White Choc

Merci ayoub. Gros +1

Je me suis toujours documenté en essayant de regarder des matchs complets. À la base j'ai fait ça pour Scholes, mon homme, mon amour, mais au final j'ai aussi été attiré par Keane dont l'éthique de travail, la loyauté, la concentration et le talent (joueur extrêmement complet) font que ce n'est pas juste un boucher un peu comme De Jong et Barton dans une moindre mesure (ces derniers étant beaucoup moins talentueux). Après ce genre de classements sont extrêmement subjectifs, où est Cantona ? Si Gerrard mérite totalement le top 10, j'estime que Scholes doit au moins être devant lui, etc...

C'est vrai que tu l'as vu jouer tellement de fois Roy Keane

C'est presque démago ce que tu avances Royal. La vérité c'est qu'actuellement un club comme Arsenal a toutes les clefs en main avec un tel effectif pour viser le titre, sauf le coach.Actuellement, l'effectif d'Arsenal est meilleur et bien mieux équilibré que l'effectif de Manchester United, c'est un fait. Et le fait que (mal)heureusement vous vous dirigiez vers une énième saison où l'objectif est la 4ème place n'est plus un problème d'effectif (à 2-3 trucs près), ni d'argent. C'est un problème de gestion d'effectif (qui impliquent les transferts du mercato), de tactique et de mentalité, et ça c'est entièrement Wenger qui en est fautif. Mais bon le fait que tu voies un Manchester United devant dépenser d'énormes sommes d'argent pour tenter de se reconstruire un effectif équilibré, une réputation perdue et une souffle nouveau dans un effectif au mental et à la mentalité extrêmement fragile montres que beaucoup de supporters ici ne voient pas le véritable défi que représente le fait de redresser la barre à Manchester United. À Arsenal, Guardiola il se ferait très certainement plaisir. Manchester United est dans une phase extrêmement difficile, devoir redorer le blason de Manchester United au niveau européen et national demanderais à Guardiola un travail de fond et de surface bien plus important qu'au Barca. Au Barca il lui "suffisait" de donner la chance à des jeunes pétris de talent et de les mettre dans de bonnes disposition dans un système sont beaucoup ont fait toute leur formation avec. À Manchester United, ni les jeunes, ni l'équipe A ne donne satisfaction, et les deux n'ont aucune direction ni plan de jeu. Redresser Manchester United est une tâche extrêmement difficile. Arsenal c'est facile, la machine est lancée, il suffit de conduire la voiture.

C'est là que de ne pas utiliser Etxeita est très frustrant... En DC il a plus de potentiel que San José (qui lui devrait concurrencer Itu). Ander c'est une grosse perte en terme de talent, pas de collectif ni d'importance. 2013-14 il est replacé en 10 par défaut, la paire Itu - Rico étant extraordinaire dans tous les domaines, mais son pressing était parfait pour protéger le milieu Itu - Rico. Maintenant la paire est plus exposée face à l'adversaire...

En même temps Urruita est un grippe-sous. Il Fallait mettre le paquet sur Monreal et Illara. Surtout que le deuxième aurait été grandement appréciable afin de pousser Itu à fait bien mieux qui est méconnaissable depuis 1 mois. 28M€ de benef en 2013-14, autant cette saison, 50M en banque et pas de dettes. Et on dépense 2M pour ce mercato...

Non je crois qu'il était à 70K£/week en fait. Il avait été augmenté il y a deux ans lors de sa (très) bonne première saison en 2011 passant de 30K à 70K.

Moitié moins que son salaire actuel. Après pour Welbeck il est actuellement dans une bonne phase. Mais il reste un joueur en retard dans sa formation par rapport à son âge, il est assez irrégulier comme footballeur, il vous fera sûrement un bon petit moment de moins bien dans les mois à venir. Mais il va beaucoup progresser avec vous.

Eh début octobre ? Ça doit être très certainement un fake.

Me clan moi ça m'avait saoulé pour 2 choses, Taser qui est insupportable parce qu'avec lui c'est impossible de débattre justement. Et la modération qui était juste insupportable 2-3 ans en arrière. Genre tu postes une vidéo, tu dois encoder le lien et mettre un résumé. Si t'es sur téléphone c'est mort. Mais faudrait que j'essaie, parce que je rejoins Ayoub, ici le débat se fait parfois désirer, mais ça on en est tous responsables, voire même plus les anciens... Perso ça fait 1-2 ans que je me suis plus lancé dans un vrai bon débat comme j'ai pu en avoir sur ce forum avec Micah.R, Graciak, Sadgooner, Cliff, GBC, Erio, etc. Surtout qu'il y a de la qualité mais un manque d'ouverture d'esprit (et de temps ?) pour débattre vraiment, comme si le football était une science exacte et aussi chiante que le rugby... PS. Le forum de MU est tout sauf un mauvais forum, il est d'un excellent niveau de tout ce que j'ai pu visiter depuis mon existence sur les forums. Ayoubaib tu t'y plairais clairement, et Bbarca poste souvent là-bas

D'ailleurs comment va l'autre taré là ? Celui qui crache plus sur la PL que la LDJ sur Dieudo et qui pense que Scholes est en dessous de Xavi et Pirlo.

Rafael ne fait même pas faute dans la surface. Mais comme dit Van Gaal, vu la physionomie du match on se devait de ne pas perdre, même si sur les 5 buts de Leicester, 3 sont contestables... Mentalement quelque chose ne va pas, c'est grave de s'écrouler à 3-1, c'est de l'ordre de la faute professionnelle...

Erio est trop anarchiste pour vouloir le pouvoir. Un mec bien en somme.

En tout cas y en a un qui aurait fait un sans faute s'il avait joué avec nous ! EDIT 3ème haha, pas trop mal

Sérieux si Fly deviens modo, je me casse. Je pourrai pas supporter plus de 5 minutes. Bon à part ça c'est un rôle qui lui irait parfaitement. Maîtrise de soi, ouverture d'esprit, tolérance, etc. Tout ce qui fait de lui un membre agréable et sympathique quoi.

On va arriver à faire un débat constructif de A à Z sur de forum ?

C'est pas de moi l'article mais oui je l'aie vue. Si + conditionnel en début d'article.

Lisbonne, dans la nuit d'un 24 mai, avait des faux-air de final hollywoodien. Le héros immaculé de blanc portait l'estocade finale à la dernière minute du match pour ensuite dévoiler ses muscles d'aciers, tandis que son vis-à-vis, lui, était depuis le début du match terrassé, la jambe meurtrie et les yeux embrumés, trahi par ce physique qui jadis avait tant fait trembler les défenses d'Europe. L'histoire aurait pu s'arrêter sur cette niaise conclusion, ce monde n'avait de place ni pour les salauds ni pour les petits poucet voulant jouer des coudes trop longtemps. Dortmund était bien rentré dans le rang lui, alors pourquoi en serait-il autrement pour les banlieusards de Madrid ? L'Atlético serait pillé durant l'été, regarderait à nouveau les deux monstres de la Liga se battrent entre eux, tandis que Costa, qui accumulait retours de blessure précipités et rechute anticipées, serait l'un de ses nombreux attaquant d'une seule saison, l'une de ses saveurs éphémère d'une football qu'on goûte avec plaisir, sachant bien que plus jamais on ne les reverraient sur la carte du buffet. Le rêve avait duré. Il n'en fut rien. Le soir même où l'Atlético remporte une fois encore le derby, presque une habitude désormais, Diego Costa caracole seul en tête des buteurs de la Premier League, avec sept pions en quatre matchs, dans un Chelsea au onze de rêve et semblant grand favori au titre national, en convoitant encore bien plus. La saison dernière, Mourinho s'était plaint continuellement d'une absence de véritable buteur. Eto'o trop vieux, Torres trop mauvais, Schürrle trop tendre, son équipe qu'il qualifia de ''jeunes poulains'' chercha donc du renfort chez le dévoreur de placenta de jument. Une presque évidence. L'entraineur de Chelsea, c'est connu de tous, n'a jamais été un grand joueur, mais s'il aurait pu s'incarner en un footballeur actuel, nul doute qu'il aurait choisit Costa. Les deux partagent cette même pensée unique : la victoire. Car ne nous y trompons pas. La réputation que Diego porte sur ses larges épaules, il la cultive de lui-même. Coup bas, crachat, intimidation, simulation, faute grossière, provocation, Costa connait les gammes du joueur détestable sur le bout des doigts, et les joues avec art à chaque match. Mais il s'en moque. Peu importe que les supporters adverses le respectent, pourvu qu'ils le craignent. Être sifflé, conspué, insulté un match entier n'a que peu d'importance quand le match est remporté. Surtout si comme souvent, on a pu planter un but, crier sa rage et dresser un poing fermement serré. La victoire n'a que faire du beau et du laid, du coup de génie ou du coup de coude, de l'admiration ou de la haine, un vrai champion se reconnaît par sa faim et son talent. Costa, c'est donc ce joueur horripilant, cette catin du front de l'attaque, ce Judas brésilien, ce plongeur espagnol, ce bourrin, ce poison. Mais c'est surtout ce champion, la vedette de l'Atlético qui remporta le championnat pour la première fois depuis 14 ans, le fer de lance du finaliste de la ligue des champions, et désormais la locomotive d'un Chelsea écrasant Albion de la force de son duo d'espagnol. Si le profil semblait évident, le transfert fut accompagné d'un certain scepticisme. Lâché par son physique lors des deux finales de la saison, auteur d'une coupe du monde catastrophique, relégué hors du onze lors du dernier match et de la seule victoire d'une Roja dont il semblait incompatible, Diego Costa n'était plus ce buffle rageur et concasseur de défense, juste un fantôme errant entre prestation médiocre et blessure répétée, le symbole de l'échec de l'Espagne et de l'engagement physique consentit par l'Atlético pour rattraper les géants. Lui, l'une des pierre angulaire de la révolte des colchoneros, de ce printemps des matelassiers, ne verrait pas le soleil estival. Mais l'été indien est rempli de douceur. Cette greffe, si difficile avec la Roja, se déroule parfaitement du coté de Londres. Avec son alter-ego du banc, il se met de nouveau à rassasié sa faim de victoire, saupoudré des multiples caviars de Fabregas, auteur déjà de six passes décisives depuis le début de la saison. Dans trois jours, Chelsea recevra Schalke 04, première sortie européenne pour ce Chelsea nouvellement racé de montrer sa valeur et de montrer sa force à l'Europe entière. Il était une fois dans l'Ouest de Londres, le bon Fabregas, la brute Costa et le truand Mourinho. Le far west, cette terre sauvage et cruelle aux antipodes des paillettes et des stras d'Hollywood. Car dans le grand ouest, les salauds sont parfois les héros des histoires. Et gagnent à la fin. http://www.total-futbol.com/blog/toutes-les-chroniques-slider/diego-costa-ce-salaud-au-regard-si-doux1323.html?version=desktop

Agger est parti ? O_o

Bah de toute façon il fait de la politique Calderon. Propagande et désinformation.

Ça non, on n'est pas d'accord

T'es un bon toi. Je t'aime bien. On est d'accord sur presque tout

La_Pulga, notre dette on la rembourse depuis la contraction du prêt... De plus d'un milliard à l'époque sauf erreur. Donc non, ça n'est pas seulement depuis quelques temps... T'as étudié l'économie ou pas ?

Ce que je kiffe dans cette vidéo c'est que Neuer fait des toros avec le reste de l'équipe Là je dis oui.

Franchement ? Je connais pas très bien l'histoire des portiers espagnols mais Casillas est extrêmement surcôté je trouve. C'est toujours le problème de l'importance entre arrête réflexes, et tout le reste. Un portier qui fera des arrêts réflexes de malades et un portier qui techniquement est excellent et sait se placer sur sa ligne. Pour ma l'art mieux vaut prévenir que guérir