Aller au contenu

Chers Gooners, pour soutenir le forum, merci de désactiver votre bloqueur de pubs !

Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

fissure

Membre
  • Compteur de contenus

    5537
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par fissure

  1.  

    ANG, Arsenal - Vieira dans le staff du club ?

     

     

     

    Alors qu’il joue encore du côté de Man City, Patrick Vieira serait pressenti pour intégrer le staff technique d’Arsenal, son ancien club, dans un futur proche.

    Presque six ans après l’avoir quitté, Patrick Vieira va-t-il faire son grand retour à Arsenal ? The Daily Star Sunday, un célèbre tabloïd britannique, pense que oui. Dans son édition d’aujourd’hui, il a fait savoir que l’ex international français pourrait bientôt devenir l’adjoint d’Arsène Wenger chez les Gunners, dans le cas où Pat Rice (61 ans), l’actuel assistant du technicien alsacien, venait de partir à la retraite. Une source proche du club londonien aurait, par ailleurs, confié : « Patrick sent qu’il est tout proche de la fin de sa carrière et il a encore une grande affection pour Arsenal et Arsène. Un rôle d’entraîneur serait idéal pour lui, mais tout dépendra de ce que Pat Rice décidera cet été ». Vieira (34 ans) a disputé 279 matches et marqué 29 buts pour Arsenal entre 1996 et 2005.

  2. Pour moi Bendtner a du mal a retrouver le niveau qu'il avait pendant la fin de saison dernière(vers le match retour contre le Barça et même un peu avant),quand il va retrouvé ce niveau là,Chamakh aura du soucis a se faire! :wink2:

  3.  

     

     

     

    Nasri a aussi prit la place d'Henry dans le Bus d'Arsenal :D

     

    Ah c'est vrai j'avais oublié cette histoire de m****,d'ailleurs c'est pas Henry qui avait dit que Samir n'avait pas de respect pour les anciens de l'EDF?:heu:

  4. A la fin du match on voit Wenger parlé avec l'arbitre assistant(Dean je peux pas le voir cette arbitre!) et il avait l'air de dire a Wenger ou de faire comprendre a notre coach qui est toujours en train de critiquer les erreurs d'arbitrage mais je suis tout a fait d'accord avec Arsène car là il y'a de l'injustice flagrante!Même le gars au bout du terrain l'aurait vu,c'est dégeulasse!:protest:

  5. Trés grosse performance de Djourou hier soir,il n'a rien a se reprocher sur le but de Cheslki car ce n'est pas lui qui doit être au marquage d'Ivanovic mais plutôt Kos qui d'ailleurs nous fait une belle erreur de concentration et de placement sur ce coup mais autrement notre défense centrale est en train de s'affirmer et c'est bon signe pour la suite de la saison:wink2:

  6. Wenger - Un nouveau contrat est sur la table

     

    gun__1290260541_Nasri-goal-1.jpg

     

    "On essaye de lui faire signer un nouveau contrat. Je crois à 90% que la carrière d'un joueur dépends du Club où ils vont. Et pour Nasri, on dirait qu'il a pris la bonne décision on signant chez nous. Donc ce serait la bonne décision pour lui de rester avec nous.

     

    [Joueur de l'année?] On est au milieu de la saison et je serai heureux si il devenait meilleur joueur de l'année. Mais ce qui est le plus important pour moi c'est que le Club gagne. La conséquence si le Club gagne, c'est que les joueurs ont des chances de gagner des titres individuels. Je crois que la priorité ce n'est pas les prix individuels - les joueurs doivent d'abord se concentrer a faire gagner le Club."

     

    "N'oubliez pas qu'il est encore jeune"

     

    "Il est devenu plus efficace et il murit mais il n'a que 23 ans et à cet âge vous vous développez. Quand Thierry Henry est arrivé ici, il avait déjà 23 ans et il a continué de progressé beaucoup donc ça veux dire qu'il reste beaucoup à venir de Nasri, Cesc Fabregas et tout ces joueurs de la génération 1987. Il ne sont pas à la fin de leur progression.

     

    Nasri est un joueur intelligent et qui comprends qu'il joue où il aide le plus l'équipe. Il a tout les ingrédients pour jouer sur la droite, la gauche, dans l'axe et il est heureux de jouer là où je le fais jouer. Tout les joueurs veulent jouer dans l'axe mais il en faut bien pour jouer sur les côtés!"

     

    Fabregas - Nasir est dans la forme de sa vie

     

    gun__1226311745_fabregas_nasri.jpg

     

    "Je pense que Samir l'a dit lui-même, il est dans la meilleur forme de sa vie. Peut-être que si il avait joué de la même façon sans marquer de buts les gens ne l'auraient pas remarqué, mais maintenant il marque aussi et pour moi, il est l'un de ceux qui ont le plus d'influence dans l'équipe.

     

    C'est la troisième saison qu'il est là, et parfois il faut du temps pour s'adapter, mais cette saison il a été régulièrement en forme. Son but samedi a montré qu'il a un sang froid incroyable et parfois, tout vient avec la confiance - quand elle est haute, on fait des choses que l'on ne serait pas capable en moins bonne forme."

     

     

     

     

     

     

  7. Absent de la sélection suisse depuis 18 mois, Johann Djourou devrait retrouver le maillot national face à l'Ukraine mercredi. Le défenseur central d'Arsenal est prêt à "tout casser".

     

    On ne sort pas indemne d'une année sur la touche. "Ce fut un véritable calvaire", avoue Johann Djourou à l'heure de retrouver l'équipe de Suisse.

     

    Le soutien de ses proches et la naissance de sa petite Lou en octobre 2009 l'ont aidé à s'accrocher. "J'ai été saisi parfois par le doute. Mais je ne me suis jamais découragé, se souvient-il. Cette épreuve m'a permis de grandir. Je veux revenir pour tout casser !"

     

    Opéré au cartillage du genou gauche "il y avait un... trou", explique-t-il à la fin de l'été 2009, Johann Djourou goûte à nouveau depuis peu au parfum du haut niveau. Il a trouvé sa place dans la nouvelle rotation de la défense centrale d'Arsenal au côtés de deux Français, Koscielny et Squillaci, et d'un Belge, Vermaelen.

     

    "Je ne sais pas vraiment où je me se situe dans la hiérarchie en club, explique le Genevois. Mais une équipe comme Arsenal doit impérativement compter sur quatre défenseurs centraux. J'estime que ma situation en club est redevenue... bonne".

     

    La confiance que lui accorde son manager Arsène Wenger et la conviction qu'il n'a pas encore retrouvé toutes ses sensations lui font croire à un avenir radieux alors qu'il n'est âgé que de 23 ans, faut-il le rappeler. "Un joueur qui reste une année sur la touche a besoin du même laps de temps pour revenir à son meilleur niveau, explique-t-il. Je sens que je ne suis pas encore à mon top".

     

    Mercredi au Stade de Genève, où il avait livré un match extraordinaire contre l'Italie en mai 2006, Johann Djourou sera titularisé pour la première fois depuis deux ans en équipe de Suisse. Il est, en effet, acquis que le "Gunner" débutera la rencontre. Avec la sage ambition de se "montrer, de signifier que je suis là. Je ne suis pas là pour prendre la place de quelqu'un. Le sélectionneur a son idée dans la tête. Mais en foot, tout va très vite !". Il ne le sait que trop bien.

  8. Quand je clique sur le petit bidule de l'interview, il se passe rien, c'est normal ?

    Il faut attendre un peu ?

     

    Moi pareil ça ne marche pas sinon j'ai trouvé ça!

     

    Arsenal : Nasri lie son avenir à celui de Wenger

     

     

     

    nasri-veut-continuer-a-travailler-sous-les-ordres-de-wenger_58201.jpg

     

     

     

    Samir Nasri vit actuellement ses plus belles heures à Arsenal depuis son arrivée en 2008. En fin de contrat en 2012, il a de quoi donner envie à son club de le prolonger. Et une nouvelle fois, la présence d'Arsène Wenger est décisive.

     

     

    « C’est un joueur vraiment complet. Il a progressé physiquement. Il court bien avec la balle, il est rapide et c’est devenu un excellent finisseur. Je crois que c’est maintenant un grand joueur. » Cela semble clair, Arsène Wenger est fan de Samir Nasri. Recruté pour 12 M¤ à l’OM durant 2008, le milieu de terrain donne aujourd’hui sa pleine mesure avec Arsenal, après deux premières saisons plutôt bonnes sans être géniales. Mais la fin du contrat du Français de 23 ans approche, et Wenger a tout intérêt à se dépêcher de le prolonger.

     

    Qu’il se rassure, Nasri compte bien poursuivre l’aventure avec les Gunners. « Mon contrat prend fin la saison prochaine. Je me sens très bien à Arsenal pour le moment. J’ai un entraîneur qui me fait confiance, je me suis très bien adapté. Il nous manque seulement des titres. Et j’ai confiance en ce groupe là pour gagner des titres », a expliqué l’ancien Marseillais au micro de RMC. « Oui, j’ai envie de rester, surtout que le coach a prolongé son contrat aussi », a-t-il détaillé. Comme souvent, la présence de Wenger à la tête de l’équipe est un argument décisif pour les joueurs clés des Gunners. À l’instar de Fabregas, Nasri semble posséder une confiance absolue dans l’entraîneur français.

     

    Toutefois, un départ reviendra obligatoirement sur le tapis dans les années à venir. Et forcément, Nasri aura toujours à évoquer son envie de retourner à l’OM un jour ou l’autre. « J’ai joué à Marseille de 9 à 21 ans. C’est mon club de c½ur. Bien sûr que j’aimerais retourner à l’OM », a-t-il confié. Avant d’envisager cette hypothèse, le milieu de terrain offensif a encore du chemin à parcourir avec Arsenal et Arsène Wenger.

     

  9. gun__1236686334_eboue_emmanuel.jpg

     

    Le jour, où on m'a dit que j'allais à Arsenal

    "Je me souvient quand il m'ont dit 'Manu, c'est ton dernier match pour Bevern et après ça tu iras à Arsenal. J'ai répondu, 'Non, Non, vous pouvez pas me dire ça.'

    J'étais surpris mais ce jour là le boss [Arsène Wenger] était en Belgique pour voir le match et quand je l'ai vu j'ai réalisé que c'était vrai, que peut être il était là pour m'acheter. J'étais si heureux, après le match il m'a parlé et m'a demandé si je voulais rejoindre Arsenal.

    Et j'ai dit 'Bien sûr, si vous me prenez je serais heureux.'

    C'était un rêve."

    Une surprise pour les fans si on gagne un trophée.

    "Si je gagne un trophée pour mon Club je ferais quelque chose de spécial pour les fans. Je ne veux pas le faire maintenant mais si on gagne quelque chose je ferais un truc spécial pour les fans. Je ne vous dirais pas quoi, c'est pas une danse, vous verrez.

    Je sais deja ce que c'est, bien sûr."

     

    Toujours aussi sympa avec les fans notre Manu,je le kiffe trop ce mec,il a toujours la banane!:pray:

    Merci Blakes pour ce post!:wink2:

  10. 101465_PIRES_101110.jpg

     

     

    Sans club depuis la fin de son contrat avec Villarreal l’été dernier, Robert Pires cherche toujours un dernier challenge avant de mettre un terme à sa carrière. L’ancien joueur d’Arsenal, qui s’entraîne avec les Gunners, s’est fixé une deadline au 31 janvier. Robert Pires, où en êtes-vous concrètement aujourd'hui ?

    Avant tout, je remercie Arsène Wenger qui, depuis début septembre, me permet de m'entraîner avec l'équipe première d'Arsenal. Ça me permet de me maintenir en forme et de garder la bonne condition physique au cas où j'aurais la possibilité de signer quelque part. Mais pour l'instant, il n'y a pas de changement.

     

    Est-ce que la proposition d'Arsène Wenger vous a surpris ?

    Je n'ai pas été surpris car je connais l'homme et je savais que ça ne pouvait que bien se passer. Ce n'est pas moi qui suis allé lui demander, c'est lui qui m'a proposé de m'entraîner avec eux. Quand il a appris que je revenais à Londres, il m'a dit instinctivement que si je voulais, je pouvais m'entraîner avec Arsenal. Le lendemain, j'étais au camp d'entraînement. Depuis, je m’entraîne avec eux et tout se passe bien. Aujourd'hui, j'ai l'impression d'être un joueur d'Arsenal. Moralement, ça fait du bien de voir que la porte n'est pas fermée.

     

    La porte n’est pas fermée mais d’Arsenal ne vous fera aucune proposition…

    En faisant cette démarche, je savais pertinemment que je n'allais pas signer à Arsenal. J'ai eu une discussion avec Arsène Wenger. Il m'a dit que ce serait un plaisir pour lui de me faire signer mais qu'au milieu de terrain, ils étaient complets. J'ai tout à fait compris le message. Je m'entraîne jusqu'à une date limite. Si j'ai la chance d'avoir un club, je réfléchirai à la proposition. Si je n'ai rien, j'arrêterai. Tout simplement. Mais au moins, je me donne les moyens d'aller jusqu'au bout de ce que j'ai envie de faire.

     

    « Je ne vais pas non plus faire le mec lourd »

     

    Comment se passent les entraînements avec les Gunners ?

    Je me régale ! C'est quand même Arsenal donc honnêtement, je ne perds pas mon football. C'est ça qui est top. Au niveau de la condition physique, d'après le préparateur, je ne suis pas mal.

     

    Quelle date limite vous êtes-vous fixé ?

    Ce sera la fin du Mercato d'hiver. S'il n'y a rien d'ici là, je sais qu'il faudra raccrocher. Je ne vais pas non plus faire le mec lourd et m'accrocher à un truc que je n'aurai pas. J’irai jusqu’à cette date et on verra bien. J'attends fin janvier.

     

    Avez-vous fixé certains critères pour votre future équipe ?

    J'étudierai les propositions. S'il faut retourner en Espagne, j'y retournerai, il n’y a pas de problème. Je suis ouvert. S'il y a une bonne opportunité, une bonne équipe... Pourquoi pas une équipe de Deuxième Division anglaise qui joue la montée ? Le message est très bien passé en Angleterre. Pour l'instant, je n'ai rien mais ce n'est pas grave. Je me sens bien en Angleterre. Sachant que mon contrat se terminait avec Villarreal, c'était clair qu'avec ma famille, on reviendrait habiter à Londres. La proposition d'Arsène m'a fait du bien. Car je sais que je ne suis pas tout seul, ni à la rue physiquement. Et ça, c’est important pour moi.

     

    « Je n’ai jamais snobé Caen »

     

    L'Angleterre constitue-t-elle une priorité ?

    Je n'ai pas de priorité. J'ai refusé une offre aux Etats-Unis. Ce sont les play-offs, la finale se joue le 21 novembre, donc je sais que je n'irai pas là-bas. Au Qatar, un coup ils me disent oui, un coup ils me disent peut-être. Je ne vais pas aller toquer à la porte de certains clubs comme j'ai pu le lire dans la presse ou sur Internet. Les entraîneurs, je les connais, donc ils savent où me trouver s’ils sont intéressés. J'ai lu que j'avais snobé Caen. Mais avant de snober des gens, il faut déjà leur parler. Les dirigeants de Caen, je ne leur ai jamais parlé. Il n'y a que Saint-Etienne et Nice qui m'ont approché. Point. Le reste, c’est du vent.

     

    Etes-vous resté en contact avec l’Espagne et Villarreal ?

    Avec les joueurs de Villarreal et les dirigeants, oui. Villarreal m'avait proposé d'intégrer le staff. J'ai pris une autre direction car je voulais revenir à Londres. Et intégrer le staff de Villarreal, ça signifiait l'arrêt de ma carrière. Mais ça peut être intéressant pour l'avenir. Je n'avais pas envie de raccrocher maintenant car ça me faisait chier de terminer ma carrière comme je l’ai finie à Villarreal, c'est-à-dire sur le banc. Même si c'étaient les choix de l'entraîneur.

     

    Est-ce que cela vous embêterait de laisser cette image de remplaçant après une carrière brillante ?

    Oui, c’est pour ça que je me donne une dernière chance. S'il y a quelque chose, tant mieux. S'il n'y a rien, je resterai super fier de ce que j'ai fait.

    Rendez-vous fin janvier...:wink2:

  11. Wenger - Arshavin a du changer son jeu pour survivre

     

    Depuis quelques temps le russe a montré plus d'engagement dans son jeu.

    "Certainement, oui. Il a adapté son style et il est plus physique. Il comprend que pour survivre en Premier League il faut être plus physique. Je doit dire que son attitude a été absolument sensationnelle depuis le début de la saison.

     

    Il a de la personnalité Andrey. Il n'a peur de rien ni personne n'importe où. C'est bien sûr un joueur qui peut faire la différence mais c'est aussi un joueur qui donne de la personnalité à une équipe. Il est très direct et il va vite vers l'avant, on a toujours de l'espoir quand il a le ballon dans les pieds.

     

    Récemment il était un peu moins vif, depuis qu'il est revenu de Russie, mais il doit être de retour maintenant. Il a travaillé dur, il a une bonne attitude Andrey et il a un bon impact donc je pense qu'il sera dans le groupe demain soir."

     

    Difficile de se passer du Russe.

    "J'avais le même problème avec Thierry [Henry], quand il avait un mauvais jour.

    On se demande, même quand ils ne sont pas dans un bon jour, si ils ne vont pas faire la différence. Les attaquants surtout avec van Persie, Bendtner et Chamakh, quand ils ne sont pas à leur meilleur niveau, on sait qu'ils peuvent marquer un but et renverser un match."

     

     

  12.  

     

    Nasri : ne l’appelez plus minot

     

    Samir Nasri tient une forme internationale. Buteur lors des trois derniers matchs des Gunners, le compagnon de Tatiana Golovin butine le fruit de ses interminables années d’apprentissage et de blessures. Le Petit Prince est en pleine croissance.

     

    img-nasri-ne-l-appelez-plus-minot_x300_arton133207.png

     

     

    « Quand on est propulsé trop vite au rang de star, il y a énormément d’attente. On a tous connu ça, Hatem Ben Arfa avec Marseille, Jérémy Ménez avec l’AS Rome, Karim Benzema aussi. C’est marrant parce que j’ai eu cette discussion avec le coach (Arsène Wenger ndlr). On parlait des générations dorées qui n’ont pas percé et il me disait que c’est le choix de carrière, souvent, qui fait que tu réussis ou pas. Moi, aujourd’hui, je suis titulaire à Arsenal. Je ne vais pas me plaindre. À dix-sept ans, on nous en a peut-être trop demandé. Mais maintenant, c’est normal. On a vingt-deux ans. Il faut montrer qu’on a du talent ». Aujourd’hui Samir Nasri en a 23. Un an plus tard, à l’heure du premier bilan, c’est peu dire que le milieu français a tenu parole. Face à City ce week-end, le Frenchy a inscrit son 7ème but en 13 rencontres. Contre 5 toutes compétitions confondues la saison dernière. « Le coach m’a dit de tenter plus, que j’avais les capacités pour être buteur », s’est presque justifié le Gunner en septembre dernier. Ajoutez à cela une pincée de passes décisives, un poste de meneur de jeu en Equipe de France plus un contrat périmé dans un an et demi et vous obtiendrez un coach en pleine lune de miel. « A cet âge, votre carrière décolle, minaude Arsène. Vous jugez un joueur à ses stats : hier il a inscrit un but et délivré une passe décisive. C’est ce que vous attendez d’un footballeur de son talent. Il est plus constant, plus fort, rapide et bon finisseur. Nous avons en lui un très grand joueur ». Qui s’est donc vu offrir une extension de bail de 3 ans pour le Nord de Londres.

     

    Reste une question parmi ces évidences : pourquoi maintenant et pas avant ? Samir Nasri y répond en creux dans sa première assertion : l’âge. Albert Emon, coach du jeune sur la Canebière entre 2006 et 2007, soutient la même thèse. « Son jeu n’a pas changé ; c’est simplement qu’il a mûri mentalement, louange Bébert. C’est venu avec la maturité dans le jeu. Il a plus de 100 matchs avec Arsenal et le double en championnat de France. Il ne fait plus que des matchs de haut niveau ». Un discours qu’embrasse également Monsieur Respaud, premier entraîneur du petit Samir en débutant puis en poussins chez les minots des Pennes Mirabeau. « C’est mentalement qu’il a fait de gros progrès, abonde le formateur. Dans le football d’aujourd’hui, c’est ce qui prime. Déjà quand il avait 5 ans, dans la voiture au retour des entraînements ou des matchs, il nous disait toujours : "Je finirai professionnel. Qu’on le veuille ou non". Il a le goût du travail. De la génération 87 à Marseille, Yahiaoui était plus doué, mais n’avait aucun mental. On sait où il est maintenant ». Sur la liste des demandeurs d’emploi, pendant que son ancien collègue s’éclate à l’étranger. Les voyages forment la jeunesse. Voilà selon l’éducateur, l’autre clé de compréhension de la réussite du gamin : « Il est parti du contexte marseillais et familial. Ça se passe pas toujours comme c’est écrit dans les journaux. C’est-à-dire qu’il n’était pas du tout suivi et que du jour au lendemain, il y a eu beaucoup d’intérêt autour de lui. D’une il n’a pas bien été conseillé et puis il n’y avait pas que le football qui l’intéressait. Alors qu’en Angleterre, ils sont plus vigilants sur l’hygiène de vie ».

     

    De l’autre côté du Shuttle, Samir Nasri découvre aussi la concurrence. En Ligue 1 et face à Wilson Oruma, Salomon Olembé ou Laurent Battles, le petit prodige peut se reposer sur son talent et ses deux oreilles. Là même où il a besoin de bosser dur pour se faire une place sur la pelouse de l’Emirates aux côtés d’Arshavin, Fabregas ou Rosicky. Comme par magie, le joueur de futsal se mue alors en mangeur d’espace. Le minot en tonton flingueur. Et ainsi de suite. « A l’OM, il ne défendait pas, se remémore Albert Emon. Maintenant il est capable de récupérer des ballons. Avant il ne jouait qu’avec le ballon dans les pieds. Maintenant il a acquis l’art du déplacement et du placement. Chaque année, il rajoute une pierre à son moulin (sic) ». Enfin Samir Nasri a une qualité rare pour un footeux : il aime le foot. « La chose extraordinaire avec lui, c’est qu’il est absolument passionné par le foot. Il ne le vit pas que sur le terrain mais devant la télé. Tu lui demandes des joueurs de Mayence, il est capable de t’en citer 5 ou 6 là où je suis incapable de t’en citer un seul. Il se remet en question continuellement en regardant jouer le Barça ou le Real. Alors que 80% des joueurs ne regardent pas le match de la veille ». Reste l’organisation du jeu. Malgré les comparaisons hâtives, n’est pas Zidane qui veut. Qu’importe répond Steve Marlet ! Celui qui lui a offert son premier but en pro un soir de déplacement à Grimonprez-Jooris estime qu’ils n’ont pas le même C.V : « En termes de talent brut, ok. Mais ils ne jouent pas dans le même registre. Nasri est plus percutant sur les côtés ». Dans l’axe, en soutien, à droite ou en électron libre ? Du moment qu’il reste, Arsène s’en fout.

     

     

  13.  

    ANG, Man Utd - Rooney, prêt à partir (EXCLU)

     

    Goal.com UK révèle en exclusivité que Wayne Rooney, le buteur de Manchester United, songe à un départ loin des Reds Devils depuis le mois de mai dernier. Après des relations plus que tendues avec Sir Alex Ferguson, le divorce a sonné.

    [/url] 111538_news.jpg

     

     

    «Suggérer que Rooney sera vendu en janvier est un non-sens», annoncait le site officiel de Manchester United dimanche. Un non sens ? Pas si sûr. Le torchon brûle et rien ne va plus entre le club anglais et le buteur vedette. Chaque jour, l'ancien joueur d'Everon semble s'éloigner un peu plus d'Old Trafford.

     

    LE DIVORCE SEMBLE PRONONCE

     

    Selon Goal.com UK, l'attaquant international anglais aurait menacé le club en leur disant qu'il ne signerait pas un nouveau contrat. Son intention est clair, le buteur star veut trouver un nouveau club depuis que des relations avec Sir Alex Ferguson, le coach de Manchester United, se sont irrémédiablement détériorées. Goal.com UK indique également que Wayne Rooney songeait à un départ depuis la fin de la saison dernière, et a été très attentif aux intérêts des géants d'Espagne, c'est à dire du Real Madrid et de Barcelone.

     

    En effet, une source proche du joueur clame que Manchester United espérait désespérassent ouvrir les négociations au sujet d'un nouveau contrat à la fin de la saison dernière, mais Rooney ne semblait pas pressé de s'engager à long-terme à Old Trafford. Le contrat actuel de l'international anglais expire en juin 2012 et alors que les Red Devils étaient près à en faire le joueur le mieux payé dans l'histoire du club, en lui offrant £150,000 par semaine, le buteur était déterminé à obtenir encore plus d'argent après sa dernière saison sensationnelle. Les négociations auraient du commencer en mai dernier, mais Rooney a précisé au club qu'il souhaitait se concentrer sur la Coupe du monde. Après le départ prématuré des Anglais d'Afrique du Sud, ce dernier a informé le chef exécutif de United, David Gill, qu'il avait besoin de vacances avant de s'asseoir pour discuter d'un nouveau contrat.

     

    Mi-août, Manchester United pensait pouvoir enfin boucler la prolongation de son buteur vedette. A ce temps là, ce dernier se sentait heureux et avait l'envie de passer le reste de sa carrière à Old Trafford. Du moins, c'est ce que pensait le club anglais. Mais depuis septembre, rien ne va plus et Wayne Rooney pourrait quitter Old Trafford dès cet hiver. En très grosses difficultés, en froid avec Sir Alex Ferguson et bousculé par la presse anglaise suite à son scandale extra-conjugale, le buteur star aurait fini par se lasser et le divorce semble bien engagé. Wayne Rooney aurait annoncé à ses dirigeants qu'il n'avait nullement l'intention de prolonger son contrat , surtout qu'entre Sir Alex Ferguson et lui, le courant ne passe plus du tout depuis plusieurs mois. Si le Real est intéressé, Manchester City a été cité...

×
×
  • Créer...

Information importante

En allant sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer..