Olibrius
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209À propos de Olibrius
- Date de naissance 04/11/1989
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Tout en délicatesse aujourd'hui. A su faire jaillir des colombes au milieu de cette sombre mêlée. Sa vision de jeu est plutôt réconfortante, également. Mine de rien il s'est aussi tempéré sur ses ruées d'âne enragé et ce n'est pas du luxe. Ça lui permet d'être plus en contrôle sur son placement et de faire une rampe de lancement intéressante au sortir du pressing. Bon il est pas imperméable en duel mais leur couverture avec Coquelin laisse entrevoir des perspectives juteuses, une fois les automatismes goupillés. D'autant que ça apporte quantité de choix pour le miljeu de terrain. À Wenger, fort d'avoir eu le nez creux, d'en être inspiré à pleins poumons.
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Nan mais t'as sans doute raison: Özil est sur la pente descendante et Wenger avec son amour de la routine et des joueurs planplans a continué de l'aligner en toute impunité et au sus de fans passablement offusqués de vois un joueur bardé de tels passe-droits. Je pense même qu'à l'heure actuelle Wenger est en train de claquer toute l'argenterie de la cantoch' pour aller se faire des séjours à Walliby avec l'oncle Stan. Ne soyez pas bourriques deux secondes messieurs les détracteurs énervés et attaquez Wenger, qui n'est pas le roi des charlots comme on aime à le présumer ici aussi, sur sa passion maladive pour Arsenal qui le conduit à faire des excès de conservatisme et de possessivité.
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On est bien d'accord sur l'apport quasi-nul, voire la sclérose patente dans laquelle a plongé le championnat français, déjà légendaire pour ses passe-d'armes fulgurantes, à la suite de l'arrivée "prodigue" du PSG. Ce qui par contre est complètement déplorable c'est l'obscène avec lequel les médias, d'une manière générale, de même que la grande chasse aux dindons des politiques, en quelque sorte les évangélisateurs d'opinion, se mêlent non pas même de vanter l'action de ces nababs mais d'en assurer la promotion en service continu. Faut voir l'air, le snobisme d'idiotie résolue, avec lequel la potiche de Bein se sent de rembarrer le mélo Aulas quand celui-ci, enfin, décide de monter au créneau sur la présence néfaste d'un tel PSG. La voilà qui déclenche sans s'alarmer "tirer le championnat vers le bas", "rayonnement dans l'Europe", clauses de bienséance qui figurent à n'en pas douter en lettres d'or dans la Convention Collective de Beinsport. On l'entendrait presque dire: "voyons m. Aulas il se fait tard, vous ne voyez pas que la sénilité vous guette ? Allez rentrer dans votre maison de retraite saloper vos draps et prendre votre ration de compote tout en n'oubliant pas que si les mercredis soirs le prestige s'invite dans votre salon de RMIste en puissance, c'est quand même parce que le Prince est un philantrope qui n'a de soin assez prodigue pour ses sujets."
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Il a enfilé MU très sec avec le transfert Pogba gratuit pour la Juve. On ne serait pas loin du scandale s'il ne s'occupait pas actuellement de leur reboucher le fion avec du charbon.
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Et puis nous nous y trompons pas: dans l'affaire c'est quand mêtes la Juve qui s'en tire avec un business plan aux petits oignons.
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Merci de me rafraîchir les idées. J'avais complètement oublié que Manchéquier était une des équipes les plus laborieuses à voir jouer depuis un bail. Mais visiblement leur plan de jeu est inscrit au dos de la facture.
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Entre le monde des bisounours et celui des extra-terrestres je me demande lequel a le plus besoin d'atterrir...
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Ce serait sans doute complètement grotesque de voir Pogba revenir au bercail en essuyant ses gros sabots sur le tapis rouge. Le football est décidément un jeu qui ne se joue plus qu'avec des jokers.
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Aussi à l'aise avec ses pattes qu'un pélican dans un escalier. Il a quand même tendance à bourriner quand il est aussi peu sûr techniquement.
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Comme l'ont souligné sans s'ébahir mes prédécesseurs, cet article est le raffinement le plus lourd et le plus indécent de l'exercice fécal de journaliste sportif. Un paquet de m**** enrubanné par son petit intestin croupi. Le pire c'est que ces pauvres cancres de ce journal foireux, non contents de nous pondre leur praline fumante en se basant sur des propos secs et niais de Garriviste Neville, s'ébaudissant, éclaboussent des gens honnêtes en se vautrant dans leur diarrhée gourmande. "Sans rentrer dans le débat des statistiques de Coquelin (rappelons seulement que les statistiques défensives dans le football sont un domaine où les erreurs d’interprétation sont fréquentes), intéressons-nous à la critique initiale de Gary Neville à travers quelques données." Moi qui croyais que c'était la niaiserie qui guidait leur obscénité journalistique, non, voici un témoignage poignant de bêtise décomplexée ! Bravaches ils se permettent une permettent une petite pique assaisonnée à l'aigreur à l'endroit d'Arsène Wenger. Comme si sa sortie sur le terrain statistique les avaient échaudés et qu'il fallait rappeler au petit vieux que c'était leur joujou et que son usage était déconseillé pour l'exercice intellectuel. Après, l'argumentation, que dis-je, la démonstration de force est virtuose. A mettre à leur crédit y'a de très jolis graphiques, pour faire une déco un peu pêchu dans les kiosques. Il s'agit toutefois de pro-stats qui s'asticotent pour exposer, fort heureusement sans analyse ni corrélation superflue, que plus c'est gros plus ça marche. Comme un symbole de la performance bondissante de leur nouvel arsenal d'analyse. Au moins maintenant, c'est clair et définitif, merci messieurs les journalistes, pas besoin de s'encastrer des balises dans le cervellé quand on peut faire du freestyle avec son intestin et dans les stats ne garder que leur pure nullité. Si seulement Cazorla avait bouffé plus de saucisses pendant ses vacances et que Coquelin s'était allongé la bite avec un pinceau on serait à un poil de couille de remporter le trophée. Remarque tout de même Tib que je n'ai aucun grief envers toi, bien que tu t'appuies sur un article daubé du cul pour ferment d'une opinion. C'est normal dans cette histoire qu'on soit parfois tenté de croire que la statistique a une existence bien réelle puisqu'on nous la serine à tout bout de champs. Quelque part et à la longue on est victime de rabâchage continuel. Je serais presque tenté d'éprouver de la compassion envers ayoub et verser dans le sentimentalisme grotesque tant la statistique, ce marché noir de l'analyse, est devenu monnaie courante dans les débats.
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Je suis d'accord avec ces braves philanthropes qui défendent Özil. Après n'ayant pas ma paupière qui frétille comme le jupon d'une midinette au premier coup de bluff, je me suis peut-être laissé abuser par une prestation d'Özil, il est vrai, sans fioritures. Il m'a quand même semblé le voir mener le coeur du jeu comme la petite aiguille mène la grosse dans son dédale rythmique. Ce n'était pas du tiki-taka plein d'esbroufe, mais un tic-tac précis pour mener cadence vivace aux abords de la surface. Sa disponibilité dans les relais courts, ses courses vers l'avant et à l'écart en contre, son placement plutôt vigilant à la relance, ont, je trouve, compensé un peu les prises d'initiatives un peu lourdes de Sanchez et de fluidifier le jeu sur le côté gauche. Était-il possible d'éclaircir le jeu d'avantage avec un Cazorla très timoré ? Je pense que c'est beaucoup demander à notre 10, certes imposteur des héros de légende et qui n'a pas la stature pour prétendre à bonifier le jeu de son équipe, régler le tempo, multiplier les appels, remonter le ballon verticalement, créer des points de décrochage, aspirer et décanter le jeu et amener les serviettes avant la rentrée au vestiaire. C'est à peine si on ne reprochait pas à Özil son manque d'omniprésence et d'omniscience. Et puis pour l'exercice d'enluminures de zgeg pour savoir "qui c'est qui de Özil ou Moutinho bolosse l'autre", n'est-il pas envisageables que les registres sur ce match furent différents et les performances louables dans les deux cas puisque leurs bonne mi-temps respectives coïncidèrent avec le regain d'intentions de leurs équipes ?
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Entre un Coquelin qui rentre à la niche que lorsqu'il a bien moissonné toute la barbaque et un Cabaye, bien apprivoisé, et qui sait "rattraper et lancer loin la baballe", je crois que le choix de Stéphan et Deschamps est tout fait pour le caniche qui aura l'honneur de garder son troupeau d'herbivores apathiques. Ca fait belle lurette qu'en tout cas Deschamps ne s'est plus foulé pour faire des choix folichons en vue de la sélection.
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Légal ou pas, la velléité de réguler un marché aussi aléatoire et frénétique que celui-ci du football, lequel est globalement dominé par des investisseurs aux porte-feuilles aussi élastiques qu'ils ont les idées courtes, était plutôt débonnaire. Puis la légalité recourue avec le modèle européen en ligne de mire c'est une cochonnerie sans nom quand on voit comment la fraude et les privilèges avancent nombril au menton et les yeux bandés dans la grande braderie européenne... Mais enfin cette décision est une aubaine. Déjà parce que Platoch' pourra plus faire semblant de prôner la diète en confisquant le dessert. Ensuite parce qu'on n'entendra plus les clients parisiens avoir la gorge pleine de trémolos au moment d'évoquer tous ces millions qu'ils n'auront la gloire de jeter comme des mouchoirs usagés, et se faire contre Madrid et Barcelone leur croisade à la modernité. Enfin parce que ça permettra à l'Equipe et autres honnêtes devantures d'abreuvoir (France Football, le Parisien...) de ne plus nous bassiner avec leur campagne de réhabilitation de l'opprimé. On va manger de la galette au purin toute l'année mais on sera trop goinfré pour avoir le souffle de roter dans la bassine.
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Un peu rude comme solution quand même pour corriger Mertesacker. Certes Mertesacker nous l'a fait à la tyrolienne mais ce n'est pas normal qu'il en arrive défendre si haut et aussi excentré.
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Il devrait surtout filer son dealer à Özil, ça le réanimerait peut-être de sa goûte le pauvret !