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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

RollsReus

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Tout ce qui a été posté par RollsReus

  1. Après le 4 à 0 face à Madrid oui c'est vraiment incroyable. Peu d'occasions pour vous au final et surtout vous vous êtes jetés dans la gueule du loup comme si il y avait eu 3 à 0 au match aller. Il était dans le dur. Son ami venait de mourrir. Les joueurs avaient du mal à jouer comme lui le voulait ( d'ailleurs rappele toi que contre United et Arsenal. Les buts sont venus d'un jeu rapide. Un des buts c'était centre de Rafinha ou Lahm sur Mandzukic qui la remet sur schweinsteiger qui l'envoie pleine lucarne) un but à l'ancienne si je puis dire. Donc yavait une transition tout de même au niveau de l'assimilation des principes de Jeu. Quand à l'année passé soit honnête. Certes le Barça est énorme mais au complet avec des joueurs qui percutent comme Robben Alaba. Je suis quasiment sur que vous passiez. C'est comme si on avait enlevé Alba. Neymar et Messi au Barça. 3 joueurs capables de faire des différences par une passe ou un dribble. Qui font mal aux défenses.
  2. Mouai même sans défenseur je vois pas le PSG plus fort offensivement ou défensivement que la Juventus donc le Bayern reste au dessus largement. Humiliation.... A part le Real où l'équipe n'avait pas encore assimilé les principes de Pep. La saison dernière, tu ne peux pas nier que sans Ribéry robben et Alaba. La tâche face au Barça s'annoncait plus que compliqué et pourtant il a fallu que Messi fasse la différence pour que le Barça l'emporte. Vous faisiez presque armes égales même si le Barça avait eu des grosses occasions mais dur de déstabiliser une défense quand tu 'as aucun joueur de percussions. Lewy et Muller c'est pas ce type de joueur. Ils étaient orphelins des 3 absents cités plus haut. Quand à la Juve. Si on juge sur le match retour ok elle doit ne mettre 3 ou 4 mais si on parle du match aller. Le Bayern doit gagner 4 à 0 minimum et ne jamais en prendre 2 derrière. Au final match nul dans le temps réglementaire. Chaque équipe a eu sa forte période de domination mais à la fin. Allegri se voyait déjà en quart de final et le Bayern était maître de son destin pour les prolongations une fois que Müller marque le but de l'egalisation.
  3. Je ne pense pas que l'auteur veuille dire ça. En somme il dit que les mecs style Mourinho on va les louer même dans la défaite parce qu'il aura fait jouer son équipe avec envie et hargne pendant 90 min. Alors que Guardiola quand il gagne c'est normal. Et quand il perd c'est limite un plaisir pour tous les mecs qui diront " Ah mais on vous avait dit qu'il était fermé dans un schéma pré conçu qui ne va pas avec ce Bayern. La preuve ils ont perdu " L'autre fois. Un mec de RMC (Florent gautreau) qui dit que le Bayern aurait été un très bon tirage pour le PSG car ils ont beaucoup de lacunes..... Bref après je te comprend. Ya peu de juste milieu concernant ce mec. C'est soit pro Guardiola soit anti Guardiola. C'est excessif.
  4. LIGUE DES CHAMPIONS - Contre la Juventus, Pep Guardiola a passé 75 minutes aux enfers. On a alors entendu de tout sur lui, son football et ses idées grotesques. Il a fallu quatre buts pour faire taire provisoirement les ricaneurs. Mais pourquoi les victoires comme les défaites du coach espagnol sont-elles toujours jugées avec tant de mépris et de jalousie ? Explications mythologiques. Il n’avait pourtant rien fait d’autre que de révéler le rapt d’Egine par Zeus à son père. Qu’aurions-nous fait à sa place ? Nous serions-nous tu ? Il y a dans la mythologie grecque un épisode qui peut nous dire des choses intéressantes sur l’étrange malédiction qui poursuit Pep Guardiola à chacune de ses apparitions. C’est l’histoire de Sisyphe. Écoutons-là. Zeus, mécontent de la dénonciation de Sisyphe à Asopos (le père d’Egine), lui avait envoyé le génie de la Mort pour l’emporter. Mais au lieu de se laisser faire et d’accepter son sort, il enjoint secrètement à sa femme de ne pas lui rendre les hommages funèbres. Ainsi, quand il arriva face à Hadès, le dieu des Enfers, celui-ci ne parvenant pas à l’emporter tout à fait, entendit le rusé Sisyphe se plaindre de l’impiété de son épouse. Il obtint donc du dieu, indigné, la permission de revenir sur terre pour la châtier. Or une fois revenu auprès des siens, Sisyphe n’en fit évidemment rien et, d’un éclat de rire, célébra sa victoire sur Hadès. Il avait trompé la mort. Zeus le foudroya aussitôt et, pour prix de son insolence, le condamna à pousser pour toujours un rocher à contre-pente. Pour l’éternité on le verrait ainsi descendre, puis remonter, puis redescendre, puis remonter. Fatal orgueil. Aux grands hommes, le football reconnaissant Si les Grecs avaient leurs contes, leurs dieux et leurs panthéons pour se raconter le mystère de l’existence humaine, ses injustices et ses absurdités, nous avons à notre tour inventé des héros mythologiques à la portée de notre quotidien. Ils jouent le mercredi en Europe et le week-end dans tous nos stades. Ils poussent un ballon sous les yeux passionnés de foules qui ont confié à leur art et à leur ruse le soin de les faire vibrer. Si nos héros habitent nos conversations, c’est qu’ils partagent avec ceux des Anciens la même lourde responsabilité; celle d’avoir confié à quelques-uns le soin d’accélérer notre rythme cardiaque, de nous rendre tout à coup irascibles, inquiets ou perturbés pour un motif aussi futile qu’un ballon qui s’obstinait à ne pas vouloir entrer dans les filets adverses. Ils accordaient à nos existences normales le privilège provisoire et délicieux de l’héroïsme à peu de frais. Aussi, le jour où l’un d’entre eux tromperait notre vigilance et aurait le malheur d’être plus rusé que tous les autres, nous n’hésiterions pas à le foudroyer à notre tour. En bouleversant le football des années 2010, en démontrant qu’on pouvait jouer et gagner, s’amuser et séduire à la fois, il avait trompé la vigilance des divinités qui gouvernaient jusqu’ici toutes nos opinions. Il avait trompé la défaite. Il avait négligé la victoire. Pep devait payer. Guardiola, cet imposteur On raconte ainsi qu’un accord secret empêcherait Guardiola d’emporter avec lui Alaba, Kimmich ou Coman à City. On écoute attentivement et on en vient même parfois à trouver légitime cette curieuse interdiction (pourquoi est-il le seul entraîneur à qui sont imposées de telles contraintes de recrutement ?). Il n’y avait d’ailleurs plus aucun mérite, ajoute-t-on, à choisir un club aussi argenté que Manchester City pour prochaine étape (peut-être aurait-il dû choisir Auxerre pour s’attirer les faveurs des Pharisiens), à n’avoir jamais été éliminé d’aucun quart de finale de Champions League de sa vie (c’était au Barça puis au Bayern, osaient-ils, que l’imposteur devait ses succès). L’absurdité n’ayant pas de limites, elle aime ponctuer ces remarques édifiantes de quelques commentaires esthétiques condamnant le style de jeu "trop téléphoné" (sans jamais nous expliquer en quoi il consistait), et rendant gloire à la stratégie turinoise "si intelligente" (quand elle s’était contenté de se replier et de sortir en contre sans jamais réaliser plus de quatre passes successives). Ce n’était plus de goût dont il s’agissait, mais bien de ressentiment. Le procès Guardiola Souvenons-nous de ce qu’on contemplait il y a dix ans, juste avant Pep. Lors d’une finale de Coupe du Monde 2006, on admirait la France repliée autour de ses géants Thuram-Gallas-Makelele-Vieira daignant de temps à autres céder le ballon au plus célèbre compagnon de nos longues années de béton, Zinédine Zidane. À la fin de cette saison maudite, on s’était résolus à remettre le Ballon d’Or à Fabio Cannavaro, admirant chez lui - la mort dans l’âme - le défenseur moderne, le brillant destructeur qui manquait encore à la France. On avait intériorisé si profondément cette antonymie simpliste entre le résultat et le jeu (c’était le jeu du football "moderne" répétions-nous alors), qu’on était prêts à tous les renoncements pourvu qu’un soir on éprouvât à notre tour le bonheur, au bout de la tension et de l’ennui, de soulever quelque laiton. Seule la victoire était belle, nous étions-nous convaincus, oubliant pour toujours les préceptes de nos pères fondateurs : José Arribas, Jean Snella et Albert Batteux. Ces hommes enfouis dans notre passé avaient fait Nantes (l’amour de la passe), Reims (l’éloge du beau jeu) et tout le football français (et la dévotion pour le milieu de terrain). Comme nous, Pep avait eu Platini pour idole de jeunesse, et avait su se montrer digne de cet héritage. Mais nous, qu’avions-nous fait de cette tradition ? Pas grand chose. Depuis 1989 et l’arrivée de Gérard Houllier - ce Zeus à lunettes - en haut de la pyramide du football français, on nous avait si obstinément répété qu’il valait mieux abandonner nos rêves de football si par malheur on mesurait moins d’un mètre quatre vingt, que 83% des buts étaient marqués après maximum cinq passes et que la meilleure attaque c’était toujours la défense, qu’on avait fini par se rendre complice du rapt affectif en quoi avait consisté l’éradication systématique de tous nos rêves d’enfants. Le triomphe de Zeus En contredisant frontalement cette école qui s’auto-proclamait "moderne" et "pragmatique" (tout en prônant des préceptes frustres et conservateurs), Pep Guardiola avait ressuscité le goût raffiné pour un football qu’on croyait à jamais disparu. Pep était descendu aux enfers et, en faisant confiance à l’intelligence plutôt qu’à la force pour tromper la vigilance de la mort, révéla l’imposture des prêtres qui régnaient sur nos préjugés. Voilà pourquoi pour eux, Pep sera toujours coupable. Aujourd’hui encore, les censeurs en veulent au "petit jeu" (c’est le traditionnel reproche adressé successivement au Reims de Batteux, aux tergiversations de Kopa, au Nantes d’Arribas, Suaudeau ou Denoueix, aux Bleus d’Hidalgo, au PSG de Blanc, l’OM de Bielsa, au Gym de Puel, au Rayo de Jemez, à l’ESTAC de Furlan...). Ils en veulent aussi au Bayern, au Barça et à tous ceux qui, comme Pep, préfèrent l’intelligence à la force, l’esquive au duel, la passe au contact, le football des Anciens à celui des Modernes. Au moment de les laisser vaquer à leur ressentiment et d’entamer la seconde mi-temps contre la Juve, Guardiola a collé sa joue contre la pierre, et à la tête de toute une tradition oubliée, a entamé une nouvelle ascension (sans défenseur central de métier, avec deux ailiers français de moins d’un mètre quatre-vingt, Ribéry et Coman, en multipliant les passes et la circulation de ballon avec Thiago). On vit tout à coup se dessiner sur son visage un curieux sourire de satisfaction. Le héros ne regrettait rien. Pis encore. Il renchérissait. C’était la morale de cette histoire : Sisyphe était un homme heureux. http://www.eurosport.fr/football/bundesliga/2015-2016/mais-pourquoi-sont-ils-aussi-mechants-avec-pep-guardiola_sto5332131/story.shtml#fr-fb-sh
  5. Le Bayern fait très rarement des mauvais coups. C'est un pari sur l'avenir faut pas avoir froid aux yeux par moment. Tout peut arriver dans un carrière, Dembele peut très bien exploser alors qu'il ne l'aura coûté que 35M . Et inversement Tu peux mettre 190M sur Neymar et risquait de le voir se peter et ne plus jamais être le joueur qu'il est
  6. RollsReus

    [Liga]

    Perez voulait virer Benitez après le 10-2 du Real face au Rayo Vallecano Un mot sur ce si bref passage, qui était condamné à l’échec avant même que Benitez ne pleure d’émotion lors de sa toute première conférence de presse. Ne vous leurrez pas. Avant même que l’ineffable Florentino Perez ne décide de redonner sa liberté à Carlo Ancelotti pour des raisons que seul un aliéniste pourrait déterminer, les couteaux qu’on allait ensuite planter dans le dos de Benitez étaient déjà revenus de l’atelier du rémouleur, pour être distribués à la presse, en particulier, cette presse qui ne vit que par et pour les faveurs de quelques puissants, et fit tout pour saborder le travail du nouveau manager des Merengue dès que celui-ci se mit à l’ouvrage. Avec succès. Une anecdote dont je puis vous garantir l’authenticité vous en dira long sur cette nef des fous qu’était devenu le Real de Perez, du bateau ivre dont a hérité un fusible appelé Zinedine Zidane. Vous vous souvenez sans doute de la victoire 10-2 des Madrilènes sur le Rayo Vallecano, le 20 décembre dernier (dont le mérite fut évidemment attribué aux joueurs merengue, et pas à leur entraîneur). Eh bien, ce soir même, il fallut l’intervention de quelques proches de Perez pour empêcher que celui-ci n’annonce le limogeage de Benitez dans la foulée. “Tout de même, Florentino, après avoir marqué dix buts…” Perez descendit malgré tout dans le vestiaire pour s’en prendre à son entraîneur – pour lui reprocher d’avoir fait sortir Gareth Bale à la 74e minute, alors que le score était de 8 buts à 2 en faveur de son équipe. Il avait marqué quatre fois, je voulais le ménager et qu’il aie droit à une ovation”, tenta d’expliquer Benitez. "Quatre buts, justement !, s’étrangla le président du Real. Il ne lui en manquait qu’un pour égaler le record de Ronaldo !" Et d’ainsi permettre à l’un des chouchous de Perez de faire redescendre le Cristiano d’un degré sur l’escalier le menant à l’Olympe. Gérer des joueurs rétifs est déjà compliqué ; gérer un président de cet acabit, à d’autres. http://www.eurosport.fr/football/premier-league/2015-2016/rafael-benitez-newcastle-la-chanson-du-mal-aime_sto5325635/story.shtml MDRRR le ridicule de ce club, je préfère en rire désormais.... bel article d'Auclair sur BENITEZ au passage.
  7. RollsReus

    [Liga]

    Je copie colle le message d'un membre du forum madrilène : décla du vice-président du club lors du 20e anniversaire de la Peña We Are The Champions. "Quel club a une masse sociale de l'envergure du Real Madrid? Absolument aucun. Certains disent "vous ne parlez que de Forbes". Forbes est une institution prestigieuse, qui mesure quelle équipe a les plus gros revenus les dernières saisons. Et qu'est ce qu'on voit? Ben que le Real est le club le plus prestigieux, celui qui vaut le plus, le mieux géré, et celui qui a les plus gros revenus. A partir de là, on voit bien que dire que le Real est le meilleur club du monde ne sont pas des paroles en l'air. Et vous pourrez nous dire "oui, mais le plus important c'est le sportif. Ok, peut-être. Personnellement je pense que le sportif n'est pas le plus important, parce qu'on a souvent vu des clubs obtenir nombre de succès, mais qui ensuite ont disparu ou failli disparaitre. Ce que nous voulons nous, véritables madridistas, c'est avoir un club fort, sain, solide, qui peut chaque année atteindre tous les objectifs sportifs, mais en étant sain économiquement, et c'est précisément la situation de notre club. (petit blabla sur "on a confiance en l'équipe et en zizou, on peut toujours obtenir la undecima, on va attendre longtemps avant que d'autres clubs accrochent leur Decima, alors que nous on est déjà en train de chercher la Undecima" blablabla) Durant des années, on était là à dire que nos installations n'étaient pas au niveau des autres grands clubs. Ben je vous invite à venir à Valdebebas, et à vous sentir fier de ce qui s'y trouve, des terrains de foot, des installations des joueurs, du terrain de basket que nous allons inaugurer. Tout ça appartient aux socios du Real Madrid. A tous les socios. Enfin, à ceux qui votent lors des Assemblées (-> socio compromisario), pas ceux qui font la une des journaux et qui finissent par obtenir 5 voix lors des élections. http://futbol.as.com/futbol/2016/03/19/primera/1458393074_600580.html Officiel. Tant que ses mecs sont au pouvoir je ne regarderai plus un match du Real et c'est très sérieux. Je ne supporte pas un club qui réfléchit comme ça
  8. Bah hier on a remarqué une chose fondamental et qui fait la différence dans les grandes équipes avec de grands entraîneurs: les 3 changements Si tu regardes bien. En terme d'occasion nette, le Bayern en 90 minutes s'en est procuré 2 voir 3 maximum. Pour deux buts!!!! Alors que la Juve aurait pu plier le match. Je pense notamment à l'occasion du 3 à 0 dans les pieds de Cuadrado que Neuer sauve. Si tu regardes de plus près. Ce match retour était un copier coller du match aller: les visiteurs ont dominés les locaux sur leur tactique de base mais ce qui a fait la différence ce sont les changements même si ce sont deux titulaires qui ont marqués. J'avais dis à un ami (qui croyait dur comme fer à la qualification de la Juve si il marquait tôt) que pour se qualifier. Les turinois devront serrer les dents et marquer tard dans le match ou alors tuer le match très tôt. C'est ce qu'ils ont presque fait mais ils n'ont pas été assez tueur. Comme le Bayern à l'aller qui devait en mettre 4 minimum. Et comme je l'avais prédit le Bayern a su revenir face à une Juve qui reculait de plus en plus en cherchant à préserver le score plutôt que de continuer à presser et gêner le Bayern. A partir de là quand le Bayern à égalisé. La Juve se retrouve sans joueur capable de contrer ou faire une grosse différence comme a pu le faire MORATA durant le match. En résumé, sauf en club pro où MOHITO et Abe font la différence h24 et où le changement est impossible, ne jamais négliger l'importance des changements. Ça peut ruiner tout un travail et Allegri a perdu pour moi hier plus que Guardiola n'a gagné. Car ce que fait Guardiola c'est exceptionnel mais j'ai envie de dire encore heureux qu'il fasse entrer autant de joueur offensif. Ils étaient dans l'obligation de marquer. Allegri a jouer petit bras sur la fin alors que son équipe avait posé ses couilles sur la tête des Allemands (Hoeness si tu m'entend) mais à la fin c'est les allemands qui leur ont coupé. on a vu que Pep est un expert pour faire jouer presque n'importe qui à un poste qui n'est pas le sien. Le type te met Costa en une sorte de relayeur sur la fin. Lahm a retrouvé un poste au coeur du jeu à la sortie de Xabi Alonso
  9. RollsReus

    Arsène Wenger

    Séparez vous de lui si vous voulez avancé. Thanks for the memories. Il n'a pas ce supplément d'âme qu'un entraîneur doit insuffler à son équipe et qui vous manque cruellement.
  10. Moh tu connais Thomas Tuchel ?
  11. RollsReus

    [Liga]

    http://www.rtbf.be/sport/football/etranger...m=twitter_share Quand un joueur du standing de Zinedine Zidane prend les commandes d'un club aussi prestigieux que le Real Madrid, forcément cela alimente les discussions. Pour une première expérience dans le football professionnel, Zizou n'a pas choisi la facilité ni l'anonymat. Il débarque en cours de saison dans une équipe en manque de repères. La presse espagnole et une partie des Socios doutent, d'ailleurs, de sa capacité à relever ce défi. "Il ne faut pas s'attendre à une grande révolution" "Ce scepticisme est basé sur l'ignorance. A la fois de Zidane qui a une expérience assez limitée dans cette fonction et de l'ensemble des observateurs qui n'ont jamais vu jouer une équipe entrainée par Zidane", analyse Thibaud Leplat auteur de plusieurs ouvrages sur le foot espagnol. "On en sait assez peu sur ses convictions d'entraîneurs. On sait beaucoup plus de choses sur sa préparation (pour devenir coach), avec qui il s'est entraîné dont Marcelo Bielsa, Pep Guardiola, Guy Lacombe (son mentor à la DTN). On peut imaginer un entraîneur, à mon avis, assez peu innovant dans la manière de voir le football. Un coach qui va être assez fidèle à des schémas en place. On parle déjà d'un 4-2-3-1. Il ne faut pas s'attendre à une grande révolution avec Zidane. En revanche, il faut s'attendre à un état de grâce qui peut durer plusieurs semaines voire plusieurs mois", détaille le journaliste et écrivain français. Zidane n'a rien à gagner et ça lui donne du crédit "Son avantage, c'est qu'il n'a rien à ... gagner", juge Leplat. "Quand vous confiez les clés d'un vestiaire comme celui du Real à quelqu'un qui n'a rien à gagner ... tout d'un coup, ça lui donne du charisme, ça lui donne un intérêt. Comme cela se fait que cet homme-là, soit venu là alors qu'il a tout à perdre ? Paradoxalement, c'est cette situation un peu bancale qui lui donne du crédit." D'après Thibaud Leplat, l'intronisation de Zidane "est aussi le choix de la raison" pour Florentino Perez. "Zidane est peut-être le dernier glorieux ancien du Real qui a encore confiance en Florentino Perez. Il ne faut pas oublier que Raul a refusé de revenir, que Fernando Hierro a claqué la porte. Tous les grands anciens espagnols du Real, formés au club, ont refusé les uns après les autres d'avoir une fonction dans le Real de Perez", rappelle le journaliste français, correspondant pour Eurosport en Espagne. "Zidane c'est l'enfant chéri de Florentino Perez et c'est peut-être aussi sa dernière carte. Si Zidane échoue, je pense qu'on peut s'attendre à une crise assez grave au Real", prédit Leplat. La comparaison avec Guardiola Un entraîneur de la réserve propulsé à la tête de l'équipe première d'un grand club, la trajectoire de l'ancien ballon d'or fait inévitablement penser à celle de Pep Guardiola. "On peut comparer un peu le contexte dans lequel Guardiola est arrivé à Barcelone. Il faut se souvenir que quand il arrive, Laporta vient d'essuyer une motion de censure de la part de son propre conseil d'administration. Et Laporta nomme Guardiola dans le scepticisme général et comme un coup de poker. La seule différence avec Guardiola, c'est que Guardiola a été nommé en début de saison. Il a donc eu le temps de se préparer et de s'entourer." La pression médiatique et le Barça, deux "dangers" pour ZZ Zinedine Zidane a la réputation d'être introverti. Il devra forcer sa nature pour réussir au Real et pour affronter l'environnement médiatique qui entoure le club. "Être entraineur du Real, c'est peut-être le pire poste en terme d'exposition médiatique. Vous êtes sous le feu de la critique et de plusieurs quotidiens sportifs espagnols. Il va falloir qu'il prenne position clairement médiatique. Et qu'il ait un discours à lui. S'il n'arrive pas à se mettre la presse dans la poche, cela peut lui coûter très cher. Comme un Jorge Valdano à l'époque, Zidane va devoir entrer dans la mystique madrilène, ce verbe haut très important au Real. Le Real est un club qui a besoin d'épopées qui a besoin qu'on lui raconte une histoire. C'est pour ça que le Real avait adoré Mourinho au début. J'espère qu'on arrivera à l'entendre et qu'il ne sera pas écrasé par le poids de la communication". L'autre épine dans le pied de Zizou et du Real, c'est évidemment le Barça, le rival historique. "Si le FC Barcelone était 4e, Benitez serait encore l'entraîneur du Real. La question est de savoir si le Real est capable - au moins quelques temps - de damer le pion aux Catalans ? Et ce n'est pas sûr parce que le Barça possède un modèle de jeu et bénéficie d'un capital sympathie énorme dans le monde entier. Le Real n'est plus le premier club du monde. Il n'est plus que le deuxième, voire le troisième derrière le Barça et le Bayern."
  12. Quel public Dortmund. 2 fans ont été victime d'un infarctus. Un des deux a survécu l'autre non. La tribune Süd a chanté you never walk alone.
  13. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Qu'il aille au Bayern c'est mieux pour lui. Ça lui fera du bien.
  14. RollsReus

    [Liga]

    ça date pas d'hier en plus, avant c'est parce qu'il frappait peu importe l'angle, donc bon ça me gènait pas plus que ça son ratio tir/but, mais désormais il rate pas mal de face à face donc c'est plus chiant. Faut pas oublier qu'il tire tous les CF (mal en plus) du coup ça baisse son ratio.
  15. RollsReus

    [Liga]

    Tant que Bale n'est pas au dessus de lui, j'accepte son niveau à CR7.
  16. RollsReus

    [Liga]

    Déjà je dégage CR7 et Bale. Merci au revoir. Tu te fais de la thune en les revendant et tu economises deux salaires énormes surtout CR7. Ramos nique ta race. Retourne en Andalousie. Je ramène hummels aux côtés de Pepe. Je te ramène un DG pour concurrencer marcelo qui certes est déroutant devant mais qui défensivement vaut pas une cacahuète. Je te ramène Reus et lewandowski. système en 4 4 2. Lewy et Benzema ensemble devant. Modric accompagné de Kroos ou Casemiro. Reus à gauche dans la ligne de 4. Vazquez à droite. Après ça peut être un 4 4 2 losange avec Reus derrière les attaquants. Kroos Modric en 8. Casemiro en 6
  17. RollsReus

    [Liga]

    Attirer des joueurs oui. Mais pourquoi ? Parce que nous on veut des joueurs d'équipes capable de faire des différences individuelles certes mais qui est avant tout un mec qui se donne pour l'équipe. Nous on prend que des mecs qui font des grosses saisons ou une grosse saison. Puis on espère que ça devienne le Barça sans travailler en amont.
  18. RollsReus

    [Liga]

    Hermel vient de dire que lewandowski refuse de venir car il préfère rester à Munich. Tu m'étonnes... D'où le fait que le Real se rabatte sur Aubameyang lol. Demain si Hazard dit non ils vont aller chercher Salah. Enfin bref T'as dans la même équipe un type qui s'appelle Marco Reus mais tu préfères Aubameyang. Va comprendre la logique. Après Reus a l'air pas mal attaché à Dortmund mais pourquoi ne pas tenter. On est pas à un refus près
  19. OK je parlais des joueurs du Bayern moi. Pas de ce que ça a pu engendrer sur les citizens.
  20. Et quel est la différence ? L'annonce a été faite mais les joueurs n'étaient même pas au courant. D'ailleurs si je ne dis pas de bêtise. Heynckes n'avait pas apprécié le timing non plus et c'est suite au triplé qu'il a décidé d'arrêter définitivement. Je ne crois pas qu'il l'ait annoncé avant que Guardiola ne soit officialisé.
  21. Je vois pas le problème du communiqué. Le Bayern avait annoncé Guardiola en janvier en 2013 et ils ont fait le triplé à l'arrivée.
  22. HEIN?? le rapport? quand je vois son Bayern actuel sans défenseur central de métier, je me dis que le mec il pourrait s'occuper de 3 équipes en même temps et cartonner beaucoup de monde.
  23. 35M le transfert de Gundogan à city selon Bild. Autant dire que c'est gratuit vu les prix du marché. Excellente pioche
  24. Un monstre il est incroyable sincèrement. Ce joueur a un sacré mental et je sens que (sauf blessure) il va être parmi les futurs tauliers du football allemand.
  25. RollsReus

    [34] Francis Coquelin

    Kroos en 6 c'est supérieur à Coquelin. Lui il rate pas ses transversales.
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