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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

[Serie A]


Invité

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4-4-2 ca voudrait dire sacrifier soit allan soir jorginho
Je regarde pas tout les matchs du napoli mais les 2 me semblent essentiels pour l'équilibre de l'équipe
C'est en partie grace a eux deux que hamsik peut avoir une telle influence sur le terrain
Mais un duo milik-mertens c'est clair que ça serait excitant

Mais Après faut laisser le temps a Milik de revenir petit a petit sans précipitation


Hamsik a atteint la barre des 110 buts toutes compet confondues cette aprem
Seul Maradona a fait mieux avec 115 buts
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Je connais pas trop cette équipe du Napoli mais Jorginho c'est impressionnant aujourd'hui. Très disponible, le corps orienté dans le sens du jeu avant de recevoir la balle, il joue vite et souvent vers l'avant. Techniquement très habile et il se sert de ses deux pieds. 

On sent qu'il y'a une volonté de créer le surnombre derrière la ligne de pression adverse chez cette équipe notamment avec Hamsik et Insigne qui ont beaucoup de liberté. Très belle équipe. 

 

Dommage que les centraux n'aient pas une bonne relance, tu sens qu'il y'a cette volonté de jouer de l'avant mais qu'ils manquent de qualité. 

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Je connais pas trop cette équipe du Napoli mais Jorginho c'est impressionnant aujourd'hui. Très disponible, le corps orienté dans le sens du jeu avant de recevoir la balle, il joue vite et souvent vers l'avant. Techniquement très habile et il se sert de ses deux pieds.
On sent qu'il y'a une volonté de créer le surnombre derrière la ligne de pression adverse chez cette équipe notamment avec Hamsik et Insigne qui ont beaucoup de liberté. Très belle équipe.

Dommage que les centraux n'aient pas une bonne relance, tu sens qu'il y'a cette volonté de jouer de l'avant mais qu'ils manquent de qualité.


J'ai pas vu le match mais Coulibaly généralement c'est très fort dans la relance. Ça m'étonnerait pas qu'un club mette 50 millions sur lui cet été
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  • 2 semaines plus tard...

Andrea Pirlo <3, quel immense joueur.

 

 

Andrea Pirlo: «Donnez-moi le ballon, il n'y aura pas de problème»
Le champion du monde italien 2006 qui a repris, la nuit dernière avec New York City, une nouvelle saison en MLS, a plus que jamais l'envie d'être au coeur du jeu.

Rendez-vous avait été donné dans un hôtel en face de chez lui, à New York. Devant l'impossibilité d'y filmer l'interview, Andrea Pirlo, ultra disponible et très humble, nous propose de marcher sous le soleil pour rejoindre un endroit agréable : la High Line, délicieux parc suspendu aménagé sur d'anciennes voies ferrées. De là, on voit l'Empire State Building. Durant l'interview, de nombreux amoureux de foot s'arrêtent pour prendre en photo le milieu de terrain de New York City. Même s'il avoue «ne pas aimer parler», pendant deux heures, l'Italien, trente-sept ans, se raconte volontiers. A un moment, on l'interrompt : « Mais vous parlez au passé alors que vous jouez encore ! » Et là, aussitôt, il réplique, avec le sourire : « Mais parce que vous me posez des questions au passé ! » Pirlo, ce sont de merveilleux souvenirs. Mais il est toujours en activité, pour le grand bonheur des fans de football. En pleine rue, à plusieurs reprises, il a même mimé son geste de tireur de coup-franc. Le lendemain, on a conclu la discussion par téléphone depuis Orlando où son équipe a débarqué pour jouer, ce dimanche, son premier de la saison de MLS.

En Europe, on s'apprête à vivre une nouvelle semaine de Ligue des champions. En 2015, vos larmes après la finale perdue avec la Juventus contre le Barça (1-3) avaient beaucoup marqué les gens ...
J'avais aussi pleuré sur le terrain après la défaite avec le Milan contre Liverpool en 2005 (3-3, 2-3 aux t.a.b.). Mais une fois au vestiaire, le plus triste de toute ma carrière, il y avait tellement de désillusion, d'amertume que je n'arrivais même plus à pleurer. Il régnait un climat surréaliste après un match surréaliste. Perdre de cette manière une finale (l'AC Milan mène 3-0 à la mi-temps, les Reds égalisent en six minutes en seconde, et gagnent aux tirs au but) est une chose quasi impossible à répéter. Je ne le souhaite à personne.

Après la demi-finale et la finale de la Coupe du monde 2006, vous avez cette fois pleuré de bonheur. En demi, contre l'Allemagne (2-0 après prolongation), votre passe décisive à Fabio Grosso pour l'ouverture du score à la 119e est exceptionnelle...
Ce sont peut-être les minutes les plus belles de ma carrière. Des minutes fantastiques, interminables. Je croyais qu'entre les deux buts, un siècle s'était écoulé, or ça n'a duré qu'une minute ou deux ! (le deuxième but est marqué à la 121e par Del Piero) C'était indescriptible. Se qualifier en finale d'un Mondial en jouant contre l'Allemagne chez elle, à Dortmund où elle n'avait jamais perdu... Et après, la finale... Une attente infinie. Quand tu entres sur le terrain le jour de la finale, tu vois le trophée de la Coupe du monde qui est là, près de toi, et tu ne sais pas si tu pourras le soulever. Et à la fin de la rencontre, tu réussis ou tu ne réussis même pas à réaliser que tu es devenu champion du monde.

Aviez-vous joué à la Playstation avec Alessandro Nesta la nuit précédant cette finale contre la France?
Oui, oui, nous l'avons fait, comme toujours. Comme pendant les nombreuses années passées ensemble au Milan et en équipe nationale. Et je pense que j'avais dû prendre le Barça comme équipe, comme toujours. Ce soir de finale est inoubliable. La réalité est toujours plus belle que les rêves. Le rêve, comme dans les films, les dessins animés, c'était peut-être de jouer contre le Brésil en finale mais jouer Italie-France, lever la Coupe, c'était indescriptible.

Essayons d'entrer dans votre cerveau. Quand vous recevez le ballon, que se passe-t-il ?
Tout me vient naturellement. Je n'arriverais même pas à l'expliquer. Mon football, ça a toujours été de faire les choses de manière simple, de les rendre simples pour mes coéquipiers.

Votre jeu est particulier, un jeu d'architecte. Plus jeune, aimiez-vous la géométrie, les mathématiques ? Aimez-vous l'art ?
La géométrie, les mathématiques, zéro ! L'art me plaît. Mais le foot, c'est une autre chose que l'art. J'aime l'art moderne, l'art contemporain. Ma passion est née à l'AC Milan. Ariedo Braida (l'ex-directeur général et sportif du club lombard) parlait toujours de tableaux. Il nous conseillait d'en acheter certains. Il nous emmenait voir des expositions. Avec des coéquipiers, des membres du staff technique comme Mauro Tassotti (l'entraîneur-adjoint), on allait voir des œuvres dans des foires. J'ai des tableaux chez moi.

Citez un peintre que vous adorez...
Picasso. Chaque fois que tu vois un de ses tableaux, tu es sidéré. Ici, à New York, c'est la patrie de l'art, il y a le Moma, le musée Guggenheim. En bas de chez moi, il y a plein de galeries d'artistes contemporains et j'y vais souvent.

Revenons au foot. Dans le jeu actuel, voyez-vous un autre Pirlo ?
Il y a beaucoup de bons joueurs dans ce rôle (de milieu de terrain) mais pour l'heure, ils ne me ressemblent pas. Ma façon de jouer, je ne la retrouve chez personne aujourd'hui, malheureusement. S'il arrivait quelqu'un, bienvenue à lui.

Etre unique dans votre façon de jouer vous rend fier ?
Je ne suis pas fier. Je ne me rends pas compte d'avoir été aussi particulier. C'est vous et beaucoup de gens qui le dites. Mais ça me fait plaisir que vous le disiez. Quand je regarde des matches à la télé, je vois que dans la position où je joue, des joueurs ne parviennent pas à comprendre certaines choses. Et parfois, je pense que j'aurais pu faire autre chose que ce que j'ai vu.

Est-il vrai que lors d'un match amical avec la Juve, vous avez dit à Stephan Lichtsteiner : «Donne-moi toujours le ballon et on verra après !» ?
Oui, oui... J'ai toujours eu cette envie d'avoir le ballon. Souvent, mes coéquipiers disaient : «On ne peut pas te le passer parce qu'il y a un adversaire derrière nous ou près de toi.» Et je répliquais : «Mais donnez-le moi quand même !» On arrivera toujours à en faire quelque chose. Pour moi, c'est important d'avoir le contrôle du jeu. J'ai besoin de toucher le ballon pour me sentir au centre du jeu. Et quand il m'arrive dans les pieds, je sais déjà où le donner, le passer. C'est ce qui me donne la force de dire : «Donnez-moi le ballon, il n'y aura pas de problème.» C'est une belle sensation d'avoir déjà vu, avant, où le glisser. Sur le terrain, je veux être le joueur qui prend en main l'équipe, le jeu. Une chose que je ressens au fond de moi. Si je ne réussis pas à être au cœur du jeu, je ne me sens pas épanoui.

Vous ne doutez jamais sur un terrain ?
Non. Quand je me trompe sur le terrain, il ne se passe rien parce que je sais qu'il y a toujours la possibilité d'y remédier.

Dans la vie, êtes-vous aussi sûr que pendant un match ?
Oui. Je suis toujours sûr de moi. Je suis convaincu de ce que je veux faire, de ce que je veux atteindre. Transposer mon caractère au terrain a été ma chance.

N'avez-vous pas pensé à l'échec lors des moments difficiles à l'Inter (1998-1999 puis le second semestre 2000) avec des prêts à la Reggina (1999-2000) et à Brescia (premier semestre 2001) ? 
Non... J'étais toujours convaincu de mes capacités, j'avais juste besoin de jouer avec continuité dans une grande équipe. Je savais que je pouvais devenir un des plus forts.

Qu'est-ce qui peut vous faire douter alors ?
Ce que je ferai après ma carrière. Je ne l'ai pas encore vraiment décidé. Je dois bien réfléchir à ce qui sera le mieux pour moi : entraîneur ou dirigeant ou autre chose... Je ne sais pas quand j'arrêterai. Il me reste un an de contrat avec New York City. On verra comment je me sens à la fin de cette saison. Mais c'est sûr, j'arrêterai bientôt.

Buffon a 39 ans, Totti 40 ans. Pourquoi vous ne continueriez pas encore deux ou trois ans ?
Bien sûr que j'aimerais encore jouer pendant dix ans. Parce que je m'amuse, et jouer au football est la chose la plus belle que je fais. Mais tu arrives à un âge où tu dois te poser une question : continuer à jouer à très haut niveau comme protagoniste, comme j'ai toujours fait, ou continuer en étant un parmi tant d'autres, et ça ne me plaît pas. Il vaut mieux arrêter quand tu le décides plutôt que quand les autres te le disent.

N'avez-vous jamais pensé, à un moment ou un autre de votre carrière, être le numéro 1 au monde ?
Non, je ne l'ai jamais pensé. Jamais.

Mais est-ce que vous vous êtes senti le numéro 1, au fond de vous ?
Etre le numéro 1 dans sa tête, sur le terrain, c'est une chose. Mais se sentir le numéro 1 pour dire : «Je suis le plus fort de tous», non, ça ne me plaît pas. Ça ne m'intéresse pas. Ce qui compte, c'est d'être le numéro 1 pour soi-même, pour l'importance dans l'équipe.

Gerrard, Lampard, notamment, ont mis fin à leur carrière. Depuis quelques mois, on a l'impression d'assister à un vrai changement générationnel dans le foot. Un changement d'esprit. Qu'en pensez-vous ?
Assurément, l'époque des joueurs nés dans les années 70 et 80 est en train de se terminer. Mais dans le foot, quand une époque s'achève, une nouvelle ère s'ouvre. Des jeunes grandissent, mais je suis vraiment désolé que beaucoup de joueurs de très haut niveau qui ont offert d'énormes émotions au monde du foot arrêtent leur carrière, ou l'ont fait ces dernières années... Les joueurs vont et viennent, s'arrêtent et il ne reste que les clubs.

Que représentait cette époque qui se termine... Il y avait notamment Giggs, Scholes, Maldini... 
C'était notre époque. On a grandi avec cette époque. On a de l'affection pour elle. Pour nous, c'était la meilleure. Peut-être que l'on va vieillir et il y aura une autre génération meilleure et on parlera alors de celle-là...

Pouvez-vous nous donner quelques noms de joueurs de votre époque...
Maldini, Baggio, Ronaldo, Ronaldinho, Beckham... C'était ça mon époque. Celle dont j'aime le plus parler, me souvenir.

Vous avez trente-sept ans. Quel regard portez-vous sur la jeune génération ?
Elle est très différente de la nôtre. Quand j'ai commencé dans le monde pro, j'entrais dans le vestiaire et je ne me permettais pas de parler. Je restais silencieux. Aujourd'hui, à vingt ans, ils parlent, et on leur donne la possibilité de s'exprimer. Peut-être que nous, les anciens, donnons trop de liberté aux jeunes pour parler... Mais on les fait ainsi entrer dans la vie du groupe.

Pouvons-nous dire que Marco Verratti est votre héritier ?
Verratti est un très grand joueur, il est et sera le futur du foot italien et européen pour les vingt prochaines années. Il joue plus ou moins dans ma position. Mais nous sommes très différents dans le type de jeu. Il joue plus avec des passes courtes, il dribble beaucoup plus que moi et il conserve plus le ballon. Il est le meilleur joueur italien d'aujourd'hui et de demain. On a passé de bons moments ensemble avec l'Italie. On dit que beaucoup de bons joueurs ne peuvent pas jouer ensemble. Mais si chacun s'investit, les choses fonctionnent. Et bien, entre nous, ça fonctionnait.

Vous écoutait-il ?
Nous avions un très bon rapport. On continue de se parler, de se voir. Quand on jouait avec la Nazionale, on était souvent dans la chambre de l'un ou de l'autre pour parler. On s'est appelé il y a quelques jours pour une émission de télé. Juste après le match contre le Barça, je l'ai félicité par SMS. Le soir même, il m'a dit que mon message était celui qu'il avait le plus apprécié. Alors, je lui ai répondu : « Maintenant, tu es devenu le numéro 1 parce que je suis en train de finir ma carrière. » (sourire)

Qu'avez-vous pensé du PSG face au Barça ?
Paris a fait un grand match ! J'ai vu une grande équipe qui avait plus faim que ses adversaires. Les joueurs du PSG voulaient gagner. Ils couraient tous, jouaient tous pour aider l'équipe. Une belle publicité pour le football. Paris a largement mérité de gagner. J'ai été impressionné par ce PSG et la force déployée par les trois milieux, Verratti, Rabiot et Matuidi qui ont livré un match extraordinaire.

Un mot de plus sur Adrien Rabiot ?
J'ai vu un très grand joueur. Il m'avait déjà plu la saison passée, et même avant. Mais je ne l'avais pas vu jouer aussi bien, avec cette méchanceté, dans le bon sens du terme, cette lucidité... On dirait un joueur qui a une expérience de dix ans de haut niveau sur le terrain. Il aura sans aucun doute appris beaucoup de Thiago Motta. Parce que, dans certaines actions, il me rappelait Thiago Motta, qui a toujours été très important depuis son arrivée à Paris. Et il le sera encore. Si ces garçons ont si bien grandi, beaucoup de mérite lui en revient. Par ailleurs, lors de Manchester City – Monaco (5-3), c'est la première fois que je voyais Mbappé, et il m'a plu. Je suis curieux de le revoir dans les prochains matches.

Unai Emery ?
Ce qu'il avait fait à Séville était déjà incroyable. Là, avec Paris, il a réalisé une chose importante. Mais rien n'est fait, il faut se qualifier au retour. Tout peut se passer en Ligue des champions. Mais s'il passe, le PSG ira très loin.

Est-il vrai qu'en 2011, Leonardo, alors directeur sportif du PSG, vous avait contacté ?
Oui. Il m'a appelé un matin pour savoir si ça me plairait de venir au PSG avec lui. Mais deux jours avant, j'avais déjà signé avec la Juventus. Ca ne pouvait donc pas se faire. Mais cela aurait été une belle expérience.

Quels mots vous a-t-il dit ?
Il n'avait pas besoin de dire beaucoup de choses parce que j'ai toujours eu une grande estime pour Leonardo. Que ce soit quand on jouait ensemble ou quand il était un de mes dirigeants au Milan ou mon entraîneur.

Si vous n'aviez pas signé à la Juve, auriez-vous rejoint le PSG ?
Je ne sais pas. Probablement, j'aurais parlé avec Leonardo, j'aurais écouté sa proposition.

En 2010, Pep Guardiola souhaitait vous attirer au Barça...
Avec le Milan, on avait joué un match amical au Camp Nou contre le Barça. Après le match, Guardiola m'a fait appeler dans son bureau, dans le stade. Il voulait savoir si ça me plairait de jouer au Barça. C'est beau de m'avoir invité dans son bureau. Mais le Milan n'avait pas voulu que je parte.

Ce mardi, la Ligue des champions va revenir. Qu'avez-vous ressenti en voyant à la télé, de votre stage de pré-saison aux Etats-Unis, les 8es de finale aller ?
Il y a toujours de la nostalgie quand tu vois ces grands matches. La Ligue des champions était pour moi une manifestation spéciale, avec la musique, tout le public. L'atmosphère de la Ligue des champions, tu ne la vois en rien d'autre. Voir ces matches te donne toujours un peu de mélancolie. J'ai joué tant de ces rencontres, et donc, je sais ce que ça représente.»

"Behind every kick of the ball there has to be a thought." Dennis Bergkamp

 

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Merci pour cette très belle interview. :amoureu:

Concernant ça :

"Mais tu arrives à un âge où tu dois te poser une question : continuer à jouer à très haut niveau comme protagoniste, comme j'ai toujours fait, ou continuer en étant un parmi tant d'autres, et ça ne me plaît pas. Il vaut mieux arrêter quand tu le décides plutôt que quand les autres te le disent."


J'ai de suite pensé à Wenger...

Je suis une jolie dame. :amoureu:

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Voila y'a une justice dans le football avec la victoire de la juve a la 96eme !!!

 

Les milanais ont passé le match a pourrir le jeu, comment une si grande institution a pu devenir un club aussi sale sur un terrain...

 

Gracie Silvio Berlusconi. 

L'espoir survit toujours, c'est pour cette raison qu'on l'appelle l'espoir.

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Il faut laisser du temps à Montella et se souvenir de comment jouait la Fiorentina sous ses ordres. Malheureusement, au Milan, on ne lui laisse pas le temps de mettre ces préceptes de jeu en place. On attend des résultats immédiats et c'est bien ça le problème..

DCI John Luther: I love to talk about nothing. It's the only thing I know anything about.

 

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Le même gars qui a fait vivre au club ses meilleurs moments.

 

Berlusconi c'est Wenger mais en dirigeant. Et en pire.

 

Exactement. Les meilleurs sont ceux qui savent se retirer au bon moment, mais c'est certainement ce qui est le plus dur dans ce milieu.

L'espoir survit toujours, c'est pour cette raison qu'on l'appelle l'espoir.

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Voila y'a une justice dans le football avec la victoire de la juve a la 96eme !!!

Les milanais ont passé le match a pourrir le jeu, comment une si grande institution a pu devenir un club aussi sale sur un terrain...


Sur le contenu la Juve mérite
Mais la façon dont ils obtiennent le 2-1 est un peu degeulasse je trouve
Déjà les 4 min de temps additionnels y'en a bien une de trop
L'arbitre va au dela et sifflé un peno archi sévère
De sciglio n'a pas le temps de retirer son bras
La balle est a bout portant personne n'aurait pu l'éviter...
Ce peno en fin de match c'est quand même un peu du vol je trouve

Et pour le jeu du milan , quand il manque abate et que tu te retrouves avec zapata en arrière droit , qu'il manque locatelli,bonaventura et suso c'est deja plus compliqué

Mention spéciale à ce milieu immonde avec pasalic sosa et bertolacci
Et ocampos aussi qu'est ce qu'il fout a milan ce peintre
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Le Milan a trop de blessé cette saison, ça va leur coûter cher, et c'est dommage de réduire cette équipe à des bouchers ou je ne sais quoi... J'ai vu un paquet de leurs matchs, et oui c'est une équipe qui gagne souvent à l'arrache, mais il avaient toujours des temps forts très intéressants avec Bonnaventura, notamment en début de saison je me souviens du match contre le Napoli ou ils s'en prennent 2 très vite et finissent par renversé la vapeur, à ce moment le Napoli de Sarri ne voit pas le jour...

 

Laissez du temps à Montella, c'est un super coach et il avait une équipe ultra joueuse à la Fiorentina, mais c'est plus simple avec des Valero, Badelj,  Bernardeschi et autre.

"Behind every kick of the ball there has to be a thought." Dennis Bergkamp

 

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