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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

RollsReus

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Tout ce qui a été posté par RollsReus

  1. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Laisse tomber , je vais l'envoyer près de ses racines, galatasaray. Comme ça il verra c'est quoi ne rien faire sur le terrain quand des polus moustachus lui jetteront des couteaux sur la porte de sa baraque.
  2. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Si tu m'aimes, envoie le en Russie, tu dois avoir des contacts avec quelques clubs bien non?
  3. RollsReus

    [Ligue 1]

    DONC On en vient à ce que je dis, avec du travail et des résultats, tu seras récompensés. Au final, ton équité de mon cul des droits TV ça ne change pas l'élite de la PL, ça ne crée rien, à part une surprise sur le podium et encore. Arsenal 4eme, City, united ou Chelsea favori pour le titre en dépensant des sommes colossales grâce à leurs économie. le reste se dispute les miettes. WOUAH quel championnat équilibré grace aux droits TV, les autres devraient s'en inspirer. Branle toi avec liverpool, preuve en est que l'argent ne fait pas tout, ils ont touché de la thune et combien sont ils? la régularité, c'est ça qui paye , pas une connerie d'assisté de donner de l'argent aux gens qui se touchent. Plus tu travailles pour batir, quitte à serrer ceinture, plus t'auras des résultats. Mais comme je te l'ai dis, t'attend pas à des résultats de dingue, on est pas en L1, y'aura pas de Cardiff champion d'angleterre actuellement en tout cas. Y'a les autres qui sont là pour se charger de continuer à briller et à faire semblant que la PL est le meilleur championnat du monde.
  4. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Il jouera, 50M c'est titulaire direct ça, et si il pue sa mère, il jouera pour se montrer un minimum, vous le revendez à qui en voudra en perdant des sous sur le transfert et la vie continuera.
  5. RollsReus

    [Ligue 1]

    De la m****...très argumenté tout ça. Aucun argent n'est propre...par contre y en a du plus sale que d'autres, c'est sûr. Tu n'as même pas lu ce que j'ai écris preuve de ton ignorance totale et de juste vouloir te venger ! Trouve moi un autres pays qui possède un club de foot, je parle bien d'un pays non d'une personne et qui bafoue autant la moral et l'éthique. Promis je cracherais autant à la gueule de ce pays que le Qatar. En ce qui concerne les droits TV. Cardiff (club ayant le moins touché de droits TV en PL) a reçu plus que le 3ème club qui a le plus reçu des droits TV en Espagne. Après chaque club gère son argent. Faut savoir le dépensé correctement. PS> Everton a dépensé plus de 30M€ pour avoir Lukaku...tu disais ? ----------------------------------------------------- OH MY GOD 30 M sur Lukaku c'est magnifique. Mais sinon en terme de vente ça donne quoi? moi je veux bien que certains clubs aient pu claquer une somme importante, mais ils peuvent se le permettent chaque saison grace aux droits TV? sans pour autant vendre? à d'autres. Les droits TV c'est un cache misère. Le problème n'est pas là, y'a des équipes comme l'Atletico Madrid qui ont brillé sur la scène espagnole et Européenne en gagnant l'europa league, en faisant finale de C1 sans l'aide des droits TV et qui ont vu ses derniers augmentaient grâce aux résultats sportifs qui ont été croissant depuis plusieurs années. Au lieu de crier à l'indignation pour des conneries pareilles, met toi en tête qu'actuellement, y'a des clubs qui seront toujours au top , y'a une élite des clubs et qu'il y aura que quelques autres qui pourront venir s'asseoir à cette table de temps à autres mais Barça, chelsea, ManU, Bayern, Real actuellement, ce sont des clubs INTOUCHABLE que ça soit sur le plan national ou européen. On pourra rajouter Dortmund peut être, Atletico mais ça encore, faudra voir sur le long terme. Pour être gentil je met même Arsenal . Ensuite me dire que la PL c'est au dessus de tout..... bordel, y'a des matchs à vomir, vous avez surement de très belles affiches mais en terme de football ne me fait pas croire que c'est ce qui se fait de mieux.
  6. RollsReus

    [Ligue 1]

    Oui j'en ai quelques une. Ce que tu racontes sur les propriétaires du Qatar, c'est de la m**** sans nom. Aucun argent n'est propre dans le monde quasiment, t'inquiètes pas que y'a des magouilles partout que les droits de l'homme sont baffoués à travers le monde (hello l'Asie) même dans le pays dans lequel tu vis actuellement. donc cracher sur des mecs dont on juge le travail sur le plan sportif, ça me tue de rire. En quoi ce qui se passe dans leur pays doit avoir des répercussions sur la gestion du PSG? Pour les droits TV, je ne savais pas que l'économie d'un club devait se baser sur ça, c'est pour ça que les clubs français chialent tous les jours non? au passage, les droits TV sont équilibrés en PL mais qui réalise des gros transferts chaque saison? ah ouai Newcastle, Everton etc claque du 120 M minimum chaque saison grâce aux droits TV qui sont équitables vive votre championnat..... arrête ton char, on sait très bien qui en PL va gagner le championnat chaque saison, et quel sera le TOP 4 à une surprise près. Le reste c'est milieu de tableau ou Europa league max. Pour la gorge profonde, non ça va , je préfère quand madame le fait, c'est mieux que ma main et mon imagination hein (coucou GLUNKI).
  7. FERME LA cest de la m**** ta compo, jamais le barça ne jouera comme ça, meme sur FIFA c'est pas acceptable. Bande de fraudeur interdit de mercato. Contente toi de Pedro à ce poste et dit merci.
  8. RollsReus

    [Ligue 1]

    MDR enfait Reda et Glunki se lèguent pour affronter Ayou, 2 contre 1 et pourtant, le petit Ayou met quelques bifles.
  9. RollsReus

    [Liga]

    Pourquoi quelques mois? Shakira a du lui faire la totale en lisant la presse sur ses performances, on lui crachera dessus ce week end.
  10. RollsReus

    [Liga]

    Oui contre le Bayern il en met un en 1ere mi temps et il foire celui qu'il faut pour lancer son équipe. Messi aussi a raté la balle du 3 à 1 face à Chelsea. D'ailleurs, ce match contre chelsea, c'est un coup du destin , les mecs devaient la gagner la C1, autrement le barça devait leur en coller 8 facile. Jamais vu autant de baraka de ma vie dans une équipe de foot et ça avait commencé face à Naples où ils avaient perdus 3 à 1 à l'aller. au retour ils gagnent 4 à 1.
  11. RollsReus

    [Liga]

    Si on compare avec 2009, Messi en a raté 10 des penalties c'est énorme, c'est trop, c'est une daube.
  12. RollsReus

    [7] Alexis Sanchez

    On va voir enfin voir si il a des cojones bien accrochées ou si son ex s'est tirée avec.
  13. RollsReus

    [Liga]

    IL a explosé ses stats à Madrid, à part sa dernière saison à United, il n'a jamais autant explosé statistiquement qu'au Real. Il avait plus de "folie" à United jusqu'en 2008/2009. Au RM, c'est devenu une machine.
  14. RollsReus

    [7] Alexis Sanchez

    Donc arsenal va sombrer vu que votre meilleur joueur va être malheureux?
  15. RollsReus

    [Liga]

    Bah quand je vous lis, un penalty c'est un but assuré donc oui en raté 1/5 ça fait beaucoup . Ayoubaoui: tu abuses, il lui reste sa chevelure gominé qui ne bouge pas. ça non plus, on ne lui enlèvera pas.
  16. RollsReus

    [Liga]

    http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Messi-fache-avec-les-penalties/501388 Mais, après celui de Levante, Lionel Messi compte douze échecs depuis le début de sa carrière, sur soixante-cinq penalties tentés, soit un taux de réussite de 81,5 %. Avec le Barça, c’est encore moins bien (79,6%). En clair, il en rate un sur cinq. C’est mieux que la moyenne générale (76,6% dans les cinq grands championnats depuis 2010) mais, pour l’un des meilleurs joueurs du monde, ce n’est pas génial. À titre de comparaison, Cristiano Ronaldo en a seulement manqué cinq sur quarante-neuf, soit 89,8% de réussite, depuis qu’il est arrivé au Real Madrid. Même si José Mourinho n’a toujours pas digéré le tir au but manqué par “ CR 7 ” contre le Bayern, en demi-finales de la Ligue des champions 2012. 31 janvier 2008 : FC Barcelone-Villarreal, 1-0 (Coupe du Roi, quarts de finale retour). 12 novembre 2008 : FC Barcelone-Benidorm (D3), 1-0 (Coupe du Roi, 16es de finale retour). 11 avril 2009 : FC Barcelone-Recreativo Huelva, 2-0 (Championnat, 30e journée). 14 septembre 2010 : FC Barcelone-Panathinaikos, 5-1 (C 1, phase de groupes). 19 janvier 2011 : Betis Séville (D2)-FC Barcelone, 3-1 (Coupe du Roi, quarts de finale retour). 22 octobre 2011 : FC Barcelone-Séville FC, 0-0 (Championnat, 9e journée). 1er février 2012 : Valence CF-FC Barcelone, 1-1 (Coupe du Roi, demi-finales aller). 24 avril 2012 : FC Barcelone-Chelsea, 2-2 (C 1, demi-finales retour). 15 août 2012 : Allemagne-Argentine, 1-3 (amical). 28 août 2013 : FC Barcelone-Atlético Madrid, 0-0 (Supercoupe d’Espagne retour). 5 avril 2014 : FC Barcelone-Betis Séville, 3-1 (Championnat, 32e journée). 21 septembre 2014 : Levante-FC Barcelone, 0-5 (Championnat, 4e journée). Non pas pour dénigrer Messi mais comme je l'avais dis , Ronaldo les met au fond au moins, Messi les rate souvent. (à noter que les penaltys pour Ronaldo sont depuis son arrivée au Real Madrid, mais même avant, il me semble qu'il ne rate ses penalties que contre Barcelone en 2009 en finale et contre Chelsea aux TAB en 2008 ).
  17. J'ai du mal à le voir jouer en 8 chez vous. Pour le Real parei, où jouerait il également? Y'a Bale le tout droit titulaire, James titulaire, et les deux de devant. Modric indéboulonable, Kroos pareil. si c'est pour rentrer en cours de jeu ou attendre des blessures...
  18. Ça se trouve il apprend l'espagnol pour gérer une petite latina qu'il a croisé en soirée....
  19. Marco Reus sera la quatrième recrue du Real Madrid, après Mink Peeters pour la filiale, Marco Asensio (acheté puis prêté jusqu’en juin à Majorque, son club actuel) et Lucas Silva (annonce du transfert imminente), à en croire ‘Punto Pelota’. Le Real Madrid veut conclure le transfert de l’Allemand pour la saison prochaine, et ce, le plus rapidement possible (Chelsea, Manchester United, PSG et Barcelone sur le coup). L’accord avec le joueur serait total, il signerait pour les 6 prochaines saisons assortis d’un salaire de 6,5M€, soit 2,5M€ de plus que ce qu’il perçoit actuellement à Dortmund. L’accord avec le Borussia Dortmund est pour le moment verbal et l’opération devrait s’effectuer à la hauteur de 20M€ + différents bonus. Le Real Madrid ne compte en revanche, ne pas rendre officiel cette nouvelle avant le début d’année 2015, quelques détails restent à régler, et une délégation madrilène devrait se déplacer à Dortmund lors des prochains jours. Par ailleurs, comme l’affirmait le quotidien Allemand ‘Bild’, le joueur de 25 ans apprendrait l’espagnol depuis au moins 3 semaines.
  20. RollsReus

    [Liga]

    http://www.sofoot.com/le-real-dans-l-espace-193221.html Le REAL MADRID DANS L'ESPACE La meilleure façon de voyager dans l'espace, c'est de s'asseoir dans un gros fauteuil en cuir noir légèrement usé aux accoudoirs, de détendre les membres inférieurs et de s'installer devant un Real Madrid-Celta, un Real Madrid-Ludogorets ou un Real Madrid-n'importe qui. Peu importe, ce sera toujours le même film qu'on regardera. Comme les autres avant lui, ce Real-Ludogorets réserva, mardi soir, son lot d'émotions esthétiques à tous ceux qui avaient pris le temps d'admirer les étoiles et d'écouter le silence éternel de l'infiniment grand. Les explorateurs du jeu ont dégusté ce Real comme les autres les premières minutes de valse de 2001, Odyssée de l'espace. Il ne fallait pas nous déranger quand Isco ou Kross contrôlaient le ballon à 35 mètres de leur but. Parce qu'on savait que c'était à ce moment précis, juste avant d'envoyer le projectile loin devant eux dans les espaces libres de l'autre côté du terrain, que la musique de Strauss allait retentir. Nos casques (audio) sur la tête, on était prêt à entamer le grand voyage. Comment donc avoir peur de l'infiniment grand quand nos vaisseaux spatiaux sont pilotés par Toni Kross et Isco ? Comment ne pas être émerveillé par ces constellations quand notre astre solaire s'appelle Cristiano Ronaldo ? Administrer le néant Comme Kubrick en 1968, Ancelotti nous fit à son tour aimer l'espace vide quand il choisit un jour d'organiser son équipe en fonction de la dimension du terrain à couvrir plutôt que la distance qui la séparait du ballon. Quand certains, comme le Barça, l'Ajax, le Rayo ou le Bayern, s'organisent en fonction de la position du ballon, c'est-à-dire que c'est chez eux la possession qui donne l'ordre à suivre et organise le positionnement des joueurs, le Real d'Ancelotti, lui, ressuscite le Milan de Sacchi devant nos yeux d'adolescents émerveillés. Comme son maître vingt ans plus tôt, Ancelotti a décidé, plutôt que de courir dans le vide à force de poursuivre un ballon devenu insaisissable, de regarder le vide en face et d'y sauter la tête la première. Contrôler l'espace plutôt que de s'épuiser à l'occuper. Administrer le néant plutôt que de s'y perdre tout entier. Changer les distances plutôt qu'arriver toujours en retard. « La clé de tout, enseigne Sacchi, c'est "l'équipe courte" », c'est-à-dire, une distance très courte entre la ligne d'attaque et la ligne de défense, « c'est ce qui nous permet de ne pas dépenser trop d'énergie, d'arriver en premier sur le ballon, de ne pas nous fatiguer. C'est ce que je disais à mes joueurs, si nous jouons avec 25 mètres entre le dernier défenseur et l'attaquant de pointe, compte tenu de nos qualités, personne ne pourra nous battre. Ainsi, l'équipe bougeait comme une unité de haut en bas et de droite à gauche ». Les étendues silencieuses Il fallait les voir, Isco mardi soir ou James Rodríguez samedi dernier contre le Celta, s'installer au milieu du milieu et attirer vers eux tous les ballons. Pas besoin d'être agressif, d'aller au contact, de s'imposer dans les duels, comme disent les pragmatiques, pour récupérer des ballons. Pas besoin d'être grand, d'être fort pour ratisser large. Juste être bien installé dans les interstices, être là où il faut, quand il faut. Depuis que ce Real a reporté au collectif le soin d'asphyxier ses adversaires, les ballons gagnés tombent comme des feuilles mortes sans qu'on ait besoin d'aucun ouvrier spécialisé pour les ramasser. Khedira maintenant au chômage, Isco est devenu le meilleur jardinier du monde. On reconnaîtrait le Real de Mourinho si, dans le même temps, Ronaldo n'était pas aussi mobile sur toute la largeur du terrain, si Isco, James ou Bale ne se repliaient pas aussi efficacement et ne réduisaient pas autant le vide dans leur dos. Là où les phases de transition mourinhiennes frôlaient le stéréotype (Khedira pour Özil, Özil pour Ronaldo dans l'espace, fixation de Benzema, but de Ronaldo), la grandeur du Real d'Ancelotti réside dans la gestion virtuose des étendues silencieuses : dans le dos de la défense (amoindrissement systématique des superficies en jouant assez bas et resserré) et dans la moitié de terrain adverse (attirer l'adversaire pour créer les espaces nécessaires aux futures incursions). L'étendue vide qu'il fallait remplir d'automatismes chez Mourinho est devenu le champ d'exploration idéal et infini d'une quantité innombrable de variations. Ancelotti nous fait aimer le vide. Vivre en l'air C'est ce qui distingue le Real d'Ancelotti de tous les autres, cette façon virtuose mais désinvolte de mener la conquête des espaces. Quand le Milan des années 90 s'installait sérieusement autour de la ligne médiane et asphyxiait ses adversaires très tôt dans leur phase de construction, le Real d'Ancelotti, lui, choisit aujourd'hui de reculer pour créer, organiser artistiquement le terrain devant lui. Ainsi, plutôt que de tendre bien académiquement le piège du hors-jeu en plaçant sa ligne de défense très haut - au risque de se priver de mètres utiles pour les courses folles de Bale ou Ronaldo vers l'avant après récupération - le Real d'Ancelotti descend d'une bonne dizaine de mètres sa ligne défensive. Et alors, bien installé à 35 mètres de ses buts et à 5 mètres les uns des autres sans quasiment aucun milieu défensif pur (c'est la différence essentielle avec Mourinho), il fait mine de laisser jouer son adversaire, de lui redonner un peu d'espoir, exactement comme ces chats qui laissent les souris remuer encore quelques instants devant eux, pour mieux les attirer dans leur piège et les achever d'une morsure fatale. Les ballons tombés alors dans les pieds d'Isco, de Kross ou d'Illaramendi sont immédiatement propulsés vers les comètes Ronaldo, Bale et Benzema qui se chargent à eux trois (plus un autre, au choix) de dessiner des constellations provisoires dans les vides de la défense adverse. Les chiffres parlent et ils sont cruels pour les sceptiques : à peine trois petits hors-jeux très bas sifflés contre Ludgorets hier soir, mais 21 interceptions signalées et une vingtaine de passes d'Isco devant lui à Ronaldo (soit autant qu'à Kross, son partenaire dans le cœur du jeu). C'est dire comme le Real aime l'espace. C'est dire comme on vit heureux en apesanteur.
  21. RollsReus

    [8] Aaron Ramsey

    Je vais t'appeler nawell madani, t'es trop direct et cru.
  22. RollsReus

    [8] Aaron Ramsey

    Le deuxième but de Ramsey >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> à toutes les plus bonnes meufs de la terre. Bordel, y'aurait eu un contexte finale de C1, limite on en parlerait comme la reprise de ZZ en finale de C1 en 2002.
  23. RollsReus

    [Liga]

    Javi l'a posté sur la page précédente déjà.
  24. RollsReus

    [Chelsea]

    https://frappeenroulee.wordpress.com/2014/12/09/diego-costa-celui-quon-aime-tant-detester/ Auteur d’un très bon début de saison avec Chelsea, Diego Costa a connu une énorme progression et est l’un des meilleurs attaquants les plus redoutés depuis maintenant un an. Pourtant, tout n’a pas été simple. Diego Costa, c’est l’histoire d’un voyou. L’histoire d’un sale gosse qui ne se laisse pas emmerder par ceux qui lui disent d’arrêter de jouer devant leurs maisons. L’histoire d’un homme qui revient de loin. Portrait. « En grandissant, on m’a fait comprendre qu’un coup de coude était normal. La rue a été mon école ». Avant de devenir le buteur redouté qu’il est, Diego Costa était surtout connu pour être le joueur le plus détesté de l’Espagne. Le méchant, le mauvais garçon. Vicieux, Diego Costa est un fouteur de m****. Il naît au nord-est du Brésil, à Lagarto dans l’État du Sergipe et connaît dès le plus jeune âge la misère et la délinquance des favelas brésiliennes. Il joue au football dans la rue. Son parcours sera compliqué, sinueux, avec des obstacles, mais le résultat en vaudra la peine. Avant de devenir professionnel, Diego Costa traîne dans la rue, se débrouille comme il peut. À l’heure où les stars d’aujourd’hui débutent dans le football, le jeune Diego fait passer des habits en contrebande par la frontière uruguayenne. Chacun son truc. En 2006, tout bascule. Il joue le match qui va conditionner la suite de sa carrière. Pourtant, il ne devait pas jouer à cause de sa suspension (les cartons et Diego Costa, on en reparlera). Le club portugais de Braga le repère et le signe. Mais pendant plusieurs années, il est prêté chaque saison. Après avoir joué avec la réserve au Sporting de Braga, il est prêté au FC Penafiel en D2 portugaise. En 2007, l’Atlético de Madrid le recrute et le prête dans la foulée à Braga. Lors de la saison 2007-2008, il est prêté au Celta Vigo (alors en Liga Adelante), l’année suivante, il est prêté à l’Albacete Balompié. Lors de la saison 2009-2010, Diego Costa est prêté au Real Valladolid pendant que Sergio Asenjo (désormais à Villarreal) signe à l’Atlético. Chemin semé d’embûches mais des difficultés pas insurmontables pour un joueur avec un caractère si trempé et un comportement qui provoque en lui une certaine instabilité. Son comportement peut s’expliquer par le fait qu’il n’a pas connu une réelle éducation, lui errant dans les rues brésiliennes. « Je ne pouvais pas me contrôler. Je ne respectais mes collègues. Une éducation m’aurait appris ces choses-là. » D’ailleurs, entre 2006 et 2010, du Portugal à l’Espagne, de la D1 portugaise en passant par la D2 espagnole, il récolte 64 cartons jaunes et 4 cartons rouges. « On n’avait pas faim, on n’était pas pauvres, mais on avait la vie dure. Ma ville n’avait pas de structures ni de ressources, alors on s’est crée une équipe de rue, on allait jouer contre d’autres équipes des villes voisines ». Diego Costa Une étape importante : la confiance de Diego Simeone Barré par Diego Forlan et Sergio Agüero, Diego Costa revient à l’Atlético de Madrid après plusieurs prêts, mais sur le banc. Il profite cependant d’une altercation entre le joueur uruguayen et Quique Sánchez Flores, alors entraîneur de l’Atleti pour jouer en fin de saison. Il réalise son meilleur match de la saison avec un triplé sur la pelouse d’Osasuna et donne ainsi la victoire aux colchoneros. Malheureusement, lors de l’été 2011, il se blesse au genou droit. Il est ensuite prêté au Rayo Vallecano début 2012 et revient sur les terrains contre le Real Saragosse en inscrivant un but. D.Costa permet au club madrilène de se maintenir en Liga BBVA en marquant 10 buts en 16 matchs. Il revient à l’Atlético de Madrid lors de la saison 2012-2013 et prendra une place de plus en plus importante. Néanmoins, en début de saison, il est sur le banc et regarde Radamel Falcao et Adrian jouer. D.Costa arrive à prendre la place d’Adrian (désormais au FC Porto) et constitue un duo d’enfer avec le buteur colombien. Ils n’ont pourtant rien à voir : Falcao c’est les cheveux lisses, un sens du but hors-norme et une bonne technique, alors que Diego Costa c’est la brute mauvais garçon, le voyou plus connu pour son comportement détestable que son jeu balle au pied. Et c’est pour cela qu’ils sont complémentaires : Diego Costa attire l’œil des défenseurs adverses et permet de créer des occasions pour son compère colombien. Mais Costa garde encore des stigmates de son passé : chassez le naturel, il revient au galop. Hiver 2012, derby madrilène entre les deux ennemis de la ville. Diego Costa se liera d’amitié avec Sergio Ramos, Pepe et Xabi Alonso. Tout y passera. Les plus belles attentions : les caresses provocantes, les crachats jusqu’aux insultes devenues.. habituelles. Pas le moindre reproche de l’homme en jaune. Cette fois ci. Mais l’attaquant de l’équipe d’El Cholo le payera cher une semaine plus tard. Lors d’un déplacement sur le terrain du Viktoria Plzen, Diego Costa donne un petit coup de tête à Limbersky, le joueur adverse. Exclu, logiquement. L’Atletico perd et laissera ce soir là la première place du groupe d’Europa League à leurs adversaires du soir. Bêtement. Cet acte agace Diego Simeone mais qui ne le montre pas en public et le défend, comme toujours : « C’est un joueur très important, nous croyons en lui. Ce qu’en disent les autres ne m’intéresse pas ». Mais dans les vestiaires, Diego Costa doit franchir une étape au niveau de son mental et cesser les expulsions bêtes. Il transformera ce côté voyou, de la rue, (voire de petite salope, n’ayons pas peur des mots) en force sur le pré. Finalement, le contact, les bagarres, les insultes font partie de lui, c’est sa force. En fait, il est le voyou qu’il était dans la rue. Il est joueur de football professionnel mais garde tous les codes du football qu’il pratiquait plus jeune dans les favelas brésiliennes. Et ça marche. Il devient le joueur provoquant le plus de fautes et un nombre incalculable de cartons (une vingtaine dont 4 cartons rouges). Ce sont surtout les performances de Diego Costa en Copa del Rey qui sont très satisfaisantes. En effet, il termine meilleur buteur de la compétition avec 8 buts en 8 matchs dont l’égalisation au Santiago Bernabeu en finale contre le Real Madrid. Les colchoneros remportent cette Coupe du Roi dans les prolongations (victoire 2-1) et font le doublé après avoir remporté la Supercoupe d’Europe face à un Chelsea (4-1) en début de saison. « Je n’ai aucun problème avec Falcao : il joue avec respect, il ne cherche jamais la m****… Contrairement à Diego Costa ». Sergio Ramos après le derby du 03.12.12 (victoire 2-0 du Real Madrid) 2013-2014 : une nouvelle dimension « Bref, monsieur Costa, la prochaine fois, tes bruits de singe, tu les garderas.. » Geoffrey Kondogbia sur son Twitter après avoir été exclu lors de Séville-Atletico en Coupe du Roi. La saison 2013-2014 est incontestablement la meilleure pour le buteur brésilien (pas pour longtemps). Il profite du départ de Radamel Falcao vers l’AS Monaco pour 60M€ pour s’imposer définitivement dans l’attaque des colchoneros. Doté d’une grosse marge de progression, Diego Costa franchit un cap lors de cette saison. Il marque 27 buts en 32 matchs de Liga dont un au Santiago Bernabeu pour une victoire (0-1) de l’équipe de Diego Simeone. D’ailleurs, lors de ce derby, on ne change pas les bonnes habitudes. Le début de saison de Diego Costa est très fort : il marque 19 buts lors des 17 premières journées du championnat espagnol, ce qui le propulse en tête du cassement des buteurs devant Cristiano Ronaldo (qui sera finalement Pichichi avec 31 buts) et Lionel Messi. Il brille aussi en Ligue des Champions en marquant 8 buts en 9 matchs de la plus prestigieuse des compétitions européennes. Pas mal pour une première campagne. D.Costa marque notamment lors des 1/8 de finale contre l’AC Milan (5-1 en tout pour l’Atleti) et à Stamford Bridge contre sa future équipe (3-1 sur l’ensemble de la demie-finale pour Atletico de Madrid). Cette saison est historique pour l’Atletico de Madrid. En effet, l’équipe d’El Cholo gagnera la Liga avec notamment une immense régularité et une force collective impressionnante. Chaque week-end, on a pensé que l’équipe allait lâcher, perdre des points et donc se faire dépasser au classement. Il n’en est rien. La Ligue des Champions est aussi à Madrid, mais au Real, pour quelques minutes près. Cette finale, Diego Costa doit en garder un mauvais souvenir. Il sort au bout de 9 minutes à cause d’une blessure aux ischio-jambier qu’il a contracté sur la pelouse du FC Barcelone lors de la « finale » de la Liga (1-1 synonyme de titre pour l’Atletico). L’avant centre avait fait un déplacement à Belgrade pour être soigné par Marijana Kovacevic, surnommée « Docteur Miracle ». Cette guérisseuse pratique un message à base de placenta de cheval et d’électrodes envoyées directement sur le muscle. Cela a fait le bonheur notamment de Robin Van Persie ou encore Franck Lampard. Mais ça n’a pas tenu pour Diego Costa qui forcera dangereusement durant les semaines à venir mais sera tout de même présent avec l’Espagne pour la Coupe du Monde au Brésil. « J’adore ce joueur. Je trouve qu’il a un potentiel énorme : il va vite, il est puissant, il est bon de la tête, il est technique. Après, c’est un caractère bien trempé, ce qui est normal pour un compétiteur. J’ai beaucoup d’admiration pour ce joueur là, même s’il peut agacer. Pour son équipe, c’est un joueur très utile. Il vaut mieux l’avoir avec soi que contre soi ». Philippe Montanier Le choix polémique Il est convoqué avec le Brésil pour deux matchs amicaux. Une grande opportunité. Un rêve. Mais Diego Costa prend une autre dimension, il enchaîne les buts, l’Europe commence à le connaître, il obtient la nationalité espagnole (habitant en Espagne depuis 2007). Fin octobre, il choisit finalement pour l’Espagne. D.Costa s’explique : « Cela a été une décision assez compliquée, comme peut l’être la décision de choisi entre le pays où tu es né et le pays qui t’a tout donné, l’Espagne. La bonne chose à faire est de jouer en Espagne parce que j’ai tout fait ici, tout ce que j’ai, c’est ce pays qui me l’a donné (…) Ici je me sens apprécié pour tout ce que je fais au quotidien et je ressens l’affection des gens». S’il espère « que les gens comprendront et respecteront » sa décision, la réalité est tout autre. Diego Costa provoque une polémique au Brésil. Felipe Scolari, alors sélectionneur de l’équipe nationale du Brésil ne comprend pas : « Un Brésilien qui refuse le maillot qui pourrait lui permettre de disputer le Mondial dans son pays est forcément exclu de ma liste. Il tourne le dos à un rêve partagé par des millions de personnes. Il tourne le dos à une sélection qui a gagné cinq fois le Mondial et qui va le disputer devant ses fans ! ». A Fortaleza, le slogan de la nouvelle publicité Volkswagen est le suivant: « Cette voiture enchante le peuple brésilien, à la différence de Diego Costa ». Pire encore, un scénario où on voit la Roja obtenir un pénalty à la 90è min de la finale de la Coupe du Monde contre le Brésil, et c’est Diego Costa qui tire. Bien sûr, il ne le marquera pas. La réalité du terrain n’est pas la même. Que ce soit l’Espagne ou le Brésil, les deux feront une Coupe du Monde absolument catastrophique. L’Espagne finira un cycle couronné de succès en se faisant éliminer des poules avec notamment une déroute contre les Pays-Bas. Mais compréhensible pour une équipe qui a tant régné sur le football européen et mondial. Le Brésil connaîtra aussi sa déroute, bien plus cruelle. Les brésiliens se qualifieront jusqu’en 1/2 finale de la Coupe du Monde, sans convaincre. L’Allemagne, futur vainqueur, humiliera l’équipe de Felipe Scolari sur un score de 7-1, à domicile. Gênant. Le niveau de Diego Costa sous le maillot de la Roja est peut-être le seul hic que l’on peut lui reprocher actuellement (avec aussi peut-être trop de blessures?). Le problème est-il au niveau du mental ? Mais le nouvel attaquant des Blues est-il fait pour jouer dans le jeu espagnol que l’on connaît: de possession, de redoublement de passes, sur un rythme très lent et profitant de toute la largeur du terrain ? Que ce soit à l’Atletico ou à Chelsea, Diego Costa est comme un poisson dans l’eau. Les deux équipes ne ressemblent en rien à la Roja. L’équipe de Diego Simeone et de José Mourinho aiment la verticalité, le jeu direct et Diego Costa s’épanouit comme ça. C’est un joueur qui aime prendre l’espace et être servi dans la profondeur. C’est comme cela qu’il fait parler ses qualités sa vitesse, sa puissance ou encore son jeu sans ballon. Les doutes subsistent encore pour celui qui a marqué son premier marqué après plus de 500 minutes de jeu (et 7 sélections) avec le maillot de l’Espagne. À titre de comparaison, il en a mis 8 avec Chelsea en autant de temps. L’attaquant parfait pour Chelsea Chelsea a fait un mercato très intéressant et l’arrivée de Diego Costa en est la preuve. L’année dernière, l’équipe de José Mourinho manquait d’un grand attaquant et d’un joueur créatif au milieu : le technicien portugais recrute cet été Diego Costa et Cesc Fabregas. Ça tombe bien, les deux s’entendent à merveille. Diego Costa fait un début de saison explosif en Premier League avec 11 buts en 12 matchs. Parmi ces buts, 5 ont été marqués du pied droit, 4 du gauche et 2 de la tête. 34 tirs dont 81% cadrés. 30 tirs dans la surface. Ces statistiques (début décembre) provenant du site hat-trick.fr révèlent les qualités de Diego Costa à ce poste. Cesc Fabregas, plus reculé pour mieux orienter le jeu (sa position préférée), frappe fort pour son retour en Angleterre : onze passes décisives – Eden Hazard, meilleur passeur de Chelsea l’an dernier en Premier League en a réalisé 7 – dont quelques caviars pour l’ancien de l’Atléti. De plus, Cesc Fabregas est le joueur qui réussit le plus de passes depuis le début du championnat (989). Et nous sommes qu’en décembre. Diego Costa affole déjà les défenses anglaises. Attaquant redoutable et redouté, il est sûrement l’un des attaquants les plus gênants à jouer pour la défense adverse. Car même quand il est moins bon, son côté de vicieux reprend le dessus et est décisif : à l’Etihad Stadium contre Manchester City, Diego Costa n’a pas fait un exceptionnel match. Jusqu’à cette 67ème minute. Paulo Zabaleta récolte un second carton jaune après un accrochage avec Diego Costa. Chelsea marquera quelques minutes plus tard. Ainsi, Diego Costa a pris une nouvelle dimension depuis maintenant de nombreux mois. Beaucoup doutaient de son acclimatation avec la Premier League. On parlait même de flop. Il n’en est rien pour l’instant. Alors oui, on est à peine en Décembre, mais de telles statistiques n’ont rien à voir avec le hasard. C’est le fruit d’une bonne intégration dans une équipe, un collectif, des partenaires, un jeu et un entraîneur. Le plus dur arrive : être régulier tout au long de la saison et faire gagner des titres à Chelsea. Un nouveau défi. Encore. Toujours.
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