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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

RollsReus

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Tout ce qui a été posté par RollsReus

  1. RollsReus

    [Liga]

    "Messi favori pour le B.O ? ça ne me gène pas. Quand on regarde mes huit dernières saisons j'ai toujours été au sommet. Et c'est difficile. Nommez-moi un autre joueur qui y soit parvenu. Après, être numéro un ou deux, c'est une question de détails comme lorsque tu gagnes des trophées ou non." Le Lusitanien, trois fois vainqueur du Ballon d'Or (2008, 2013, 2014), a eu du mal à voir Lionel Messi remporter quatre fois de suite la prestigieuse distinction (2009, 2010, 2011, 2012). "Cela a été compliqué de voir Messi gagner plusieurs Ballons d'Or", a déclaré CR7. Je me disais: 'à quoi bon aller au gala?' ". http://www.eurosport.fr/football/liga/2015-2016/ronaldo-cela-a-ete-complique-de-voir-messi-gagner-plusieurs-ballons-d-or_sto4974818/story.shtml
  2. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Donc Xavi est un joueur qui n'a jamais été bon, pareil pour iniesta qui a toujours eu des stats très moyennes.
  3. RollsReus

    [Liga]

    Cristiano Ronaldo évoque sa personnalité et le fait que certaines personnes ne l’apprécient pas. Une chose qui ne touche pas le moins du monde le Portugais, au contraire. « Je ne suis pas la personne la plus humble du monde, je le reconnais. Je ne suis pas faux. Mais j’aime apprendre. Je me fous que des gens me détestent. Quand on joue à l’extérieur, il y a toujours des gens contre moi mais j’aime ça. Il faut prendre le bon côté des choses avec ceux qui vous détestent. J’ai besoin d’ennemis. Cela fait partie du business. Ils commencent à crier dès que je touche le ballon. Cela a commencé quand j’avais 18 ou 19 ans. Ce n’est pas un problème pour moi, c’est une motivation. » L’attaquant madrilène a aussi évoqué sa relation très forte avec Sir Alex Ferguson : « Quand mon père était entre la vie et la mort, il était dans un hôpital à Londres, et il n’était vraiment pas bien. Donc, j’ai dit à Ferguson que je voulais le retrouver mais c’était à un moment crucial de la saison. Il m’a dit : ‘Le football ne signifie rien à côté de ton père. Vas-y.’ Et je le remercierai jamais assez. » http://real-france.fr/cr7-jai-besoin-dennemis/
  4. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    En parlant de ça, je suis K.O! jusqu'à y'a 3 semaines Ozil c'était un joueur moyen et aujourd'hui, tout le monde le "suce" par rapport à ses assists!! vive la presse. http://www.lequipe.fr/Football/Article/Comment-ozil-est-redevenu-ozil/602889 http://www.goal.com/fr/news/31/angleterre/2015/11/01/16872772/arsenal-%C3%B6zil-a-retrouv%C3%A9-la-forme-une-statistique-fait-m%C3%AAme https://www.walfoot.be/fra/news/lis/2015-11-01/ozil--roi-des-assists-qui-a-besoin-de-buts
  5. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Ptdr, coutinho et Ozil c'est deux styles incomparables. Y'en a un qui est dans la percussion, qui tire plus au but et qui une fois par hasard , va savoir faire une belle passe, et t'en a un qui tire jamais presque mais qui a une vision de jeu et une qualité de passe que Coutinho n'aura pas même en se faisant boosté sur FUT dans FIFA.
  6. RollsReus

    Player Of The Month

    Ozil Kos Cech (oui oui j'ai vu tout vos matchs en replay sauf hier).
  7. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Il crie ?? Quel homme. Il donne des directives comme à l'époque où il bossait au kebab de son père. @Hamza59: yavait le Real à 16h mais vu le match pourri. J'aurai du mater arsenal.
  8. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Merci Wiz, quel régal. D'après La_Pulga qui m'a fait un résumé du match, avant le but de Giroud, il était dans le dur (comme toute l'équipe apparament) et juste après, il était ON FIRE. Mon petit kebab , on peut dire ce qu'on veut, il est beau à voir jouer , il a une classe balle au pied c'est abusé.
  9. RollsReus

    [Liga]

    QUEL CF de malade!!! il était énorme à cette époque...
  10. RollsReus

    [Liga]

    Interview de Valdano qui encore une fois, montre qu'il est un homme cultivé et classe. Il parle des statistiques. Du journalisme actuel etc. Fait par Thibaud leplat Onze Mondial le mag’ est parti à la rencontre de Jorge Valdano. Ami intime de Marcelo Bielsa et de Pep Guardiola, ancien joueur du Real Madrid, champion du monde 1986 avec Maradona, ancien directeur sportif du Real puis directeur général sous Mourinho, Valdano est un personnage remarquable avec qui il fait bon parler. C’est ce que nous avons fait, longuement. Jorge, au Real, tu as joué avec Michel avant de devenir son coach. Comment était-il ?
 Un talent supérieur aux autres, très précis. Un joueur exquis techniquement, très intelligent et avec un grand amour pour le football. Même si avec moi il jouait plutôt sur le côté, il était capable d’organiser toute l’équipe. Il a toujours eu un grand sens esthétique et l’intelligence pour principal ornement. Les entraîneurs ont-ils un devoir moral vis-à-vis de la société ? 
S’ils l’ont, ils ne s’en rendent pas compte. Il y a quelques situations, assez peu fréquentes, qui nous mettent face à ce débat. Regarde ce qui s’est passé avec Arturo Vidal durant la Copa America
 (le milieu du Bayern a eu un accident
de voiture en état d’ébriété en pleine compétition, ndrl). Beaucoup de gens ont exigé de l’entraîneur qu’il fasse un exemple en expulsant le joueur de la sélection. Il a refusé. Pour moi, Sampaoli a très bien fait. Parce qu’il a gagné à la fin ? Non, parce que l’entraîneur a un engagement moral : préparer l’équipe le mieux possible. C’est au dirigeant et non à l’entraîneur d’analyser les conduites éthiques et les messages à donner vis-à-vis de la société. L’obligation de l’entraîneur est de rendre une équipe compétitive et qu’elle reflète son style de gestion. Il ne viendrait à l’idée de personne de demander à un guitariste drogué ou alcoolique d’abandonner
sa guitare pour se soigner. Au football c’est la même chose. Quand il arrive
un problème extra-sportif à un joueur, la dernière chose à faire serait de lui enlever le football, sa profession. Au lieu de lui enlever un problème, on lui en ajouterait un autre. Tu es un des rénovateurs du journalisme sportif en Espagne.
Tu as notamment créé dans les années 90 l’émission El Día Despues sur Canal Plus Espagne (qui a
inspiré l’actuel J+1). Quelle est ton opinion sur l’évolution récente du journalisme sportif (réseaux sociaux, communication des clubs…) ?
 Il y a une distinction à faire. D’un côté il y a le journalisme de spectacle. Pour être plus clair je vais te citer un jeune journaliste espagnol qui m’a dit il y a quelque temps la chose suivante : “En ce moment pour arriver à travailler, il faut soit être très mignonne, soit dire n’importe quoi. De toute évidence, je ne suis pas très mignonne, il ne me reste donc qu’une seule issue…”. Le journaliste aujourd’hui cherche à avoir de la visibilité et la visibilité est difficile à obtenir par le biais de l’intelligence. C’est surtout grâce à l’impact visuel, l’exagération, la simplification qu’il l’obtient. Il y
a encore trente ans, les journalistes faisaient un effort terrible pour que personne ne sache de quelle équipe ils étaient supporters. Aujourd’hui c’est le contraire. Ils font un effort terrible pour que tout le monde sache bien de quelle équipe ils sont supporters. Ensuite il y a un autre journalisme qui utilise le sport pour nous parler de la grandeur et de la misère de l’être humain, qui a une vision esthétique, épique, éthique d’un match. Il est capable de te raconter un match comme un conte. Le résultat final est même parfois meilleur que le match lui-même. Ces deux courants sont radicalement opposés. 
Le journaliste doit voir les choses d’un point de vue clairement défini. S’il enfile le maillot d’une équipe avant de parler, son point de vue est celui de un peu ailleurs. Le problème de l’ignorance, c’est qu’elle est fière d’elle- même. C’est même votre définition ? Tout à fait. En réalité, le vrai moteur 
c’est le courage. Le courage d’affronter l’ignorance, le courage de penser contre le résultat. Il en faut, parce que dans le football, le résultat c’est Dieu. Personne n’ose jamais critiquer le résultat, encore moins celui qui gagne. Ni le résultat, ni les statistiques… Les statistiques sont un soutien scientifique à l’ignorance. Aujourd’hui, on sait combien de kilomètres a parcouru n’importe quel joueur. Mais à aucun moment on est capable de dire 
si ces efforts ont été de longue ou de courte durée, rapides, lents, précis, imprécis, s’il l’a fait pour donner le ballon à l’adversaire ou pour marquer… À ton époque, as-tu été confronté aux statistiques ?
 Oh, oui (rires) ! Je le raconte dans mon dernier livre. La première fois que j’ai été confronté aux statistiques, c’était au Real. J’étais encore joueur 
et quand parfois je ne jouais pas
un match, je voyais le préparateur physique prendre des centaines de notes pendant les matchs. Il n’y avait pas encore l’ordinateur à l’époque, il faisait tout à la main. Il disait : “Ce joueur a couru 20 mètres à vitesse moyenne, ensuite a marché je-ne-sais-combien de mètres etc.” Toutes ces mesures étaient approximatives bien sûr, mais les données retranscrites étaient presque aussi précises que maintenant. Alors un jour, je lui ai demandé ce qu’il était en train de faire et à quoi ça pouvait bien servir. Et lui, tout en notant, me répond : “Je ne sais pas encore. Mais le jour où je saurai à quoi ça sert, je te préviendrai” (rires). Voir le football de cette façon, c’est le réduire à son expression minimale. C’est s’éloigner du jeu, du rêve, de la créativité, de la spontanéité, de toutes ces choses assimilées au bonheur. Beaucoup d’entraîneurs et avec eux beaucoup de journalistes diront qu’il faut faire avec les joueurs que l’on a, que l’objectif c’est de battre untel ou untel, de gagner des matchs, remporter des titres etc. Il ne faut pas contredire complètement cette opinion. C’est vrai que le Real Madrid a une obligation de donner du spectacle supérieure à celle de l’Eibar, sans aucun doute. Mais regarde le Rayo Vallecano. Il est capable de jouer un football bien au-dessus du niveau de la ceinture, avec des joueurs qui s’en approchent à peine. Quand je suis arrivé à Tenerife, l’équipe était relégable
et il restait huit matchs à jouer. Dont quatre face à Séville, le Real, Valence et Barcelone. La situation était complexe. Mais on a décidé de ne pas courber l’échine et de jouer d’égal à égal avec
le Real et le Barça, de les défier dans les yeux, techniquement et physiquement. Cette attitude est une source de motivation très importante pour un footballeur. Au final, on a battu Valence, le Real, Séville et le Barça. La conviction de l’entraîneur est fondamentale pour que le footballeur croie en lui. « Le problème de l’ignorance c’est qu’elle est fière d’elle-même » Comment y parvient-on ? En convainquant les joueurs. N’importe quel joueur de première division est parfaitement capable de faire une passe de vingt mètres. Après, c’est la rapidité d’exécution qui compte. Un joueur de deuxième division doit être précis à une vitesse de 60%, un joueur de première division à 80%, un joueur international à 100%. La rapidité mentale et technique l’appartenance. Moi par exemple, je regarde le football de mon propre point de vue, ma subjectivité, mon sens de l’éthique, mon idée de la beauté, ma passion pour le jeu. Ce qui est curieux c’est que la France est un pays de culture, de conversation, mais le journalisme sportif, lui, a une réputation d’ignorance… Si c’est comme ça en France, imagine un peu ailleurs. Le problème de l’ignorance, c’est qu’elle est fière d’elle- même. C’est même votre définition ? Tout à fait. En réalité, le vrai moteur
 c’est le courage. Le courage d’affronter l’ignorance, le courage de penser contre le résultat. Il en faut, parce que dans le football, le résultat c’est Dieu. Personne n’ose jamais critiquer le résultat, encore moins celui qui gagne. Ni le résultat, ni les statistiques… Les statistiques sont un soutien scientifique à l’ignorance. Aujourd’hui, on sait combien de kilomètres a parcouru n’importe quel joueur. Mais à aucun moment on est capable de dire 
si ces efforts ont été de longue ou de courte durée, rapides, lents, précis, imprécis, s’il l’a fait pour donner le ballon à l’adversaire ou pour marquer… À ton époque, as-tu été confronté aux statistiques ?
 Oh, oui (rires) ! Je le raconte dans mon dernier livre. La première fois que j’ai été confronté aux statistiques, c’était au Real. J’étais encore joueur
et quand parfois je ne jouais pas
un match, je voyais le préparateur physique prendre des centaines de notes pendant les matchs. Il n’y avait pas encore l’ordinateur à l’époque, il faisait tout à la main. Il disait : “Ce joueur a couru 20 mètres à vitesse moyenne, ensuite a marché je-ne-sais-combien de mètres etc.” Toutes ces mesures étaient approximatives bien sûr, mais les données retranscrites étaient presque aussi précises que maintenant. Alors un jour, je lui ai demandé ce qu’il était en train de faire et à quoi ça pouvait bien servir. Et lui, tout en notant, me répond : “Je ne sais pas encore. Mais le jour où je saurai à quoi ça sert, je te préviendrai” (rires). Voir le football de cette façon, c’est le réduire à son expression minimale. C’est s’éloigner du jeu, du rêve, de la créativité, de la spontanéité, de toutes ces choses assimilées au bonheur. Beaucoup d’entraîneurs et avec eux beaucoup de journalistes diront qu’il faut faire avec les joueurs que l’on a, que l’objectif c’est de battre untel ou untel, de gagner des matchs, remporter des titres etc. Il ne faut pas contredire complètement cette opinion. C’est vrai que le Real Madrid a une obligation de donner du spectacle supérieure à celle de l’Eibar, sans aucun doute. Mais regarde le Rayo Vallecano. Il est capable de jouer un football bien au-dessus du niveau de la ceinture, avec des joueurs qui s’en approchent à peine. Quand je suis arrivé à Tenerife, l’équipe était relégable
 et il restait huit matchs à jouer. Dont quatre face à Séville, le Real, Valence et Barcelone. La situation était complexe. Mais on a décidé de ne pas courber l’échine et de jouer d’égal à égal avec
 le Real et le Barça, de les défier dans les yeux, techniquement et physiquement. Cette attitude est une source de motivation très importante pour un footballeur. Au final, on a battu Valence, le Real, Séville et le Barça. La conviction de l’entraîneur est fondamentale pour que le footballeur croie en lui. « Maradona, il suffisait de lui donner le ballon » Comment y parvient-on ? En convainquant les joueurs. N’importe quel joueur de première division est parfaitement capable de faire une passe de vingt mètres. Après, c’est la rapidité d’exécution qui compte. Un joueur de deuxième division doit être précis à une vitesse de 60%, un joueur de première division à 80%, un joueur international à 100%. La rapidité mentale et technique 
change en fonction du niveau. C’est ce qui définit le football. Tu as longtemps joué avec Maradona. Quand on a un tel génie dans une équipe, comment fait-on pour le gérer ? Tu peux lui faire confiance. Le génie est capable de résoudre des situations à sa hauteur, capable de faire des miracles footballistiques. Ensuite,
 sans rien lui demander, il absorbe
 seul toute la pression. Quand je jouais avec Maradona, je savais que si j’avais un problème, il suffisait de lui donner le ballon. Ensuite, ce qui est encore plus important, je savais aussi que si
on perdait le match, les journalistes m’oublieraient facilement et que ce serait toujours de sa faute à lui. C’est la même chose aujourd’hui avec Messi et l’Argentine. Si l’Argentine gagne c’est grâce à Messi, si elle perd, c’est à cause de lui. J’ai entendu dire que le Paris-Saint- Germain t’avait contacté pour le poste de directeur sportif. Tu pourrais revenir dans le football ? Il y a effectivement eu un contact
 avec le PSG par l’intermédiaire de quelqu’un
 mais rien de direct, rien de sérieux. Quand les choses sont sérieuses, on frappe directement à ta porte. On ne
te passe pas un coup de fil, on te le dit directement et en personne. Pour la suite, je n’écarte rien. Tout ce que j’ai fait après ma période d’entraîneur
n’a jamais été le fruit de décisions préméditées mais plutôt de rencontres fortuites. Par Thibaud Leplat http://www.mensquare.com/onzemondial/etranger/102409-valdano-itv-madrid-bielsa-psg
  11. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Bah mate les mouvements de jeu de Barcelone et ceux de Arsenal c'est pas la même. Je dis pas que vous êtes statique mais je trouve que niveau déplacement. Appel et solutions. Le Bayern et le Barca c'est ce qui se fait de mieux dans le monde
  12. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Les passes D de Özil c'est pas à 100% des passes venues d'ailleurs mais à 80% si. Et donc faut une certaines vision de jeu et une qualité de passe hors norme.
  13. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    http://img15.hostingpics.net/pics/783399assists.png Quand je disais que niveau vision et sens de la passé, Özil a rien à envier à Messi, certains rigolaient.... Meilleur passeur c'est Messi avec 98 depuis 2008. Ça prend pas en compte les passes sur corner. Le second Özil avec 93
  14. RollsReus

    [Liga]

    Sinon en 2011, une des plus belles contre attaque https://youtu.be/S6j6fIo2xuY
  15. RollsReus

    [Liga]

    Euh en 6 c'est bon mais c'est moyen parce qu'on le bride. Mais il me semble sur durant l'année du triplé bavarois. Avant sa blessure. Il jouait en 10. Muller à droite. Et le Bayern écrasait tout. Avec La NM à la CDM 2014. Il jouait en 10 aussi quand khedira et schweni étaient sur le terrain.
  16. RollsReus

    [Liga]

    http://www.francefootball.fr/news/Au-real-le-leader-de-jeu-c-est-kroos/602389 Au Real, le leader de jeu c'est Kroos Contre Paris en Ligue des champions, le milieu de terrain allemand a été de nouveau fondamental pour orienter, fluidifier et équilibrer le jeu de son équipe. Mais aussi pour contrarier le point fort de l'adversaire. Décryptage de son rôle et de son registre technique. Ses stats confirment largement l’impression visuelle qu’il a laissée mercredi dernier au Parc des Princes : contre Paris, Toni Kroos n’a quasiment rien raté. 94 ballons touchés pour un seul perdu, 96% de passes réussies, 8 centres et une précision dans le jeu long de 91%, sans oublier les 11,4 kilomètres qu’il a parcourus. Mieux que Casemiro, donc, son partenaire dans l’axe. Mais mieux aussi que les trois milieux parisiens (Verratti, Thiago Motta, Matuidi), lesquels, pour une fois, ont passé plus de temps que d’habitude à courir après le ballon pour le récupérer. Dans une équipe qui sait presser haut quand elle veut, mais capable d’abord de bien se replacer et se réorganiser à la perte pour vite refermer les espaces avec deux lignes de quatre compactes, le champion du monde allemand demeure le vrai leader de jeu. Celui qui donne à la fois le tempo et l’orientation à la récupération. Celui qui équilibre et compense. Celui qui possède toujours un coup et un temps d’avance sur les autres. Celui aussi qui joue juste, domine le ballon et possède l’intuition du bon déplacement. Omar Da Fonseca, consultant à beIN Sports, nous faisait un jour cette réflexion : «Tu lui donnes la balle et il sait toujours ce qu’il faut en faire et quelle surface de pied utiliser. Il est donc rarement en difficulté et n’a jamais la moindre hésitation.» C’est aussi ce que les Parisiens ont dû se dire après coup. Le radar de l'équipe Kroos n’est pas un joueur d’impact, ni un milieu de terrain qui accélère le jeu ou élimine par le dribble. En revanche, il sait en permanence ce qui se passe autour de lui, il voit vite, il gère parfaitement la zone de construction et sa qualité de passes, courtes ou longues, reste exceptionnelle. Quand il est associé à Modric dans le cœur du jeu, il évolue parfois plus bas et défend davantage, ce qui n’est jamais un problème pour lui puisqu’il peut jouer à tous les postes du milieu, 6, 8 et même 10 sous la pointe. Mais lorsque Rafael Benitez choisit de débuter avec Casemiro et l’aligne à ses côtés, comme la semaine passée à Paris, il peut jouer alors dix-quinze mètres plus haut et abandonner le rôle de sentinelle au Brésilien pour se projeter plus facilement vers l’avant et venir faire les décalages dans les trente derniers mètres. L'arme anti-Verratti Positionné axe gauche dans le milieu à quatre du Real, Kroos s’est souvent retrouvé mercredi dernier dans la zone de Marco Verratti (Casemiro était le plus souvent dans celle de Matuidi et Isco dans celle de Thiago Motta). Avec le ballon, il n’a éprouvé aucune difficulté à se dégager du pressing adverse et à combiner. Et quand le Real ne l’avait pas et cherchait à le récupérer vite, il a souvent réussi à enfermer Verratti sur un côté pour déclencher ensuite le pressing collectif, bloquer la relance parisienne et reprendre la possession. Ou bien, au minimum, il l’a empêché de jouer vers l’avant et de mettre du rythme, ralenti et obligé alors à repasser par Thiago Motta ou ses deux centraux. Si Verratti a touché 115 ballons ce soir là, il n’a donc pas pu en faire grand-chose. En tout cas, rien de bien dangereux. Et le Real a pu tranquillement contrôler le milieu. Le jeu de transition Très habile pour assurer le lien entre la défense et l’attaque ou offrir une ligne de passe supplémentaire dans la construction du jeu en attaque placée, Kroos est également très efficace à la récupération. Moralité ? Dès qu’il a repris le ballon, il est particulièrement redoutable dans le jeu de transition, connaissant sa qualité de passes. Il est donc capable de visualiser aussitôt l’espace laissé libre par l’adversaire dans son dos, de verticaliser immédiatement l’action et de profiter ainsi de la vitesse de course de ses attaquants, notamment Cristiano Ronaldo et Bale (absent contre Paris). C’est encore plus vrai lorsque l’équipe est au complet et que Kroos est associé à Modric, derrière James Rodriguez, Bale, Cristiano Ronaldo et Benzema.
  17. RollsReus

    [Liga]

    http://real-france.fr/les-propos-ahurissants-du-president-de-la-lfp/ Je pensais que la LFP était là que pour favoriser le Real. Son président a l'air d'aimer les joueurs vulgaires.
  18. RollsReus

    [Liga]

    Tranquille c'est rien, comme je l'ai dis y'a eu mépris sur le sujet, j'ai pas été très intelligent d'où les piques de Kroos_39 à mon égard. Pour Fly, je préfère aussi en rire, il s'enflamme vite et je rigolais dans mon dernier messgae même si c'était pas drôle j'étais ironique et je l'ai précisé . Merci à Kloro en tout cas . Bref revenons à CR7 et Bale, aka les deux meilleurs joueurs du monde svp. Et au histoire de Messi avec le FISC, en espérant qu'il aille en taule et que tous ses ballons d'or lui soit retiré pour CR7 , le meilleur maçon footballeur du monde.
  19. RollsReus

    [Liga]

    C'était de l'humour mais si tu l'as pris au premier degré, désolé pour toi . je l'ai précisé d'ailleurs mais tranquille
  20. RollsReus

    [Liga]

    En plus d'avoir un passif douteux, j'ai une religion et des origines pas très républicaines (sur téléphone je trouve pas comment mettre l'icône du ninja mais le coeur y est pour marquer l'ironie).
  21. RollsReus

    [Liga]

    Comme je t'ai dis. L'erreur vient de ma part. J'ai bien parlé du Bayern à la radio et on me présentais comme un fan alors que Polo Breitner qui me connaît, sait que je suis fan du Real. J'ai même parle du PSG à RMC et ils ont dit que j'étais un supporter du PSG en passant à l'antenne do'c bon. Quand au fait que j'aime bien le Bayern je te l'ai dis. J'aime bcp l'équipe d'Allemagne forcément je vais aimer le Bayern. Même si le Real et le Bayern sont deux équipes totalement opposées dans tout que ça soit au niveau du jeu. Des valeurs. Du fonctionnement. Des joueurs etc. Bref. C'est de ma faute mais je préfère remettre les choses au claires.
  22. RollsReus

    [Liga]

    Le cul entre deux chaises? loool, fan du Real depuis Zidane (oui on peut me traiter de footix) ensuite, déjà pour tout ce qui est forum, le premier auquel je me suis inscrit c'est planete real madrid, pseudo : lefa94 en 2010 , pourtant en 2010 c'était plus l'Inter, et le Barça qui avait la côte à cette époque là? parce que le Real s'est fait sortir encore une fois par Lyon en 1/8Eme. Mais bon, je devais avoir aussi le cul entre deux chaises à cette époque n'est ce pas? (dédicace à Jean Marie LePen). Comme j'ai dis, venant sur un forum "bavarois", j'ai eu la connerie de dire que j'étais fan des 2, malheureusement non. Très admiratif je le répète de votre mode de fonctionnement, des valeurs de ce club , du fait que c'est une équipe qui a su se relever d'un echec chez elle en finale de C1 pour aller faire le triplé l'année suivante!!! et j'en passe, et comme je l'ai dis mille fois, fan de la National Mannschaft donc bon forcément que je vais aimer les joueurs du Bayern hein? POur le Bayern que je mettais en écusson ici même, je sens que ça va me valoir un ban mais j'étais venu ici pour Özil, je m'étais pris la tête avec des membres et jai été banni. Forcément, je suis revenu sous un autre nom et un autre club. Mais trkl, twitter ça existe, demande le à Abe mohito, si t'as du temps à perdre remonte mon fil d'actualité durant la saison 2013/2014 et va voir qui je supportais, bizarrement c'était pas le Bayern et pourtant, ils étaient premier en championnat et favori pour leur propre succession, tout 'linverse du Real qui était serein de rien du tout en C1 et qui selon tout le monde "allait prendre cher" face au Bayern au retour. T'as des arguments bidons mais comme je l'ai dis, la faute me revient entièrement, j'ai pas été clair dès le départ, j'en paye les conséquences. Supporter du Real depuis que je me suis mis à suivre le football. Mais si je reste un footix aucun souci, comme je le répète, ceux qui me suivent en dehors de ce forum voient bien qui je supporte salut
  23. RollsReus

    [Liga]

    Et au passage, tes piques à deux balles, ça sert à quoi? mais c'est mignon de penser à moi à chaque fois Moi j'ai aucun souci à dire que mon club est le Real, et que j'ai toujours eu de l'admiration pour le Bayern. J'ai leur maillot mais je m'en bas les couilles de leurs titres même si je préfère largement que ça soit eux qui fassent des triplés chaque saison que le Barça ou autres. Là où j'ai déconné, c'est en me présentant sur votre forum en tant que fan du Bayern et du Real mais c'est pas un souci, si je dois avoir l'étiquette du footix toute ma vie, aucun problème avec ça, Mohito, Abe et autres qui me suivent et avec qui je discute savent de quoi je parle h24 sur les réseaux sociaux et malheureusement, ils ne sont pas entrainés par Guardiola mais par un mec fan de Tapas et bouffe grasse en tout genre. Si j'étais un bon footix j'aurai supporté les clubs qui gagnent actuellement tout et régulièrement comme Barcelone ou le Bayern voit Dortmund quand ya eu la hype de cette équipe et qui ont un passé plutôt propre contrairement au Real où chaque titre est contesté et où on passe plus de temps à rire de cette équipe pour son ratio "Millions dépensés/ titres remportés ". sur ce bye.
  24. RollsReus

    [Liga]

    Je ne me sens pas du tout concerné par ses propos en tout cas.
  25. RollsReus

    [Liga]

    Donc j'aurai été obligé de supporter l'USM Alger ? Oh m****..... Merci la démocratie j'aurai pas assumé.
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