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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

RollsReus

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Tout ce qui a été posté par RollsReus

  1. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Ozil même si il s'est amélioré défensivement c'est pas un type qui est fait pour jouer que le contre à l'inverse de ce qui est dit ici. Il a besoin d'avoir le ballon. Tu le met dans le camp d'en face. Il te sort un match de grande qualité. Tu met Iniesta chez vous. Il aurait les même soucis. Je dédouane pas Özil. Il a pas été irréprochable. Il a pas été très disponible par moment malheureusement mais lui c'est un type qui a besoin du ballon pour exister. Sans il ne sert presque à rien
  2. RollsReus

    [20] Mathieu Flamini

    bravo à lui, première intervention, penalty! genius, et pourtant, il va être milliardaire grâce à une découverte révolutionnaire.
  3. RollsReus

    [7] Alexis Sanchez

    Ozil discret ou Ozil qui ne recevait jamais les bons ballons malgré les appels? quand à Alexis, par moment , au lieu de garder la balle 10 secondes pour la redonner derrière, autant la donner devant en première intention.
  4. RollsReus

    [4] Per Mertesacker

    C'est simple, au lieu de se jeter au sol comme un golio, il suffisait de se placer, contenir son adversaire et déjà ça aurait permis de géner l'action voir l'annuler. Là il se croit au five, ou il a cru qu'il était attaquant et que 9 mecs attendaient derrière pour assurer ses arrières... pourtant il sort un match de porc mais il fait la connerie qui tue le match
  5. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    La renaissance du magicien d’Öz L’arrivée de Mesut Özil au Arsenal Football Club lors de l’été 2013 a en quelque sorte été le point de départ de la renaissance du club londonien. En effet, depuis que le meneur de jeu allemand est à la baguette du côté de l’Emirates, les Gunners ont renoué avec les fameuses Silverware, remportant la FA Cup deux années consécutives. À titre personnel, ces deux saisons n’ont pourtant pas été les plus brillantes du numéro 8 de la Nationalmannschaft. Son impact sur l’équipe était loin de ce qu’il avait pu montrer par le passé et le virtuose semblait avoir perdu sa magie (Mesut Ozil ou le virtuose perdu). Un été plus tard, Mesut semble renaître de ses cendres et régale de nouveau les amateurs du ballon rond. Nous jouons la 93ème minute du choc de Premier League entre Arsenal et le leader surprise du championnat : Leicester City. Le score est de un partout et les canonniers poussent pour arracher une victoire qui leur permettrait de revenir à deux points de la tête. Le rugueux défenseur des foxes, Marcin Wasilewski, entré en jeu suite à l’expulsion de Danny Simpson (54ème), commet alors une faute on ne peut plus grossière à l’entrée de la surface de réparation. Mesut Özil se saisit du ballon et délivre un centre magistral sur la tête de Danny Welbeck qui donne les trois points à son équipe pour son retour à la compétition. Il s’agit de la 17ème passe décisive de la saison pour le meneur d’Arsenal, aisément le meilleur total en Europe. Quelques jours plus tôt, son coéquipier Tomas Rosicky disait de lui et d’Alexis Sanchez qu’ils étaient des « game changers », des joueurs qui « ont la force pour gagner des matchs » et dont les bonnes performances sont vitales « pour les chances de l’équipe de remporter des titres ». Il ne croyait pas si bien dire. En effet, cette action décisive à un moment potentiellement crucial dans la course au titre illustre parfaitement l’importance d’Özil au sein de l’effectif de Wenger cette saison. Si les fans d’Arsenal peuvent rêver d’un premier titre en Premier League depuis plus d’une décennie c’est en grande partie grâce à la magie du frêle trequartista de Gelsenkirchen. Lui-même ne cache d’ailleurs guère ses ambitions, affirmant sans complexe son désir de gagner le championnat. Il va même plus loin que ça puisque le trophée de Premier League n’est pas le seul qu’il aimerait remporter : « On veut gagner le titre. Et pas seulement la Premier League. On est encore en lice en FA Cup et en Ligue des champions. Contre Barcelone ce sera difficile, mais au football tout est possible. » En effet, la double confrontation face au grandissime favori de la compétition s’annonce compliquée Arsenal. Et si les hommes de Wenger espèrent réaliser l’exploit, il faudra probablement compter sur le génie de leur meneur de jeu. Le talent de Mesut Özil est indéniable et n’a jamais été remis en cause, quelque soit les difficultés qu’il pouvait éprouver lors de certaines phases de sa carrière. Son coéquipier Rosicky n’est d’ailleurs pas le seul à l’adouber puisque pour le grand Andrea Pirlo, Özil est tout bonnement « le joueur le plus créatif d’Europe actuellement ». Ce qui impressionne le plus le champion du monde italien est sa capacité à lire le jeu et à créer des situations dangereuses pour ses coéquipiers. Il déclare ainsi : « Il crée une quantité incroyable d’occasions pour les attaquants devant lui », et : « Il a une vision du jeu comme personne d’autre en Europe. » Les statistiques confirment d’ailleurs les impressions de l’ancien numéro 21 de la Juventus. Car Özil est non seulement le joueur avec le plus de passes décisives à son actif en Europe (17), mais également celui qui a créé le plus d’occasions en Premier League : 105. Ce total est loin devant celui de son plus sérieux poursuivant (Christian Eriksen avec 77 occasions crées), et dépasse aussi le meilleur total de la saison précédente, et ce alors qu’il reste encore 12 rencontres à disputer. Une autre statistique destinée à évaluer la créativité d’un joueur est celle des « passes clés », ou key passes dans la langue de Shakespeare. Le leader européen incontesté de cette catégorie est une fois encore Mesut Özil, qui distribue en moyenne 4,4 passes clés par match, devançant assez nettement ses premiers poursuivants Dimitri Payet et Kevin de Bruyne (3,6 et 3,5 par match respectivement). Cela-dit, réduire les performances d’Özil à une banale étude statistique ferait non seulement injure à un footballeur aussi brillant, mais serait également incroyablement ennuyeux. En effet, ce ne sont pas les chiffres (aussi impressionnants soient-ils) qui font du numéro 11 des Gunners le chouchou incontesté du côté de l’Emirates. Si les supporters viennent au stade et se lèvent de leur siège c’est surtout pour la qualité du football qui leur est proposé. Et la manière dont Özil pose son empreinte sur le jeu d’Arsenal n’est pas sans rappeler certaines anciennes gloires du club, Dennis Bergkamp avant tout. Le hollandais volant et le maestro allemand ont certes des styles de jeu et des rôles très différents mais tous deux se distinguent par leur grande classe ballon au pied, leur incroyable maîtrise technique, leur créativité et leur imprévisibilité. Si Bergkamp était plus buteur alors que Özil est plus passeur, ils ont comme point commun de régaler le public grâce à la finesse de leur toucher et leur influence sur le jeu de leur équipe. Mais avant qu’une comparaison avec l’ancienne gloire de Highbury devienne réellement pertinente, Mesut Özil devra s’inscrire dans la durée et marquer une époque à Arsenal comme Bergkamp l’avait fait. Le meilleur moyen d’y arriver serait de commencer par remporter ce titre en Premier League tant attendu par les supporters, et pourquoi pas réaliser un exploit en Ligue des champions contre le FC Barcelone, mené par le formidable et terrifiant trident offensif : Messi, Suarez, Neymar. http://ultimodiez.net/2016/02/22/la-renaissance-du-magicien-doz/
  6. RollsReus

    [Liga]

    C'est trop facile de dire ça. Demain je te prend Coquelin. Je le vois en 10. Donc c'est à lui de s'adapter et de devoir devenir un meneur de jeu ? Kroos c'est un 10. Au pire un 8. Mais jamais un 6. Et surtout jamais un 6 au Real où personne ne t'aide. Les 3 de devants font jamais rien les latéraux montent trop haut et laissent des espaces. Même Busquet serait en galère.
  7. RollsReus

    [Liga]

    Non mais on le sait tous quil est pas 6 dans l'âme. Mais si tu avais une équipe qui bossait défensivement ensemble. Qui étaient intelligentes tout simplement que ce soit en attaque ou en défense. A un moment tu vois Guardiola qui te sort des compositions ultra offensives et pourtant. L'équipe est ultra équilibré etc. Pourquoi C parce que les joueurs bossent. Savent que chacun doit faire les efforts pour l'équilibre de l'équipe et ça fonctionne. Guardiola il vient au Real. Il te garde Kroos Modric Benzema et il te vire le reste. C'est une réalité
  8. RollsReus

    [Liga]

    Kroos son problème c'est l'équipe. A part Modric. Qui bouge dans l'équipe ? Qui sait se placer ? Qui vient descendre pour chercher des ballons hormis le Croate ? Ya rien. Comme a dit un membre du clan, le Real vient d'inventer le système 4 1 1 1 1 1 1. Ya rien personne en soutien. C'est bien sympa les photos genre on est tous des amis. Mais sur le terrain t'as 3 joueurs qui s'arrachent pour les autres. Le reste ça se touche et ça se permet de râler. Zidane c'est plus un chantier qui l'a cet été. C'est bien pire que ça
  9. RollsReus

    [Liga]

    Merci du compte rendu AxelouFCB
  10. http://www.sport.es/es/noticias/barca/gundogan-comunica-barcelona-que-city-4910161 Gundogan c'est quasiment acté à City
  11. RollsReus

    [Liga]

    Les compositions : L’absence de Bale dans le camp madrilène a permis d’éviter les choix difficiles : James et Isco ont tous les deux démarré le match sur la pelouse de l’Olimpico. Le Colombien a transformé la BBC en BBJ et Isco s’est installé place au milieu de terrain aux côtés de Modric et Kroos. Côté romain, Spalletti n’a rien changé pas ses anciennes habitudes en alignant un 4-3-3 sans véritable avant-centre (Perotti) et avec deux ailiers très rapides (Salah, El-Shaarawy). Objectif, attendre le Real et le piéger en jouant dans le dos de ses latéraux. AS Rome vs Real Madrid - Football tactics and formations Le plan de jeu de la Roma : Il faut être deux pour faire un match, et si le Real a eu des difficultés pendant quasiment une heure, c’est aussi à cause du plan de jeu mis en place par Luciano Spalletti. De retour à Rome après un exode en Russie, l’entraîneur italien n’a rien laissé au hasard. Défensivement, la Roma a perturbé le Real sur toutes ses sorties de balle. Sans être un pressing tout-terrain, qui pouvait vite se révéler dangereux face à de tels techniciens, la consigne était de s’opposer à la relance courte des Espagnols. Il fallait notamment de ne pas laisser assez d’espaces à des joueurs comme Kroos, Modric ou Ramos pour jouer long depuis leur camp afin de chercher Ronaldo ou Benzema dans la profondeur. Lorsque le Real sortait de ses 30 mètres, la Roma positionnait ensuite son bloc avec Perotti en pointe au niveau du rond central. Varane et Ramos étaient laissés libres, l’avant-centre concentrant ses efforts sur Toni Kroos. Derrière lui, ses partenaires répondaient aussi aux décrochages de leurs adversaires directs (Pjanic-Isco, Nainggolan-Modric mais aussi Ronaldo-Florenzi). bloc-roma Face à une telle densité dans le coeur du jeu, difficile pour la Real de trouver des solutions dans l’axe. Plutôt bien positionnée, la Roma n’a pas laissé beaucoup d’opportunités au Real Madrid pour aller de l’avant dès sa première relance. Le jeu du Real est majoritairement passé par les côtés, via des passes le long de la ligne de touche ou des transversales pour tenter de contourner le bloc adverse. Ce dernier n’attendait qu’une chose : que le jeu revienne dans l’axe pour enfermer le porteur et récupérer le ballon. Sitôt celui-ci en leur possession, les Romains recherchaient rapidement le contre en ouvrant le jeu vers Salah ou El-Shaarawy sur les côtés. Même les coups de pied arrêtés du Real étaient l’occasion de repartir en contre. Real Madrid : un manque de mouvement et de prises d’initiative Face à un bloc aussi regroupé et discipliné, le Real a d’abord voulu conserver le ballon. Modric, Isco et même Ronaldo ou James, les décrochages se sont multipliés afin d’offrir des solutions à leurs trois relanceurs (Kroos, Ramos, Varane) et faire circuler le ballon. Le problème, c’est que multiplier ainsi les points de fixation n’a pas grand intérêt sans mouvement. L’autre souci du Real Madrid en phase de relance était le manque d’initiatives de Raphael Varane. Très souvent, le Français a été le joueur libéré par ses partenaires. Et la plupart du temps, il a refusé d’attaquer l’espace qui s’ouvrait devant lui, préférant jouer sur Carvajal (12 passes en première mi-temps). Une timidité qui peut surprendre, puisqu’il a trouvé Ronaldo dans la surface romaine sur sa seule montée (longue ouverture en profondeur, 32e). varane1 Le Real a fixé le bloc romain côté gauche. Varane reçoit le ballon et a le champ libre devant lui. varane2 Mais le Français ne prend pas de risque et joue latéralement sur Carvajal, annihilant le décalage crée au départ. Au-delà de la relance du Français, le Real a aussi souffert du manque de projection de ses milieux en début de match. Alors que le jeu partait sur les côtés autour des duos formés par les joueurs de couloir (Carvajal-James ; Marcelo-Ronaldo), ces derniers se retrouvaient très rapidement sans solution autre que l’exploit individuel pour en sortir (Ronaldo-Marcelo, 32e). Censés se projeter pour les accompagner et leur offrir une solution dans le coeur du jeu, Modric et Isco ont été très effacés sur ces séquences en début de match. Un manque de mouvement qui a grandement facilité la tâche des Giallorossi en début de partie, ces derniers n’ayant que les courses de Benzema à gérer dans leurs 30 mètres. real-manque-soutien Ronaldo déboule dans le couloir mais ne représente aucun danger vu le manque de soutien autour de lui. Les Madrilènes avaient besoin de repartir de phases arrêtées (touches, coups-francs) sur les côtés pour pouvoir resserrer les distances entre eux et se trouver dans les petits espaces. Ces séquences étaient d’ailleurs l’occasion de rappeler qu’ils faisaient bien partie de l’élite sur le plan technique. Au fil des minutes, Isco et Modric ont quand même pris plus d’initiatives et sont allés combiner avec les joueurs de couloir. Toujours en soutien de ces actions, Kroos apportait lui sa palette de passes pour jouer dans les intervalles ou renverser le jeu vers l’aile opposée. Rien de spectaculaire toutefois, puisque la Roma était rarement mise hors de position. Sur les 7 tirs du Real en première mi-temps, seulement 4 ont eu lieu dans le jeu (sans qu’aucun ne soit cadré). real-projections1 Lorsque Isco se projette côté gauche, cela crée forcément plus d’espaces pour Marcelo et Ronaldo. real-projections2 Avec sa course, le milieu de terrain a embarqué Pjanic, ouvrant l’espace pour Marcelo. real-projections3 Marcelo joue sur Ronaldo le long de la ligne de touche. real-projections4 Le Portugais est libéré en un-contre-un face au latéral de la Roma et trois solutions sont aux abords de la surface de réparation. Real Madrid : une récupération défaillante Face à un bloc bas, le pressing est une arme aussi importante : bien exécuté, il permet de récupérer la balle plus haut sur le terrain et augmente les chances de faire face à une défense désorganisée. Le manque de projections vers l’avant des milieux de terrain a d’abord limité l’efficacité du pressing à la perte. S’il y a peu de soutiens autour du porteur, il y a aussi peu de pression sur l’adversaire dans les secondes qui suivent la perte du ballon. Seule la naïveté d’El-Shaarawy a mis la Roma en difficulté (ballons perdus face à James). Une stat pour l’illustrer : malgré sa domination claire du point de vue de la possession de balle, le Real n’a pas réalisé plus d’actions défensives que la Roma dans le camp adverse. Dans sa structure défensive aussi, le Real a montré des limites qui auraient pu peser lourd face à un autre adversaire. Depuis sa première face au Deportivo la Corogne, Zidane a confirmé sa « filiation » avec Carlo Ancelotti en reprenant le système qui avait offert la Decima en 2014 : 4-3-3 face à la relance adverse, 4-4-2 en phase défensive. Plus de détails : Real Madrid 5-0 Deportivo la Corogne, l’analyse de la première de Zidane real-structure1 Face à la relance, le Real est en 4-3-3/4-5-1. real-structure2 Dans sa moitié de terrain, James rejoint la ligne des milieux pour former un 4-4-2. Le problème, c’est que les attaquants madrilènes n’ont eu aucune présence défensive (si ce n’est pour déclencher le pressing à la première minute de jeu)… Et sur les séquences hautes, le Real n’a plus l’activité de Di Maria dans l’entrejeu pour sonner la charge et cadrer les milieux adverses. Parmi les trois milieux de terrain, Kroos a semblé être le seul capable d’un travail de harcèlement efficace dans l’entrejeu. Mais sa position de n°6 n’est pas propice à ce genre de sorties. Plus gênant, s’il n’a pas été avare en courses, il a rarement été accompagné par ses partenaires. Des séquences de pressing en solitaire que le Real a répété plusieurs fois dans ce match et qui n’ont du coup quasiment jamais perturbé la Roma. On en revient au principal problème, déjà vu sur les séquences de construction : un joueur s’active mais les autres restent spectateurs. kroos-seul-pressing Kroos sort au pressing mais personne ne l’accompagne. Seul contre deux, il ne peut pas faire grand chose. Preuve des limites collectives du Real pour récupérer le ballon, c’est la défense centrale qui a le plus brillé dans ce match. Sergio Ramos a réalisé une prestation exceptionnelle. Sur les 35 tacles réalisés par le Real Madrid dans ce match, le défenseur espagnol en a effectué 11 (10 réussis) en plus d’intercepter 2 ballons, d’en dégager 4 et contrer 4. Des chiffres qui montrent à quel point il a été exposé. Avec Ramos-Varane, auteur d’un superbe sauvetage face à Salah en deuxième mi-temps (71e), et sans oublier Pepe, le Real Madrid possède une charnièretout à fait capable de soutenir une équipe déterminée à récupérer le ballon plus haut. Mais le réel problème réside dans l’entrejeu et au niveau de l’attaque madrilène : les deux lignes manquent de coordination et ne font pas assez d’efforts pour réaliser un pressing efficace. pressing-efface-intervention-ramos Kroos et Isco sortent au pressing mais sont éliminés. Malgré la situation difficile, Ramos parvient à s’imposer et récupère le ballon. Le talent en attendant la suite ? Le but inscrit par Ronaldo (57e) a mis au second plan tous ces problèmes, en plus de débloquer la rencontre. Après ça, la Roma ne pouvait plus se contenter de « diriger » la relance madrilène : il lui fallait désormais récupérer le ballon. Ce regain d’agressivité côté italien a facilité la tâche du Real, qui a eu plus d’espaces à exploiter. Modric s’est rendu plus disponible au milieu, ouvrant des espaces pour James à l’intérieur du jeu. Le rythme du match s’est naturellement élevé dans la dernière demi-heure. L’occasion de voir plus d’opportunités madrilènes sur attaques rapides… et un manque de justesse sur ces séquences. Combiné aux difficultés du collectif pour récupérer le ballon, cela a donné le signe d’une équipe inspiré par celle de la Decima mais encore loin de son modèle. Au-delà de cette filiation avec Ancelotti, qui se ressent peut-être jusque dans le management, on sent aussi une envie décuplée chez Zidane d’avoir la possession du ballon, quitte parfois à refuser certaines opportunités pour aller plus vite de l’avant (cf. fin de match). Mais son utilisation laisse encore à désirer, la faute au manque de coordination dans les déplacements des joueurs. Une lacune qui se ressent aussi lorsque le Real veut presser son adversaire http://www.chroniquestactiques.fr/ligue-champions-huitieme-finale-as-rome-real-madrid-analyse-tactique-14824/
  12. Pogba remonte dans mon estime. " si il y a bien un joueur qui m'impressionne c'est bien Thomas Müller. Que ça soit avec le Bayern ou l'équipe nationale. Le mec est toujours là pour faire la différence "
  13. Suite et fin de l'entretien avec Polo Comment le rapport entreprise/club se retranscrit-il dans les faits en Bundesliga ? C’est un équilibre à trouver entre les ambitions sportives et les capacités financières. Ce qui est passionnant à percevoir, c’est que la « Buli » n’est pas homogène, en fonction des Vereine et de leurs paradigmes respectifs, qu’ils soient culturels, économiques ou sportifs. L’un des clubs qui me passionne le plus est celui de Leverkusen. A la multinationale Bayer – fin des années 1990 – c’est « open bar », le carnet de chèque reste ouvert avec les résultats que l’on connait dont la finale de Ligue des Champions en 2002. Par la suite, l’actionnaire va conditionner son soutien financier à deux obligations : prendre du plaisir sur le terrain et avoir une équipe composée de talents pour être raccord avec l’image que veut donner le Konzern : « je donne un avenir à la jeunesse, aux apprentis de ce pays ». B04 est donc son showroom. Rudi Völler doit acheter, chaque saison, des joueurs « à fort potentiel » comme on dit, sortir des gamins du centre, et embaucher un coach en ligne avec les attentes de la maison-mère : Roger Schmidt, passé par la galaxie Red Bull – donc Rangnick – a même été adoubé par Guardiola. Ils ont tellement bien réussi que le « Werksklub » est aujourd’hui dans le top 20 européen, mais, ils ont aussi atteint le « mur invisible ». On ne gagne pas une Ligue des Champions, on ne devient pas un club comme Paris version QSI ou Barcelone avec des gamins. A titre comparatif, si vous pouviez m’expliquer la stratégie marketing existante entre Bordeaux et son actionnaire M6, je suis preneur car là j’ai atteint mon niveau d’incompétence. Tout dépend aussi de la structure actionnariale. Dans les associations, les Mitglieder (les sociétaires) doivent parfois se débrouiller. L’Eintracht Francfort est un cas d’école. Le club a annoncé qu’il dépasserait les 100 millions de CA fin 2015-2016. En revanche, les fonds propres ne seront que de 9 millions d’euros. Heribert Bruchhagen ne veut pas entendre parler d’endettement, il gère le SGE en bonus pater familias, avec une orthodoxie financière rigoureuse. Si le club perd de l’argent, il vend un joueur. On peut discuter de ce choix : à l’époque où Rode (Bayern), Jung (Wolfsburg) et Trapp (PSG) étaient encore là, une petite ligne de crédit aurait, peut-être, permis de prolonger le succès sportif ? « On ne gagne pas une Ligue des Champions avec des gamins » A l’opposé, l’histoire récente du Werder Brême est éloquente. Ses succès sportifs, sous l’ère du duo Allofs-Schaaf, basés sur un modèle économique dangereux, pour simplifier achat de joueurs talentueux, tels Diego ou Özil, afin de réaliser des plus-values conséquentes, couplés à une qualification nécessaire pour la Ligue des Champions permettant d’engranger de fortes liquidités, ont permis de mettre des réserves de côté. Mais une déroute sportive en 2010-2011 ajoutée à des erreurs coûteuses de recrutement ont plombé les comptes. Le Werder a donc été victime d’un effet-ciseau terrible avec une baisse drastique de ses recettes, de l’ordre de 30 à 40 millions d’euros par an, alors que le marché est en croissance. Une perte cumulée de près de 40 millions d’euros sur la même période a croqué quasiment l’ensemble des capitaux propres. Bien entendu, le centre de formation n’a pu compenser puisque ce n’était pas la priorité sous l’ancienne direction. Seule bonne nouvelle, le club n’est pas débiteur d’une seule dette mais l’assainissement a été violent. Nous nous étions habitués à des Werderaner en haut du classement, produisant un jeu d’attaque à tout va. Nous avons juste oublié qu’ils surperformaient sportivement par rapport à leur paradigme économique. Et dans un championnat où la densité est de 14 Vereine sur 18 à plus de 100 millions d’euros de CA, le retour sur terre du SVW est terrible ! Sans oublier le RB Leipzig qui débarquera l’année prochaine. L’ASSE ou le LOSC avec leurs 70-75 millions de budget se battraient contre la relégation en Bundesliga. Un modèle identique avec une forte implication de grandes entreprises est-il applicable en Ligue 1 ? Lorsque j’ai vécu le drame de 1982 à Séville, je suis devenu un adulte. Lorsque je me penche sur le football français, je mute en vieillard. Le ballon rond hexagonal est noyauté par des fonctionnaires du football, à tous les niveaux, dans toutes les « familles », FFF, DTN, LFP…. Aucune vision, aucune remise en cause. « C’est fiscal » le problème, vous le savez bien. On vous le professe à longueur de temps. Le Politburo est à la manœuvre. C’est juste insultant pour la technique affichée sur un terrain par les joueurs espagnols ou allemands. La taille critique des clubs n’intéresse personne. En parallèle, il n’y a aucune réflexion sur le jeu. Nos centres de formation sont quantitativement géniaux – on ne parle pas de qualité là – puisqu’on vous le dit. Même la presse spécialisée est composée à 95% d’articles qui sont de la pomme de terre à cochons. J’ai travaillé pour des « médias installés » bien connus et dans les rédactions aucun journaliste ne parlait allemand. La nation, quadruple championne du monde, triple championne d’Europe, recordman de matches joués au Mondial, deuxième au classement UEFA et également deuxième en terme de chiffre d’affaires et qui équilibre ses comptes, est ostracisée. La seule question à laquelle je ne peux répondre est de savoir si cet aveuglement est lié à l’Idiocratie ou bien est-il volontaire ? Il y a qui, en France ? Jean-Charles, c’est tout…le reste c’est du low-cost. Ce phénomène ne touche pas que le football. La France et l’Allemagne s’éloignent l’une de l’autre. « L’esprit latin » prôné par Maurras a finalement triomphé. On en voit le résultat. Il n’y a plus de révolutionnaire, le dernier c’était Michel Hidalgo et la composition de son milieu de terrain. Depuis, c’est une société de la servitude, des acteurs du football formatés tout comme la communication. La France becquette le kit prêt à l’emploi : une allégeance à la PL, à la société ultralibérale, divertir pour mieux gouverner, la main basse sur la culture. La NBA se pointe tranquillement, personne ne dit rien. Aulas annonce dans un média suisse que « le football est une économie régulée » et aucun journaliste ne réagit. Je cite Alain Cayzac en 2010 : « il ne faudrait pas que l’économisation à outrance du football dénature le rôle social des clubs ». Je rêve, l’ancien patron du PSG découvre que le capitalisme a cette capacité d’altérer toute activité humaine. Et là, nous ne sommes plus dans une commercialisation puisque c’est une financiarisation sans fin qui s’est installée à cause d’une spécificité du « marché football » : les professionnels sont des actifs avec un fort spread spéculatif. « Le Ballon d’or est devenu le truc le plus grotesque du monde » Le Ballon d’or, encore une création française, est devenu le truc le plus grotesque du monde, le barnum absolu. Et tout le monde fait des publi-reportages dessus. C’est l’ère de l’écume alors que c’est la vague qui est importante : le foot, ce sont les joueurs et les supporters. Point barre. Sans eux, il n’y a pas de ballon rond. Et puis comme l’Equipe de France va se qualifier pour les demi-finales de l’Euro, l’honneur sera sauf, on pourra mettre toute la poussière sous le tapis. Bon, si c’est un bide…que disait Alain Delon, déjà, dans Mort d’un pourri ? « Quand ils reviendront, ils se seront refaits le masque républicain comme les vieilles p**** se font retendre les fesses ». Il y aura toujours les mêmes. Je crois avoir répondu à votre question. Certains dispositifs du modèle allemand – notamment au niveau de la composition actionnariale avec la règle du 50+1 – entravent-ils l’internationalisation de la compétition et de ses clubs ? Est-ce un élément d’explication à la faible captation d’investissements étrangers et notamment asiatiques en Bundesliga par rapport à ses concurrents de Premier League et Liga BBVA ? Avant de vous répondre, je constate que votre question souffre d’orientation et qu’il faudrait déconstruire le discours pour arriver à une tabula rasa chère à Descartes. Votre question – je fais juste un constat – utilise les mêmes poncifs négatifs alors qu’une analyse objective devrait plutôt valoriser la réussite et l’inventivité économique outre-Rhin. La doctrine libérale empêche les autres de réfléchir différemment or « penser c’est dire non ». Les structures du football germanique, l’actionnariat populaire par exemple, sont directement inspirées du « soziale Marktwirtschaft » (NDLR : nous avons souvent mis en avant et même vanter le modèle du sponsoring actionnarial appliqué en Bundesliga sur Ecofoot.fr) Maintenant votre thématique. Où est le problème ? L’Allemagne est une puissance industrielle de premier ordre et nous retrouvons certaines entreprises nationales dans le football domestique. C’est un crime ? Le FC Bayern a trois actionnaires minoritaires, Audi, Adidas et Allianz qui sont juste trois sociétés influentes de ce pays. Que s’est-il passé en Europe ? Des clubs majoritairement en difficultés financières et qui disent merci à la globalisation. Donc, parce que les clubs continentaux ont été, dans leur énorme majorité, incapables de construire des modèles économiques viables, qu’ils ont dû faire passer les clubs sous pavillons étrangers, les Allemands devraient faire la même chose ? Votre question est donc permissive. Quelle est la prochaine étape médiatique ? Si la Bundesliga n’ouvre pas plus le capital des Vereine aux étrangers, elle sera taxée de racisme ? Le fonds d’investissement KKR est bien monté au capital du Hertha Berlin, non ? Red Bull à Leipzig ? Le groupe Capelli New York vient d’arriver à Duisburg. L’homme d’affaires jordanien Ismaik est à Munich 1860 tandis que le Belge Duchâtelet est à Jena. Le « 50+1 » est restrictif – si je m’appuie sur le point de vue discutable de Martin Kind, le Président d’Hanovre – aussi bien pour les investisseurs nationaux qu’étrangers. Mais, jusqu’à preuve du contraire, cela a fonctionné. Ce serait, peut-être, bien de le souligner et je constate que ce n’est pas le plus riche qui fait la loi mais le compromis. Maintenant, soyons très clair : la Bundesliga n’a aucune vocation à ressembler à la Premier League ! Ce n’est ni McDo ni Walt Disney. Mais la Bundesliga pourra-t-elle lutter à terme avec la Premier League et la Liga BBVA si elle ne rattrape pas son retard d’internationalisation ? Avec la PL ? Non, c’est évident. La nouvelle donne liée à la somme astronomique des droits TV nationaux – rappelons simplement que même le Royaume-Uni a été surpris de ces montants – est évidente. Mais, ce que je trouve génial en Allemagne, ce sont les débats enflammés sur ce thème, tous les jours, toutes les semaines, les pour les contre, les pourquoi pas, …ce pays vit ! Quant à la Liga BBVA, je ne suis pas un spécialiste mais si ma mémoire ne me fait pas défaut, son CA 2013-14 se montait à moins de deux milliards d’euros. Si vous enlevez celui du Real et du Barça, que reste-t-il ? 800-900 millions d’euros pour 18 clubs donc 45-50 millions d’euros de recettes en moyenne par entité, soit le budget du dernier de la Bundesliga (ndlr : la donne économique a sensiblement évolué depuis en Liga BBVA avec notamment la mutualisation des droits TV) Ensuite, quelle est la diversité des recettes, la structure des comptes de résultat, des bilans ? Quelle est la densité du football espagnol comparée à son homologue allemand ? Si vous me le permettez, je ne vais pas jouer les oracles. Il y en a assez sur ce créneau. J’ai commencé ma carrière professionnelle dans les milieux boursiers et si j’ai bien appris une chose, c’est que les arbres ne montent pas au ciel. Quelqu’un a prévu les millions dépensés d’un seul coup par la Chine sur le marché des transferts ? Il y a trois mois, Canal+ était considéré comme moribond puis super-prédateur. Maintenant, on parle d’un partenariat avec BeIn Sports. Mon esprit cartésien constate la propagande, y compris sur les sites économiques, de la croissance infinie, le mythe de l’absolu. Mais ce qui caractérise l’histoire du capitalisme, ce sont les crises aussi, non ? J’aime bien la notion de « chiffre d’affaires fantôme », ces futurs revenus très spéculatifs que Christian Seifert a développé comme concept. Je peux juste vous dire que la Bundesliga progresse, y compris dans l’internationalisation de ces revenus, ce qui explique, par exemple, le nombre de joueurs japonais, maintenant sud-coréens, qui passent par le football professionnel teuton. Quelles seront les conséquences de la crise Volkswagen sur l’économie du football professionnel allemand en général et sur le VfL Wolfsburg en particulier ? Le seul qui peut répondre à cette question, c’est le nouvel homme fort, Matthias Müller. L’arc-en-ciel décisionnel est large et très spéculatif. La seule information vérifiée est le report de la construction du nouveau centre de formation sine die. Je ne peux que vous rappeler quelques chiffres, non-officiels, y compris pour le VfL qui est intégré à 100% dans le Konzern Volkswagen. Les spécialistes estiment que le groupe dépense chaque saison 200 millions d’euros en Bundesliga, 80 millions d’aides, sous différentes formes, pour les Wölfe. Certains clubs, dont Dortmund, s’en plaignent estimant qu’il y a un risque d’une « Bundesliga-Volkswagen ». N’oublions pas que la filiale Audi est derrière le FC Ingolstadt et propriétaire à 8,33% du FC Bayern AG ; je mentionne aussi le sponsoring de l’émission Doppelpass le dimanche sur Sport1 radio/TV, ou encore les énormes camions MAN qui transportent les joueurs. La montée en gamme du club est liée à l’ancien PDG, Martin Winterkorn. Il a toujours justifié sa politique de sponsoring ou de partenariat dans l’élite par l’accroissement des ventes de voitures dans des régions allemandes spécifiques. Mais dans la guerre ouverte, en 2015, entre le « vieux lion » Ferdinand Piëch et lui, il se murmurait déjà que le premier nommé – pas un grand fan de football – souhaitait couper les aides, les ramenant de 80 à 30 millions d’euros. La véritable question est de savoir si le VfL Wolfsburg sera considéré comme un « actif stratégique » pour le Konzern, tout en sachant que ce dernier réalise plus de 200 milliards d’euros de chiffre d’affaires, enfin avant le scandale. A l’échelle de la puissance de son actionnaire, les Loups ressemblent plus à des chihuahuas. La communication officielle du VfL, de Klaus Allofs notamment, est qu’il n’y a pas de risque, que le club a reçu des garanties. A suivre. Une dernière question, quel club supportez-vous ? L’Union Berlin évidemment ! Le programme est simple pour ma petite tête : débusquer les anciens membres de la Stasi et monter en Bundesliga malgré un goulet d’étranglement terrible. Nous allons y arriver ! http://www.ecofoot.fr/interview-polo-breitner-bundesliga-687/
  14. RollsReus

    [Liga]

    Positionnement bas pour un des meilleurs 10 du monde. Et puis vous avez vu hier? Ya 0 mouvement dans cettz équipe. Ça attend au loin en pensant que Modric ou Kroos vous tenter ses passes de 30 mètres à chaque fois à cause des joueurs statiques
  15. RollsReus

    [Liga]

    Kovacic n'empêche je me demande si il vaudrait mieux pas dégager Isco ou James du 11 pour l'intégrer. Le souci d'équilibre défensif sera pas résolu par lui mais quitte à avoir que des 10 autant le mettre lui. Il est vif. Joue vers l'avant. Se Positionné bien et comble les montées de Kroos ou Modric ( il a été formé en série A aussi). Il casse et perfore des lignes
  16. RollsReus

    [Liga]

    #Benitez : "Ce n’est pas facile d’être l’entraîneur du Real Madrid. Tu dois tout faire parfaitement. Ce n’était pas facile de voir le président parler aux joueurs et à la presse tous les jours. Nous faisions du bon travail, mais il y a eu de l'impatience. Les supporters et le président étaient un peu nerveux. Le Real change d’entraîneur chaque année et doit tout recommencer. C’est la raison pour laquelle le Real a gagné une Liga sur les sept dernières années. Depuis que Perez est là, le Barça a gagné deux fois plus de titres que le Real."
  17. RollsReus

    [Ligue 1]

    Je pense qu'il a changé et il prend des décisions. Comme pour Cavani. Matuidi si il level up pas avant les quarts tu verras qu'il prendra une décision
  18. RollsReus

    [Ligue 1]

    C'est sûr. de toute façon ça va devenir une évidence. Pastore Ou rabiot vont prendre sa place
  19. RollsReus

    [Ligue 1]

    Matuidi c'est vraiment trop limité pour ce niveau. Il a une bonne activité sur le terrain. Mais quand ça doit construire. Il réussit un truc sur 10
  20. Non non. Je ne dis pas qu'il jouerait pour le smic mais je suis sur qu'il fait parti des joueurs qui privilégie l'environnement à l'argent
  21. Le Bayern peut être. Pas le Barça. La masse salariale du Barça va exploser. Il faudra un départ d'un salaire élevé. Ils vont prolonger Neymar et Messi devraient suivre. Le seul qui réclamera rien c'est Suarez. Le mec c'est un enfant. Il serait prêt à retourner à Liverpool juste pour la passion du public
  22. Tkt je t'ai cru quand tu l'as dis. Et sportivement je ne vois aucun intérêt à venir au Real actuel. Si financièrement c'est un Gundogan à savoir il pense qu'au thune. Ouai c'est possible mais la.... Et le Bayern peut offrir un très très gros salaire. D'ailleurs Gundogan selon des sources très tes proche de Dortmund. Il va signer à City. Seule équipe qui accepte de lui offrir le salaire qu'il avait réclamé au Bayern et Barça l'an passé mais dont les 2 clubs ont refusé et ils ont raison même si le joueur est exceptionnel
  23. NOTICIA: Según @SPORTBILD ,el 4 de febrero el agente de ROBERT LEWANDOWSKI (27) se reunió con el @FCBayern que quiere renovarle hasta 2021 . Fin du débat haha
  24. Je vais pas m'en cacher et si j'étais Zidane je ferai une attaque Benzema lewandowski qui sont ultra complémentaires pour moi
  25. Je ne dis pas que c'est signé. Je cite sportBild. Ils font peut être ça pour que le Bayern s'active à le prolonger. Et même si j'aimerais l'avoir au Real. Je pense qu'il ferait mieux de rester au Bayern
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