robinho972

Brasileirão : Nouveau test pour l'Internacional La deuxième journée du championnat national offrira deux belles rencontres à suivre ce dimanche: l'Internacional Porto Alegre face à Palmeiras et la réception du Corinthians par Botafogo. Après s'être imposé lors de la première journée sur le terrain du Corinthians, l'International accueillera une autre grosse formation pauliste avec le Verdão. La défense de Palmeiras devra se montrer à la hauteur de l'évènement car à l'heure actuelle c'est secteur de jeu qui pose problème au technicien Luxemburgo et l'incroyable but inscrit par Nilmar la semaine dernière obligera Danilo et la défense du Verdão à la plus grande vigilance. Le milieu de terrain verra l'argentin D'Alessandro face à Diego Souza alors que le duel de buteur opposera Nilmar à Keirrison. Botafogo, auteur d'un nul contre Santo André affrontera le Corinthians qui se déplacera avec une équipe bis car le technicien Mano Menezes veut préparer le quart de finale retour de Coupe du Brésil contre Fluminense avec des joueurs frais. C'est pour cette raison que Chicão, André Santos, Elias et Ronaldo ne débuteront pas le match et ne devraient même pas le jouer. Du côté de Botafogo, Reinaldo est toujours absent ainsi que Maicosuel mais une première vcitoire à domicile serait un bon départ surtout face à un favori au titre. Flamengo en panne d’efficacité Flamengo avait été défait 1-0 par Cruzeiro lors de la première journée du championnat, il occupait ainsi la dernière place du classement. Adriano toujours préservé Il recevait, au Maracanã, Avaí tenu en échec 2-2 par l’Atletico Mineiro. Des Rubro-negro toujours privés d’Adriano a cours de condition physique et préservé par Cuca, l'entraîneur. La première période a été nettement dominée par Flamengo, dépositaire du jeu et qui se sera procuré les meilleures occasions face à une formation d’Avaí cantonnée à des tâches défensives ne s’étant montré dangereux que sur trois incursions dans la surface et sur tirs lointains maîtrisés par un Bruno impeccable. Zéro but en première période Cette domination aurait pu trouver récompense sur un coup franc magistral tiré par Leonardo Moura, son tir était renvoyé par la transversale d’Eduardo Martini. Ce dernier repoussait dans la minute suivante une belle tentative de Josiel en s’employant pour mettre la balle en corner. Mais malgré toutes ces occasions, rien ne sera marqué durant cette première période forte intéressante. Problèmes à l'attaque La seconde période fût plus équilibrée et la première occasion sérieuse fût à mettre à l’actif d’Avaí, qui voyait Bruno s’interposer devant Evando. Dans la foulée Josiel tirait, mais sa frappe passait largement à côté du but défendu par Eduardo Martini qui aura été l’homme du match par ses arrêts décisifs durant la partie. Une efficacité qui fuit les attaquants Rubro-Negros et les supporters qui réclament la présence d’Adriano, ce qui n’est pas pour rassurer Josiel. Il allait se procurer deux belles occasions à la 64e sur une reprise de la tête qui frôlait la transversale puis à la 72e sur une reprise encore repoussée par le portier d’Avaí. Josiel sifflé L’attaquant flamenguiste quittait ses camarades sous les sifflets remplacé par Alex Cruz. La dernière occasion allait revenir à Lima qui buttait sur Bruno sorti à propos pour éviter à Flamengo de s’incliner pour la seconde fois consécutive. Les deux équipes se quittaient sur le score nul et vierge, Flamengo et Cuca raccompagné aux vestiaires sous la bronca du Maracanã, le coach rubo-negro devra très vite trouver une solution pour palier à ce manque d’efficacité de la part de ses attaquants. Flamengo: Bruno; Willians, Aírton, Ronaldo Angelim, Léo Moura, Toró, Ibson (Erick Flores), Kleberson, Juan, Everton (Maxi), Josiel (Alex Cruz) Entraîneur: Cuca. Avaí: Eduardo Martini; Ferdinando, Emerson, André Turatto, Uendel, Léo Gago (Bruno), Marcus Vinícius, Caio, Muriqui (Lima), William (Medina), Evando. Entraîneur: Silas.

Parreira veut Roberto Carlos Depuis qu'il est rentré au Brésil, Carlos Alberto Parreira a de grandes ambitions avec Fluminense. Après Fred, l'ancien sélectionneur de l'équipe nationale veut faire rentrer Roberto Carlos au pays. Flamengo et Fluminense Depuis quelques temps, déjà, la rumeur circule autour d'un départ du défenseur. Celui-ci se sentait avec Zico pour entraîneur, les choses sont plus compliquées aujourd'hui. L'intéressé ne cache pas son envie de revenir au Real Madrid, si jamais Florentino Perez retrouve la présidence. A Fenerbahçe, le joueur n'a plus été payé depuis trois mois, il a donc demandé à la Fifa d'annuler son contrat. Flamengo s'est montré le premier intéressé, c'est Fluminense qui pourrait emporter la mise. Parlons gros sous "On aime beaucoup le joueur et il nous intéresse. Cela dépend beaucoup de notre situation financière", explique Carlos Alberto Parreira.

Adriano n'est pas encore prêt à rejouer Adriano à Flamengo, ce n'est encore qu'une photo... d'un joueur aux joues bouffies avec un joli maillot rouge et noir. Pour le moment, il n'est pas prêt à jouer. A l'entraînement la semaine prochaine Cuca, l'entraîneur maison, a nié toute possibilité qu'il joue la prochaine journée de championnat, face à Internacional. L'attaquant international a quitté l'Inter Milan il y a un mois et il est à court de forme. Alors que son attaque est à la peine, le public réclame son nouveau trésor. Selon Cuca, Adriano est encore entre les mains du staff médical, il ne devrait reprendre l'entraînement avec ses nouveaux camarades que la semaine prochaine. Retour le 30? "Les chances qu'Adriano joue sont de l'ordre de zéro, explique le coach. Il ne s'entraîne pas et a sur les épaules une lourde responsabilité. "S'il joue et ne marque pas, on ne l'aimera pas. Il doit rentrer sur le terrain en étant en pleine forme, il n'y a pas d'autre solution." Il pourrait faire ses débuts en championnat le 30 mai, au Maracana, face à l'Atlético

Ronaldinho dit non à Flamengo, oui à l'euro... Ronaldinho à Flamengo? Le frère et agent du joueur, Roberto de Assis, a dit non. Mais il confie que plusieurs clubs de renom en Europe sont prêts à aligner les zéros... Pas de duo Adriano-Ronaldinho On ne verra donc pas l'association entre Adriano et Ronaldinho sous le maillot rubonegra. "Il n'y a pas de possibilité pour que Ronaldinho retourne au Brésil. Mais, si vous me demandez s'il peut rejoindre des clubs européens, alors je dis oui." Entre deux blessures, Ronnie n'a pas répondu à toutes les promesses soulevées à coups de buts magiques et souvent déterminants en début de saison. Chelsea et Manchester City sont sur les rangs. Et Milan AC a besoin de sous...

Dodô vers Manchester United Manchester United aime s'habiller brésilien. Après Rafael et Fabio, les frères jumeaux, Rodrigo Possebon et Anderson, c'est Dodô, l'espoir de Corinthians qui serait sur le point de rejoindre la Premier League. A United en février 2010 International chez les -17 ans, le joueur devrait arriver au club en février 2010, il aura alors les 18 ans requis pour quitter le pays. Coût du transfert: 6 millions d'euros. Le joueur aurait des ancêtres portugais, ce qui faciliterait l'obtention d'un double passeport et en ferait par conséquent un joueur de la Communauté européenne. Voici ce qu'en dit l'intéressé: "Comme il y a déjà pas mal de Brésiliens en Premier League, je suppose que je vais m'adapter facilement." Contacts en Angleterre ces jours-ci "Je n'ai jamais joué avec les jumeaux Rafael et Fabio, mais c'est bien pour moi de les savoir à côté. Tout comme Cristiano Ronaldo, qui parle portugais." Le joueur a démarré à Cruzeiro, à l'âge de onze ans. Il y est resté trois saisons avant de migrer vers Corinthians. "Je reviens juste de l'équipe nationale, je viens de voir mes parents pendant quelques heures. "Là je vais en Angleterre, je viens de recevoir l'invitation... Je ne sais pas parler anglais, mais j'aurai un interprète. Je voyagerai d'ailleurs avec lui." "Devenir un joueur plus complet" "Mon style est typique du Brésil, avec de la technique. Je veux aussi une identité européenne pour être un joueur plus complet, ce qui sera bon pour moi. "Chaque joueur rêve de jouer en équipe nationale et ensuite d'être transféré dans une équipe européenne. "L'an prochain je vais rejoindre la première équipe de Manchester United et évoluer aux côtés des meilleurs joueurs du monde." (Encore un jeune pillé meme pas eu le temps de le voir jouer dans le brasileirao)

Palmeiras veut chiper Perea à Grêmio Le championnat vient à peine de commencer, on éteint tout juste les lumières de la première journée que, déjà, les bruits de transfert se font entendre... Un manque de buts Palmeiras lorgne ainsi sur le milieu de terrain de Grêmio, l'attaquant colombien Edixon Perea. A la veille d'aller retrouver Sport Recife en Copa Libertadores, les Paulistes souhaitent corriger leur défaut, à savoir le manque de buts marqués. Pour cela, ils ont prévu d'aller piquer chez le voisin gaucho de quoi arrondir les filets adverses. "Grêmio a reçu une bonne offre, dans quelques jours les négociations vont commencer", a fait savoir Andre Krieger, le directeur sportif de Palmeiras. Reinaldo veut partir aussi Perea a joué à Bordeaux et à l'Atlético Nacional, en Colombie, il sort d'une opération au genou qui l'a tenu éloigné des terrains pendant longtemps. A Grêmio, l'international colombien doit faire face à une lourde concurrence avec les Argentins Maxi Lopez et German Herrera ainsi que les locaux Alex Mineiro et Jonas. Son départ ne devrait donc pas poser trop de difficultés. Reinaldo, un autre attaquant de la maison Grêmio, mécontent d'être sur le banc des derniers temps, a promis qu'il ne pousserait pas plus loin son contrat avec le club gauchiste qui s'achève à la fin du mois.

Copa do Brasil : Des quarts de rêve Les quarts de finale aller de la Coupe du Brésil se jouent ce soir avec trois grandes affiches qui valent le détour. Vasco accueille l'équipe de Vitória dans un São Januario qui voudra s'enflammer en Coupe du Brésil après une première victoire ce week-end lors de la première journée de seconde division. L'entraineur Dorival Junior pourra compter sur le retour du milieu de terrain Nilton qui était absent depuis plusieurs semaines. Carlos Alberto sera chargé d'alimenter le duo d'attaquant Rodrigo Pimpão-Elton. Le Corinthians sera opposé à Fluminense au Pacaembu. Défait pour son premier match face à l'Internacional, ce dimanche le Timão voudra se rattraper et comptera sur Ronaldo absent ce week-end pour faire la différence face aux cariocas qui eux ont remporté leur premier match. Thiago Neves et Fred seront les principaux dangers de cette formation de Fluminense, privé de l'argentin Dario Conca. Enfin, Flamengo battu à Cruzeiro après avoir dominé de la tête et des épaules ce match, accueille l'Internacional en pleine forme. Cuca devrait aligner la même équipe qui a perdu dimanche pour contrer les Colorados qui s'appuyeront sur le duo D'Alessandro-Nilmar, auteur de bien des tourments contre le Corinthians Ronaldo ou Fred... qui est le meilleur? Ronaldo contre Fred, plus que Corinthains-Fluminense... telle est l'affiche de ce quart de finale de la Copa do Brasil. Ronaldo reposé et en forme Reposé et revenu en forme, alors qu'il a manqué la première journée de championnat, d'ailleurs soldée par une défaite, l'ami Ronaldo en sera la grande attraction. En jeu il y a un titre qui compte dans le coeur des amoureux de la balle ronde, celui du meilleur attaquant au Brésil. Les deux reviennent d'Europe, ils sont anciens internationaux et ils savent marquer des buts. En championnat d'Etat, Ronaldo reste sur une moyenne honorable de 0,77 but par match. Fred, lui, a surtout fréquenté le banc de touche à Lyon.

Libertadores : Marcos sauveur de Palmeiras Palmeiras doit une fière chandelle à son capitaine et gardien Marcos car il a donné le billet de la qualification à ses coéquipiers en étant le héros du match retour face à Sport. Le gardien du Verdão a réalisé une prestation incroyable face aux attaquants de Sport en effectuant cinq arrêts décisifs durant les 90 premières minutes. Il devait finalement s'incliner à huit minutes du coup de sifflet final sur un but de Wilson. Mais les deux équipes allaient se retrouver lors de la séance des tirs au but et là le show Marcos reprenait de plus belle avec trois tirs arrêtés par le portier pauliste sur quatre tentatives de Sport ce qui provoqua l'élimination de la formation de Recife qui se sera révélée lors de cette Libertadores. Les quarts de finale seront donc le prochain rendez-vous pour Palmeiras et "Saint Marcos", rebaptisé de la sorte par la presse aujourd'hui. Le Verdão sera opposé au club uruguayen du Nacional. Grêmio peut rejoindre Palmeiras et São Paulo La formation de Grêmio disputera son huitième de finale retour ce soir sur son terrain face aux péruviens de San Martin après l'avoir emporté à l'aller, trois buts à un. Sauf catastrophe, Grêmio devrait être le troisième club brésilien qualifié pour les quarts de finale de la Libertadores, ce soir. Pour ce match, Grêmio sera privé de son défenseur Léo, blessé au genou et sera remplacé par William Thiego. Pour le reste, le onze de départ sera classique avec le buteur argentin Maxi Lopez en attaque accompagné de Jonas et soutenu par Souza au milieu de terrain.

Voila un mec qui aura donner a Arsenal Bravo mr Kolo Touré, il me confirme sa loyauté.

Flamengo a besoin d'Adriano Dimanche Adriano n'a pas joué sous ses nouvelles couleurs de Flamengo. Et pourtant, il a bien manqué. Sans lui l'attaquant des Cariocas n'a pas eu beaucoup d'occasions, juste un tir de la tête évaporé. A 27 ans, il se relance A Fla, tout le monde l'attend, et de pied ferme. Longtemps, on l'a cru disparu, dépressif, perdu dans un coin de Vila Cruzeiro, la favela de Rio de Janeiro où il a vécu, jusqu'à l'âge de seize ans. "J'arrête. Je suis fatigué. Tout ce que je veux, c'es me promener peinard à Rio et boire des bières avec des potes", avait-il même déclaré. A 27 ans, il n'en a pourtant pas fini avec le foot. Le revoilà au club de ses premières amours, là où il est "né au football" comme on le dit au Brésil. Il a repris l'exercice "Mes fans peuvent être rassurés: ils vont bientôt me revoir à l'oeuvre." En attendant, il a repris l'exercice, il travaille dans une académie de gym à Rio. L'attaque de Flamengo a besoin de lui, le club manque d'un véritable numéro 9. Mais il vient juste de signer, sans doute est-il trop tôt pour le voir gambader sur un terrain de football. On annonce son retour à la fin du mois. A l'heure actuelle, il vend surtout des maillots et il orne le site officiel du club. 100.000 euros par mois Celui-ci vient de lui faire signer un contrat d'un an, jusqu'en juin 2010 et de lui promettre, avec l'aide d'un sponsor, un salaire mensuel de 100.000 euros. "A l'Inter tout le monde me voulait du bien, mais je n'étais plus heureux loin de mon pays", avait-il lancé à la signature.

Libertadores : Palmeiras ne veut pas s'arrêter Palmeiras dispute ce soir son huitième de finale retour de Copa Libertadores sur le terrain de Sport Recife. Vainqueur à l'aller, un but à zéro le Verdão devra faire un match solide et ne pas se contenter du match nul pour passer ce tour face à une des révélations du premier tour emmenée par le vétéran Paulo Baier. Après une entrée poussive lors de la première journée du Brasileirão face à Coritiba, Palmeiras devrait se présenter avec un effectif au complet et peut-être la première titularisation en Libertadores de Mozart. En face, le technicien Nelsinho Baptista devra se passer des services d'Hamilton expulsé à l'aller et peut-être de son milieu Daniel Paulista qui s'est blessé lors du premier match de championnat contre Barueri. São Paulo qualifié Le club de São s'est qualifié pour les quarts de finale de la Copa Libertadores sans disputer de match! L'explication vient du Mexique qui, par le biais de sa fédération a décidé de retirer ses clubs de la Copa Libertadores, suite à l'alerte de la grippe porcine qui a touché le Mexique ces derniers jours. De ce fait, le club pauliste qui devait affronter le Chivas Guadalajara est d'ores et déjà qualifié tout comme la formation uruguyenne du Nacional qui bénéficie du forfait de San Luis.

Brasileirão : Fluminense bat São Paulo FC d'entrée! Ce championnat démarre fort! Le tenant du titre depuis trois ans, le São Paulo FC, vient de chuter dès la première journée. N'en déplaise aux supporteurs du club, pour le suspense cette compétition ne pouvait connaître meilleur départ. Exploit au Maracanã C'est Fluminense, désormais dirigé par Pareira, qui a réussi l'exploit (1-0) avec le Maracanã pour témoin. Les Cariocas ont dominé leur adversaire pendant toute la rencontre et, à deux minutes de la fin, Mauricio marqua le but, décisif. Tout récent champion d'Etat, Corinthians a été battu par Internacional (0-1) alors que Ronaldo n'était pas sur la pelouse. A la 9e', Nilmar, l'ancien de Lyon a marqué le seul but de la rencontre. Corinthians était invaincu sur son terrain depuis 27 matchs. Cruzeiro bat Flamengo A la maison, Grêmio ressort déçu de son nul face à Santos (1-1). Rever avait ouvert la marque pour le club de Porto Alegre, mais le Colombien Mauricio Molina a égalisé d'un magnifique coup franc à quelques minutes de la fin. Cruzeiro, qui sortait juste d'une victoire sur les Chiliens d'Universidad (2-1) en Copa Libertadores, reste sur sa lancée avec une victoire (2-0) sur Flamengo... à dix contre onze à dix minutes de la fin. Les buts sont signés Kleber et Ramires. Peu de buts inscrits Vitoria n'a pas trop souffert contre Atletico Paranaense (2-0), le promu Santo Andre s'est battu pour décrocher le nul face à Botafogo (1-1). Cette journée a été marquée par un nombre minimum de buts inscrits. Pour en voir, des buts, mieux valait assister au match entre Goias et Nautico soldé sur le score de 3-3. Le samedi, Palmeiras est venu à bout de Coritiba avec un but signé Keirrison. Vanderlei Luxemburgo avait laissé plusieurs joueurs au repos en attendant le match de Copa Libertadores contre Recife Sport. Enfin, Avai et Atletico Mineiro sortent avec un nul (2-2) de leur match, tout comme Sport Recife et Barueri (1-1).

J'ai vu le match un magnifique raid solitaire ce but de nilmar. Un match dominé par le timao(corinthians) mais na pas réussi a marqué.

Flamengo veut Ronaldinho Après Adriano, Flamengo souhaite se payer les services d'une autre star... Ronaldinho, lequel a perdu sa place au Milan AC au profit de Clarence Seedorf. A Rio dès cet été? A Rio de Janeiro, on est convaincu que ce transfert spectaculaire est réalisable. Le déménagement pourrait se faire dès cet été. Le joueur avait déploré le nul de son équipe face à la Juventus de Turin (1-1) ce week-end. Il a même fustigé l'attitude de ses coéquipiers. Ce qui donne des ailes aux dirigeants cariocas. "On veut faire signer Ronaldinho. On a déjà pris des contacts avec son frère et agent", explique-t-on au club. Plus tôt que prévu? Au mois de mars, alors qu'il était au Brésil avec la Seleçao, le dribbleur fou avait confié qu'il se verrait bien, un jour, porter le maillot du Flamengo, plus tard dans sa carrière. Et si le "plus tard" arrivait plus tôt? (Sa serait un bon coup pour Flamengo un peu irréaliste au jour d'aujourd'hui mais pourquoi pas sa serait encore un bon point pour le brasileirao.)

Le Brasileirão 2009 est arrivé LA LONGUE GENESE DU BRASILEIRAO. Le Brésil, ce pays dont le c½ur a la forme d’un ballon rond, a un championnat encore tout jeune, qui a besoin de quelques rides pour prendre du poids. Il n’y a pas qu’un Brésil, mais plusieurs petits bouts de Brésil, avec tous ces Etats qui se suffisent à eux-mêmes la plupart du temps, en début d’année, dans une compétition régionale des plus populaires. Alors, pendant longtemps, on n’a pas trop vu l’intérêt d’un rendez-vous national. Les obstacles étaient grands, ils le sont toujours, ils ont longtemps semblé insurmontables. Déjà, il y a cette forte inégalité de niveaux. A Rio de Janeiro, on sait depuis longtemps manier la baballe, du côté de São Paulo ce n’est pas trop mal non plus. Ailleurs, au-delà de ces frontières historiques dédiées au football, ce fut bien moins évident. Le Minas Gerais est venu ensuite, puis le Rio Grande Do Sul, puis d’autres encore… Encore aujourd’hui, dans certains coins reculés on ne trouve guère plus de trois ou quatre clubs par Etat. Pendant des années, on a alors préféré organiser des rencontres entre régions sous forme de tournois. Pourquoi un championnat? Dès 1959, la Taça Brasil a ainsi offert la politesse aux meilleurs clubs venus des plus belles villes de futebol. Santos, avec Pelé, Pepe, Zito et leurs copains aux pieds de jongleurs, a ramené plusieurs fois cette coupe. Il en fut même le grand dominateur. Puis on a eu droit à la Robertão, de 1967 à 1970. Sur quelques jours, une quadrangulaire était organisée en un même lieu pour dégager le champion des champions. La formule plaisait, cela dégageait du suspense, avec une finale, des renversements possibles, cela sentait chaud l’odeur de la coupe. En 1971, la confédération nationale lance son premier championnat. L’Atlético Mineiro en est le premier vainqueur. Cela n’a l’air de rien, mais c’est une petite révolution. Belo Horizonte, ce n’est ni à Rio de Janeiro, ni à São Paulo mais c’est pourtant le premier empereur. On démarre avec trente clubs, on y trouve encore des quarts de finale avant la finale de tous les dangers et toutes les passions. L’esprit sud-américain est sauf, on garde la patte régionale. Belo Horizonte, cité des éclaireurs Peu à peu, pourtant, sous la pression d’un calendrier international bien fourni, d’une volonté de la FIFA, la régence de la planète au ballon rond, quelques clubs ont quitté le navire pour laisser place à une formule qui colle plus aux carcans européens. Depuis 2003, le championnat ne se dispute plus qu’à vingt, sans phase finale, avec les seuls matchs allers et retours de mai à décembre de la même année. Cela laisse de la place pour caser la Copa Libertadores, la Sul-Americana, les championnats du monde des clubs, des tournées… Alors bienvenue à ces voyages qui prennent le grand dans un pays aux dimensions d’un continent. De Porto Alegre, avec ses deux clubs que sont Grêmio et Internacional, Recife (Sport) il y a 977 kilomètres au compteur. Il y a deux ans, quand Fortaleza pointait encore en Série A, la première division locale (primeira divisão), on en comptait jusqu’à 4200. Pour l’histoire, le Cruzeiro de Luxemburgo, l’autre club de Belo Horizonte, est le premier à afficher son nom au palmarès de ce nouveau championnat. São Paulo en est le plus titré (6). QUE VAUT CE CHAMPIONNAT? Chaque année, plusieurs fois par an, même, le Brésil perd quelques-uns de ses plus jolis joyaux. Autrefois les stars partaient en premiers de cordée, histoire d’aller se dorer le portefeuille dans les championnats européens, aujourd’hui ce sont les espoirs qui filent au loin dès les premières promesses de talent. Alors forcément, quand on est Brésilien il n’est jamais facile d’y retrouver ses petits favoris, d’adorer à jamais au grand jour son équipe de toujours. Quand il y a moins de grands joueurs, un championnat y perd un peu de sa valeur, de sa sève. L’amoureux de la balle qui roule a de plus en plus de mal à s’identifier à ses grands joueurs. Ils sont souvent partis sous d’autres cieux, répondant à l’appel d’une autre monnaie. A Rio et ailleurs, il y a deux numéros fétiches, des porte-bonheur qui traversent les temps, le 10 symbole de chef d’orchestre du beau jeu, celui qu’a porté Pelé, Zico… et le 12, celui du douzième homme, du public en général, de la passion du jeu en particulier. Que porter d’autre aujourd’hui que les grands 10 ont filé ailleurs ? Plus le temps d’en trouver des remplaçants. Du sang neuf et des dollars Ce Brasileirão 2009 s’annonce plus tendre avec le c½ur des fans de la boule trotteuse. Dans sa hôte, il a ramené Ronaldo puis Adriano. Ces retours au pays pourraient passer pour des semi-retraites de joueurs à la gloire passée. Ce fut le cas, autrefois, avec Zico et Sócrates, puis Romário et Bebeto. Sauf que ces deniers attaquants-là, même avec leurs kilos dans la bedaine peuvent encore s’imaginer disputer une Coupe du monde. Non ils ne sont pas finis, ni cuits. A leur meilleur, ils pourraient faire rêver quelques grands clubs venus d’Europe. Ces deux-là peuvent apporter un sang neuf, malgré leur âge, à ce championnat, un regain d’intérêt, créer une nouvelle dynamique. La Coupe du monde 2014 approche, c’est le Brésil qui en sera l’hôte. En jeu aussi, la candidature de Rio de Janeiro pour les Jeux olympiques en 2016. L’an dernier, il y a eu aussi les Jeux panaméricains... tous ces rendez-vous sont en train de créer un énorme champ économique. Les grands travaux ne devraient pas tarder à démarrer, avec la réfection de stades en piteux états, souvent. De futurs intérêts économiques? Toutes ces compétitions qui s’annoncent ou s’espèrent, cela attire de nouveaux partenariats, met en branle des circuits d’argent encore vierges. Le Brésil est un pays riche de quelque 170 millions d’habitants, qui adorent le football. Le potentiel n’est pas inintéressant pour qui veut investir et communiquer. L’intérêt marketing est fort, les sous sont appelés à affluer dans les clubs. Le business du ballon est appelé à grandir plus fort encore, à se structurer, à se construire des infrastructures plus solides, à rameuter d’autres grands joueurs. Le retour de Ronaldo n’est pas seulement dû à la bonne volonté des Corinthians, sa nouvelle demeure. Derrière cette transaction il y a Nike, la marque américaine à la virgule, par ailleurs partenaire historique de la Seleção. Que le joueur au double Ballon d’Or soit de retour n’est pas qu’une seule question de sport, il y a de réels enjeux à gros dollars derrière tout cela. La même situation est attendue pour d’autres. La Coupe du monde 2014 est une chance pour le pays. Avec plus de moyens économiques, le flux migratoire peut se ralentir, s’inverser ? UNE QUESTION DE STYLES La richesse du Brésil, c’est sa diversité. C’est une évidence, un lieu commun presque. Quand on parle football, c’est tout aussi vrai. La Seleção a cette chance unique de pouvoir piocher dans tous ces clubs venus de tant d’Etats où l’on ne joue pas avec le même style. Il n’y a pas une manière de jouer à la brésilienne, mais plusieurs. Un Flamengo – Fluminense ne ressemble pas à un Palmeiras – Santos. On joue comme on est. Et, au Brésil plus qu’ailleurs, les gars du Sud ne ressemblent pas à leurs lointains voisins du Nord. Au Sud, au Rio Grande Do Sul, avec Grêmio, Internacional et Figueirense, le football y est physique, avant tout collectif, où l’on met en avant la solidité défensive. Dunga, l’actuel sélectionneur national, vient de cette école. Le climat y est rigoureux, pour un Brésilien c’est le pôle Nord… le thermomètre descend jusqu’à 5°C et cela leur donne froid dans le dos. Il arrive même qu’il neige ! Quand il débarque là-bas en match, un Pauliste prévoit doudoune et gants de fourrure. Le jeu y passe par une bonne défense. Le Carioca technique, le Mineiro travailleur A Rio de Janeiro, à Flamengo ou Fluminense, le Carioca, lui, préfère le spectacle. Il apprécie l’enthousiasme, la technique. On lui trouve parfois un côté provocateur, le dribbleur aimant titiller la fierté du défenseur soudain pas touché. A São Paulo, chez les Corinthians par exemple, l’organisation de jeu y est plus sérieuse, plus tactique. Là où le Carioca aime la spontanéité, le Pauliste préfère mettre en place toute une stratégie. Aujourd’hui, c’est le football qui paye, le triplé de Sao Paulo FC le montre. Dans sa structure, ce club est ce qu’il y a de plus européen, avec un marketing qui marche, des installations correctes, un banc de touche capable de mener plusieurs barques en même temps, des jeunes qui poussent derrière. A Bahia (Vitória), c’est plus africain, on s’y montre capable de tout, le pire comme le plus beau. Et le Mineiro, avec Cruzeiro et Atlético Mineiro ? Il se montre proche du Pauliste, comme sa géographie. Lui a l’image du bon travailleur, du besogneux, du gars qui s’en va sur le terrain pour le labourer et en retirer le bon grain. CE CHAMPIONNAT EST-IL POPULAIRE? C’est dur d’être supporteur au Brésil ! Chaque année, il y a des joueurs qui s’en vont, quittent la mère patrie du beau jeu. Pire, quand on démarre un championnat avec une équipe et ses joueurs, on n’est jamais sûr de pouvoir s’enthousiasmer pendant toute la saison avec le même effectif. L’Europe a commis la bourde d’instaurer le mercato, le Brésil subit l’intersaison venue du Vieux Continent qui vide chaque été les effectifs du Brasileirão. Jusqu’en septembre, les torcedores ne sont jamais sûrs de la fidélité de leurs favoris. Forcément, cela plombe l’ambiance et vide plusieurs travées de spectateurs. Se payer une place en match n’est pas non plus à la portée de toutes les bourses au Brésil. Les prix ne sont pas toujours à la hauteur du public le plus populaire. Avec toutes ces chaînes de télévision, avec ces stades où la violence gangrène l’atmosphère sur pas mal de rencontres, il devient parfois difficile de se décider, surtout en famille, à vouloir venir vibrer en direct live et en communion avec l’équipe élue de son c½ur. Un championnat peu « brésilien » Et puis il y a ce championnat, qui colle à la mode européenne depuis 2003 mais n’est pas vraiment ce qui plaît le plus aux publics de Rio et Porto Alegre. Ici on adore les phases finales, on aime ces matchs où tout se joue, à la vie à la mort, sur un coup de dés. C’est l’essence même du football, sur quatre-vingt-dix minutes sans possibilité de se refaire. Il est plus facile d’attirer les foules pour une finale Corinthians-Flamengo – les deux clubs les plus populaires au pays – que pour un Vitória-Avaí perdu en milieu de saison. Le Brasileirão pâtit là de la concurrence avec le championnat d’Etat où, à chaque fois, c’est la suprématie locale qui est en jeu. On y défend le quartier ou la ville contre un voisin jugé envahissant dont on cherche à prendre une revanche, sur qui on veut asseoir une autorité certaine. Les premières journées du « national » sont rarement suivies par de grandes foules. D’ailleurs, le départ de cette compétition ne fait pas se lever les foules, la ferveur n’y est pas. Prière d’attendre un peu, quand un classement se dessinera, que les enjeux seront affichés. Les stades attendent Ronaldo Devoir patienter trente-huit journées avant de connaître l’issue d’une compétition, c’est jugé trop long pour un Sud-Américain. En Argentine, d’ailleurs, on a gardé une formule plus locale, avec plusieurs championnats en un, donc plus de rebondissements possibles. Devoir laisser les bulles dans la bouteille de champagne jusqu’en décembre, c’est trop long. Entre-temps il y aura quelques affiches, avec des Fla-Flu et les sorties guettées des Corinthians, avec « le gros » (Ronaldo) pour vedette à remplir l’affiche et les stades. Un autre piment sera de comparer les Etats, à savoir si les représentants de Rio de Janeiro seront aussi dignes que leurs ancêtres des années 1980… ce qui n’est pas gagné. Ce Brasileirão est l’instrument de mesure idéal pour jauger l’excellence d’un club. Toutes ces journées qui s’étalent ne laissent que peu de places au hasard. Ceux qui en sortent gagnants ne peuvent être des faire-valoir. D’ailleurs, plusieurs artistes de renom venus d’Argentine (Sorin, D’Alessandro, Maxi Lopez…), du Chili et du Paraguay ont choisi le Brésil pour y briller. FAVORIS ET REVELATIONS ATTENDUES Six fois le São Paulo FC s’est offert ce championnat. Depuis trois ans, il a même pris un abonnement exclusif et renouvelable si affinités. Dans ce club, aujourd’hui, il y a toute une culture de la gagne, un sentiment de force, une dynamique. L’effectif est fort sans avoir vraiment de stars, il est surtout complet dans toutes les lignes, homogène, sûr de lui. Il a ses repères, aussi bien sur le terrain que dans la gestion des journées qui passent avec leurs lots de bonnes et moins bonnes surprises. C’est de nouveau le favori. Muricy Ramalho est sans doute ce qui se fait de mieux au Brésil en terme d’entraîneur, il pourrait bien être un futur sélectionneur. Dans ses rangs on trouve Hernanes, Dagoberto, Washington, Miranda l’ancien de Sochaux qui prend son pied depuis qu’il est rentré à la maison, Rogério Ceni le gardien buteur, Eduardo Costa lui aussi tout heureux d’avoir quitté une Ligue 1 ennuyeuse. Bref, c’est du solide. A peine revenus en Série A, les Corinthians s’offrent l’ambition du titre, de la Copa Libertadores, des championnats du monde des clubs. São Paulo FC l’éternel favori Quand on a dans ses rangs un buteur de la classe de Ronaldo, on ne se refuse rien. Sinon, l’effectif a peu changé. Dentinho attend de grandir auprès de son dieu. Il y a aussi Douglas et puis André Santos. Parmi les autres prétendants on trouve toujours les mêmes, à savoir Santos, Cruzeiro, Internacional, Grêmio, Palmeiras, Flamengo et Adriano, Fluminense aussi depuis que Parreira a repris les rênes, avec Fred à l’attaque, Thiago Neves, Everton Santos, Leandro Amaral… Bref, les candidats sont nombreux et c’est ça la force de ce Brasileirão. Vu d’Europe, le Brésil est une mine de pépites en forme de génies en culottes courtes et aux pieds magiques. Ils sont de plus en plus jeunes, ils sont pleins de promesses. Ce qu’il y a de plus beau dans cet arc-en-ciel aux couleurs du football, c’est qu’il semble ne jamais s’épuiser. Cette année encore, les révélations ne manquent pas. Il y a d’abord André Santos, l’arrière gauche des Corinthians. Technique, rapide, athlétique, ce joueur est complet. Ses centres sont précis, il est aussi buteur à ses heures. En Seleção il y a une place à prendre, il se dit prêt. Dentinho, le nouveau Ronaldo? A Santos, on trouve Neymar. Il n’a que dix-sept ans et pourtant, on suit sa trace depuis des années. De lui on attend ce qu’il y a de mieux. D’ailleurs, le Real de Madrid ne l’a pas perdu de vue depuis plusieurs saisons. Sa technique est hors pair, il est vif. Il manque juste d’expérience et il reste fragile dans son physique. Le diamant est là, tout reste à construire. Il ressemble un peu à Robinho au même âge. En championnat d’Etat il a multiplié les matchs, on l’a souvent vu titulaire, décisif, pesant sur les matchs. Keirrison est désormais la perle de Palmeiras. La saison dernière, il évoluait sous les couleurs de Coritiba, il termina parmi les meilleurs buteurs du Brasileirão. Il était la grande révélation de l’année. Après une compétition régionale en demi-teinte, on attend de lui qu’il retrouve ses repères. Pas bon de la tête, il est vif et technique. Dentinho ressemble au Ronaldo à ses vertes années, il a la même explosivité, une technique forte. Le gamin des Corinthians doit juste muscler. (désolé si ce poste est long mais je trouve que c'est un bon résumé du Brasileiro pour ceux qui ne connaisse pas trop ce championnat et pour ceux a qui sa intéresse.)

Journée: 1 09/05/2009 Palmeiras x Coritiba 2-1 Sport Recife x Barueri 1-1 Avaí x Atlético Mineiro 2-2 Corinthians x Internacional 0-1 Atlético PR x Vitória 0-2 Fluminense x São Paulo 1-0 Cruzeiro x Flamengo 2-0 Grêmio x Santos 1-1 Goiás x Naútico 3-3 Santo André x Botafogo RJ 1-1 Classement 1. Cruzeiro 3 2. Vitória 3 3. Palmeiras 3 4. Fluminense 3 5. Internacional 3 6. Goiás 1 7. Náutico 1 8. Atlético Mineiro 1 9. Avaí 1 10. Barueri 1 11. Botafogo 1 12. Grêmio 1 13. Santo André 1 14. Santos 1 15. Sport Recife 1 16. Coritiba 0 17. Corinthians 0 18. São Paulo 0 19. Atlético-PR 0 20. Flamengo 0 Buteurs Felipe (Goiás) 2 Alessandro (Atlético Mineiro) 1 Carlos Alberto (Atlético Mineiro) 1 Evando (Avaí) 1 Muriqui (Avaí) 1 Pedrão (Barueri) 1 Victor Simões (Botafogo) 1 Marcelinho Paraíba (Coritiba) 1 Kléber (Cruzeiro) 1 Ramires (Cruzeiro) 1 Maurício (Fluminense) 1 Júlio César (Goiás) 1 Rever (Grêmio) 1 Nilmar (Internacional)1 Asprilla (Náutico) 1 Carlinhos Bala (Náutico) 1 Gilmar (Náutico) 1 Keirrison (Palmeiras) 1 Willians (Palmeiras) 1 Nunes (Santo André) 1 Molina (Santos) 1 Igor (Sport Recife) 1 Leandro Domingues (Vitória) 1 Wallace (Vitória) 1

Santos rejette l'approche de Vieri Ancien de l'Inter, de la Juventus, du Milan AC... l'attaquant italien Christian Vieri est toujours à la recherche d'un nouveau club depuis qu'il a rompu son contrat avec la Fiorentina. Flamengo, Corinthians... Ces derniers temps, alors que le championnat national démarre, il était en contacts avec plusieurs clubs. Lui espérait y relancer sa carrière tout comme le fait actuellement son ancien copain de l'Inter, Ronaldo. Des approches ont ainsi eu lieu avec Corinthians, avec Flamengo (qui a préféré reprendre un Adriano en pleine déprime) et Santos. Il a été rejeté de partout. A Santos, on ne s'est pas montré très convaincu par la forme de l'Italien, de son manque de compétition alors qu'il a quitté l'Atalanta en avril. Santos "pas intéressé" Vagner Mancini, l'entraîneur de Santos, a admis avoir reçu une proposition. "On ne connaît pas vraiment sa forme actuelle, ni les conditions d'une éventuelle venue. En plus, nous ne sommes pas intéressés."

Santos rejette l'approche de Vieri Ancien de l'Inter, de la Juventus, du Milan AC... l'attaquant italien Christian Vieri est toujours à la recherche d'un nouveau club depuis qu'il a rompu son contrat avec la Fiorentina. Flamengo, Corinthians... Ces derniers temps, alors que le championnat national démarre, il était en contacts avec plusieurs clubs. Lui espérait y relancer sa carrière tout comme le fait actuellement son ancien copain de l'Inter, Ronaldo. Des approches ont ainsi eu lieu avec Corinthians, avec Flamengo (qui a préféré reprendre un Adriano en pleine déprime) et Santos. Il a été rejeté de partout. A Santos, on ne s'est pas montré très convaincu par la forme de l'Italien, de son manque de compétition alors qu'il a quitté l'Atalanta en avril. Santos "pas intéressé" Vagner Mancini, l'entraîneur de Santos, a admis avoir reçu une proposition. "On ne connaît pas vraiment sa forme actuelle, ni les conditions d'une éventuelle venue. En plus, nous ne sommes pas intéressés."

Brasileirão 2009 : Sans Ronaldo, Corinthians s'incline Le Corinthians recevait au Pacaembu pour le compte de la première journée du championnat national, l’Internacional. But de Nilmar, l'ancien de Lyon Le Timão, sans Ronaldo. Après un tout début de rencontre équilibré, l’Internacional ouvrait la marque à la 8e’ par Nilmar qui après avoir éliminé quatre adversaires, ajustait d’une frappe du pied droit Felipe. Malgré une chaude alerte à la 43e minute pour l’Internacional qui fût proche de doubler la marque après un excellent travail de Nilmar, ce dernier éliminait dans un trou de souris son défenseur et centrait en direction de Tailson qui, seul, au second poteau manquait de peu le cadre. Corinthians court toujours... Nilmar et D’Alessandro, les atouts majeurs de l’Internacional, se seront montrés à leur avantage durant cette première période. La seconde période débutait avec les vingt-deux mêmes acteurs et l’Internacional, maître du jeu avec un milieu bien plus entreprenant. Cette seconde période n’a pas été à la hauteur de la première avec une formation des Corinthians qui a couru derrière une égalisation. Dès samedi contre Botafogo L’Internacional comptait, après la sortie D’Alessandro à la 27e minute, sur le seul Nilmar pour tenter de marquer un second but. Ce dernier cédait sa place à Alecsandro à la 40e minute. Le score ne bougera plus jusqu’au coup de sifflet final, il voyait le Corinthians chuter à domicile et l’Internacional prendre ses trois premiers points. Le Timão devra réagir très vite et ce dès samedi prochain sur la pelouse du Botafogo. Le Timão a évolué dans la composition suivante: Felipe; Renato, Jean, Diego, Diogo (Alessandro), Cristian, Jucilei (Dentinho), Boquita e Wellington Saci (Otacílio Neto), Lulinha, Souza

Championnat d'Amsud-17 : Le Brésil champion Cette nuit, sur la pelouse du stade Tierra de Campeones de Iquique s’est disputée la finale du treizième championnat d’Amérique du sud des moins de 17 ans. Une rencontre qui a connu son épilogue à l’issue de la fatidique séance des tirs au but remportée 6-5 par les jeunes protégés de Lucho Nizzo. Le Brésil conserve son titre son neuvième dans cette compétition. Un clasico haut en couleurs au cours duquel l’arbitre bolivien a distribué pas moins de neuf avertissements. Ce sont les Brésiliens qui trouvèrent les premiers la faille dans la défense adverse à la 4e minute par Zezinho qui trompait Martinez pour inscrire son second but personnel. Ce score n’évoluera plus jusqu’au coup de sifflet mettant un terme à la première période. En seconde mi-temps, le Brésil prenait ses distances en inscrivant un second but à la 65e’ par l’intermédiaire de Coutinho, son troisième de la compétition. Mais dans la foulée, l’Argentine réduisait une première fois le score grâce à Gonzalez, on s’acheminait vers une victoire étriquée, lorsque les Brésiliens concédaient un penalty que transformait à la 88e’ minute Espindola. Plus rien ne sera inscrit et il fallu recourir à la séance des tirs au but pour départager les deux équipes. Une séance qui a finalement souri aux Canarinhas. Mauricio ayant inscrit le tir vainqueur. Une victoire qui permet à la Seleção d’empocher son billet pour le Mondial de la catégorie qui se déroulera au Nigéria, du 24 octobre au 15 novembre prochain.

Cruzeiro champion avant même le match retour Avec un score de 5 à 0 en faveur de Cruzeiro face à son ennemi juré, l'Atlético Mineiro, en finale aller du championnat Mineiro, Cruzeiro a quasiment assuré son 35ème titre de champion d'Etat. La mission s'avère impossible pour l'Atlético avant le match retour dans une semaine : battre Cruzeiro de 6 buts alors que Cruzeiro est invaincu en 16 matchs de championnat et que Cruzeiro a battu l'Atlético à 3 reprises cette année en 3 confrontations (4-2 en amical en Uruguay, 2-1 en championnat, et donc 5-0 en finale). Les buts sont à mettre aux comptes de Kléber, Léonardo Silva par deux fois, et un doublé de Jonathan. championnats d'Etats : les tendances après les finales allers A Rio, le nom du champion est encore flou. S'agira-t-il de Flamengo (double tenant du titre) ou de Botafogo? Après un match aller à rebondissement et un score final de 2 à 2 (1-0 pour Flamengo, 2-& pour Botafogo, et finalement 2-2), la décision se fera au match retour. En revanche, à São Paulo, Ronaldo a fait le break pour Corinthians face à Santos (3-1). Le match retour au Pacaembu s'annonce donc comme une formalité. Dans le championnat de l'Intérieur de São Paulo, Ponte Preta compte aussi deux buts d'avance avant l'ultime match (2-0 face à Barueri, à Campinas). Une formalité, c'est bien ce qui attend Cruzeiro face à l'Atlético Mineiro. Avec un avantage de 5-0, il n'est pas concevable que le championnat du Minas Gerais lui échappe cette année. Victorieux sur le terrain de Bahia (1-2), Vitória a fait un pas décisif vers son troisième titre de champion de Bahia d'affilé. Cependant, il devra rester méfiant avant le match retour. En effet, au cours de la première phase, Bahia s'était imposé 2 à 0 au Barradão. Le même résultat la semaine prochaine sacrerait Bahia. Suprise à Goiás; le Goiás EC s'incline 2-1 face à l'Atlético. Mais avec ce score serré, rien n'est encore joué. Le score est également serré entre Fortaleza et Ceará (2-1) en finale aller du championnat cearense. 2-1 fut le score d'une autre finale : celle du District Federal entre Brasiliense et Brasília. Le premier titre catarinense pour Avaí depuis 1997 n'est peut-être pas pour cette année. Le promu en première division brésilienne s'est incliné 3-1 face à Chapecoense.

Ronaldo, super héros d'un Corinthians (presque) champion Avec deux buts à son actif, et une victoire 3 à 1 sur le terrain de Santos en finale aller, Ronaldo et les Corinthians sont presque assurés de remporter le championnat paulista. Après l'ouverture du score de Chicão, c'est "Il Fenomeno" qui va doubler la mise à la 25ème minute. Lancé en profondeur, dans le dos de la défense, il ne manque pas de sang-froid pour remporter son face-à-face avec le gardien Fabio Costa. Triguinho redonnera espoir à Santos en début de seconde période. Et sans Ronaldo, Santos aurait peut-être eu sa chance pour le match retour face à une jeune et inexpérimentée équipe de Corinthians. Mais avec un nouveau but, venu d'ailleurs, Ronaldo a presque tué tout le suspens. Sur l'aile droite de l'attaque, il dribble son défenseur en faisant passer le ballon derrière sa jambe d'appui et enchaîne avec un lob de 25 mètres. Trop avancé, Fabio Costa est une nouvelle fois impuissant. Toujours invaincu en 22 matchs, Corinthians est proche de son 26ème titre de champion paulista (record de l'Etat) et de son premier depuis 2003. Pour Ronaldo, il s'agit de ses 7ème et 8ème buts en 8 matchs (la moyenne d'un but par match est également respectée en phase finale : 3 buts en 3 matchs). La saison de Ronaldo aux Corinthians est donc plus que positive. Très critiqué pour son mode de vie, Ronaldo était donné fini. Le joueur a répondu sur le terrain à tous ses détracteurs. Et désormais, le meilleur buteur de l'histoire des coupes du monde brigue même un retour en Seleção. A 32 ans, et après plusieurs blessures graves, Ronaldo n'a pas fini de surprendre.

Retour à la maison pour Mozart Le milieu de terrain Mozart fait son grand retour au Brésil après neuf années passées en Europe. Cet ex-grand espoir du football brésilien défendra les couleurs de Palmeiras qui a annoncé l'avoir recruté hier. Mozart a joué une année en France à Bordeaux où il ne sera resté qu'une année mais il a passé cinq saisons dans le Calcio au sein de la formation de la Reggina avant qu'il ne rejoigne la Russie et le Spartak Moscou de 2005 à 2009. Son arrivé fait suite aux blessures d'Edmilson et de Sandro Silva au milieu de terrain du Verdão.

Naútico-Criciúma, rien d'une affiche et pourtant... Après un match nul 2-2 en 16ème de finale aller de la Copa do Brasil à Criciúma (Etat de Santa Catarina) entre l'équipe locale et Naútico, la qualification allait se jouer au retour à Recife. Vainqueur de l'épreuve en 1991, Criciúma ouvrait le score dès la 6ème minute par l'intermédiaire de Kempes. Mais devant leur public, les Pernambucanos reviennent au score avec un but de Derley à la 17ème minute. A un partout à la mi-temps, Naútico est virtuellement qualifié au bénéfice des buts marqués à l'extérieur. Mais Kempes redonne l'avantage et la qualification aux siens avec un penalty à la 68ème minute. L'égalité parfaite sur l'ensemble des deux matchs fait suite à un nouveau pénalty, pour Naútico cette fois-ci. Il est transformé par Gilmar à la 82ème minute. Désormais il ne reste plus que 8 minutes de jeu pour faire la différence d'un côté comme de l'autre. Et finalement, les joueurs locaux, après avoir été menés à deux reprises, prennent l'avantage pour la première fois du match à la 85ème minute. Le but de Juliano évite une séance de tirs aux buts et donne la qualifications à Naútico. Naútico espère imiter Sport, son voisin de Recife sacré l'année dernière dans cette épreuve. Son adversaire en 8ème de finale sera le champion du Rio Grande do Sul, Internacional. Les autres rencontres: Flamengo - Fortaleza CSA - Coritiba Americano - Ponte Preta Goiás - Fluminense Atlético Paranaense - Corinthians Vitória - Atlético Mineiro Vasco da Gama - Icasa

Ba-Vi, la finale des frères ennemis Reportées de 24 heures à cause des fortes pluies qui se sont abattues sur Salvador, les demi-finales retours du championnat baiano ont vu les victoires des deux grands club de l'Etat, Bahia et Vitória, sur le même score de 3 à 1. Après avoir été mené 0-1 par Fluminense de Feira de Santana (but de Dudu à la 29ème), Bahia a réagi par l'intermédiaire de Léo Medeiros, Nen et Beto. De son côté, Vitória est venu à bout de l'Atlético Alagoinhas grace à un triplé de Neto Baiano. L'Atlético a réduit le score avec un but du bien nommé Robinho. Vitória a terminé la première phase devant Bahia, mais Bahia est venu s'imposer 2 à 0 sur la pelouse de Vitória avant de concéder un match nul 0-0 à domicile. La finale Ba-Vi s'annonce donc indécise. Vitória espère remporter son troisième titre d'affilé alors que Bahia vise son premier titre depuis 2001.