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Tout ce qui a été posté par lô le gunners
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voila j'ai modifié, klose sort pour Totti qui prend sa place il faudrait inventer le foot à 12 pour les retraités !!! J'ai rajouté le 11 bis ; j'ai longtemps hésité entre sholes et gerrard...
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Un footballeur est-il un salarié comme un autre ? C’est la question que pose l’attaquant Anatole Ngamukol, mis à l’écart par le Stade de Reims et qui a porté plainte contre son ancien club. Une première dans le monde du football, et qui n’est pas anecdotique : l’UNFP, le syndicat des joueurs professionnels de football, a décidé de se porter aux côtés du joueur dans le dossier au motif que le « football est un no man’s land juridique : ça ne peut plus durer ». La situation de départ peut pourtant paraître banale à tous les amateurs de football. Anatole Ngamukol, ancien joueur du Red Star, signe à Reims en 2016. Il participe à 26 matchs et à l’accession du club en Ligue 1. Seulement, le club ne compte plus sur lui pour la saison 2018-2019, et lui fait comprendre qu’il doit s’en aller. « Le président de Reims, Jean-Pierre Caillot, m’a annoncé en mai que je ne jouerai aucun match, aucune minute, et m’a demandé d’aller voir ailleurs », explique le joueur, aussi combatif sur le terrain qu’en dehors. Le club champenois va alors faire ce que nombre de clubs ont pris l’habitude de faire depuis des années. Dès le 27 juin, elle demande à Anatole Ngamukol de ne plus s’entraîner avec le groupe professionnel. Dans le milieu, on appelle ces joueurs bannis « les lofteurs » : ils sont contraints de faire entraînement à part. En clair, les clubs cherchent à dégoûter les joueurs de rester. Par le passé, le syndicat des joueurs s’est déjà mobilisé contre cette façon de faire, et a obtenu à plusieurs reprises que soit réécrit l’article 507 de la convention collective. « À la base, explique Philippe Piat, président de l’UNFP, l’article 507 est fait pour qu’un entraîneur, qui a 40 joueurs sous contrat, puisse de manière temporaire dispatcher une partie de son effectif dans un deuxième groupe. Le problème est que le texte est à chaque fois dévoyé. Alors que l’article 507 ne doit pas pouvoir servir à mettre à l’écart, à sanctionner. » Selon cet article, en effet, la mise à l’écart « ne doit en aucun cas se prolonger de manière régulière, permanente et définitive s’apparentant à une mise à l’écart du joueur contraire à l’esprit du texte et du contrat de travail du footballeur professionnel ». Une trentaine de joueurs seraient actuellement concernés. « Mais généralement, ils s’en satisfont. Ils préfèrent ne rien dire et attendre. Quand la Ligue est saisie, elle intervient, elle demande, certes, aux clubs de réintégrer les joueurs. Mais les amendes sont si faibles que les clubs s’en fichent. » Pour Philippe Piat, la situation relève du harcèlement : « C’est comme si une entreprise mettait une secrétaire dans un bureau toute seule, à faire des mots croisés. Cela relève du harcèlement, et c’est fait pour réprimer la désobéissance d’un joueur qui ne veut pas, selon les cas, soit s’en aller, soit prolonger son contrat. […] Les clubs n’en ont rien à faire des contrats de travail : les joueurs sont seulement considérés comme des actifs financiers. On maltraite des joueurs qui veulent simplement respecter leur contrat de travail. » Me Delphine Meillet, l’avocate du joueur, abonde : « Ce sont des comportement qui sortent du cadre légal. Ils se sentent protégés par le milieu du football dans lequel ça ne se fait pas de saisir la justice. On lave son linge sale en famille. [...] Mais là, ça suffit, les arrangements de circonstance ! Le foot est un no man’s land juridique. Tout le monde s’en accommode, y compris les politiques. Pour une fois qu’un joueur a le courage d’aller au bout, on est à ses côtés. D’autant qu’il fait face à la perfidie d’un club qui, pour échapper à ses obligations, a entamé une procédure de licenciement sur un faux motif, et en chargeant la barque. » Jusqu’au-boutiste, Ngamukol ? Quand le Stade de Reims, contacté par le syndicat des joueurs, lui a finalement proposé de lui payer les mois de salaire lui restant jusqu’à la fin de son contrat et de le libérer, le joueur a refusé et en a fait une question de principe : « Il ne veut pas d’un compromis. Il veut que la justice passe », explique son avocate. Dans une première décision, la Ligue a entériné le 6 novembre la rupture du contrat. À la suite de l’appel interjeté par Anatole Ngamukol, le litige opposant le joueur au Stade de Reims sera maintenant examiné par la commission paritaire d’appel de la LFP en début d’année 2019. Quant à la Fédération française de football, elle explique que c’est à la Ligue de gérer la situation. Mais comme les Football Leaks 1 et 2 l’ont démontré, que l’on parle d’évasion fiscale, de transferts irréguliers, de mineurs illégalement recrutés, de joueurs dopés ou fichés selon leur ethnie supposée, il en faut beaucoup pour émouvoir les instances du football. https://www.mediapart.fr/journal/france/261218/ngamukol-un-footballeur-banni-qui-fait-valoir-ses-droits?utm_source=20181226&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-20181226&M_BT=135393249294
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Henry Totti Drogba Klose Ronaldinho Bergkamp Iniesta Kaka Davids Gattuso Scholes Pirlo Lahm Maldini Thuram Cafu Lizarazu Campbell Desailly Puyol Schmeichel Kahn
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Nos documents ont démontré que Right to Dream est en réalité un satellite de Manchester City, qui finance l’académie via une société offshore du propriétaire aux îles Vierges britanniques. En échange, le club anglais a l’exclusivité sur le recrutement des élèves. L’objectif est double. Assurer à City une « domination quasi totale » sur les joueurs mineurs en Afrique de l’Ouest. Et faire de l’argent avec les jeunes qui n’ont pas le niveau pour intégrer le club. Manchester City n’hésite pas à comparer ces gamins à de la « gestion d’actifs » qui s’est révélée « bénéficiaire ». les jeunes les plus talentueux atterrissent soit à City, qui les prête immédiatement pour les aguerrir, soit dans le club danois FC Nordsjælland, appartenant au propriétaire de l’académie Tom Vernon. Tout est fait pour garder les enfants sous contrôle. Suite à nos premières révélations, les journaux Politiken (Danemark) et VG (Norvège), partenaires de Mediapart dans l’opération Football Leaks et au sein du réseau de médias EIC, ont pu recueillir quatre témoignages concordants d’anciens élèves de Right to Dream. Ils disent avoir été battus, giflés, forcés de courir au milieu de la nuit ou de s’agenouiller en plein soleil en guise de punition. Ils dénoncent aussi les « pressions psychologiques » et la façon dont l’académie leur a dicté leur carrière. La vie des jeunes garçons, recrutés dans toute l’Afrique de l’Ouest (Ghana, Côte d’Ivoire, Nigeria…), était réglée comme du papier à musique : lever à 5 h 30, entraînement de football, cours à école, puis nouvel entraînement avant le dîner. Le samedi était jour de match. Le dimanche était libre, mais les élèves le passaient généralement à faire leurs devoirs. Les enfants étaient confrontés à une réalité très différente de celle décrite par Tom Vernon. Un système basé sur la peur et les punitions, dit Collins Tanor. « J’ai été puni plusieurs fois. Tout le monde a eu sa part, quoi qu’il fasse. J’en ai peut-être eu un peu moins que les autres, mais j’ai eu ma part. » Il se souvient d’un jour où les enfants avaient perdu un ballon de foot. Ils l’ont cherché dans la brousse et sont arrivés en retard à l’école. « Nous avons été alignés et battus physiquement pour notre retard. Cela s’est passé dans les premières années. » Une autre fois, lorsque certains garçons sont arrivés en retard, tous les élèves ont été punis : ils ont reçu moins de nourriture que d’ordinaire pendant plusieurs jours. Une autre punition consistait à réveiller les garçons avec des cannes au milieu de la nuit. « Ils nous ont fait grimper des collines, puis nous sommes revenus et sommes allés directement au lit avec les mêmes vêtements. Puis ils nous ont réveillés le matin et nous avons dû suivre le programme normal. Nous ne savions jamais quand ils nous réveilleraient au milieu de la nuit. Les anciens élèves plus âgés, qui travaillaient à l’académie, étaient chargés de nous punir. » Il pense que la punition collective était considérée comme un outil éducatif. « Je suppose que c’est inspiré des camps militaires. C’était pour nous apprendre à travailler ensemble : si quelqu’un faisait une erreur, cela affectait toute l’équipe. » Une autre punition consistait à forcer les élèves à se mettre à genoux sous le soleil brûlant, la tête inclinée : « On l’appelait “l’agenouillement”. Cela pouvait durer une, deux ou trois heures. » Selon Collins, les garçons risquaient la punition à la moindre incartade. « C’était pour des choses anodines, que n’importe quel garçon pourrait faire : laisser tomber quelque chose, perdre un ballon de football, ne pas faire un effort demandé et être perçu comme un paresseux. » D’autres garçons formés à l’académie confirment le recours aux châtiments corporels. L’un d’eux, Kamal Sowah, affirme que les punitions étaient fréquentes et se souvient avoir été frappé par Harry Adekpui. https://www.mediapart.fr/journal/international/091218/des-enfants-de-l-academie-africaine-de-manchester-city-chaties-et-maltraites?page_article=3
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À la suite des révélations de la première saison des Football Leaks en décembre 2016, sur son montage offshore au Luxembourg, Luka Modrić a été condamné en janvier dernier en Espagne à huit mois de prison avec sursis et 1,4 million d’euros d’amende pour fraude fiscale. Le nouveau Ballon d’or a aussi été épaulé pendant toute sa carrière par des agents peu scrupuleux, dont l’un est au cœur d’une affaire d’État en Croatie, ce qui a valu à Modrić des poursuites pour parjure. Zdravko Mamić cumulait les casquettes de président du club et d’agent de joueurs, ce qui a permis à son clan d’accaparer, via des sociétés offshore, la moitié des revenus de transferts qui auraient dû aboutir dans les caisses du Dinamo. Un système bien rodé, utilisé notamment en 2008 lors du transfert de Luka Modrić vers le club anglais de Tottenham. Le milieu de terrain croate a été directement complice de la magouille. Sur les 21 millions payés par Tottenham au Dinamo, 9,19 millions ont été virés sur le compte bancaire de Modrić, lequel a reversé 7,14 millions à Mamić et sa famille. La destination finale des 2 millions restants demeure inconnue. L’argent destiné au clan Mamić transitait par une discrète société suisse nommée Rasport Management. Elle a touché l’argent détourné des caisses du Dinamo sur plusieurs autres transferts, dont celui d’Eduardo à Arsenal ou de Dejan Lovren à l’Olympique lyonnais. L’affaire aurait pu tourner vinaigre pour Modrić, puisqu’il a accepté que l’argent détourné transite par son compte en banque. On ignore s’il a passé un accord avec le procureur croate pour échapper aux poursuites en échange de sa coopération. En tout cas, il n’a pas été mis en examen et il a chargé Zdravko Mamić lors de sa première déposition devant les enquêteurs. Mais surprise : lors du procès, Modrić et l’un de ses coéquipiers de l’époque au Dinamo, Dejan Lovren, ont changé de version et défendu Mamić à la barre. Résultat : Modrić et Lovren ont été poursuivis pour parjure, un délit passible de cinq ans de prison en Croatie. Mais ils ont réussi à faire annuler leur mise en examen par la Cour suprême la semaine dernière. Le revirement de Modrić peut se comprendre, vu la réputation de son ex-agent Zdravko Mamić. En juillet 2016, le procureur général croate a été placé sous protection policière maximale (il l’est toujours aujourd’hui) à la suite de soupçons selon lesquels un contrat avait été placé sur sa tête. La presse croate a indiqué que Mamić aurait été impliqué dans ce projet d’assassinat, ce que l’intéressé a formellement démenti lors d’une conférence de presse. À peine arrivé à Madrid, Modrić a entrepris d’échapper en partie à l’impôt, avec la complicité du Real. Comme nous l’avons révélé fin 2016 lors de la saison 1 des Football Leaks, le club lui versait en effet 15 % de son salaire sous forme de droits à l’image, via une société au Luxembourg baptisée Ivano – le nom du fils de Luka Modrić. Cette coquille offshore encaissait aussi les confortables revenus publicitaires du milieu de terrain croate, dont ceux de son contrat avec Nike. À la suite de nos révélations, Luka Modrić a été poursuivi pour fraude fiscale en Espagne et a finalement conclu une transaction pénale avec le procureur : en janvier 2018, il a accepté une condamnation à huit mois de prison avec sursis et 1,4 million d’euros d’amende. https://www.mediapart.fr/journal/international/031218/luka-modric-ballon-d-or-offshore-lie-une-mafia-croate-du-foot?page_article=2
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Donc on déjà ciblé les gars , budget LDC ou pas c'est à dire on a déjà notre liste de course faite avec un budget hors LDC je ne peux m'empêcher de sourire Si l'info est vrai, économiser 3 mois de salaires de DS , ce n'est même plus de la radinerie là c'est maladif.
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ça montre que l'on perd en attractivité via les conneries en interne Je le redis, si on avait les couilles il faudrait wenger en DS ...
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Face aux policiers, le patron de l’AS Monaco oppose plus de 500 fois le droit au silence face aux 578 questions posées par les enquêteurs : « Je fais valoir mon droit au silence. » Le 6 novembre, son domicile – un luxueux appartement de 1 000 m2 avec salle home-cinéma, hammam, sauna, et salle de sport – a été perquisitionné. Les enquêteurs y ont trouvé son passeport chypriote, des badges de ses chalets à Gstaad, trois pistolets de tirs sportifs, un ordinateur et quatre disques durs dans une cave. Mais Rybolovlev ne sait pas d'où sort le matériel informatique : « Je ne sais pas à qui ils appartiennent et ne savais même pas l'existence de la cave. Je ne sais pas qui a pu stocker ces objets. » Tetiana Bersheda, avocate de M. Rybolovlev, qui cumule aussi les fonctions d’administratrice de l’ASM ou de Monaco Sport Investment (MSI), la société à travers laquelle l'oligarque contrôle le club, est restée tout aussi silencieuse lors de son audition par les enquêteurs. Elle aussi a opposé son droit au silence aux nombreuses questions qui lui ont été posées (590), portant en partie sur ses liens avec plusieurs autorités du pays. l’ex-ministre s’est étonné du fait que l’ancien chef de la police Régis Asso, en fonction jusqu’en février 2016, ait accepté, au début de l'enquête Bouvier, de participer à un dîner au domicile de Dimitri Rybolovlev en compagnie de Tetiana Bersheda, et ait reçu un cadeau anniversaire de leur part quelques semaines plus tard. « Aujourd'hui, comment qualifiez-vous le fait pour une personne exerçant les fonctions telles que celles qu'exerçait alors M. Asso de recevoir des cadeaux de la part d'un plaignant ? » ont relancé les enquêteurs. Réponse de l’ex-ministre : « C'est plus que surprenant. » le 16 mars 2015, le policier jure même « fidélité » à Rybolovlev. Plus de trois ans plus tard, Asso plaide la maladresse face aux enquêteurs : « Là, c’est un problème de vocabulaire. Fidélité est un mot que j’emploie souvent dans mes messages. Je voulais simplement être poli. » Il assure aussi n'avoir donné aucune instruction particulière à ses services dans le traitement de l'enquête Bouvier Yves Bouvier et sa complice présumée Tania Rappo sont placés en garde à vue le 25 février 2015, un mois et demi après le dépôt de la plainte les visant, et inculpés. Peu après la fin des gardes à vue, Mme Bersheda écrit à Fusari : « Merci pour votre excellent travail, bon week-end, amitiés, Tetiana. » Le policier répond : « Merci ! Bon ski (peut-être) À bientôt. »Les enquêteurs s'interrogent à haute voix :« Est-il normal que l'avocat de la partie civile adresse ses félicitations et s'autorise à commenter la qualité du travail d'un policier, juste après les inculpations des deux suspects ? https://www.mediapart.fr/journal/international/301118/face-aux-policiers-le-patron-de-l-monaco-oppose-plus-de-500-fois-le-droit-au-silence?page_article=3
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perso de ce que je lis de Pires, il a pas une profonde connaissance footballistique dernier exemple en date de la semaine dernière : sarr fait un bon match contre nous suite au craquage de monréal, le lendemain il sort "sarr serait bien chez les gunners" lol s'il vient s'occuper des jeunes ok mais pas plus
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qu'elle idée de le laisser partir... grosse performance une nouvelle fois; l'Emirates qui loue sa sortie comme à l'époque pour cesc...
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https://www.mediapart.fr/journal/international/251118/le-qatar-utilise-une-ong-pour-espionner-ses-rivaux?utm_source=20181125&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-20181125&M_BT=135393249294
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Au terme d’une enquête lancée à la suite de son contrôle positif, Sergio Ramos a finalement été blanchi par l’UEFA. Aucune mesure disciplinaire n’a été prononcée contre le médecin du Real Madrid, malgré une erreur de déclaration. La star espagnole n’a également subi aucune sanction dans une deuxième affaire, à la suite d’un match de championnat en avril 2018, alors qu’il est allé prendre une douche avant un contrôle antidopage, en violation du règlement. Retour en Suisse, au siège de l’UEFA. Le 7 juillet 2017, deux jours après avoir reçu les résultats du contrôle positif de Ramos, Caroline Thom, responsable antidopage à la fédération européenne, écrit au joueur pour lui demander des explications. La réponse arrive le 10 juillet. Elle ne fait que cinq lignes. Ramos explique avoir reçu la veille du match « un traitement contre la douleur pour mon épaule et mon genou ». Pour les détails, tout se trouve dans un « rapport médical » préparé par Mikel Aramberri, l’un des médecins du Real. « J’espère que cela clarifie complètement la situation », conclut Sergio Ramos. Les règles de l’AMA concernant l’utilisation de la dexaméthasone sont claires. La substance peut être utilisée par voie intra-articulaire en dehors des compétitions (c’est-à-dire plus de 24 heures avant le match), mais le traitement doit être mentionné lors du contrôle antidopage. l'uefa a décidé de « classer l’affaire sans engager de procédure disciplinaire », avec ce conseil à Ramos : « À l’avenir, nous vous demandons, ainsi qu’à votre médecin, de prendre les plus grandes précautions lorsque vous remplissez un formulaire de contrôle antidopage, en particulier lorsque vous déclarez un traitement. » https://www.mediapart.fr/journal/international/231118/dopage-les-controles-suspects-de-sergio-ramos?utm_source=20181123&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-20181123&M_BT=135393249294
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Les documents Football Leaks, obtenus par Der Spiegel et analysés par Mediapart et ses partenaires de l’EIC, montrent que Claudia María Rojas, procureure interne de la Fifa et très proche d’Infantino, a empêché Richard McLaren, l’homme qui a documenté le dopage d’État russe, d’enquêter sur le football russe avant la Coupe du monde. Alors même que Gianni Infantino avait reçu en décembre 2017 une liste confidentielle de onze joueurs russes suspectés de dopage, dont deux membres de l’équipe nationale, Sergei Ignashevich et Mario Fernandes. L’agence antidopage russe n’a pas voulu fournir ces informations « pour des raisons de confidentialité », écrit sans rire la fédération russe à la Fifa. Les documents ne peuvent être transmis qu’avec « le consentement des athlètes », ce qui est malheureusement « impossible parce qu’ils sont en vacances ou résident en dehors de la Russie ». https://www.mediapart.fr/journal/international/231118/la-fifa-etouffe-l-enquete-sur-le-dopage-russe-en-vue-du-mondial?page_article=3
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Affaire n'golo kanté « Ne vous évanouissez pas ! », prévient-elle au sujet des commissions négociées par ses deux agents : Gregory Dakad va toucher 6 millions de livres (7,2 millions d’euros) et Abdelkarim Douis 4 millions de livres (4,8 millions d’euros). Soit 10 millions au total, plus de 30 % du montant du transfert. Un pourcentage stratosphérique, même pour la très libérale Angleterre. N’Golo Kanté obtient quant à lui son premier très gros salaire : 5 millions d’euros par an en ultra net. Mais un montage offshore a été réalisé pour réduire ses impôts et son coût pour le club : une partie de son salaire lui sera versée sous forme de droits à l’image, dont la moitié à une société-écran immatriculée à Jersey, célèbre paradis fiscal de l’archipel des îles anglo-normandes. On ignore qui de Chelsea ou de ses proches a proposé ce montage à N’Golo Kanté. Une chose est sûre : il a été conçu six semaines avant le transfert, alors que le joueur négociait encore avec plusieurs clubs anglais. Et on y trouve la trace d’Abdelkarim Douis, ce proche de Kanté qui a remplacé son agent historique un an plus tôt. Tout est prêt pour le montage avec Chelsea. L’astuce ? N’Golo Kanté ne touchera que 80 % de ses revenus annuels (7 millions d’euros brut) sous forme de salaire, taxé à 47 %. Le reste (1,4 million d’euros) est payé sous forme de droit à l’image, ce qui permet à Chelsea de ne payer aucune cotisation sociale. 10 % vont à la société britannique NK Sports, qui ne paie que 20 % d’impôts. Et 10 % à la société immatriculée à Jersey, qui détient les droits de N’Golo Kanté pour le reste du monde. En théorie, cet argent doit être taxé dans les autres pays où N’Golo Kanté apparaît dans des publicités (en France par exemple). Mais le fisc britannique estime que ce n’est pas son problème. Pour le coup, l’impôt sur la part payée à Jersey est égal à zéro. L’opération doit rapporter gros : l’économie d’impôts pour Chelsea et N’Golo Kanté se chiffre à 1 million d’euros par an, selon nos calculs effectués sur la base des documents Football Leaks. Ce genre de montage est fréquent en Angleterre. Mais il n’est pas généralisé. Par exemple, Olivier Giroud, coéquipier de Kanté chez les Bleus et à Chelsea, est payé à 100 % en salaire par le club londonien, avec un taux d’imposition normal. Mais N’Golo Kanté ne signe pas. Les dirigeants du club londonien relancent ses représentants pendant des mois. Une nouvelle version du contrat est rédigée. Les pontes du club s’énervent. En avril 2017, neuf mois après l’arrivée de Kanté, le directeur du football de Chelsea, David Barnard, va même le voir personnellement pour lui demander de signer. Nouveau refus. Le milieu de terrain refuse même de toucher les 20 % de sa rémunération liés aux droits à l’image tant que le problème n’est pas réglé. En mai 2017, le club lui doit déjà 1 million d’euros. N’Golo Kanté s’en fiche. En juin, ses conseillers s’inquiètent… car un supplément de salaire a été versé sur son compte. Chelsea les rassure : ce ne sont pas des droits à l’image payés sans son consentement, mais son bonus pour avoir remporté le titre de « joueur de l’année » en Angleterre. Mais il y a un souci : si l’on supprime l’optimisation fiscale, il faut payer plus d’impôts. Chelsea fait tourner ses calculettes : remplacer les 20 % de droits à l’image par du salaire coûterait 190 000 euros par an de cotisations sociales au club. Sans compter les centaines de milliers d’euros d’impôts supplémentaires dont devrait s’acquitter N’Golo Kanté. Qui doit payer la facture fiscale ? N’Golo Kanté veut qu’elle soit entièrement à la charge de Chelsea. Le club n’est pas très chaud. Une négociation s’engage. L’accord définitif n’est signé que le 5 février 2018, un an et demi après son arrivée au club. Le milieu défensif des Bleus a finalement consenti à un compromis. Il accepte de toucher 20 % de son salaire en droits à l’image (deux fois moins taxés que les salaires), mais via sa société britannique NK Sports, qui paiera l’impôt sur les sociétés au Royaume-Uni. Du côté de Chelsea, l’accord a été en tout cas un immense soulagement. À la mi-février 2018, le club a enfin pu payer à N’Golo Kanté les arriérés de droits à l’image qui étaient gelés depuis dix-neuf mois parce que le joueur ne voulait pas être payé à Jersey. Il y en avait pour 1 706 246 livres, soit 1,9 million d’euros. De son côté, Abdelkarim Douis, l’agent qui a servi de « témoin » à Kanté à Jersey, a élargi sa clientèle. Fin juillet 2017, il a facilité le transfert à 7 millions d’euros de l’attaquant français Aboubakar Kamara d’Amiens à Fulham, moyennant une commission de 250 000 euros. Il avait aussi négocié un intéressement (jusqu’à 670 000 euros) sur la future revente du joueur, ce qui est interdit par le règlement. Après examen du contrat, la Fédération anglaise de football a dû prier Fulham de bien vouloir supprimer la clause. https://www.mediapart.fr/journal/international/141118/n-golo-kante-le-joueur-qui-ne-voulait-pas-etre-paye-jersey?page_article=2
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Entre 2013 et 2017, selon un document interne de l’UEFA de mars 2018, l'Atlético Madrid mène la danse parmi les quinze gros clubs européens, avec 52 transferts de mineurs approuvés, soit dix par saison, devant Manchester City (28), Manchester United (27), Arsenal et la Juventus de Turin (19). La Fifa reprochait à l’Atlético 65 violations à la prohibition de transfert de mineurs, tous âgés de moins de 16 ans. Vingt-sept avaient moins de 12 ans, l’un avait 6 ans, et ils venaient pour la plupart de pays en développement. Pour le TAS, l'Atlético « comptait profiter des mineurs en termes de succès sportif comme en termes de bénéfices financiers », sans grand risque pour lui alors que le mineur « pourra voir comment sa jeunesse a été gaspillée » s’il ne passe pas professionnel, ce qui est très fréquent. Affaire Bertrand Traoré L’attaquant lyonnais Bertrand Traoré (transféré à l’été 2017 à l’OL pour 10 millions d'euros) était visé par une de ces procédures pour son recrutement, encore mineur, à l’Association Jeunes Espoirs de Bobo-Dioulasso (AJEB), au Burkina Faso, contre 400 000 livres. Des sanctions ont été recommandées. Officiellement, Chelsea a enregistré son transfert en 2014, après ses 18 ans. Mais selon une enquête du Guardian, il a été recruté avant sa majorité, intervenue en septembre 2013. À la Fifa qui ouvre une enquête, Chelsea répond que le joueur n’a jamais participé à un match officiel et qu’il n’a fait qu’un passage « à l’essai ». Sur la foi de ces renseignements, la Fifa clôt le dossier en novembre 2013. Mais le rouvre en octobre 2015, grâce à des informations de presse. Car Traoré a fréquenté entre 16 et 18 ans (il est né le 6 septembre 1995) l’école privée Whitgift, dans la banlieue londonienne de Croydon, de 2011 à 2013, comme celle-ci s’en vante sur son site internet. Et il a participé à un match de U18 contre Arsenal alors qu’il n’avait que 16 ans, en octobre 2011, comme indiqué sur le site d’Arsenal. S’apercevant que Chelsea lui a caché ces informations, la Fifa voit rouge et fustige la « mauvaise foi » du club londonien. Chelsea admet alors avoir acquis dès avril 2011 une option sur le joueur auprès de sa mère, quand il avait 15 ans, contre 177 000 euros, plus 15 000 euros pour son club burkinabé de l’AJEB, présidé par… sa mère. Selon l’enquête, Traoré a en fait joué 25 matchs avec Chelsea (en U16, U18 et senior) sans être enregistré à la Fédération anglaise (FA). Certes, le club a envoyé en 2011 à la FA son contrat d’option sur le joueur, « afin de vérifier un potentiel TPO », la tierce propriété, mais ce contrat ne tient pas lieu pour la FA d’enregistrement officiel. Il y a donc un « transfert international illégal de mineur », Traoré étant recruté « contre paiement, sans approbation du sous-comité de la Fifa ». Circonstance aggravante, l’option conclue avec le club de Bobo-Dioulasso constitue selon la Fifa un cas de TPI, d’influence par un tiers, interdite, car Chelsea empêchait l’AJEB de transférer Traoré à un autre club sous peine de devoir rembourser l’argent reçu du club anglais. Autre irrégularité : l’option sur Traoré courait sur quatre ans et demi, alors qu’un mineur ne peut signer pour plus de trois ans. Enfin, le club anglais a « délibérément trompé le système Fifa TMS » qui enregistre et valide les transferts. Pour toutes ces infractions, le rapporteur a recommandé une amende contre Chelsea de 59 000 francs suisses et une interdiction de transfert pendant un mercato. Et il suggérait 24 000 francs suisses d’amende contre l’académie burkinabè, ainsi que 61 000 francs suisses contre la fédération anglaise. Une misère, puisque le gamin a finalement rapporté 10 millions à Chelsea.... I&C a aussi recommandé une amende de 375 000 francs suisses contre la fédération anglaise pour des irrégularités concernant 17 mineurs. Et contre la fédération italienne, il réclame 700 000 francs suisses d’amende, pour des irrégularités concernant 16 joueurs, dont certain de la Lazio ou de l’Inter Milan, et 105 000 francs suisses contre le club de Brescia. « La commission de discipline doit encore statuer sur ces dossiers », indique la Fifa, interrogée par l'EIC.
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l'ambiance autour de cette nouvelle confirme que Lacazette est devenu indispensable à l'équipe.
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City, champion de la comptabilité Un an après cet accord, l’UEFA enquête sur City et se gratte la tête pour comprendre « la justification commerciale de cet accord », comme dit l’auditeur de PriceWaterhouseCoopers (PWC). L’expert avoue son étonnement devant ce « très bon deal pour Manchester City » et commente : « Difficile de comprendre comment Fordham va gagner quelque chose. » Puisque officiellement Fordham paie les joueurs sans rien toucher sur leurs campagnes de pub, la question se pose en effet. City fait semblant de ne pas être au courant : après tout, Fordham est une société indépendante, et le club assure ne pas connaître son business plan. Avec humour, City précise avoir accepté ce deal car « c’était le bon prix ». Forcément : c’est City qui l’a fixé. Selon notre enquête, City ne vend plus aujourd’hui les droits d’image de ses joueurs à des entités extérieures, mais Fordham existe toujours, et a publié en juin 2017 des pertes cumulées de 75 millions de livres. City est devenu une marque mondiale pour laquelle le cheikh Mansour et ses sponsors ont investi 2,5 milliards d’euros en dix ans. Grâce à de récents exercices bénéficiaires, le modèle économique a des allures de rentabilité, si on exclut ces investissements du cheikh. https://www.mediapart.fr/journal/international/051118/manchester-city-le-patron-paie-les-sponsors-pour-qu-ils-financent-le-club?page_article=3
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l'instance du Fair Play financier qui ferme les yeux sur la fraude financière de Monaco "le club est en déficit de 167 millions d’euros sur deux ans, plus de trois fois la limite autorisée. L’ASM risque l’exclusion temporaire de la Ligue des champions. C’est qui est arrivé à d’autres clubs (Malaga, l’Étoile rouge de Belgrade) pour des fraudes d’un montant inférieur. Mais le 13 mars 2015, la chambre d’instruction choisit de passer l’éponge, au motif que l’ASM a promis d’arrêter les subventions au profit d’un modèle basé sur la vente de joueurs. La chambre propose un accord amiable particulièrement clément : seulement 3 millions d’euros d’amende (contre 20 millions pour le PSG), et une limitation du nombre de joueurs et du montant des transferts pendant un an." Le coup de pression de De Roos tombe au pire moment. Le lendemain, l’UEFA envoie au club la version finale de l’accord amiable. Il ne reste plus qu’à signer. Si de Roos dit aux enquêteurs que le montage AIM a été conçu pour masquer les subventions de Rybolovlev au club, le deal avec l’UEFA est mort. Mais le 4 mai 2015, l’accord est paraphé. « C’est une excellente nouvelle, ça veut dire que la “bombe nucléaire” mentionnée par AIM a été désarmée », se félicite l’avocat suisse du club. Il faut dire que l’ASM a cédé sur tout. Le 15 juillet 2015, le club retire sa plainte, renonce aux 125 millions d’euros, et verse 500 000 euros à AIM pour honorer les factures impayées. Le secret est bien gardé. Sans les documents Football Leaks, il n’aurait jamais été révélé. L’AS Monaco est passée à deux doigts du désastre. Mais le club y a gagné une relation de poids : Andrea Traverso, le responsable du fair-play financier à l’UEFA, celui qui a aidé le club à préparer ses auditions. Le 10 juin 2015, il accepte de donner quelques petites infos à Filips Dhondt sur la réforme du fair-play financier en cours de discussion par le comité exécutif de l’UEFA. https://www.mediapart.fr/journal/international/051118/dopage-financier-la-bombe-atomique-de-l-monaco?page_article=3
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je replonge dedans 4 mois après via des articles de médiapart que je n'ai pas eu le temps de lire, j'avoue ne pas avoir suivi je pose là quelques articles de médiapart , pour ceux qui comme moi ont loupé les épisodes A noter que Arsenal a officieusement quitté le cartel en janvier 2014, officiellement en janvier 2016 pour le réintégrer en mars 2016. Après, wenger à l'époque avait déjà indiqué être favorable à une super league donc pas forcement surprenant... "Depuis l’envoi du projet au Real Madrid, un premier groupe s’est constitué, mi-janvier 2016. Il y a le Bayern Munich, la Juventus de Turin, le Real Madrid et le FC Barcelone. En mars, trois nouveaux membres ont rejoint le cercle : le Milan AC, Manchester United et Arsenal". La méthode du cartel pour imposer son point de vue est juridique et européene, rien d'illégale mais immorale quoi. "La réponse des avocats fait 23 pages, et conclut que le projet est faisable. Ils expliquent que ni l’UEFA ni la FIFA ne pourraient attaquer les grands clubs pour avoir nui à leurs compétitions, parce que cela violerait en principe le « droit européen de la concurrence ». Ils ajoutent que l’accord de coopération passé entre l’UEFA et l’ECA ne pose pas de problème non plus, car il n’engage que le syndicat, pas les clubs qui en sont membres." Rummenigge et Agnelli ont fait pression au moment du scandale FIFA, idem immorale mais rien de non légal... jouer avec les lois la violence du système se situe là... A noter la phrase épique : "Je sentais dans mes tripes qu’un tel projet nuirait aux ligues nationales […], mais beaucoup de clubs ne pensent qu’à leurs intérêts économiques. » Rummenigge Par sa pression, le cartel a gagner la redistribution plus onéreuse aux clubs LDC au détriment de l'europa league (transfert de 60 millions € .... ) ET "Une autre revendication clé a été satisfaite : désormais, la Ligue des champions sera cogérée par une société contrôlée à parité par l’UEFA et l’ECA. Or, parmi les quatre administrateurs qui ont été nommés, il y a les secrétaires généraux du Bayern, du Barça et de la Juventus, qui sont par ailleurs les chevilles ouvrières du cartel. Ils ont désormais accès à tous les secrets de fabrication de la compétition : appels d’offres des droits télé, coûts, organisation. Bref, les « big four » ont désormais tout le savoir-faire nécessaire pour gérer une ligue privée." Aussi les 4 premiers d’Espagne, Angleterre, Allemagne et d'Italie sont certains dorénavant de jouer la LDC ; ce qui est bien pour les supporters d'un club de PL mais pas forcément juste par rapport au systéme de point UEFA précédent. " 25 aout 2016, Réunion à Monaco [...] Le Belge Michael Verschueren fait remarquer que les clubs qui jouent la Ligue Europa vont y perdre. Mais Rummenigge et les représentants du « big four » parviennent à calmer les critiques. La réforme est adoptée à l’unanimité par le conseil de l’ECA. Elle est votée dans la foulée par les instances de l’UEFA, et annoncée publiquement le lendemain." A noter que toutes les importantes décisions prises pour le football européen sont prises hors du territoire UE (Suisse et Monaco).. vive l'uefa quand même.... A noter que "Au cours de la réunion, le président Rummenigge a indiqué que le nouveau président de l’UEFA, Aleksander Ceferin, a demandé à l’ECA de prolonger jusqu’en 2024 son accord avec la fédération européenne, « pour éviter l’émergence d’une Super Ligue et préserver l’unité du football européen ». Surtout pas, a réagi le patron d’Arsenal, Ivan Gazidis : c’est « notre moyen de pression pour obtenir ce qu’on veut »." Enfin 'De nouvelles discussions ont déjà commencé au sujet du format de la Ligue des champions pour les années 2021-2024. Le 22 septembre 2018, le patron de la Juventus, Andrea Agnelli, qui a succédé à Rummenigge à la tête de l’ECA, est le premier à vendre la mèche : l’UEFA aurait donné son « feu vert » à la création d’une troisième Coupe d’Europe positionnée en dessous des deux autres, afin d’accueillir les clubs plus modestes. Chacune des compétitions rassemblerait 32 équipes, précise Agnelli. La décision finale est attendue d’ici à la fin de l’année. Et la proposition « fait consensus », assure à l’EIC un proche de l’UEFA. ' https://www.mediapart.fr/journal/international/031118/un-cartel-secret-des-plus-gros-clubs-europeens-plume-le-foot-francais?utm_source=20181103&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-20181103&M_BT=135393249294 Déçu de voir Arsenal mêlé à cela, après vu la gestion du club c'est peu surprenant
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Monchi et wenger sont contacté par Paris aussi... wenger en directeur sportif serait quand même mieux de mon point de vue ... Il faut que le club s'entoure de ses légendes; Monchi est bien mais l'AS Roma n'a jamais brillé sur la scène européene et a très peu rivalisé pour la conquéte du scudetto lors de la dernière descenie... le but est quand même de solidifier le club sur tous les plans; là je ne vois pas la progression hormis dénichage de jeunes talent tels que l'on a connu en 2007 ... Que l'on propose le poste à wenger , ce serait le choix le plus intelligent et cela aurait du être fait par le passé...
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arsenal est devenu un bordel sans nom les jeunes voient le club comme un tremplin, la gestion des matures est catastrophique et pour combler le tout on a aucune identité aujourd'hui: aucune identité dans le jeu, aucun joueur auquel s'identifier (bye ramsey, kos a été trop blessé pour être un embassadeur) je me rappel le soir du dernier jour de mercato ou je lis Ozil gunners pour 50 boules, j'étais tellement content, grosse signature depuis des lustres, la panique gagnait Londres, le fofo... C'était l'euphorie je voyais en lui le recrutement comblant le départ du cesc partie 2 ans auparavant. La même saison on renoue avec le succés via une FA cup. Puis depuis 2017 son implication fait défaut, les résultats ne sont pas là mais malgré tout on le fait signer un contrat en or 2018, polémique avec l'équipe nationale suite à la déroute au mondiale, blessure à répétition puis maintenant écarté... c'est triste, à l'instar d'Arsenal, ozil a une belle vitrine mais le fond n'y est plus.
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je n'ai pas regardé le match faute de lien avant de partir j'ai dit "t'alignes pas lich et iwobi face à city" résultat, je lis dans les com que lich et iwobi n'ont pas répondu présent bien au contraire le match est clairement pour sa pomme; lich était inexistant contre pool suite a de trop nombreuses carrence (physique, nouveau championnat pour lui, méconnaissance de ses coéquipiers etc... ), c'est se tirer une balle dans le pied Iwobi , aussi talentueux qu'il soit est encore trop tendre pour ce genre de confrontation a fort impact On peut me répondre ce que l'on veut, c'est juste du bon sens ; surtout quand tu as ozil sur le banc en méforme ou pas Kos qui revient plus tot, donc on pouvait clairement jouer à 4 derrière et pas 3 ou 5 derrière qui ne rimait a rien dès le départ mais non Mr se la joue roue libre genre il a accumulé un capital crédit suffisant pour la jouer YOLO ; et c'est pas la première fois... ce comportement montre les ambitions du club, "fais top 6 et tu restes". ça manque cruellement de sérieux à tous les niveaux
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je verrai plus un amn kola mustafi jenko avec jencko qui reste sur la ligne kola mustafi ; pendant que amn fait l'essuie glace à gauche
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en même temps il reprend un groupe en dessous de tout ... il a voulu miser sur son aura, ça n'a pas pris mais la décision de Monaco est clairement trop tôt et injustifiée.. d'ailleurs suspendu ne signifie pas licencié, mais vu ses propos déplacés ça n'aide pas... comme prévu l'arrivé du cesc est plus nocive qu'autre chose ; non seulement il a fait prendre un but dès son 1er match (coucou leadership en carton) mais là il va trainer les pieds jusque juin pour se barrer ensuite ... gestion du club catastrophique ; perso j'opterai pour un maintien d'henry ...
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takuma asano like it