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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

RollsReus

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Tout ce qui a été posté par RollsReus

  1. Tu peux , mais faut pas manquer de respect aux membres. Je pense que t'as du remarquer que sur ce forum, c'est vraiment à la cool, c'est rare de se faire engueuler.
  2. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    J'en doute fortement, mais vu qu'on le surnomme Nemo dans le milieu, une reconversion dans un sport aquatique lui conviendrait peut etre. Avant de quitter ce forum sur cette remarque pas drole (mon humour est mort depuis un moment), je pense pas que Ozil soit totalement fini. Il est à un tournant de sa carrière. Soit il remonte la pente soit il restera un éternel gachis.
  3. RollsReus

    [Liga]

    Je ne savais pas où la poster mais voilà une interview de ZZ EXCLUSIF - Zinedine Zidane a accordé un entretien à Goal où il revient sur sa carrière, son poste de numéro 10 et son style de jeu. À Madrid, R.Cosmidis et A.Pinero Zinedine Zidane a évoqué sa grande joie en apprenant son entrée dans le Goal Hall of Fame, lors de la remise de son prix au centre d’entraînement du Real Madrid il y a quelques jours. Zidane est le premier joueur à rejoindre le Hall of Fame grâce à un vote de plus de 100 000 lecteurs de Goal, qui ont sélectionné l’ancien joueur de la Juve et du Real comme étant l’un des meilleurs de l’Histoire. Entretien exclusif avec l’homme qui a offert une Coupe du Monde à la France. En 2013, tu disais que tu voulais être le meilleur mais que tu n’avais pas réussi... J’ai tout fait, en tous les cas, pour le devenir. Je pense que j’y suis quelque part arrivé. Après, c’est toujours pareil, tu préfères tel joueur ou un autre. Mon ambition à moi, c’était d’être le meilleur. Et tu penses l’avoir atteinte ? Pour moi, j’ai dépassé mes objectifs. Tu es totalement associé au Real Madrid aujourd’hui. Ça t’est déjà arrivé de rencontrer des supporters un peu plus âgés qui te disaient : “Tu me rappelles Puskas, tu me rappelles Di Stefano” ? Oui, ça m’est déjà arrivé de croiser des gens qui m’ont comparé un peu à Di Stefano, en disant que j’avais un petit peu le même style au niveau du ballon, de la technique. Mais chacun a son époque, avec le rythme qu’imposait l’époque, différent du mien, et aujourd’hui ça va encore plus vite. D’ailleurs, le Zidane des années 90-2000, il pourrait exister aujourd’hui dans cette ère du pressing tout-terrain ? Oui, je pense que je m’en sortirais quand même (rires). Maintenant c’est toujours pareil : oui ça va très vite, physiquement il y a encore un cran de plus, et en même temps, on se demande quand est-ce que ça va s’arrêter. Tu penses toujours que refaire ce qu’a fait Maradona en 1986 est impossible ? La qualité des joueurs est trop dense désormais ? Il y a beaucoup de très bons joueurs, mais ce n’est pas pour ça. C’est parce que je me dis que c’est difficile aujourd’hui pour un joueur comme Ronaldo, comme Messi, de faire ce que lui avait fait à l’époque. D’ailleurs on l’a vu à cette Coupe du monde, ce n’est pas évident pour eux. Comme Maradona, comme Pelé, tu as conscience d’être, pour des gens aujourd’hui des images, des souvenirs ? Ouais, ouais. Par exemple 98, sur des périodes, quand il y a des faits marquants, la Coupe du monde, les championnats d’Europe, la Champions League. Forcément, on s’identifie un moment donné à toi, sur un geste, sur une action. C’est bien de pouvoir continuer à exister à travers ça (sourire). Notamment à travers ce France-Brésil 2006, qui est la référence des gens lors de cette Coupe du monde en Allemagne ? Ce qui a fait notre force contre le Brésil, c’est qu’on ne se posait pas de questions. Quand tu ne te poses pas de questions, quand tu rentres sur le terrain pour jouer contre les meilleurs, et que tu te dis que tu peux faire des choses intéressantes, il se passe ce qu’il se passe : t’es capable de battre des équipes comme le Brésil. C’est ton meilleur match en bleu quand tu y repenses ? Pour certains oui, pour moi non. Ce qui est sûr c’est que celui-là, quart de finale contre le Brésil, voilà, c’est peut-être l’enjeu qui fait que ça devient… (il marque une pause)… j’ai fait de meilleurs matchs mais qui étaient moins importants. Forcément, ça devient de moindres matchs. Parce qu’en huitième de finale, tu élimines en partie l’Espagne, mais tu es moins présent dans le jeu, non ? Oui, c’est sûr que j’ai été meilleur contre le Brésil que contre l’Espagne, mais contre l’Espagne, j’enfonce le clou à la fin, dans les dernières minutes. Dans le jeu, le plus important c’était l’équipe, le côté collectif plutôt que des joueurs individuellement. En finale, tu retrouves Buffon, que tu as croisé très rapidement en 2001. Il a récemment disputé son 500ème match avec la Juve. Tu penses quand même à la panenka quand tu penses à Buffon ? Non, je pense à un grand gardien. Un gardien qui, quand la Juve m’a vendu, a pu y venir. Buffon, Thuram, les joueurs de Parme. Forcément, je pense un petit peu à cette panenka, mais pas plus que ça. Je pense plus à la balle qu’il me sort qu’à la panenka ! Si je marque le ballon de la tête, ça change pas mal de choses… D’ailleurs, la panenka, à quel moment tu décides de la faire ? Quand il siffle le penalty ou quand tu croises le regard de Buffon ? Je sais que je dois faire ça. Il me connaît, je le connais, il sait que je tire du même côté, il connaît beaucoup de choses sur moi. Les gardiens, en général, sur les coups de pied arrêtés, sur tout ce qui est coup franc, corner, penalty, ils regardent très souvent ce que les joueurs font. J’avais juste à faire ça. On vient de commencer le match, ça fait que sept minutes, je me dis que même si je rate le penalty, c’est pas grave, j’ai encore 83 minutes derrière pour marquer, donc j’ai aucune pression. Si on reste en Serie A, la Juve a quelle place dans ton histoire aujourd’hui ? Tu regrettes de ne pas avoir remporté la C1 avec cette équipe ? Oui. D’ailleurs, j’ai perdu contre le Real Madrid. Et l’année d’avant, je perds contre le Borussia Dortmund. Donc oui, j’ai un peu les glandes, parce qu’on avait une équipe tellement forte sur le papier qu’on aurait dû gagner une Champions League, au moins une année. Cela me reste un peu en travers de la gorge. A cette époque-là, la Juve et le Real, vous êtes les deux meilleures équipes du monde, les deux plus gros effectifs, non ? Oui, c’est vrai. Mais avec la Juve, j’ai tout connu. C’est là que j’ai franchi un palier, quand je suis parti de France. Quand je suis arrivé en Italie, c’est là que ma carrière s’est construite, qu’elle a commencé. Parce que physiquement, c’est là que j’ai franchi un palier. Tactiquement, aussi, ça a dû être un choc. Tactiquement aussi (sourire). Travail tous les jours, tous les jours à l’entraînement, 20 minutes, une demi-heure. Mais on gagnait les matchs ! C’est pour ça que tu es parti en Espagne en fait, tu en avais marre des séances tactiques ? C’est pas que j’en avais marre, parce que j’y suis resté cinq ans. Mais au bout d’un moment, j’avais envie de changer. Pour moi le championnat espagnol, c’est le plus beau championnat qui existe parce que c’est un championnat ouvert, et pour les joueurs offensifs comme moi, c’est intéressant. Et puis bien sûr la meilleure équipe du monde, terminer la carrière comme ça, avec le maillot blanc...c’était pas mal. Quand tu pars de Turin en 2001, tes coéquipiers réagissent comment ? Ils sont étonnés, déçus ? Non, non, je pense qu’ils s’y attendaient, parce que ça se tramait un petit peu quand même, ça faisait six mois que ça discutait. Et puis au bout de cinq ans... tu sais, il y a des joueurs qui sont exceptionnels sur la longévité de leur carrière, comme Maldini, qui peuvent rester 20 ans dans le même club. Moi, j’avais besoin de changer à chaque fois. C’est ce que j’ai fait : je suis resté sept ans en formation, quatre ans à Bordeaux, cinq ans à la Juve, cinq ans à Madrid. Tu arrives au Real, tu gagnes une Ligue des champions, l’année d’après, vous êtes champions d’Espagne, avant trois années compliquées… Oui, notamment au niveau des résultats. Mais j’étais venu chercher la Champions League. J’ai réussi dès la première année. Après, dès que tu prends un peu d’âge, 32-33 ans, tu montes (la pente, ndlr) et puis après tu passes de l’autre côté... c’est qui s’est passé, c’est pour ça que j’ai pas voulu insister. J’aurais pu continuer une année ou deux mais j’ai pas voulu insister, j’ai préféré m’arrêter au bon moment. C’est la période galactique, pas mal de débats, et Sacchi a dit qu’à l’époque, Figo, Raul et toi, vous ne reveniez pas défendre... (Il coupe) C’est faux, archi-faux. Pas d’accord avec ça. Au contraire, Raul défendait, il faisait tout, Figo sur son côté pareil, et moi aussi sur mon côté, je faisais ma part de boulot défensif. La version sur laquelle tout le monde est d’accord, c’est Makélélé qui part et l’équilibre de l’équipe qui s’écroule. C’est aussi simple que ça ? Ça, peut-être, mais c’était pas dû uniquement à Makélélé. C’est un par ligne, c’est Hierro, c’est Makélélé, c’est Morientes, c’est Del Bosque. Voilà, ça fait quatre d’un coup. Makélélé, c’est une lecture facile de la situation ? Non, parce qu’il en faisait partie aussi, mais c’était pas que lui. Et puis, quand tu changes une équipe qui gagne, c’est jamais très bon. Il ne faut jamais changer une équipe qui gagne, il faut toujours la laisser confirmer. C’est ce qui s’est passé à l’époque: enlever quatre-cinq joueurs et l’entraîneur... ça s’est mal passé après. Il y a pas mal de meneurs de jeu qui sont repositionnés plus bas aujourd’hui, dont des Madrilènes, comme Kroos et Modric, et Pirlo évidemment. T’aurais pu jouer plus bas aussi ? Peut-être. Pu ? On peut toujours... là où j’excellais, c’était sur les dernières passes. Donc il vaut mieux être plus près de la surface de réparation, plus près du but adverse. Je pense que j’étais plus efficace offensivement. Mais d’autres l’ont fait avant. Bon, Laurent Blanc a fait pire, il est redescendu libéro. Ça t’aurait plu d’avoir tout le jeu devant toi, distribuer ? Je ne sais pas. Comme ça, en me posant la question, je te dis non. Trop loin du but, tu ne te serais pas amusé ? Voilà. J’aimais bien faire marquer, être là, près de la surface de réparation. C’était mon truc. Je préférais même faire marquer que marquer. Le poste de numéro 10, il a disparu ou il a changé ? Je pense que justement, à un moment donné, il avait un peu disparu. Cela dépend de comment les entraîneurs mettent leurs équipes en place. Aujourd’hui, c’est vrai qu’il y a moins de numéro 10 parce qu’on joue avec trois joueurs offensifs, dont une pointe. Donc le numéro 10 a un peu disparu, même si j’ai pas envie de dire qu’il a totalement disparu, mais on voit de moins en moins un vrai numéro 10 au milieu de tout le monde. Il y a des équipes qui continuent peut-être à le faire, mais en tout cas, les grosses équipes, un vrai numéro 10 quoi, ça manque ! Ancelotti a dit un jour que tu étais le joueur le “plus beau à regarder”. T’es conscient de cette part esthétique de ton jeu, qui t’a fait connaître en partie ? Oui, bien sûr. Mais je ne reste pas sur ce truc esthétique, parce que ça voudrait dire que cette part-là avait plus d’importance que l’efficacité que j’avais. Même si j’étais beau à voir jouer (rires), le plus important c’est que j’étais efficace sur le terrain. C’est vrai que je n'étais pas un grand buteur, je faisais marquer beaucoup plus de buts que j’en marquais. Et j’ai envie de rester sur l’efficacité que j’avais. Il y a des acteurs qui n’aiment pas se voir jouer. Toi, tu te trouvais comment quand tu te voyais sur le terrain ? Ça dépendait. Parfois bien, parfois pourri. Tu ne faisais pas du tout attention à l’élégance, aux mouvements ? Non, c’était naturel ça. Je jouais d’instinct. J’ai beaucoup travaillé pour ça, pour m’améliorer mais j’avais vraiment tout dans la tête. Jouer d’instinct, c’est toujours ce qui a fait ma force. Je voyais les choses un petit peu avant les autres, ou en tout cas un peu plus vite que le défenseur l’avait compris. Tu as affronté plusieurs fois Riquelme dans ta carrière. Tu sais qu’il regarde régulièrement des vidéos de toi ? Oui, enfin, il en regardait. Comme moi, quand je regardais des vidéos de Maradona ou de Francescoli. Il me l’avait dit sur le terrain, on avait échangé nos maillots. Je lui avais dit : “Ecoute, c’est réciproque !” La saison dernière, tu as remporté la Ligue des champions en tant qu’adjoint, face à l’Atlético Madrid. Tu aurais pu jouer dans une équipe comme ça, où on touche peu le ballon ? Quand tu vois Arda Turan...il joue là-bas ! Il joue, il est bien, il fait des différences, c’est un joueur que j’aime beaucoup, avec beaucoup de caractère. Après, c’est leur philosophie : d’abord bien défendre, puis jouer en contre, jouer sur les coups de pied arrêtés, ces choses-là. Arda Turan fait des bonnes choses dans cette équipe. Tu as le temps, avec ton travail avec les jeunes, de regarder du foot à côté ? Oui, je regarde. C’est ce que j’aime faire, regarder, être au contact de tout ce qui se fait dans le foot. Il y a des équipes qui te plaisent particulièrement aujourd’hui en dehors du Real ? Il y a beaucoup d’équipes. Mais les équipes qui vont être compliquées à jouer cette année, à part le Real, il va y avoir Chelsea, l’Atlético Madrid, qui vont sortir leur épingle du jeu. Après, beau à voir jouer... il y’a des équipes. Quand tu regardes des joueurs aujourd’hui, tu regardes qui ? Il y en a qui t’intéressent particulièrement ? Je suis, comme tout le monde, mais c’est vrai que j’ai un œil particulier sur là où j’ai joué, le poste où j’ai joué, les milieux de terrain, un peu offensifs, les joueurs qui sont à l’aise techniquement. C’est là que je décèle quelque chose. Ce qui m’intéresse moi, c’est de voir des différences, des différences de joueur. Aujourd’hui, comme tu l’as dit tout à l’heure, il y a de plus en plus de bons joueurs. Ce qui fait justement la différence entre l’un et l’autre, c’est ce que peu de monde voit. C’est pas donné à tout le monde de voir quelqu’un qui fait des différences particulières. C’est ce que je recherche, notamment quand tu as des joueurs à recruter pour un club, des jeunes joueurs, ça me plaît bien. C’est encore possible de remporter le Ballon d’Or en étant numéro 10 ou est-ce qu’il faut marquer 50 buts par saison maintenant ? C’est sûr que c’est plus facile de marquer 50 buts par saison (pour le gagner, ndlr). Si t’as un numéro 10 qui marque 15 buts, et que t’as un mec qui marque 50 buts, tu peux être sûr que de toute façon, à 80%, il va avoir le Ballon d’Or. Il suffit qu’il gagne le championnat et qu’en Coupe du monde, il aille en demi-finale, et il remportera le Ballon d’Or. Mais oui, un numéro 10 peut gagner le Ballon d’Or, heureusement. http://www.goal.com/fr/news/7145/hall-of-fame-2014/2014/11/10/5971871/zidane-jouer-dinstinct-a-toujours-%C3%A9t%C3%A9-ma-force?ICID=HP_HN_5
  4. À un moment, faudrait que tu changes de disque là dessus, on a compris je pense hein? ;)
  5. RollsReus

    [Liga]

    Vous pensez qu'ils seront sanctionnés ou pas? J'aurai aimé avoir l'avis d'Ayoubaoui, mais je crois qu'il est suspendu...
  6. RollsReus

    [10] Mesut Özil

    Je vous avais déjà dit que dans sa vie , c'était le bordel et que tout ça se ressentait sur le terrain. Faut pas s'étonner. Messi aussi apparament est "moins bien" , même si lui en étant moins bien il est au dessus de tout, parce que son affaire du FISC risque de le conduire devant les tribunaux et il se pisse dessus à l'idée d'y aller.
  7. Interview complète de Robben dans FF. Il parle du Bayern, du Ballon d'or, de Messi et CR7.
  8. Dédicace à La_Pulga et tout ceux qui se levent contre le Qatar. http://www.europe1.fr/sport/football/flashs/la-petite-phrase-de-blatter-qui-plombe-le-mondial-2022-au-qatar-2285901
  9. Le patron. L'âme du Bayern comme dit Guardiola. Je suis sur téléphone donc je poste ici les propos de Robben sur Guardiola que j'ai pris sur footmercato. . « Pep est un malade du foot. On peut l'appeler à trois heures du matin pour discuter tactique avec lui. Sous ses ordres, le Bayern Munich est devenu plus flexible et peut proposer plusieurs systèmes de jeu dans le même match. On est plus imprévisibles que jamais. D'un point de vue tactique, notamment. Il m'a appris comment me placer sur le terrain, où être encore plus dangereux en faisant des déplacements plus intelligents. C'est vraiment le meilleur au niveau tactique. » Auteur d'une première grosse saison sous les ordres du Catalan – 11 buts et 6 passes en 28 matches de Bundesliga, 4 réalisations et 6 assists en 10 apparitions de LdC – Robben, qui s'est également fendu d'un bon Mondial, pourrait également aspirer à la reconnaissance individuelle qu'est le Ballon d'Or. Mais l'ailier, s'il y voit « une belle reconnaissance et un motif de fierté », estime que deux monstres lui sont supérieurs, à savoir Cristiano Ronaldo et Lionel Messi. « Je n'aime pas me comparer aux autres. Et là, vous me parlez de deux monstres ! Ce qu'ils réussissent depuis une demi-douzaine d'années dépasse le réel. Ils sont au-dessus de tous les autres. Il y a aussi d'autres joueurs extraordinaires. Il n'y a qu'à voir ici, au Bayern. Les Allemands sont devenus champions du monde et beaucoup de leurs individualités sont de classe mondiale. » La concurrence est forte, mais qu'importe, semble-t-il dire. À 30 ans et à l'heure de jeter un coup d'œil dans le rétroviseur, Robben est déjà fier de sa carrière. « J'en suis satisfait. J'ai joué dans de grands clubs, eu des grands entraîneurs, gagné beaucoup de titres. Au Bayern j'ai atteint les sommets du football. Je n'ai jamais été aussi heureux. » Reconnaissant envers le Bayern, l'ancien de Chelsea et du Real Madrid ne se voit donc pas partir de sitôt. Souvent associé à des rumeurs de transferts – la dernière l'envoyant à Manchester United rejoindre son compatriote van Gaal –, le Néerlandais, sous contrat jusqu'en 2017, a assuré ne pas vouloir changer d'air. « J'ai encore quelques saisons devant moi, mais il est vrai que je n'ai pas de motif d'aller voir ailleurs ». Quand on s'estime au sommet, il n'y a pas de raison de changer.
  10. RollsReus

    Arsène Wenger

    Dimanche, Wenger invité dans le club du dimanche sur BeInsport.
  11. RollsReus

    [Liga]

    Repris sur un forum madrilène. Carlo Ancelottti a parlé à Onda Cero, il a fait les louanges de son équipe encore une fois, le professionnalisme de ses joueurs, le respect qu'ils se montrent entre eux, le sérieux durant les entraînements, c'est selon lui le groupe de joueur le plus dévoué qu'il a jamais eu à entraîner. Il a parlé de Toni Kroos, pour lui c'est un autre professeur après Xabi Alonso, il a ironisé en déclarant que l'allemand a rapidement fini ses études à l'université de Xabi Alonso. Il est surpris de voir que l'allemand garde toujours son sang froid qu'il soit sous pression ou pas, il joue simple et son jeu ne change pas même si l'adversaire le colle. Le jeu de l'équipe passe beaucoup pour lui et malgré son jeune âge il joue rapidement, fait preuve d'une grande justesse dans ses passes, ne perd pas de ballons, en récupère etc... Il est aussi heureux d'avoir James Rodriguez, il dit qu'il le connaissait bien, il est plus surpris par le sacrifice qu'il fait pour l'équipe que par ses qualité, il peut jouer en attaque ou au milieu de terrain. Pour lui Isco et James sont au même niveau. Pour lui une grande équipe se doit d'avoir une philosophie de jeu et la suivre, c'est ce qu'il tente de faire au Real Madrid. Le but de Sergio Ramos à la 93ème minute contre l'Atletico durant la finale de Champions League l'année dernière n'a pas sauvé sa tête selon lui, il pense qu'avec ou sans la Décima il aurait quand même continué à coacher le club. http://www.marca.com/2014/11/11/futbol/equipos/real_madrid/1415661080.html Par contre, je rajouterai qu'il a dit que Di maria était un joueur qui perdait pas mal de ballon et qui était trop impatient par moment au milieu.
  12. RollsReus

    [Liga]

    La France où on encense Cabaye et Matuidi mais on descend des joueurs du calibre de Ribery ou Benzema. Limite même Sakho est un Maldini pour eux.
  13. RollsReus

    [Liga]

    Il a raison comme tu dis, revenir ne ferait que réveiller les années de gloire passées, les gens ne pourraient qu'être déçus et ça écorneraient son image.
  14. RollsReus

    [Liga]

    Guardiola: "Barça return? No. In principle, as a coach, that chapter is closed. In life there are cycles and that one has ended." [ara] (twitter barçastuff) Guardiola a indiqué qu'il n'entrainerait plus jamais le barça dans sa carrière.
  15. RollsReus

    [Ligue 1]

    Déjà que beaucoup se plaignent du manque de turn over à arsenal alors avec lui et vu que vous jouez quasiment tous les 3 Jours vu le calendrier anglais, vos joueurs vont mourrir dès le mois de janvier et vos blessés vont etre plus important encore.
  16. RollsReus

    [Ligue 1]

    Enfait, je trouve sa méthode limitée au final. Il laisse sa trace mais comme tu l'as dis, aucun turn over presque et des joueurs complétements rincés. ça peut le faire sur une saison , mais l'an prochain, si il est encore là et que marseille joue la C1, je vais bien me marrer. Déjà que certains commencent à ressentir de la fatigue dans l'effectif.... Et oui je vise pas spécialement bielsa dans mes attaques mais les médias français qui en font des caisses sur son cas, comme sur celui de Zlatan.
  17. RollsReus

    [Liga]

    CR7 a gagné 2 titres attribués par MARCA il me semble. Il a dit qu'il a beaucoup à apprendre en football encore, que Di Stefano était un phénomène et qu'il a tout gagné à Madrid lui. Qu'il ne se satisfait pas de ses performances et veut devenir meilleur chaque année. Il espère être au top l'an prochain encore.
  18. RollsReus

    [Chelsea]

    Officiel: Oscar a prolongé jusqu'en 2019. (via footmercato).
  19. RollsReus

    [Ligue 1]

    Je pleure pas sur l'entraineur, je m'énerve avec sa glacière de m****. Mais c'est gratuit comme j'ai dis. Pour l'allemagne, pas besoin de l'évoquer, même si souvent à part Dortmund et nous, les équipes allemands déçoivent depuis quelques années sur la scène européenne. Schalke avait fait un truc pas mal en 2011 mais entre temps.... Leverkussen qui se fait violer par le barça, etc Quand je parle de Hype, c'est qu'on parle que de lui à chaque fois pour rien. Tout ce qu'il fait, on le décortique, comme Zlatan, les médias te dégoutent de ses personnages à force d'en parler H24 .
  20. RollsReus

    [Ligue 1]

    La hype Bielsa ça commence à casser la tête un petit peu. Je reconnais son mérite d'avoir fait de Marseille une équipe joueuse et beaucoup plus séduisante que l'an passé, sachant qu'il est loin d'avoir des génies dans sa team. Mais au final , c'est quoi Bielsa sur le long terme? à part en Argentine, en Europe, j'attend qu'il confirme et qu'il prouve. Sa dernière saison à Bilbao est tout sauf une réussite. Et bordel, sa glacière de m****, j'ai envie de la lui verser sur la gueule façon ice bucket challenge. Il me fatigue (ça c'est gratuit). Après, à sa décharge, Marseille, depuis quelques matchs, c'est toujours 20 à 30 minutes de feu, puis ça retombe. c'est le souci du football français, incapable de pouvoir tenir un rythme intense sur 90 minutes contrairement à des équipes anglaises ou espagnoles.
  21. RollsReus

    [Ligue 1]

    La plus grande question est : Thierez s'est il excusé auprès de Mme Dreyfus pour ce mauvais arbitrage ?
  22. RollsReus

    [Ligue 1]

    Merci Ayoubaoui, j'essaie de mettre un peu le feu à ce match là, qui à part l'embrassade cavani/ Gignac, était plutot calme.
  23. RollsReus

    [Ligue 1]

    Vous etes malade, marseille a pas existé une seconde. J'ai vu que Paris jouait, les marseillais ont été neutralisé tout le match, incroyable de faire croire l'inverse. Blanc est largement supérieur à Bielsa, ça se voit et ça se confirme ce soir .
  24. RollsReus

    [Ligue 1]

    Franchement, quand j'en lis certains, on dirait que marsielle a dominé les débats, vous êtes marrant, mis à part le début de match , je les ai pas vu plus dangereux que ça. Ils ont perdu contre Lyon, là contre Paris. Ça montre une chose: ses mecs là, si ils sont en C1 l'an prochain vont s'écrouler, jamais ils tiendront le rythme.
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