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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

Come on you spurs

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Tout ce qui a été posté par Come on you spurs

  1. Moi je retiens surtout dans l'article que Ramos a été contrôlé positif. Le foot espagnole c'est beau de ce côté là aussi.
  2. Aux supporters de Liverpool, il est comment Gomez cette saison? Je l'ai trouvé très bon avec l'Angleterre contre la Croatie. Entre Stones, Maguire et Gomez ça semble très prometteur pour l'avenir. Et TAA ça donne quoi? Je trouve que Walker est devenu un point faible de cette équipe anglaise, il a toujours eu ses défauts de concentration et de placement qu'il compense avec sa vitesse mais l'Angleterre a besoin de mieux.
  3. J'avoue que niveau ego en France on est pas mal mais comme notre sélection est championne du monde ça passe. On peut retranscrire ça au niveau des clubs. Qui n'a jamais entendu, "la Serie A et la Bundesliga ce n'est pas meilleur que la Ligue 1", "la liga; part le Baça, Real et Atletico le reste c'est pareil que la Ligue 1", "les anglais font quoi en coupe d'europe? (alors que la moitié des clubs de PL ont individuellement plus de titres européens que tous les club français réunis). Tout le monde se voile la face que ce soit pour le club ou le pays que l'on supporte. On a toujours tendance à surcoté nos bons joueurs et a craché sur ceux des autres. Étant supporters de Tottenham je me souviens de la déclaration d'Aulas avant notre matchs d'Europa League contre Lyon en 2013, en gros "je n'imagine pas un seul instant me faire sortir par ces rosbifs" et des exemple comme ça on peut en trouver partout. Suffit de voir le nombre ahurissant de parisiens qui se voient soulever la LDC chaque saison depuis l'arrivée du Qatar. Même après avoir été dominé pendant 90 min par les Pays-Bas on voit partout des "On s'en fout de la ligue des nations on est champion du monde", " les joueurs n'étaient pas motivé pour cette compétition en bois" etc. Par contre contrairement aux belges on ne sent pas cette suffisance dans les déclas des joueurs que ce soit Lloris ou M'Bappé ils ont dit qu'ils étaient motivés, qu'ils voulaient gagner toutes les compétions et que les Pays-Bas ont été largement au-dessus.
  4. C'est quoi la relève en Belgique? Kompany est clairement sur la fin, Vertonghen a 31 ans, Alderweireld a bientôt 30 ans. Va falloir en trouver des centraux. Tielemans n'est pas au niveau mais il est encore jeune ça peut venir. Dembélé est fini physiquement, Nainggolan c'est fini en sélection.
  5. La Belgique a pas mieux à aligné que Boyata, Chadli, Witsel et Tielemans? Parce que franchement même avant le match tu te demandes déjà comment ils peuvent être dans le groupe belge mais en plus titulaire.... Les suisses ont été bons, je ne veux pas minimiser leur performance mais la Belgique a été tellement catastrophique que même Andorre aurait pu les battre, j'ai rarement vu un niveau aussi faible pour une sélection de ce standing.
  6. Ce 4-3-3 anglais est bien plus intéressant que leur compos incompréhensible de la CDM. Enfin un vrai milieu de terrain qui permet d'équilibre l'équipe qui par moment à été très séduisante dans le jeu face aux croates. Ils ont quand même pas mal de jeunes talents pour une nation qui délaisse trop la formation.
  7. Vous n'étiez pas loin de le perdre cet été. Faut vraiment que Mourinho parte vite pour vous si vous ne voulez pas que Martial soit le nouveau De Bruyne ou Salah et explose chez un concurrent.
  8. Quelqu’un a regardé Argentine-Mexique? Foyth a été élu homme du match, il a été si bon que ça?
  9. Très bon article sur Dele (en anglais), sa vie, son enfance et son caractère, il date d'avril mais je ne l'avais pas vu avant: https://bleacherreport.com/articles/2758086-a-silent-assassin-with-a-cheeky-grin-meet-dele-alli-englands-next-superstar
  10. Le retour du génie de Londres en EDF!
  11. Dérouler je ne sais pas mais logiquement si les blessures nous lâche la 2ème partie de saison devrait être meilleure après la logique en foot.... Mais au vu du match d’aujourdhui cette poisse des blessures ne semble pas avoir envie de s’arreter entre Trippier qui sort sur blessure et Lamela qui sort la tête en sang avec Sanchez dont on apprend juste avant le match qu’il est lui aussi blessé.
  12. Avec Eriksen, Alli, Dembele, Vertonghen, Rose, Dier, Trippier, Lamela, Son qui sont ou ont tous été blessé (Son c’etait les Asian game) pendant 4semaines minimum, en jouant 8 matchs sur 12 à l'extérieur et ceux à domicile à Wembley sur un terrain chaotique, dire que tous repose sur la chance c’est un peu fort. On joue mal c’est certain mais il y a une sacrée force mentale dans ce groupe. Encore aujourd’hui c’est Foyth qui pour son second match de PL marque le but de la victoire alors que pour son premier match la semaine dernière il a donné deux pénos à Wolverhampton. Si les blessures nous lâche en jouant la plupart de nos matchs à domicile et surtout dans notre nouveau stade on devrait avoir un Tottenham plus séduisant dans le jeu en 2ème parties de saison. Gagner autant de matchs en étant obligé de mettre Sissoko titulaire c’est un p***** d’exploit! @Lancelot Surtout mets des photos dans ce topic quand tu aura visité le stade et si tu fait la visite du toit tu la verras de prêt cette passerelle en verre
  13. Assez agressif alors que je ne fais que parler du classement des buteurs en PL et non du classement du championnat anglais dans son ensemble (Wright ne doit pas être le seul dans ce cas) Je ne connais pas la carrière de Wright sur le bout des doigt, je ne fais qu'énumérer les stats de Kane parce qu'il a atteint les 150 buts avec le club, rien d'autre. Effectivement il y a encore un peu de boulot vu que Shearer en est à 260 et si on veut étendre jusqu'au début du championnat anglais Greaves en est à 357.
  14. Préparations pour la cérémonie d'ouverture du stade?
  15. C'est beau de prendre Rooney en sélection pour lui offrir la sortie qu'il mérite.
  16. Après son doublé hier soir contre le PSV Harry Kane a atteint la barre des 150 buts avec Tottenham en 228 matchs. Il a inscrit ses 12ème et 13 buts en LDC après 14 matchs. Le week end dernier après son but face à Wolverhampton il est passé en 18ème position du classement des buteurs de l'histoire de la PL avec 114 buts devançant Ian Wright.
  17. A l'intérieur l'Emirates est magnifique. Après pour l'extérieur je trouve que c'est assez dur de trouver un stade "beau", on verra le notre quand il sera finit mais ce qui compte c'est comment on se sent dedans et l'ambiance du stade. En tout cas hâte de quitter Wembley à l'ambiance assez morne et sa pelouse qui devient impraticable.
  18. Le Coq en or sur le toit de sa nouvelle maison C'est une réplique celui qui était sur l'ancien WHL étant trop lourd il est exposé au musé du club. Sinon Alli a prolongé jusqu'en 2024.
  19. La nouvelle boutique du club qui est accolé au nouveau stade a ouverte ses portes ce matin: https://www.youtube.com/watch?v=45oqmr1v2DE On espère que le prochain truc à ouvrir sera le stade. Aujourd'hui c'est aussi la date de la mort de LA légende du club, Bill Nicholson mort en 2004. Vainqueur du championnat en tant que joueur puis comme entraineur, c'est lui qui a fait du club le premier club anglais à réussir le doublé Cup/Championnat et à remporter un trophée européen. Ses restes ainsi que ceux de sa femme reposait sous le terrain de WHL et ont été déplacés sous le terrain du nouveau stade où ses paroles résonnent encore aujourd'hui. «It is better to fail aiming high than to succeed aiming low. And we of Spurs have set our sights very high, so high in fact that even failure will have in it an echo of glory.» En tant qu'entraineur il aura perfectionné les idées de jeux de son mentor Arthur Rowe. Extrait du livre "Inverting the pyramid" de Jonathan Wilson Cas presque unique en Grande-Bretagne, les Spurs commencèrent à construire depuis l'arrière, Ramsey se voyant donner licence de monter. "Il n'y a pas de limite jusqu'où un défenseur ira attaquer, déclara-t-il. Peut-être avez-vous remarqué la fréquence avec laquelle je monte pour centrer un ballon ou même tirer au but? Je ne pourrai jamais souscrire au fait qu'un défenseur ne devrait pas tenter de marquer un but." Cela dit, il pouvait seulement le faire parce que son défenseur central, Bill Nicholson, était prêt à rester en retrait et fournir une couverture. Ce style sera baptisé le "push and run" mais n'était pas aussi simple que son nom semble l'indiquer. "Les ailiers devaient se placer plus en retrait que dans les tactiques habituelles de longs ballons et étaient donc plus impliqués dans le jeu, leur permutations avec les inters étant un autre élément essentiel de ce schéma", expliqua Burgess. Son rôle en tant que demi changea pour s'adapter à cela. "Je ne pouvais plus me considérer comme un demi offensif car Bill Nicholson et moi devions être tous deux en mesure de recevoir la passe courte des arrières latéraux prêts à jouer avec les inters ou les ailiers." Il ne s'agissait pas tant de trouver des joueurs dans l'espace que de créer ces espaces. " Nous avons changé des choses" déclara Eddie Baily, plus tard adjoint de Nicholson. "Nous donnions la balle à celui qui était marqué mais d'autres joueurs glissaient dans des positions de soutien pour lui offrir d'avantages d'options. Cela dépendait à son tour de la façon dont le ballon avait été donné. Nous devions garantir que notre joueur le recevait" peu importe si un joueur avait un défenseur sur le dos s'il jouait en une touche pour changer l'angle d'attaque. "Un bon joueur court vers le ballon, déclarait Rowe. Un mauvais joueur court après." Les Spurs obtinrent leur promotion en 1949-1950 avec une facilité déconcertante et battirent Sunderland, troisième au classement de la Première division de l'époque 5-1 au quatrième tout de la FA cup. Une défaite à Everton au cinquième tour suscita cependant la question : les Spurs devraient-ils changer leur style s'ils voulaient être compétitifs au sein de l'élite? La réponse de Rowe fut catégorique. Ils ne le devaient pas. "Depuis que la vieille loi du hors jeu a changé (en 1925) et depuis qu'Arsenal a introduit son système de jeu -avec beaucoup de succès il faut l'admettre-, le football était, à mon sens, quelques peu négatif. Il n'y a rien de mal avec le style d'Arsenal mais, pour que cela marche, il faut posséder un certain nombre de joueurs types. Si vous n'avez pas ces types de joueurs votre système ne sera pas exploité avec succès. Beaucoup de clubs on essayé de copier le style d'Arsenal sans avoir les joueurs pour le faire correctement. Le résultat est qu'ils se sont retrouvés dans un cul-de-sac. Notre méthode est meilleure parce qu'elle est basée sur l'appréciation que l'équipe est plus important que l'individu. Je pense que l'individu en retire d'avantage aussi." Par moment, au cour de cette saison 1950-1951, celle de leur retour dans l'élite, les Spurs furent tout simplement magnifiques. Après une victoire 7-0 contre Newcastle en novembre, par exemple, on peut lire dans le Telegraph que "la méthode de Tottenham est simple. En bref, le principe des Spurs est de conserver la balle un minimum de temps, de le garder au sol et de la porter vers l'avant dans un espace ouvert où un coéquipier sera une seconde ou deux plus tard. Le résultat est que leurs attaques sont menées par tous les joueurs de l'équipe, chacun d'entre eux prenant la balle au pas de cours, comme une vague qui prend de l'ampleur alors qu'elle avance vers la côte lointaine. Tous se joue en triangles et en carrés. Et, lorsque le mécanisme s'enclenche à pleine vitesse, au centimètre près sur une surface trempée, comme ce fut le cas samedi, il n'y a tout simplement aucune manière de défendre." Ils remportèrent le titre avec quatre points d'avance, devenant seulement la troisième équipe de l'histoire du football anglais à remporter la Seconde et la Première division en deux années successives, ce qui indique assez ce que leur style avait de révolutionnaire, comme l'écrivit "Concord", le correspondant du Tottenham Weekly Herald: "Les Spurs ont prouvé sans l'ombre d'un doute la grande supériorité de leur nouveau style de jeu. L'application réussi de ce style va, je le prédis, créer une révolution dans le football britannique. Tout comme les clubs avaient été obligés de trouver une réponse aux questions posées par le jeu du troisième arrière, ils devront réorganiser leurs idées pour contrer le système des Spurs. Le mérite de cette évolution extrêmement encourageante revient au manager des Spurs, Arthur Rowe. Alors qu'il n'est au club que depuis peu de temps, il a produit des résultats dont l'effet se fera sentir partout où le football de première classe est joué. Il a reconnu et appliqué une vérité fondamentale: le football est un jeu d'équipe et seul le travail d'équipe peut apporter le succès" Ils finirent seconds l'année suivante mais peut-être parce que Rowe resta trop longtemps fidèle à certains joueurs qui commençaient à montrer leur âge, la forme des Spurs se désintégrera ensuite. Rowe ne put y faire face et, en janvier 1954, fut victime d'une dépression nerveuse. Il retrouvera le banc à l'été, mais une défaite à York City au cinquième tout de la Cup fut celle de trop. Il fut hospitalisé en avril 1955 et démissionna en juillet. Il ne revient jamais à WHL. Jimmy Adamson, qui avait été son adjoint, prit la relève en tant que manager, Bille Nicholson devenant son adjoint. Les fondations du style des Spurs étaient solides et c'est en étant fidèle au push and run qu'ils remportèrent le doublé sous Nicholson en 1961.
  20. Si tu lis bien mon post d'avant, je dis que Matuidi "ne contrôle pas son pied". Sous entendu il ne le fait pas exprès.
  21. J’ai plutôt l’impression qu’hummels ne tacle pas Matuidi mais à côté comme pour contrer la frappe et le pied de Matuidi fait un mouvement vraiment bizarre pour aller marcher sur la jambe d’Hummels. Je vois pas comment on peut siffler penalty avec le ralenti.
  22. Matuidi qui ne contrôle pas son pied il le pose sur Hummels, penalty. Un génie.
  23. J’ai vraiment pas compris il fait 3-4 contrôles au lieu de dégager Heureusement pour les anglais que l’arbitre ne siffle pas penalty et rouge pour Pickford
  24. Par contre il fait de la m**** Pickford en seconde mi-temps.
  25. En plus il a les deux pieds, c’est incroyable chez un gardien.
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