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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

Oxlade

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Tout ce qui a été posté par Oxlade

  1. Oxlade

    [34] Granit Xhaka

    De ce que je vois depuis le début de saison, il me semble que quelque soit son poste Chambers a un bon sens du placement avec une très bonne qualité d'anticipation, même trop parfois ce qui l'amène à se faire prendre de vitesse sur certaines actions, mais ce défaut serait moins dommageable s'il joue au milieu je suppose. Ensuite je le trouve assez vif malgré son gabarit, en tout cas une vivacité suffisante pour un MDC. En attaque il sait se rendre disponible (cf. Ses 3passes d contre Forest, son but contre Villa). Enfin il a l'air très à l'aise balle au pied, il rate aucun contrôle et ses passes sont sûres/appuyées le plus souvent vers l'avant. En revanche je connais pas sa faculté à orienter le jeu ni sa capacité à se placer entre les lignes sur les relances. Après je sais pas si Chambers a exactement toutes les qualités du milieu défensif mais c'est sûr qu'il sera meilleur que Xhaka. Au moins il sait récupérer des ballons (sans faire faute) ce qui, pour moi, est le principal job du MDC (cf. Casemiro). Le constat est que dès qu'il joue les résultats sont positifs et la défense bien plus solide. J'ai compté 3 buts concédés lors des 7matchs qu'il a joué contre 8 buts concédés lors les 5 matchs qu'il a pas joué... Apparemment à Fulham c'était pas ça en DC... Par contre les supporters l'ont plébiscité meilleur joueur pour son jeu en MDC. Donc pourquoi pas le tester en sentinelle, lui comme Torreira, pour voir si ils sont des options viables ou s'il faudra recruter.
  2. Oxlade

    [34] Granit Xhaka

    Moi aussi je veux voir ça. Chambers il a tous les attributs pour briller en MDC : sens du placement, fort dans les duels et à l'aise techniquement. Derrière lui tu mets Holding en DC gauche parce que je crois qu'il préfère cette position. Tu décales Luiz DC droit. Comme ça dans 1 an Saliba arrive en tant que DC droit et il formera la paire titulaire avec Holding.
  3. La même source parle d'un intérêt pour... Partey ! C'est le joueur que je voulais en 6 pour Arsenal cet été... Par contre il est en train d'exploser à l'Atletico (titulaire à tous les matchs et MOTM contre le Real) donc ça va devenir extrêmement dur de le recruter. Il faudrait jouer la ligue des champions à minima. En tout cas moi je préfère mettre 60M dans un bon MDC, avant de les mettre sur un DC ou un B2B.
  4. Oxlade

    [28] Joseph Willock

    Aujd'hui Niles non plus ne progresse pas dans son Qi foot. De tête j'ai pas souvenir d'un joueur moyen dans ce domaine qui soit devenu très bon... Ça doit se travailler mais il doit y avoir une grande part d'inné dans l'intelligence de jeu d'un joueur. Après Willock, comme beaucoup, je lui trouvais rien de spécial jusqu'à cette pré-saison. Maintenant il progresse à chaque match c'est impressionnant. Bon il lui reste quand même pas mal de choses à améliorer (son intelligence de jeu donc, gagner des duels aériens, jouer en une touche, etc.) pour passer du statut de squad-player à celui de titulaire. Par contre s'il continue de bien progresser et que Ceballos ne reste pas l'été prochain, ce sera peut-être lui la solution en milieu box to box.
  5. Oxlade

    [3] Kieran Tierney

    Un autre gros point fort, c'est son placement défensif. Dès la perte de balle il est tout le temps au bon endroit pour récupérer le ballon. Il donne l'impression de ne jamais être pris à défaut, contrairement à Kola dont ce n'est pas la principale qualité. Bien sûr il faudra voir contre des oppositions plus fortes, mais c'est très prometteur de savoir qu'il n'est pas seulement excellent en attaque mais que c'est aussi un très bon défenseur.
  6. Oxlade

    [2] William Saliba

    Saliba faisait son retour en tant que titulaire ce soir. Apparemment, il a été plus que bon
  7. Oxlade

    [11] Gabriel Martinelli

    Mea Culpa, cet été j'avais un peu remis en question l'intérêt de son recrutement vu la qualité des attaquants de l'académie... Mais en fait lui c'est une pépite de chez pépite. C'est simple il a tout : instinct du buteur, justesse technique, vitesse, gros volume de jeu, pressing tranchant, bon jeu de tête (ça faisait lgtps que j'attendais cette caractéristique chez un offensif d'Arsenal). Et puis cette détermination dans tout ce qu'il fait, ça fait vraiment la diff'. Il a 18 ans sérieux ? Comme @bassemo j'essaye aussi de pas trop m'emballer, mais jamais vu un attaquant aussi complet et mature à cet âge. Arsenal ne tiendrait-il pas un futur attaquant de classe mondiale, de la trempe des Lewandoski ou Firmino ? En tout cas, ça donne de l'espoir de ouf' pour l'avenir.
  8. Oxlade

    [Entraineur] Unai Emery

    @Peter Pan Article très bien écrit. Le club se restructure en interne. Il y a des zones d'ombres (départ de Mislintat, lien avec des agents influents...) mais le club a le mérite d'essayer de se moderniser (division des tâches, création d'un modèle capable de résister au changement d'entraîneur , etc.). À voir le résultat sur le long terme. Bonne lecture : " Inside the revolution : How Arsenal plan to reclaim place among world's elite club. Per Mertesacker shifts forward in his seat. “Everybody says it: ‘The Arsenal Way’… but what does it actually mean?” There is a mischievous glint in the German’s eye. “Is it offensive, passing football? Everybody does that!” he scoffs. “We need more. We need a framework — one that gives kids a freedom to play, but that also has certain kinds of measurements so we can say, ‘This is how we’re going to play, this is Arsenal, this is world class.’” With each of those last three statements, the former Arsenal captain bangs a fist on the table for emphasis. The gentle giant is stirring. “I’ve presented it to Edu,” Mertesacker reveals to The Athletic. The Brazilian was appointed as Arsenal’s first ever technical director back in July, and has since sat down with Mertesacker to sketch out the blueprint for the ideal Arsenal player. “Just to give you a brief idea: we want to dominate possession but we want to win it back as soon as possible. So we have to set these principles and train in that way… I’ve built a framework towards that, because I wanted to shape it.” It is just 17 months since Mertesacker retired from playing to take up his role as head of Arsenal’s academy, but he’s in no mood to reflect on previous glories. “We want to make sure that we’re up to date and not thinking about what ‘The Arsenal Way’ was 15 years ago. We need to make sure that everyone understands what we’re about.” Speaking with this clarity and this passion, it won’t be long before everyone does understand. Arsenal are a club finally talking about putting the past behind them, and looking towards the future. Last night Arsenal played out an uninspiring 1-1 draw at Old Trafford. In the final 20 minutes, this felt like a match that was absolutely there for the taking — and yet these two teams had neither the confidence nor the quality to do it. The fixture has certainly lost a good deal of the glamour and drama it once had. Under Arsene Wenger and Sir Alex Ferguson, these clubs once dominated the landscape of English football. However, the end of those managerial dynasties — and the emergence of new and powerful rivals — has seen those giants fall by the wayside. A clash between Marcus Rashford and David Luiz doesn’t quite have the electric appeal of Ruud van Nistelrooy coming face to face with Martin Keown. In the TV studio, Roy Keane described the lack of quality as “frightening”. These are teams undergoing awkward periods of transition, scrabbling furiously to return to former heights. Neither set of supporters seem convinced by the men in the dugout. Ole Gunnar Solskjaer is more obviously a talisman than a tactical genius, while Unai Emery does not appear any closer to impressing his vision upon this Arsenal team than he did a year ago. However, while progress on the pitch may feel frustratingly slow, away from the floodlights Arsenal are a club rapidly evolving. Both United and Arsenal are attempting to move on from generational managers. However, the latter would seem to be making the better job of it. It is over six years since Ferguson’s retirement, but United’s football infrastructure is still desperately lacking. They remain a financial powerhouse, but their position as football royalty is under threat. Make no mistake, Arsenal have a long way to go too, but they’re at least heading in the right direction. While United fans spent the summer waiting for a sporting director that never came, Arsenal were welcoming Edu and putting the finishing touches to an impressive executive offering. As Mertesacker might put it, they have a “framework” in place. Arsenal’s team behind the team is looking stronger all the time. Arsenal have been a club in desperate need of modernisation. For more than a decade they were defined by the Emirates Stadium project, functioning more like a property development business than a football club. On the sporting side, Wenger was the single point of failure. That had to change. The process began under Wenger and former chief executive Ivan Gazidis. The Frenchman was aware that Arsenal had grown too big for one man to effectively rule alone. Wenger may have set the change in motion, but even he will have recognised that Arsenal’s new model could not really take hold until he left the club. Nevertheless, Wenger played his part, driving the appointment of Australian Darren Burgess as head of performance. Burgess was installed in a training ground office adjacent to Wenger’s, and set about revamping a performance team that had presided over a horrifying injury record. In June 2017, Gazidis appointed legal expert Huss Fahmy from cycling giants Team Sky to lead contract negotiations. It wasn’t exactly the kind of summer signing to get the fans talking, but Fahmy’s influence would steadily grow over the next 12 months. If Edu was eventually to be the final piece in the jigsaw, the journey to appointing him began at a meeting between Gazidis and Raul Sanllehi. A former executive at Nike and Barcelona, Sanllehi was a well-known figure on the European scene and a natural choice as Arsenal’s head of football relations. The Spaniard had the cocktail of business and football knowledge Arsenal needed — and the language was never going to be a problem for a man who had spent four years in the USA studying economics at North Carolina’s Guilford College. It was Sanllehi who sold Gazidis on the idea of adopting the technical director model, having played his part in mapping the executive structure at Barcelona. Sven Mislintat was the man initially primed for the role. Gazidis lured the scout known as “diamond eye” from Borussia Dortmund to be the club’s head of recruitment, on the understanding he would step into the newly-created technical director position once Wenger had gone. The appointments of Sanllehi and Mislintat were announced within a week of each other in November 2017. While Wenger’s situation remained uncertain, Arsenal had begun laying the foundations for the future. The club have shown creditable foresight throughout this process. Although Mertesacker only took up his role as head of the academy in the summer of 2018, it was February 2017 when the veteran defender was summoned to meet Wenger and Gazidis at the training ground. Mertesacker anticipated a conversation about his future as a player — instead, they asked whether he would consider leading the academy after his retirement. Writing in his autobiography, Big Friendly German, Mertesacker revealed that a phone call to Oliver Bierhoff, the general director of the German national team, provided all the encouragement he needed to accept the offer. With playing time limited in his final season, Mertesacker embraced the opportunity to swot up on his new job. He told The Athletic: “I knew that a new challenge was coming up, so I made sure I was part of the interview process for any academy jobs, that I was part of (any) thinking about the vision for the academy, that I met people from the academy… I was transitioning, making sure that I would be well prepared for something that was totally unknown to me.” In some ways, Mertesacker’s appetite for change is emblematic of how Arsenal have set about the task of reinventing themselves. He has rapidly transformed from steady defender to quick-thinking executive. Mertesacker clearly feels duty-bound to ensure the kids in Arsenal’s academy receive a good all-round education — he insists he would be as proud to produce a doctor as a defensive midfielder. However, his ultimate goal is to provide players for the first team, and he quickly assembled the right staff to help him do that. Gazidis and Mertesacker led a headhunting process that ultimately saw them recruit Marcel Lucassen as head of coach and player development. Lucassen was well known to Mertesacker, having been, according to the DFB, “responsible for the individual technical and tactical development of all German youth national teams” between 2008 and 2015. Lucassen is a disciple of the Dutch school of football development, and brought a wealth of technical expertise to the academy. Weeks later, Mertesacker rubber-stamped the appointment of Freddie Ljungberg as coach of the under-23s, citing his understanding of “how important it is to give young players the opportunity to grow”. Tellingly, he also told the media “we look forward to Ljungberg developing his career with us”. Mertesacker and Lucassen weren’t just setting out to hone young players: they were also developing a coach. The next stage was to set about creating pathways for player development. Arsenal recognised a need to make better use of the loan market, and within six months of Mertesacker’s start they promoted former ProZone analyst Ben Knapper to the newly-created role of loans manager. Knapper not only curates statistical analysis of Arsenal players during their loan spells — he also acts as player liaison, visiting loanees and reporting back to the club. The first stage of Arsenal’s evolution was complete. However, the turbulent summer of 2018 threatened to knock things off course. Wenger’s departure was unsettling, yet inevitable. However, the loss of Gazidis came as a greater shock. Just as the chief executive appeared primed to seize control of the club he had served for 10 years, he left for AC Milan. The man who had appointed Sanllehi and Mislintat was gone, project unfinished and promises unfulfilled. The owners, Kroenke Sports & Entertainment, responded by dividing Gazidis’ role in two. In the post-Wenger world, Arsenal were determined to delineate responsibility. Sanllehi was promoted to head of football, and chief commercial offer Vinai Venkatesham became managing director. At long last, sport and business were distinct at Arsenal. How Ed Woodward might learn from that. A year earlier, Gazidis had spoken of Arsenal’s poor 2016-17 season as being a potential “catalyst for change”. As it turned out, one of the biggest catalysts for change was his own departure. Another significant milestone on this journey came in August 2018, when Stan Kroenke’s KSE took full ownership of the club. Buying out Alisher Usmanov, and indeed the remaining minor shareholders, gave the Kroenkes complete control of Arsenal. It was a move met with considerable hostility by the fans, who understandably mourned the loss of any transparency to the club’s dealings. Since that summer, the pace of change has only increased. On the football side, Sanllehi swiftly stepped into the power vacuum. This was a man who had kept his job at Barcelona despite two presidential changes — he is clearly one of football’s survivors. Over the next few months, Mislintat became increasingly marginalised. His eye for talent had already borne fruit, bringing in talented young players such as Bernd Leno, Matteo Guendouzi and Lucas Torreira. However, with Gazidis gone, the technical director role he had been promised was slipping away from him. As Mislintant later explained in an interview with German football magazine 11Freunde, “It had actually been agreed that I would become technical director, so then I would be around the team on a daily basis. But the new leadership had their own agenda and other candidates.” Sanllehi valued Mislintat as a world-class scout, but the German’s ambitions were loftier than that. By January 2019, his departure had been mutually agreed. Arsenal’s first-choice candidate for the position of technical director was Monchi, the Spaniard widely regarded as the mastermind behind Sevilla’s success between 2000 and 2017. He was the man credited with spotting the likes of Dani Alves, Julio Baptista, Seydou Keita and Ivan Rakitic. Crucially, he also had a strong relationship with Emery — together they had led Sevilla to three consecutive Europa League titles between 2014 and 2016. When Monchi left his job at Roma by mutual consent in March of this year, Arsenal thought they had their man. Members of the performance staff were even briefed about the prospect of meeting Monchi to discuss plans for preseason. However, a late change of heart saw him decide to return to Sevilla. For Arsenal, it was back to the drawing board. And back to Edu. The Brazilian had been contacted about the position earlier in the process, but Monchi’s connection with Emery had pushed the Spaniard to the forefront. With that option off the table, the man who played for the club between 2001 and 2005 was in contention again. Edu was effectively the operations co-ordinator for the Brazilian national team, but had previously held a technical director position at Corinthians. When coach Tite left the club to take over the Selecao, he insisted Edu come with him — he had swiftly made himself indispensable. He will now look to do the same at Arsenal. He certainly started as he meant to go on, throwing himself into the job. As soon as his duties at the Copa America with Brazil were done, Edu joined Arsenal on their north American summer tour. It was there he first addressed the squad about his directorial approach. As he puts it himself: “I explained to the players that I’m not the guy who stays inside the office and waits for someone to knock on my door and send a message to me. I want to be involved in the process, I want to be on the inside, I want to be with them, I want to be with Unai… I want to be with the staff as well, to try and advise them if they need it, and give some advice for them. Being involved is important and that’s what I really believe from today.” The club speak of Edu as a “connector”, someone who must establish an easy flow between the first team, the academy and the coaching staff. He has set up an office at London Colney and is a regular presence at training: watching, learning, talking. While Woodward discusses commercial strategy at United’s London headquarters, Edu is at the heart of things, steadily building the relationships that define his role. It may ultimately prove to be a good thing that he is not as close to Emery as Monchi was. Arsenal are building a model which has the durability to withstand a change in coach. Publicly, they say the advantage of this approach is that it enables the coach to focus on the next game. Contained within that is a tacit admission: not only is a coach’s focus short-term, but increasingly so is their tenure. Emery’s current contract runs no further than 2021; Arsenal have built an infrastructure to outlast him. And so to this past summer’s transfer window. Arsenal have been keen to stress that Edu was not directly responsible for their recruitment drive. Plans were, in fact, largely set in motion long before the window opened. Sanllehi headed up the process, with long-serving Spanish scout Francis Cagigao effectively replacing Mislintat as head of international scouting. Arsenal’s summer spend was interpreted by some as a response to fan unrest and their Europa League final humiliation by Chelsea. However, the groundwork for many of their signings had already been laid. In the case of record signing Nicolas Pepe, The Athletic understands intermediaries held discussions about a prospective deal as early as February. In the context of that information, the supposedly “derisory” bid for Wilfried Zaha looks increasingly like a ploy to force Pepe’s camp into a decision. Under Sanllehi, Arsenal are a different animal in the transfer market. Their supporters’ first encounter with Sanllehi was when he led the Barcelona delegation attempting to lure Cesc Fabregas back to Catalonia. He’s now bringing that same determined approach to north London. With Fahmy (promoted to director of football operations in 2018) leading the negotiating team, Arsenal are a much more dynamic outfit. As one agent with experience dealing with the club told The Athletic: “In the past, Arsenal were regarded as a soft touch. You can’t say that about Sanllehi.” When it comes to agents, few wield more power than Kia Joorabchian. He’s exactly the kind of ‘super agent’ Wenger was reluctant to deal with. In the midst of the Arsenal fan protests in July, it was telling that Joorabchian leapt to the defence of Arsenal’s new leadership. “I feel for the guys that have just come in – Raul [Sanllehi – head of football] and Edu and Unai Emery,” he said. “I feel for them because we have finally got incredibly knowledgeable footballing people there. Raul came in from Barcelona, Edu came from the Brazil national team and is a legend at Arsenal, and Emery is a fantastic coach who has coached at Sevilla and PSG. “Finally Arsenal have people who really understand football and are footballing people in the backroom staff, but the question is whether or not the finances will be made available.” There’s considerable merit in what Joorabchian says, but perhaps he should also have declared a bias. The Iranian-born agent has close links with Edu from his time at Corinthians, and has dealt with Sanllehi at Barcelona. And at Arsenal. After a protracted hunt for a new centre-half, the Gunners made Joorabchian client Luiz their final signing of the window. Interestingly, the last player to leave Arsenal this summer was Henrikh Mkhitaryan — represented by Mino Raiola, another of the supposed ‘super agents’. Arsenal are playing with the big boys now. The likelihood is that the club have paid out an eye-watering sum in agent fees this summer. However, that is the price of competing in the current market. They have bent their principles to modernise their approach. Joorabchian questioned whether money would be made available to spend, and ultimately it was. Only Manchester United spent more money than Arsenal, and it’s fair to question whether it was spent as wisely. The final tally was almost £150 million, albeit largely amortised over several years. With Usmanov no longer standing to profit from Arsenal’s success, the Kroenkes appear more willing to loosen the purse-strings. They’ve cleared the decks too, rejuvenating an ageing squad and creating space for an influx of Mertesacker’s academy talent. To help the younger players transition into the senior squad, Ljungberg has been promoted to work under Emery. Within 12 months of being brought back to the club by Mertesacker, Ljungberg is assistant first-team coach. Sceptics suggested the move might be purely cosmetic, but anyone who has seen the Swede providing detailed instructions to the club’s younger players on the sidelines will know he is a coach of considerable substance. The use of young players is clearly strategic. United used Mason Greenwood off the bench against Arsenal because of an injury crisis; Chelsea are playing Tammy Abraham because they are under a transfer ban. Arsenal turning to their academy feels like part of a coherent plan. There have been other training ground changes. Steve Bould returned to the sort of role he relishes, taking full responsibility for the under-23 side and coaching the next generation of Arsenal player. Despite generating impressive numbers in 2018-19, Burgess was moved on as head of performance with American Shad Forsythe stepping up as his successor. Both men had arrived at Arsenal with big reputations — and salaries to match. In a summer of streamlining it seems the club felt retaining both was unnecessary. The performance team are informed by swathes of data. Arsenal’s purchase of US-based Stat DNA has afforded them a significant advantage, and they’ve supplemented that by recruiting high-profile personnel such as Candy Crush guru Mikhail Zhilkin to work on new methods of data gathering and visualisation. As Old Trafford begins to creak — early this year, water poured through a hole in its roof — the Emirates stands resplendent. Arsenal’s players prepare in a state of the art training facility, planned by Wenger, upgraded by Gazidis and now overseen by Sanllehi. All the while the likes of Edu and Mertesacker, men steeped in Arsenal’s culture and history, plot the club’s future. “The Arsenal Way” is being reimagined. For so long, Arsenal felt stagnant— and now, so much is changing. They must improve as a team — an insipid performance at Old Trafford was clear evidence of that — but the foundations they have put in place make that seem infinitely more plausible. Whatever Emery’s ultimate fate, the club have built a structure which will enable them to survive a managerial change with minimal trauma. Arsenal are emerging from Wenger’s long shadow as the very model of a modern major football club. Source : James McNicholas, 1.09.2019, Athlétique.
  9. Pololo le dribble de Lewandoski cette classe et juste après il marque, quel joueur !
  10. Oxlade

    [Entraineur] Unai Emery

    En tout cas les supporters ne veulent plus de Emery
  11. Oxlade

    [7] Bukayo Saka

    Venant de Roy Keane, qui déteste Arsenal, le compliment a encore plus de valeur
  12. Oxlade

    [34] Granit Xhaka

    C'est ça. Parfois je ne regarde que Xhaka sur le terrain, son placement est catastrophique... Il joue au niveau des centraux, voire derrière eux comme sur le but. Pour un capitaine, il se cache en permanence c'est terrible. Et puis il compense pas du tout sa lenteur par un quelconque sens de l'anticipation. Complètement laxiste dans le pressing. Une action qui décrit bien son attitude passive c'est lorsque il est face à Maguire à l'entrée de la surface. Le défenseur a tout le temps pour contrôler, se retourner, frapper.... Xhaka sort pas sur lui alors qu'il avait largement le temps de le presser et au moins empêcher la frappe. C'est aussi pour ça que l'équipe concède autant de tir.
  13. Oxlade

    [2] Hector Bellerin

    C'est vrai qu'il avait gagné en intelligence de jeu, notamment dans son placement. Au niveau des passes je regarde les stats, et la saison passée en 18 matchs il avait 5 passes décisives en PL contre 4 et 3 les 2 saisons précédentes où il avait joué quasi tous les matchs. Donc oui il y a eu progression dans sa participation au jeu. Espérons qu'il gagne en maturité défensive maintenant Pour la nutrition j'imagine qu'il doit être ultra suivi en tant que sportif de haut niveau. Ça serait étonnant qu'il est des carences amenant à une blessure... Effectivement contre Tottenham il sort une magnifique passe qui casse les lignes (but de Auba ensuite, si on parle de la même action). Curieux de voir l'impact qu'il aura sur l'équipe à son retour...
  14. Oxlade

    [7] Bukayo Saka

    Ce toucher de balle soyeux sous la pluie diluvienne d'Old Trafford. Comme disait je sais plus quel commentateur de RMC, c'est dans ses conditions que tu vois les réels leaders techniques. Saka et Guendouzi, quelque soit les conditions, des cracks avec le ballon.
  15. Oxlade

    [2] Hector Bellerin

    Je viens de mater le résumé du match des u23. Alors Bellerin a offert une belle passe décisive à Balogun par contre défensivement il avait l'air un peu à la rue... Pas bien placé sur les 2 buts de Liverpool. Bon il revient à peine à la compétition donc il faut être indulgent, mais de façon générale il me semble qu'on place bcp (trop) d'espoir sur son retour. Déjà défensivement il a tjrs été très moyen et offensivement jtrouve qu'il a bien stagné depuis plusieurs saisons. Certes avant sa blessure il y avait du mieux dans son jeu, mais je pense qu'il a quand même perdu en vivacité dans ses mouvements. À ses débuts, ses prises de balles étaient un vrai délice, il paraissait souple et explosif... Aujd'hui (depuis 2-3 saisons) il a l'air plus "mécanique" et stéréotypé, enfin c'est mon ressenti. Je dis ça parce que beaucoup veulent le voir capitaine mais, d'après moi, il doit d'abord assurer sur le terrain avant de pouvoir prétendre au brassard. Du coup j'espère qu'il va revenir plus fort de cette blessure, pour pouvoir légitimement y prétendre. Parce qu'après en dehors du terrain, je vous rejoins, Bellerin a le potentiel pour être capitaine. C'est vrai qu'il a une personnalité extraordinaire : - un coéquipier exemplaire : la façon dont il a intégré Tierney est vraiment admirable et il s'investit bcp avec les jeunes de l'académie en allant voir leurs matchs notamment. De manière générale je trouve qu'il représente bien le club et ses valeures. - un très bon communiquant : ses interviews sont toujours très justes et intéressantes à écouter (d'ailleurs merci pour ce passionnant entretien @Mikeb) . Lui et Chamberlain je pense que ce sont les 2 footballeurs les plus intelligents en activité. - un joueur proche des supporters : lorsque cet été il s'était invité dans un bar de supporter en toute simplicité, quelle belle image - un citoyen engagé : écologie, veganisme, etc. il s'engage pour des causes nobles ce qui est tout à son honneur et ça peut inspirer d'autres footballeurs ou des supporters. - et puis c'est presque devenu un vrai londonien : son accent et son look fashion en font un bon ambassadeur du club. Enfin bon je voulais écrire 2 lignes sur Bellerin, j'ai dérivé... Voilà juste pour dire qu'il faut pas surestimer le bénéfice de son retour, et que pour le brassard de capitaine humainement il le mérite mais sportivement ça reste à prouver.
  16. Oxlade

    [19] Nicolas Pépé

    J'avais lu une info comme quoi ils avaient examiné Ziyech et avaient jugé qu'il n'avait pas le profil pour Arsenal. Après tu as sûrement raison sur le fait que Emery souhaitait Zaha en priorité. La possibilité d'étaler le prix du transfert de Pepe a du jouer dans la décision du board je suppose.
  17. Oxlade

    [19] Nicolas Pépé

    Quand le board a signé Pepe 80M j'ai pensé comme toi que c'était une grosse "douille". J'étais déçu par ses performances à la Can et quand tu regardais ses matchs en ligue 1 c'était des coups d'éclats (sur des actions en contre le plus souvent) mais aussi bcp de déchet dans les passes, les dribbles, etc. J'aurais préféré Ziyech pour le tiers du prix, d'ailleurs il marche sur l'eau depuis le début de saison... Mais le génie tacticien qui sert de coach et son staff ont jugé qu'il n'avait pas le bon profil... enfin bref'. Néanmoins, pour Pepe, après ses premiers matchs je suis finalement assez confiant sur son avenir à Arsenal. Pour l'instant il marque pas trop et dans le jeu il se cherche, mais le potentiel est là comme dis Hamza. Chaque match il se procure des occasions nettes, réussit des dribbles (plus ou moins utiles c'est vrai) et il a un bon œil pour trouver des belles passes, notamment ses passes lasers plein axe (cf. Celle pour Auba contre Burnley ou celle pour Saka contre Villa). Par exemple j'ai beaucoup aimé son match contre Liverpool, où il n'a pas hésité à défier des joueurs comme Van Dijk, Robertson, Henderson sans complexe, et avec plus de réussite il aurait pu marquer de beaux buts (sa superbe frappe qui frolle la lucarne...). Là il est dans une phase où il doit encore s'adapter à une équipe qui n'est pas dominante dans le jeu. En plus il est arrivé avec l'étiquette d'un ailier qui marque bcp de buts et un prix énorme, donc pas mal de pression. Pas évident à gérer pour un joueur qui n'a pas connu de "grands" club, mais je trouve qu'il s'en sort plutôt bien vu le contexte. On sent qu'il suffit d'un déclic pour qu'il explose (un but dans le jeu peut-être). Il a quand même du feu dans les jambes ce joueur...
  18. Oxlade

    [9] Alexandre Lacazette

    Lacazette capitaine. - Meilleur joueur de l'équipe. - Un des plus anciens au club. - Apprécié du vestiaire. - Exemplaire sur le terrain, un battant. - Porte l'équipe dans les moments difficiles. C'est évident, je comprends même pas le débat.
  19. Oxlade

    [Ligue 1]

    Déjà en pré-saison contre Arsenal j'avais trouvé Angers très intéressant dans le jeu. L'équipe semblait bien organisée avec du talent individuel sur chaque ligne (Santamaria au milieu notamment ou Pavlovic solide en défense). Je me rappelle dire à un ami supporter de Lyon "attention Angers risque d'être une bone surprise cette saison" quelques jours plus tard ils se sont mangés 6-0 contre Lyon... quelle inspiration mdr. Mais finalement ils ont l'air de faire une bonne saison pour le moment, 2ème après 7 journées qui l'aurait cru !
  20. Oxlade

    [3] Kieran Tierney

    Ok c'est seulement son premier match , ok c'est seulement Nottingham Forest mais comment ne pas s'enflammer pour Tierney ! Hier on aurait dit Roberto Carlos dans son prime... Il pouvait finir avec 3-4 passes décisives facile grâce à la précision et la variété de ses centres. Quelle facilité pour éliminer la latéral droit aussi, d'ailleurs le pauvre quand c'était pas Tierney c'était Saka qui le provoquait. En défense il a pas eu grand chose à faire mais toujours bien placé, concentré et alerte. Et puis son fighting spirit écossais Le genre d'attitude qui se transmet à toute l'équipe... C'est peut-être tôt pour le dire mais Arsenal a sûrement recruté un latéral gauche de classe mondial !
  21. Oxlade

    [11] Gabriel Martinelli

    Grand match de Martinelli couronné par 2 magnifiques buts. Le premier de la tête est loin d'être évident, quelle classe ! J'ai beaucoup aimé sa grinta, sa façon de se battre sur chaque ballon. Très intéressant dans ses appels de balles aussi. Il monopolise souvent plusieurs défenseurs en se jetant au premier poteau, ce qui libère de l'espace pour les autres attaquants (cf. les buts de Holding et Nelson). Agréablement surpris par la qualité de son pressing également. Dès la perte de balle (de lui ou de ses coéquipiers) il se jette sur l'adversaire et il a récupéré plusieurs ballons comme ça. Il doit encore améliorer sa conduite de balle un peu "tête dans le guidon" mais sinon gros potentiel !
  22. Oxlade

    [Entraineur] Mikel Arteta

    Le match d'aujourd'hui ;) À l'époque ça paraissait difficilement concevable effectivement, mais aujourd'hui avec le recul, j'aimerai tenter le pari Arteta. Niveau qualités humaines, communication, bon sens, tactique il répond à tous les critères pour être le coach idéal d'Arsenal (selon moi). Alors il manque d'expérience en tant que coach principal mais bon Emery a bien de l'expérience et pourtant il est dépassé par les évènements donc ça veut pas tout dire... En tout cas il faut un coach en phase avec le football actuel, pas des vieux techniciens. Et si possible un coach qui présente bien et qui ne fasse pas des grimaces sur le bord du terrain Sinon Nagelsmann a l'air pas mal aussi ou Gallardo de River Plate que je connais moins. Bientôt un topic dédié aux futurs prétendants pour le poste ou c'est trop tôt ?
  23. Oxlade

    [29] Matteo Guendouzi

    Mdr moi aussi j'ai des rêves secrets pour ce club mais ils se réalisent rarement lol... Ceci dit pour Guendouzi il a une vraie passion pour Arsenal et le talent est là, alors pourquoi pas
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