RollsReus

Selon la Cadena Ser, #Benitez pourrait être limogé très prochainement (heures, jours), et le club considérerait même la possibilité que #Mourinho revienne ! L'info est à prendre avec des pincettes.

Pour en revenir à Mesut. Une chose qui montre son importance dans le jeu: dès qu'il est sorti. L'équipe a reculé et avait beaucoup moins le ballon. D'où la réduction de l'écart même si le but de Yaya est juste énorme. Personne n'y a cru au moment du tir

Pareil, déjà elle était destinée à Monreal, et c'est Théo qui fait le boulot pour la mettre. Mais bon, comme quoi les stats veulent rien dire Henry: "Before the game, it was Silva vs Özil. After tonight we can put that debate to bed. Özil was the winner by far."

Très bon match, dans l'attitude, l'aspect jeu etc, il a été énorme. J'ai eu peur car en fin de première période, on voit un zoom sur lui où il fait une grimace, j'espère qu'il n'a rien et qu'il n'a pas forcé.

Cette saison c'est 3 mois. Tu peux pas lui retirer tout ce qu'il a fait pour 3 mauvais mois sinon on est en mode ballon d'or. Tu fais 3 bons fin de mois et t'as une chance d'être meilleur joueur de l'année

Ouais mais ça fait tjs plaisir. J'ai vu Philippe auclair l'a posté. Je me suis dis ça doit être plutôt fiable. Il est pas dans ce genre de stats en général sans que ça soit valable

Bah je l'ai dis sur chacun de leur topic. Et là c'est le topic de Cazorla

http://www.football-observatory.com/IMG/sites/b5wp/2015/130/fr/ Cazorla fait partie du 11 type des meilleurs joueurs de l'année 2015. Toutes ligues confondues

http://www.football-observatory.com/IMG/sites/b5wp/2015/130/fr/ L'observatoire du football a désigné monreal comme le meilleur latéral gauche de l'année 2015

http://www.football-observatory.com/IMG/sites/b5wp/2015/130/fr/ Ozil fait partie du 11 type de l'année 2015 de l'observatoire du football. Il est aux côtés de Messi. De Bruyne. Hazard. Gundogan. Cazorla. Nacho monreal. Thiago Silva chielleni. Dani alves. Et neueur

On est la seule équipe où malgré un 10 à 2, on a 0 garantie, aucune confiance dans notre jeu. On se faisait malmené jusqu'aux expulsions. Après ça déroule et ça va nous parler d'un grand Real. Quelle équipe pathétique, je ne me suis jamais autant senti détaché à ce point du Real....

ça fait genre 1 an que je dis le jeu du Real ça se résume à rien , juste exploit individuel ou centre.

OFFICIEL: Rummenigge vient d'officialiser Ancelotti dans BILD. L'italien sera sur le banc dès le 1 juillet 2016. Au Bayern, Ancelotti aura des gros joueurs de football et surtout, il aura des dirigeants qui ne lui diront pas "untel doit jouer obligatoirement". Il aura des mecs qui se donnent sur le terrain, nul doute qu'il fera encore mieux qu'à Madrid. Très content pour lui, dire qu'à l'époque je n'en voulais pas spécialement chez nous. a Souligner quand même l'excellent travail de guardiola. Boateng est passé de simple défenseur stoppeur à gros joueur de ballon. Lahm a encore évolué et je ne parle pas d'Alaba qui a pris une autre dimension, encore plus énorme dans le jeu

trompé désolé.

Honnêtement, j'ai hâte de voir une double confrontation Bayern/Barca, avec leur effectif au complet!!! ça serait le match le plus dingue de ses dernières années, y'aurait un rythme de malade.

Rien de catastrophique son passage , au contraire mais comme le dit si bien cet article, le Bayern est un club inflexible (même si ils ont cédé pour Pep) et Pep n'aime aps qu'on lui dise non. il veut tout décider, or au Bayern, ça ne fonctionne pas comme ça. D'ailleurs, dans le lien ci dessous si vous voulez le lire j'ai retenu ça qui montre ce que pense les gens de Guardiola malheureusement " Depuis 2013, Guardiola a dépensé 200 millions d'euros (ce qui est une somme énorme pour le Bayern) pour gagner ce que tout le monde avait déjà gagné » , a résumé cette semaine un Felix Magath" http://www.sofoot.com/le-depart-inevitable-de-pep-guardiola-213943.html

Thibaud leplat dans ses oeuvres: Incapable de se réinventer, José Mourinho s'est trahi lui-même Depuis des semaines qu’on guettait la nouvelle et l’agonie insupportable d’une équipe qui ne ressemblait plus à rien, on avait presque perdu le goût du Special One. Pour la deuxième fois de sa carrière, José a été limogé par Chelsea. Mais cette fois-ci, quelque chose a changé : on s’y attendait, parce que sa méthode a fait long feu. Pour la première fois depuis l’an 2000, et son arrivée à Benfica, José Mourinho avait l’air épuisé. Lors de sa dernière conférence de presse, mardi 15 décembre, il pointait même dans ses propos une quantité non négligeable de lassitude. Dépassé par l’indolence coupable de ses joueurs, par l’insistance et les sarcasmes d’une presse trop gourmande, il livra donc lui-même le diagnostic du mal dont il souffrait. "J’ai travaillé ce match pendant quatre jours" - à la fois en vidéo et en préparation tactique (les séances sont conçues en fonction de son analyse du rival et des mouvements qui seront utilisés pour le contrer) - "mes joueurs ont eu toutes les informations et s’y sont entraînés durant les trois derniers jours. J’ai identifié quatre mouvements avec lesquels ils (Leicester) marquaient quasiment tous leurs buts. Ils sont assez bons, ils ont bien écouté, enfin je crois, pourtant toutes les erreurs sont là." Mais alors pourquoi n’avaient-ils rien fait ? La meilleure défensePaco Seirul-lo, immense préparateur physique du Barça de Pep Guardiola, dit souvent que c’est à sa manière de défendre qu’on mesure l’état de forme d’une équipe. C’est au moment où il faut réaliser l’effort supplémentaire pour immédiatement se jeter dans le pressing, ordonner son collectif afin de freiner la progression rapide du rival, qu’on distingue quel est celui des onze qui n’y croit plus, qui va bientôt être englouti. Dans le football réactif de Mourinho fait de transitions rapides attaque-défense ou défense-attaque, la mobilisation cognitive de ses joueurs lors des changements de phase de jeu est essentielle car c’est elle qui donnera le degré de conviction nécessaire à la réalisation entière de l’objectif commun : la récupération du ballon. Si l’attaquant ne se relève pas suffisamment vite, si le milieu de terrain n’exerce pas immédiatement la compensation nécessaire, la défense peut bien s’étirer, elle ne défendra plus grand chose. C’est cet art de la bonne décision qui est spécifiquement insufflé par José Mourinho et qui avait fait jusque là l’originalité de sa méthode. Or c’est bien dans ce domaine que le "travail" de José a été "trahi" mardi soir. Sur le premier but de Vardy, Oscar saute n’importe comment sur un ballon en cloche, Azpilicueta "presse" (à 1.50m) son rival pour l’empêcher de centrer tandis que Zouma et John Terry font bien mine de n’avoir rien pu faire au point de penalty. Aussi, le deuxième but de Leicester n’aurait pas eu lieu si Courtois avait patienté un dixième de seconde et pris le ballon à la main plutôt que tenter une intervention de la tête qui mêlait la panique à l’improvisation dans une situation - trois défenseurs contre un seul attaquant - qui était loin d’être inédite dans son existence de gardien de but expérimenté. Il ne s’agit pas ici de faire le procès des intentions invisibles et sans doute honorables des différents acteurs mais de comprendre que si Mourinho a été "trahi" - ce sont bien ses mots - c’est que son sort a été scellé par une succession de non-décisions spectaculaires. Si José a été trahi, c’est par la trajectoire la plus illisible qui soit : la sienne. Ce que l’on doit au Special OneIl nous était apparu un jour de juin 2004 sur le toit de l’Europe en s’auto-proclamant Special, prenant le risque d’être jugé pour toujours à la lumière de cette déclaration imprudente. Sa méthodologie, mêlant d’un côté les acquis récents des sciences cognitives - les sciences de la motricité humaine - avec une intelligence tactique et un sens de l’observation aguerri par des années de supervisions pour le compte des autres, avait fait d’un professeur d’EPS de banlieue lisboète, le modèle de l’entraîneur du siècle nouveau. José nous était donné à une époque où les entraîneurs portaient encore des lunettes et des survêtements, se cachaient derrière les micros et n’osaient jamais enjamber la moindre ligne de touche. Souvenez-vous, à l’époque personne n’écoutait leur conférence de presse. Mourinho a transformé, à force d’éclats et d’intelligence, cet austère métier de préparateur en lui offrant l’épaisseur dramatique de celui d’explorateur du monde moderne. On lui pardonna ainsi facilement, et d’un sourire complice même, l’affrontement généralisé qu’il érigea dans le même temps en méthode de management. Il avait trouvé la pierre philosophale, il méritait toute notre admiration. Les anciens et les modernesJusqu’au jour où le monde découvrit une autre manière de faire. Avec le Barça de Pep, son Bayern, l’équipe de Luis Enrique, la Juve d’Allegri, le Paris-Saint-Germain de Blanc ou le Real Madrid d’Ancelotti, les années 2010 ont prouvé qu’on pouvait tout à la fois plaire, être poli, moderne et gagner à tous les coups. Si le football a changé depuis 2004, c’est qu’il a traversé une révolution tactique brutale. Il n’est plus aujourd’hui question de prôner les bienfaits d’une mystérieuse méthodologie quand elle est désormais le lot commun de toutes les grandes équipes. En outre, on ne peut plus non plus proposer un football réactif comme seule idée de jeu quand l’époque réclame en même temps le bon goût et la possession de balle comme méthode de gouvernement. L’apparition de Pep Guardiola fut un cataclysme pour José Mourinho, qui ne prit pas uniquement la forme et le bruit d’une gifle historique (le 5-0 en novembre 2011) infligée à son Real Madrid mais la noirceur d’une tâche de plus en plus visible venant obscurcir mois après mois sa réputation de coach le plus moderne du monde. La sensation qui demeure au jour de son second limogeage de Chelsea est donc celle d’un deuil douloureux à faire, mais largement prévisible. Nous l’avions cru mais nous nous étions trompés. José n’était pas le premier des modernes. Il était le dernier des anciens.

Oui mais je pense surtout que ça dérangeait pas le Bayern de le lacher, pas dans le sens négatif par rapport à son niveau de jeu mais le bayern lache rarement un joueur sans le vouloir. Schweinsteiger, Kroos, Dante etc surtout que Kroos c'est un représentant du bayern, formé là bas etc

Toni kroos a demandé à son agent de lui trouver un autre club (information de Hermel)

Bah oui ils se sont arrangés entre eux sinon José serait toujours coach. On l'oublie mais le Russe fait beaucoup moins de folie financières comme à l'époque et jamais il aurait pris le risque de refourguer 50M à Mourinho . Il a du s'arranger et comme Mourinho est "conscient" qu'il serait honteux de partir avec 50M vu ses résultats, il a accepté un arrangement. Mais je pense que si Mourinho avait dis non, je veux 50M, il serait encore à Londres.

Oui voilà, si il était content de sortir , ça serait assez grave... mais bon, va falloir que vous le reposiez après City, ça va être tendu vu tout ce qu'il enchaine là...

OIUIIIIIIIIIIIIIIII Le futur du Real Madrid ne parait plus claire. Les derniers résultats ont générés des doutes sur le futur de Rafa Benitez en tant qu'entraineur du Club. L'émission "El Larguero" de la Cadena Ser a informé que le grand sponsor de Benitez, José Angel Sanchez, directeur général du Real Madrid, doute sur la continuité de l'entraineur Madrilène. "Nous nous sommes trompés" c'est la phrase qu'on entend du côté de la direction du Santiago Bernabéu. Il faut rappeler que c'est Sanchez qui voulait ramener Benitez au Real Madrid depuis l'époque de Pellegrini. Maintenant après 5 mois seulement de son arrivée, le futur de Benitez n'est même plus assuré par son grand garant. Ce qui est clair c'est que Florentino Perez ne pense pas pour le moment à limoger Rafa Benitez, chose qu'il a affirmé lors de sa dernière apparition publique après le Clasico. En particulier, José Angel Sanchez, l'homme fort à l'intérieur de la Maison Blanche, a conseillé, selon les sources de "El Larguero", à Florentino Perez que la meilleure chose qu'il puisse faire est de convoquer des élections et d'arranger son départ. Un nouveau directeur sportif ? A la recherche de solutions, José Angel Sanchez, a aussi proposé à Florentino Perez le recrutement d'un directeur sportif et il lui a donné les deux noms de Pedja Mijatovic et Fernando Hierro. Celui qui fut directeur sportif avec Ramon Calderon, le Monténégrin Pedja Mijatovic, a été claire sur "El Larguero" il y a deux ans en affirmant qu'il "ne retournera pas au Real Madrid avec Florentino Perez". Fernando Hierro quant à lui n'est pas disposé à travailler au Real Madrid avec José Angel Sanchez. http://cadenaser.com/programa/2015/12/16/el_larguero/1450221408_527260.html?id_externo_promo=as-ob&prm=as-ob&ncid=as-ob

Enfait, il se serait entendu sur le fait qu'il toucherait son salaire de cette saison mais qu'ils renoncent au 3 autres saisons que le russe lui doit.

Selon @elpais_deportes, Mourinho a refusé de percevoir l'indemnité de départ de 50M€ !