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Invité

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Après la sublime interview de Pirlo de l'Équipe, voici l'interview du maître Xavi.

 

Xavi : «Je suis radical dans ma vision du foot»

Le milieu espagnol a déjà une vision précise de l'entraîneur qu'il voudra être une fois son expérience au Qatar terminée. Ses modèles ? Cruyff et Guardiola, bien sûr, dont le Barça actuel a gardé le style, assure-t-il.

DOHA (Qatar) – Juste en face, le Khalifa International Stadium, dont la rénovation en vue de la Coupe du Monde 2022 devrait s'achever d'ici quelques mois. C'est à l'hôtel Torch, une tour de 300 mètres nichée dans le centre Aspire, le luxueux complexe sportif de Doha, que Xavi Hernandez (37 ans, 133 sélections) nous avait donné rendez-vous. L'entretien a duré une heure, le jour du huitième de finale aller entre le Paris-SG et le Barça. Un Barça que le milieu de terrain d'Al-Sadd a quitté en 2015 pour terminer sa carrière au Qatar – normalement à l'été 2018 – mais qu'il espère retrouver dans un autre rôle, d'ici quelques années. «On ne peut jamais savoir, mais c'est sûr que mon objectif est d'y revenir pour travailler comme entraîneur», reconnaît-il.

« Aujourd'hui, êtes-vous plus un joueur ou un futur entraîneur ?
Toujours un joueur. Je suis toujours enthousiaste quand je vais jouer, même s'il n'y a personne dans le stade. Ce n'est pas grave. J'aime jouer, j'aime gagner. Mais entraîner, c'est mon futur. Par ma personnalité et ma manière d'être, entraîner est ce qui me correspondrait le plus. J'ai commencé à travailler au sein du staff de la sélection du Qatar des moins de 23 ans, qui devrait être la génération présente au Mondial 2022.

Quand serez-vous entraîneur à plein temps ?
Franchement, je ne sais pas. Ce qui est sûr, c'est que je vais encore jouer un an au foot la saison prochaine. Je me sens bien physiquement. Je profite. Je marque des buts. Je me sens bien. Je profite aussi de ce pays où la vie est très relaxante et calme. Quand j'aurais fini comme footballeur, la première chose que je ferais, ce sera d'aller à Madrid et de passer les diplômes d'entraîneur. Ça, c'est sûr. Entre 2018 et 2019. Je ne sais pas encore. Si tout va normalement, la saison prochaine sera ma dernière. Si je me sens super bien, peut-être que je ferais encore un an, mais je ne pense pas. Ensuite, je passerai mes diplômes. En attendant, j'assiste les staffs des sélections nationales ici, et j'apprends. J'apprends surtout en regardant les entraînements, comment on les prépare. Parce que c'est un autre monde. Il y a tellement de paramètres à maîtriser.

Guardiola était du Barça et c'est au Barça qu'il a commencé à entraîner. Zidane était du Real et c'est au Real qu'il a commencé à entraîner. Et vous ? Ce sera forcément au Barça ?
(Sourire) Mon objectif est d'arriver à travailler comme entraîneur à Barcelone. Après, on ne sait jamais. Ca ne dépend pas de toi. Ca dépend de ce dont tu es capable, de la situation, du moment, des circonstances. Mais mon objectif, ce que je veux faire, c'est sûr que c'est travailler pour le FC Barcelone. Mais ici (au Qatar) j'ai un projet très intéressant avec la Coupe du Monde. Ils souhaiteraient que je reste avec eux jusqu'au Mondial 2022 en les aidant, je ne sais pas encore comment. Mon premier objectif, c'est d'aider cette génération de joueurs au Qatar. Après, le futur, je ne sais pas. Mais évidemment que le Barça est un objectif.

Quelles sont les idées principales que vous aimeriez transmettre à vos futurs joueurs ?
C'est déjà très clair dans ma tête. J'ai été éduqué dans un football dans lequel je crois de manière radicale. Un football d'attaque. Je ne conçois pas le football autrement que dans le fait d'avoir le ballon. C'est comme ça que je prends du plaisir. Si c'est toi qui as le ballon, c'est moi qui souffre et je n'aime pas ça. Je n'aime pas défendre. J'aime attaquer, avoir le contrôle. Comme l'a dit un jour Guardiola, j'aimerais avoir 100% de possession de balle. Comme c'est impossible, tu dois aussi travailler d'autres choses, qui sont moins sexy, comme les systèmes défensifs, les veilles défensives sur certaines zones ou les coups de pied arrêtés, essentiels dans le foot moderne. Mais j'ai dans ma tête une idée du football empreinte de mon vécu au Barça et en sélection espagnole. Je suis radical dans ma vision du foot. Je sais qu'il y a d'autres footballs, je les respecte. Je respecte par exemple beaucoup Simeone, mais ce n'est pas mon idée footballistique.

Vous n'auriez pas aimé jouer pour lui à l'Atlético...
Je ne m'amuserais pas autant. Je vois ses joueurs prendre du plaisir, et c'est le talent de Simeone. Il a un mérite énorme. Mais ce n'est pas mon style. Même s'il est un peu en train d'évoluer. Désormais, son équipe presse haut de temps en temps et elle a davantage le ballon. Il y a tellement de possibilités dans le foot – tellement – que c'est un jeu fantastique. Mon football, c'est celui qui ne calcule pas, qui n'a pas peur d'avoir le ballon. Parfois, je vois des joueurs qui se débarrassent de la balle, mais c'est ce qu'il y a de plus important ! Je mourrais pour l'avoir ! Je presse haut pour l'avoir dans mes pieds, c'est là que je me sens le plus sûr.

Et le Real de Zidane, pratique-t-il un football qui vous plaît ?
Son football est un mélange de ce que j'aime. Quand son équipe a le ballon, ça me plaît : c'est un foot sans complexe, qui va directement vers l'avant, avec beaucoup de joueurs qui se projettent au milieu comme en attaque, des latéraux qui montent.... En défense, peut-être qu'il est plus italien parce qu'il y a grandi comme joueur. Ça ne le gêne pas de revenir derrière et de faire deux lignes de quatre par exemple. C'est un autre style, il est plus dans le contrôle. C'est un mélange de ce que fait Barcelone. Je prends toujours ça comme référence.

Zidane s'est enrichi par son expérience en Italie. Vous n'auriez pas aimé découvrir d'autres grands championnats que la Liga ?
Je suis tous les championnats, je sais comment on y joue. J'ai aussi appris de beaucoup d'entraîneurs que je n'ai pourtant pas eus. Par exemple, "l'école Bielsa" est très importante pour le football espagnol. Il est venu ici à Bilbao (2011-2013) et a apporté beaucoup de choses à l'Athletic. Positives ou négatives, mais il a apporté des choses : ce mouvement constant en attaque – ça lui est égal que l'ailier aille ici ou là ; le système défensif qu'il utilise aussi... Pfff... il est très dur pour le joueur, un marquage individuel continu pendant quatre-vingts dix minutes, le latéral qui suit partout son ailier... Ce sont des idées nouvelles qui nous permettent de nous enrichir. Mais c'est vrai que je suis assez radical dans mes idées.

Quel a été le dernier entraîneur qui vous a appris quelque chose ?
Pour moi, le plus innovant a été Guardiola. Mettre le latéral à l'intérieur pour qu'il participe à la construction du jeu, c'était du jamais vu. Guardiola se nourrit beaucoup de "l'école Cruyff". La personne de Cruyff a été une école d'entraîneurs : presque tous ceux qui l'ont eu comme entraîneur le sont devenus eux-mêmes : Guardiola, Eusebio (Sacristan), Koeman, Lopetegui... Ça sera la même chose pour nous avec Guardiola. Il fera des entraîneurs : Mascherano peut en être un bon, Busquets, Iniesta, Messi... celui qui veut et se sent capable de transmettre. Le Barça forme des entraîneurs.

Vous vous rappelez de votre premier entraînement avec Guardiola ?
La première chose qu'il nous avait dite, c'est : "Il faut courir...". Sans courir, tu ne vas nulle part. On sortait de deux saisons difficiles. Guardiola a vu que l'équipe n'était pas bien. Son premier message a donc été que sans travail, sans sacrifice, sans efforts, on ne ferait rien. Et ensuite, à partir de là, tout le reste a été des concepts footballistiques.

Et ce message a été accepté ?
Plus que ça. Il nous a captivé, par sa façon de parler, de transmettre son message, de gesticuler. Il nous a redonné la passion pour le foot. Guardiola était magique. C'est un leader naturel. Il nous a transmis tellement de choses que l'équipe est restée tout en haut. Il a aussi eu une génération de joueurs uniques : on était dix, douze, quinze joueurs au top de leur carrière. C'était génial. On a tout gagné en un an. À partir de là, tout le football a évolué autour de la figure de Guardiola et de la sélection espagnole. Soit les équipes ont essayé de faire la même chose, soit, au contraire, elles ont essayé de contrer ce que faisaient ces équipes. C'a été une tendance totale dans le football moderne... La force du Barça depuis l'arrivée de Cruyff comme entraîneur en 1988, c'est qu'il l'a doté d'une idée et d'une idée intouchable. Si un entraîneur n'y croit pas, alors il ne peut pas aller au Barça. Les joueurs se sont nourris de cette idée, y compris les gardiens de but. Cette idée doit perdurer, pour toujours. Sur les vingt-cinq dernières années, le Barça doit être le club à avoir remporté le plus de titres dans le monde. Pourquoi changer ? C'est la clé de son succès.

Mais le football évolue. Vous pensez que cette ligne de conduite sera toujours la meilleure dans vingt-cinq ans ?
Sans aucun doute.

Quand vous voyez le Barça cette saison, retrouvez-vous celui que vous avez quitté il y a deux ans ?
Je vois l'essence qui fait le Barça, oui. Avec des nuances. Mes avec les trois de devant, tu n'as pas besoin de faire vingt-cinq ou trente passes pour te créer une occasion de but. Le ballon peut venir de Ter Stegen ou Mascherano jusqu'à Neymar, qui le contrôle, se retourne et voilà. Les romantiques du Barça disent que ce n'est plus le même Barça. C'est sûr. Mais si tu as trois joueurs qui font que tu n'as pas besoin de faire mûrir des actions, quel est le problème ? Le Barça d'avant avait un autre type de joueurs qui allaient plus dans l'espace, qui comprenaient plus le jeu collectif, étaient moins individuels, mais ces trois monstres te conditionnent le Barça.

Quand on dit que le jeu du Barça est plus direct, ce n'est donc pas négatif ?
Au contraire. Tu as trois joueurs qui te font la différence. Que le Barça doive continuer à jouer de la même manière, j'en suis convaincu, et Luis Enrique travaille pour ça, à chaque entraînement, avec le jeu de position, sa recherche pour contourner une défense regroupée près de sa surface, pour trouver le joueur libre, les espaces... L'essence ne s'est pas perdue.

Dire que le milieu n'a pas la même facilité pour tenir le ballon est un faux débat ?
Si Busquets joue ou s'il ne joue pas, c'est une autre histoire. Il y a des joueurs qui sont tellement importants qu'ils te marquent le style d'une équipe. Si Iniesta n'est pas là, Barcelone n'est plus le même non plus.

La transmission est essentielle aux succès du Barça. Mais qu'y a-t-il derrière Busquets et Iniesta ? On ne voit pratiquement plus de joueurs formés au club s'imposer en équipe première...
Parce que c'est difficile. Le Barça est une équipe qui doit gagner. L'entraîneur de son équipe première doit très bien choisir le moment pour incorporer des jeunes... Il y en a qui montent : Carles Aleña (milieu de 19 ans, 0 apparition en équipe première), Samper (milieu de 22 ans, prêté cette saison à Grenade)... Sergi Roberto paraissait devoir s'en aller il y a quelques saisons, et il est aujourd'hui titulaire. Bartra n'a pas eu la même chance (il est parti à Dortmund l'été dernier), mais il y aura toujours des joueurs du Barça B capables de monter.

À quoi faites-vous attention lorsque vous regardez un match du Barça ?
Je sais ce qu'ils travaillent et je regarde comment ils le font en match. J'observe particulièrement la sortie du ballon et comment ils trouvent l'espace libre. Quand je regarde Luis Suarez, Iniesta, Busquets ou Messi, je me dis que ce sont des maîtres dans leur registre. Iniesta, il n'y a pas meilleur à son poste. Quand tu vois comme joue Busquets, tu as envie de dire : "Enregistre ses actions et passe le montage aux jeunes qui veulent devenir pro". Pareil pour les mouvements constants de Luis Suarez. Messi, je ne pense pas qu'un autre joueur comme lui existera à nouveau.

Pourquoi ?
Parce qu'il fait tout bien : il défend bien, il attaque bien, il dribble bien, il est bon dans le deux contre un, il passe bien, il est bon de la tête, il tire bien les coups-francs, il est buteur, il est passeur décisif.

Il a bien une faille, non ?
Aucune.

Il n'est pas humain alors.
Si, bien sûr, mais dans un match, il réussit 90% de ses actions. Et pas seulement aujourd'hui : depuis dix ans. Ça, ça n'existe pas ! Et puis, il y a aussi comment il fait jouer l'équipe... C'est une merveille, ce garçon. Pour moi c'est le meilleur joueur de l'histoire du football. Sans aucun doute. J'ai vu des vidéos de Maradona. Il faisait la même chose, ou presque, mais Maradona ne l'a pas fait aussi longtemps, dans autant de compétitions, et sur chaque match... À ces joueurs, j'ajouterais Piqué, qui est aussi le meilleur du monde à son poste.

En quoi ?
Il se place bien, il dirige bien, il trace la ligne défensive sur la ligne médiane. Au niveau individuel, tous ces joueurs font bien les choses. Mais, à Barcelone, c'est surtout au niveau collectif que ça se traduit. Voir ça, c'est merveilleux.

Êtes-vous d'accord avec Guardiola quand il minimise son travail en disant qu'à Barcelone, il avait simplement les meilleurs joueurs du monde ?
Mais cela ne te garantit pas de gagner. Regardez la sélection argentine avec Messi... Un entraîneur dépend évidemment pour une grande part des joueurs qu'il a, mais le football, c'est beaucoup plus de choses que ça, c'est faire une équipe : en défense, en attaque, à la transition, sur les coups de pieds arrêtés. Je crois plus au concept de groupe qu'aux concepts individuels. Durant ma carrière, j'ai beaucoup dû penser au collectif, me demander où sont mes partenaires pour faire la passe. J'ai pratiquement été un survivant sur le terrain. Regardez comme je suis ! Je ne suis ni rapide, ni grand, ni fort. Qu'est-ce qu'il me reste ? Penser. (Il rit) Il ne me reste rien d'autre !

C'est l'essence du jeu du Barça ?
C'est l'essence du jeu de Cruyff. Cruyff aussi disait : "J'étais petit, je devais penser". Mais lui était rapide, beaucoup plus que moi. J'ai dû beaucoup penser, le double ou le triple de Pogba, par exemple. Pogba est très fort physiquement. Zidane l'était aussi. Ou Messi. Ou Cristiano Ronaldo. Moi, j'ai une vitesse mentale, pas une vitesse physique. C'est ce qu'on m'a enseigné toute la vie : le jeu de conservation, le jeu de position. Je n'aurais pas pu jouer au football dans un autre système. Franchement, vous m'auriez vu jouer en Italie par exemple ? (Il secoue la tête et éclate de rire) Non ! Messi, tu peux le mettre à droite, à gauche, devant, plus bas, c'est pareil. Moi, non. J'avais besoin d'avoir des joueurs proche de moi... Je suis un joueur de jeu collectif. En fait, ma personnalité est ainsi. Je suis tout le temps avec ma famille, mes amis : j'ai besoin des partager les choses. Je ne suis pleinement satisfait après une victoire que si on a aussi bien joué collectivement. Bien sûr que la victoire est très importante, mais pour moi, la forme l'est tout autant, sinon plus.

Vous rappelez-vous d'un jour de perfection collective ?
De beaucoup... Ça fait toujours prétentieux de dire qu'on a fait des matches parfaits, mais j'ai ressenti ça quand on a gagné 5-0 contre le Real Madrid (le 29 novembre 2010) ou 6-2 à Santiago-Bernabeu (le 2 mai 2009). Ou lors de la finale de Ligue des Champions contre Manchester United (3-1, le 28 mai 2011) : c'était une pure merveille. Il y a aussi eu des fois où, juste après les matches, sans qu'il y ait un mot, tout le vestiaire se mettait à applaudir. Ça, ça n'a pas de prix. Ca nous est aussi arrivé de très bien jouer et de perdre, comme la demi-finale de Ligue des Champions 2012 face à Chelsea (0-1, 2-2). Et qu'a fait le public du Camp Nou ? Il nous avait applaudis. C'est la grandeur du "Comment". Tu ne gagnes pas, mais comment tu joues ? Cruyff disait toujours que même si l'Oranje Mécanique (la sélection néerlandaise des années 1970) n'a pas remporté de Coupe du Monde, elle avait marqué les gens. Parce que les supporters gardent dans la rétine le "comment".

Cette sensation de plénitude, vous pensez pouvoir la retrouver sur un banc ?
Quand je travaille pour la sélection des moins de 23 ans du Qatar avec Felix Sanchez, l'entraîneur principal, je vais souvent dans son bureau et il me dit : "Regarde Xavi, on va jouer de cette manière". Quand les garçons le font ensuite sur le terrain (il gonfle le torse en ouvrant les bras) c'est un sentiment de satisfaction très grand. Sur un banc, tu souffres beaucoup plus que sur le terrain, tu souffres le double. Mais quand les garçons font ce que tu as imaginé, c'est une sensation incroyable. »

"Behind every kick of the ball there has to be a thought." Dennis Bergkamp

 

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L'une des interviews les plus interressantes de joueurs que j'ai pu lire !!

A part peut-être sur son avis sur le Real de Zidane et le Barça d'Enrique, il parle cash, à vraiment son propre avis sur le football même s'il peut paraître arrogant.

Beaucoup de joueur veulent se reconvertir entraîneur donc je sais pas si ça va marcher, mais il a l'air vraiment passionné donc à voir.

L'important c'est de participer...

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Du coup si Enrique finit par faire triplé, ça se passe comment au fait? ph34r.png

en course pour la liga, la c1 leur retour contre le PSG devrait les relancer + que jamais ils sont limites favoris maintenant, c'est, à l'image du but d'Iniesta contre Chelsea en 2009, le genre de match qui peut transformer ta saison.

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Du coup si Enrique finit par faire triplé, ça se passe comment au fait? ph34r.png

en course pour la liga, la c1 leur retour contre le PSG devrait les relancer + que jamais ils sont limites favoris maintenant, c'est, à l'image du but d'Iniesta contre Chelsea en 2009, le genre de match qui peut transformer ta saison.

Le but d'Iniesta, c'est en demi-finale retour... En toute fin de saison donc.

 

Le Barca était en finale de la Copa et pratiquement titré en Liga (sept points d'avance à quatre journées de la fin). Ce match a donné une dimension émotionnelle assez folle à leur saison mais il ne l'a pas transformée comme celui de Mercredi soir pourrait le faire. Mentalement, ils vont

être au top pendant un moment.

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Le Barca jouera à 16h15 contre la Corogne, et le Real ce soir face au Betis Seville.

Ca va être intéréssant à suivre après la qualif de ces deux clubs en C1, et surtout la remontada du Barca.

 

Et dire qu'il y a peu, tout semblait perdu pour le Barca, que ce soit en Liga avec l'avance du Real malgré ses matches en moins, mais aussi en C1 avec ce 4-0. Aujourd'hui, le Barca est bel est bien qualifié pour le tour suivant européen, mais ils sont aussi en tête du championnat avec un point d'avance, et un Clasico restant à jouer malgré un match de moins pour le Real. Tout est encore dans leurs mains.

Ricqo.png

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Ben il faisait beaucoup le buzz l'année dernière en Espagne puis ça s'est un peu calmé, il a évidemment pas du perdre ses qualités du jour au lendemain (car le buzz c'était qu'il était un énorme crack en soi). Un supp du club disait qu'il était encore assez irrégulier, qqun peut nous en parler?

JL doit pouvoir le faire.

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  • 2 semaines plus tard...

Arsenal et donc Wenger le suivait déjà depuis qu'il était en Croatie... c'est un joueur que Wenger aime donc.. 

 

Dans ce cas là c'est encore plus grave de pas l'avoir chopé à l'Inter avant le Real, il a pas coûté plus de 30 millions.

 

Mais bon il partira pas à mon avis sauf peut être en prêt. Modric a bientôt 32 ans et cette saison on commence déjà à voir qu'il vieillit, Kovacic prendra sa place dans maximum 2 ans (en plus Modric est la principale raison de son arrivé au Real), il restera probablement au club, c'est comme Varane qui a su être patient pour prendre la place à Pepe.

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