décortiquer (insulter au besoin :ph34r: ). Xhaka je le connaissais déjà assez bien, mais pour le coup je connais très peu les deux autres, une vraie découverte donc.
  14. Ce mercato serait parfait si nous avions dégager certains boulets, mais bon, niveau arrivée c'est pas trop mal. Maintenant fini tout ça, place au jeu bordel ! Oh wait, c'est la trêve, fuck !
  15. Gnabry est HG mais je vois ce que tu veux dire.
  16. Oui il y a une vraie cassure aujourd'hui entre les footballeurs et les journalistes, ce qui est dommage. En tout cas le monde du journalisme est passionnant et je vais me renseigner un peu sur les premiers médias sportifs, il doit y avoir pas mal de choses à apprendre.   Je ne connais pas le livre dont tu parles mais je lui demanderais !
  17. Super intéressant, après Heisenberg, il faut savoir que la presse même généraliste était d'un tout autre niveau à l'époque même en France, ça a drastiquement chuté, les médias avant c'était vraiment très important, très élitiste, ça l'est beaucoup moins aujourd'hui. D'ailleurs je vais remettre l'interview de mon chef de Master M. Archambault qui a étudié le foot ici:   [spoiler]Quel regard les élites intellectuelles portent-elles sur le football ? Mon parcours est assez symptomatique de la complexité de cette relation. Je viens des classes moyennes, de parents enseignants eux-mêmes issus de milieux populaires dans lesquels on s'intéressait au foot et on le pratiquait. D'où mon intérêt pour le ballon rond. Mais au lycée Henri-IV, à Paris, où j'ai poursuivi mes études, personne ne regardait les matchs à la télé (en tout cas personne ne s'en vantait), car le foot n'est pas un sport « culturellement légitime » pour les élites françaises. Pourquoi ce hiatus, d'ailleurs propre à la France ? L'explication remonte à l'opposition historique entre pays catholiques et protestants sur le rapport au corps. Pour les élites anglaises, qui inventent le football à la fin du xixe siècle, ce jeu s'inscrit dans un projet éducatif global. Le rôle du sport dans la formation de l'individu y est clairement souligné. Pourquoi, aujourd'hui encore, ne trouve-t-on pas de quotidien sportif en Angleterre ou aux Etats-Unis ? Parce que les meilleurs quotidiens généralistes ont toujours pris en charge l'actualité du sport - voyez notamment les pages cricket ou rugby du Times. Et les milieux académiques anglo-saxons n'ont jamais hésité à affirmer leur intérêt pour le foot, comme en témoignent les nombreuses chaires et programmes de recherche qui lui sont consacrés à l'université. Le football n'a pas le même statut dans les pays catholiques ? Le sport y est une pratique secondaire dans la formation des jeunes, comme on l'a tous constaté pendant nos études. Mais il existe une exception de taille : l'Italie ! Les élites y raffolent du ballon rond, comme les classes populaires, et, contrairement à la France, elles le financent depuis longtemps. Mais si le foot est le grand sport national de l'autre côté des Alpes, c'est d'abord parce qu'il a été pris en charge par l'Eglise après la Libération. L'Eglise, une institution interclassiste répandue sur tout le territoire grâce au réseau des paroisses; et surtout une institution qui considère que jouer au foot prépare bien à devenir un bon chrétien. La façon dont les curés italiens ont chapeauté cette pratique a d'ailleurs joué dans la définition du « jeu à l'italienne » - sobre, défensif et discipliné ! Dans le grand quotidien sportif La Gazzeta dello sport, contrôlé par le Vatican après 1945, on pouvait lire après-guerre que les joueurs devaient obéir aux consignes de leur capitaine... comme l'ensemble des fidèles au Saint-Père ! Au cinéma, cette influence est explicite. Dans Rome, ville ouverte, de Roberto Rossellini, c'est le prêtre-entraîneur qui est fusillé par les Allemands; et dans La messe est finie, de Nanni Moretti, on voit un prêtre jouer au foot dans une paroisse vide, une scène censée représenter la perte d'influence de l'Eglise sur la jeunesse italienne (en quoi Moretti se trompe, car la grande association sportive par laquelle passent la plupart des ados italiens dépend toujours de l'Action catholique...). Entre les modèles italien et anglosaxon, où se situe le football français ? Le foot n'a jamais été le grand sport populaire hexagonal, celui qui écrase tous les autres. Parce que la France n'est pas un grand pays de sport... Et c'est le vélo qui a, historiquement, occupé la première place dans le coeur des masses - dans les campagnes, la bicyclette « parlait » à tout le monde. Surtout, le football français a été privé des ressources sociales et financières des élites, en particulier des dirigeants de la grande industrie. Certes, à Lens, Sochaux (avec Peugeot), Saint-Etienne (avec Geoffroy Guichard, fondateur de Casino), certains grands patrons ont bien essayé de développer le club local, mais cela s'est toujours fait dans l'esprit paternaliste de la première moitié du xxe siècle - pour distraire les ouvriers. Quant aux sommes investies, elles n'avaient rien de commun avec ce qu'a pu mettre la famille Agnelli (patronne de Fiat) dans la Juventus de Turin, par exemple. Chez nous, ce sont les PME régionales qui ont financé le foot, des petits patrons visant une notoriété locale, éventuellement nationale, jamais internationale. Ce qui explique au passage la domination italienne sur le foot européen pendant plus d'un demi-siècle : jusqu'aux années 2000, les clubs transalpins ont tout simplement les moyens de s'acheter les meilleurs joueurs du monde. Cela n'a pas empêché le football de faire son trou en France... C'est vrai, et c'est encore l'Eglise qui a joué un rôle primordial dans son implantation sur tout le territoire. Comme l'a très bien montré une thèse de géographie publiée à la fin des années 1990, les régions où l'on joue le plus au ballon sont aussi celles où la pratique religieuse reste la plus solide : Bretagne, Normandie, Lyonnais, vallée de la Loire... Normal : le foot français était au début du siècle dernier un sport de paroisse et de « patronages » (qui se souvient aujourd'hui que l'AJ Auxerre joue en bleu et blanc parce que Marie était la « patronne » du club ?). A la différence de l'Italie, cependant, l'Eglise en France n'a jamais revendiqué son rôle fondateur dans le foot. Et surtout, son influence sur la société a dégringolé beaucoup plus vite que chez nos voisins transalpins. Elle a donc laissé une place vacante dans les gradins, et la gauche ne s'est pas fait prier pour l'occuper ! Car la gauche a longtemps entretenu une relation ambiguë avec le foot. En tout cas jusqu'à la fameuse épopée des Verts, en 1976, quand l'équipe de Saint-Etienne atteint la finale de la Coupe d'Europe des clubs champions, à Glasgow... La ferveur populaire pour le vélo était tellement plus vive en France que le PCF essaiera de racheter le Tour de France à L'Equipe, successeur de L'Auto, après la guerre. Certains se méfiaient encore du sport, considéré comme une pratique « bourgeoise » , d'autres reprochaient au foot d'être passé pro en 1932. Pourtant, devant la passion manifeste des ouvriers pour leurs équipes locales, le Parti se fait pragmatique - y compris dans les régions catholiques comme le Forez, où se trouve Saint-Etienne. Georges Marchais, du coup, devient un grand fan des Verts ! Qu'on ne s'y trompe pas, cependant : l'associationnisme laïc, qu'il soit lié au PC, au PS ou aux syndicats, n'a jamais valorisé le ballon rond. Le mouvement d'éducation populaire affirme très tôt que c'est un sport « déséducatif » , car les jeunes reproduisent sur le terrain les mauvais comportements des pros : ils trichent et simulent des fautes ! Très vite, les enseignants de collèges et de lycées, cathos comme laïcs, vont privilégier le basket (deuxième sport le plus pratiqué dans l'Hexagone) et le handball, censés porter, bien mieux que le football, les valeurs du collectif et du fair-play... Le football pollué par l'argent, ce n'est donc pas une idée nouvelle... C'est un reproche qui traverse toute l'histoire du football. Il faut se garder de la vision angélique du « c'était mieux avant » . En Angleterre, professionnel dès 1888, le foot s'est immédiatement développé comme le produit d'une industrie, pour faire du profit. Les règles du jeu vont d'ailleurs évoluer dans l'intérêt de cette industrie : la grande réforme du hors-jeu en 1925 (deux défenseurs entre l'attaquant et la ligne de but, plutôt que trois auparavant) est mise en oeuvre parce qu'il n'y avait plus assez de buts dans le championnat anglais - donc plus suffisamment de spectacle, donc plus assez de public... Rebelote dans les années 1990 : les défenses reprenant le dessus, on change encore certaines règles comme la passe au gardien (sur une passe d'un coéquipier, ce dernier ne peut plus se saisir du ballon avec les mains). Le foot est en fait un marqueur fort de la situation sociale et politique des pays où on le pratique... Prenez le hooliganisme en Angleterre. La crise de la classe ouvrière anglaise et la percée du thatchérisme sont le terreau des événements tragiques qui se sont produits dans les stades anglais dans les années 1980. Dans un pays où le samedi après-midi, jour de match, est surnommé le « Labour en prière » (car les électeurs du parti travailliste - Labour - « communiaient » autour de leur équipe fétiche), l'effondrement du syndicalisme, la victoire de Thatcher et le triomphe de l'économie financiarisée mettent à genou le milieu ouvrier. Qui libère sa colère et sa frustration dans les stades. Le hooliganisme touche ainsi essentiellement les bassins ouvriers du nord de l'Angleterre - Liverpool, Manchester et les Midlands -, beaucoup moins les clubs londoniens, à part Chelsea. L'exclusion des équipes anglaises de toute compétition européenne pendant cinq ans va permettre aux clubs - et à la police - de « faire le ménage » , en fait d'exclure les classes populaires de leur public. Passage à la Premier League (une organisation beaucoup plus lucrative du championnat) en 1992, augmentation vertigineuse du prix des billets, aseptisation des stades... Ce sont les classes moyennes - et même plutôt bien portantes - qui vont désormais regarder jouer Manchester, Liverpool ou Arsenal... Longtemps, l'image du footballeur issu des milieux populaires a fait vibrer des intellos impressionnés par cette « revanche sociale » ... Aujourd'hui, c'est le mépris du « footeux » qui semble dominer... Rien ne traduit mieux ce malaise que le regard porté par les médias sur la fameuse « grève de Knysna » (1) , en 2010. Le sociologue Stéphane Beaud a décrit dans Traîtres à la nation ? la violence qui a caractérisé à cette occasion les relations entre journalistes sportifs et joueurs. Jusque dans les années 1980, ils étaient tous issus des mêmes milieux. Entre joueurs et journalistes, on se comprenait, on parlait le même langage, et la différence de salaire, pour être importante, n'était pas encore monstrueuse. Dans les années 2000, le recrutement des journalistes change radicalement : ce sont maintenant les classes moyennes en voie de précarisation qui, malgré leur fort capital culturel, écrivent les pages sports des quotidiens. Mais ces journalistes font face, désormais, à des footballeurs qui gagnent deux mille ou trois mille fois leurs salaires. Se déclenche alors, selon Stéphane Beaud, le réflexe classique du mépris de classe... : comment ces semidébiles légers, se demandent les élites françaises, peuvent-ils gagner autant d'argent ? Montrer les footballeurs comme des analphabètes mal élevés devient alors un sport national, allègrement pratiqué par tous. La complicité d'antan, la communion qui semblait encore caractériser, il y a quarante ans, le lien entre le public français et les Verts, disparaissent brutalement ? L'affaire Aimé Jacquet, avant la Coupe du monde de 1998, avait taillé une brèche profonde. En 1998, la presse généraliste s'intéresse vraiment au football, ce qui, en France, est assez nouveau. Les journalistes de L'Equipe ou de Libé, qui ne sont pas particulièrement issus de milieux défavorisés, ne sont pas très fans de Jacquet, cet ancien ouvrier qui ne maîtrise pas les codes de la communication. Ils ne se gênent pas pour l'enfoncer - alors qu'il possède une véritable compétence, puisqu'il a été champion de France avec Bordeaux, et qu'il remportera le Mondial. Il ne leur pardonnera jamais ce mépris. Plus largement, il est de bon ton dans les élites de stigmatiser le milieu du foot et les sommes extravagantes qui y circulent. Si l'on y réfléchit, pourtant, le budget du PSG n'était pas, jusque récemment, beaucoup plus élevé que celui de l'Opéra de Paris. Et l'Opéra de Paris, c'est à peine 350 000 spectateurs sur l'année, alors qu'il y en a 1 000 000 au Parc, auxquels s'ajoutent les millions de téléspectateurs. Les Italiens, eux, ne connaissent pas ce dilemme. A Milan, quand on fait partie de l'élite culturelle, on est abonné à la Scala et à San Siro (le stade du Milan AC et de l'Inter) ! De même, le salaire de Zlatan Ibrahimović fait couler beaucoup d'encre, mais connaît-on le cachet d'un grand chef d'orchestre pour diriger un soir à la Bastille ? 100 000, 150 000 euros ? A travers cette contestation récurrente de l'argent dans le football percent toujours les stigmates de la non-légitimité de ce sport aux yeux d'une classe sociale particulière. L'Euro commence, dans une Europe plutôt désunie. L'attachement à l'équipe nationale est-il le même dans tous les pays ? Non, chaque pays a son histoire. En Angleterre, l'équipe nationale a laissé les supporters indifférents jusqu'à la victoire en Coupe du monde (1966), où une Angleterre en déclin sur le plan géopolitique tient sa revanche sur le gazon. C'est tout le contraire en Italie. Défaire les grandes nations, notamment les Anglais, sur leur terrain, est en effet très apprécié par une population sevrée de bonnes nouvelles sur la scène internationale. Du coup, l'Italie recrute très tôt hors de ses frontières, dans la grande tradition du condottiere, ce chef de guerre étranger que l'on payait au Moyen Age pour porter les couleurs locales sur les terrains de bataille. Dès les années 1920, on compte ainsi une bonne centaine de joueurs autrichiens (les meilleurs du monde à l'époque) dans le calcio. Et dans les années 1930, on importe les joueurs sud-américains qui ont une origine italienne pour qu'ils jouent avec la Squadra Azzurra. Ils sont considérés comme d'anciens émigrés rapatriés ! En 1934, la moitié de l'équipe italienne vainqueur de la Coupe du monde avait déjà joué un Mondial mais sous les couleurs de l'Uruguay ou de l'Argentine... Quant à l'Allemagne, il faut attendre 1954 pour qu'elle se passionne pour son équipe nationale : cette année-là, elle remporte la Coupe du monde et le foot devient même la seule instance du pays autorisée à utiliser le qualificatif National (dans le mot « Nationalmannshaft » ) - banni depuis 1945 ! [/spoiler]   Il dit des tas de choses intéressantes et qui vont dans le sens de pourquoi et comment le football est-il devenu un instrument important en Italie et en GB.   Puisqu'on parle d'interview, voici quelques interview d'acteurs plus ou moins célèbres du football:   Bielsa en italie lors de sa conférence ou Pep, Conte, Zidane et des tas d'autres étaient réunis:   https://pbs.twimg.com/media/B_u9rHvWAAAysbN.png   https://pbs.twimg.com/media/B_u9rIMWQAAU9_g.png   Bielsa:   "Tout ce que la plupart des médias nous apprend dans le football n'est que de la pure géométrie. C'est à dire qu'on parle souvent de 4-4-2 ou de 4-3-3 sans savoir réellement ce que c'est. Pour comprendre ce qu'est une tactique, il faudra suivre les entraînements concernant ce système pour savoir quelle est vraiment l'organisation ? Et a quoi sert ce système lors d'un match ? Tout ce que l'on peut savoir sur un système se passe lors de la mise en place tactique pendant les entraînements. Cependant lors des entraînements filmés les journalistes, pour la plupart, ne s'occupent pas réellement de ce qui se passe pendant la séance et tout ce qui les intéresse c'est de pouvoir déceler des tensions; parce qu’il y'en a souvent du fait que vous demandez à des personnes de répéter des gammes et qu'avec la montée d’adrénaline ils sont souvent tendus) ou à véhiculer des informations qui ne servent pas réellement à agrandir les connaissances footballistiques du public. C'est pourquoi pour éviter cela beaucoup d'entraîneurs font des séances à huis clos et cela n'est pas bénéfique pour le public car tout ce qui devrait être l'occupation de tout acteur du football, c'est de pouvoir satisfaire le public. Si le football est devenu ce qu'il est aujourd'hui d'une part c'est de la faute des journalistes et de l'autre part c'est la faute des entraîneurs."   Interview de Luis Bonini qui a passé plus de 20 ans avec Bielsa:   http://www.lagrinta.fr/les-confidences-de-luis-bonini-lancien-adjoint-de-bielsa&7245/       Interview de Simeone, une mine d'or:   http://www.lagrinta.fr/simeone-plus-quune-equipe-nous-sommes-une-famille&7245/   Des choses sur Sacchi que je connais bien mieux que ce que pensent certains:   http://www.sofoot.com/arrigo-avant-sacchi-les-premices-du-calcio-totale-219891.html   http://www.sofoot.com/arrigo-sacchi-le-collectif-est-meilleur-que-l-individu-169071.html   Son interview est exceptionnelle et retranscrit ce qu'il a réussi à faire avec brio: changer les mentalités de la Serie A mise en place depuis le début du XXè siècle par l'Église (voir l'interview de mon prof).   Mais puisqu'il faut aussi regarder du football dans tout ça, je vous met un des matches que j'ai vu de du Milan de Sacchi, la victoire 5-0 contre le Real Madrid en demie de Coupe d'Europe de 89 avec un Ancelotti exceptionnel:   https://www.youtube.com/watch?v=JMRyFdrO8d8&t=2209s     C'est vieux mais ça se regarde bien, pour voir Cruyff c'est pire :D.   Des tas de choses sur Cruyff:   http://www.sofoot.com/hommage-a-johan-cruyff-219626.html            
  18.   J'avais oublié qu'ils avaient acheté Gerson mais je ne sais pas du tout ce qu'il vaut lui. Effectivement il devra se battre, mais ça peut être un challenge intéressant.
  19.   Strootman est pas "très souvent blessé", il a juste eu une seule et unique blessure à son genou ou son cartilage a été touché, et en gros de ce que j'ai compris même pour les footballeurs c'est une blessure très grave car il existe peu de traitement, Strootman a donc subit plusieurs opérations pour remédier à son problème, et après deux ans de galère, son problème semble enfin derrière lui donc si ça tiens il ne se blessera pas forcément car Strootman n'était pas injury prone à la base. Il n'a juste pas eu de chance car c'est une blessure très très grave (j'ai un ami qui a eu peur d'avoir la même chose, le médecin avait été très clair, si le cartilage est touché, pas de traitement possible). Là Strootman revient à son rythme et je le trouve vraiment bon, hâte de le voir à son plein potentiel.   Wilshere pourra tourner avec le jeune Paredes (qui a joué regista toute la saison dernière alors que c'était un 10 de formation, il a très vite progressé et beaucoup appris auprès du coach d'Empoli qui est lui aussi très bon, là il a joué 8) et Strootman s'il se blesse effectivement puisque je pense que le belge est intouchable.   Pour l'apprentissage auprès de De Rossi, je suis d'accord mais je ne parlais pas de ça, seulement de son niveau en net déclin depuis des années, et c'est surtout auprès de Spalletti qui lui apprendra des choses (Chesny a carrément dit qu'il avait plus appris en quelques mois avec Spalletti que dans tout le reste de sa carrière, bon ça reste à voir sur le terrain).   Bref un transfert en prêt serait excellent pour lui, et si ça peut permettre à nos scouts de surveiller Strootman et Paredes, c'est un grand oui.
  20.   Oui je ne l'ai pas précisé, après à une époque il était bon partout De Rossi, mais aujourd'hui son niveau est problématique...   Clairement il a énormément de choses à apprendre là-bas.
  21.   Ça reste à voir... Pour l'instant le milieu titulaire de la Roma, c'est Strootman, Naingolan et le jeune Paredes qui est ultra prometteur (il a un toucher de balle celui là aussi) à qui le club à promis du temps de jeu depuis son excellent prêt à Empoli.   Donc déjà j'ai l'impression que le coach de la Roma à du mal à gérer les deux dinosaures qui sont finis (De Rossi et Totti), faut voir comment il pourrait gérer Wilshere. En revanche Spalletti est un excellent coach, Wilshere apprendrait énormément à son contact et retrouverait son pote Chesny. De Rossi fait flipper sur le terrain, d'ailleurs il est en grande partie responsable de la débâcle contre Porto avec une action carrément stupide à 70m de ses buts, donc oui Wilshere pourrait entrer dans la rotation au milieu, à voir à quel poste aussi et à quelle fréquence, ça je n'en sais rien, la Roma jouant l'EL, il y aura beaucoup de matches. Ca serait clairement plus enrichissant que Crystal, et surtout ça lui ferait quitter Londres ce qui est pour moi un facteur important, il doit sortir de son petit cocon et se bouger, l'Italie serait parfaite comme destination.
  22. Je suis prêt à supporter Debuchy un an si on va chercher Fabinho la saison prochaine.
  23. Kampberg

    Mercato général

    Les fans madrilènes vont mal le prendre, ils préfèrent Isco en général qui n'a jamais été respecté au Real car même quand il était bon il dégageait du 11 dès que Bale et Ronaldo étaient là.
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