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Je dois rendre une disert' à la fin des vacances et franchement je sèche. 

 

J'ai le choix entre ces énoncés : 

 

"On ne peut rien changer à son destin." (Escope) 

 

"L'espérance, toute trompeuse qu'elle est, sert au moins à nous mener à la fin de la vie par un chemin agréable." (La Rochefoucauld) 

 

"Je crois profondément que le lecteur lit, au fond, pour être conforté. Loin de nous changer, le livre renforce notre identité."  (José Samarago) 

 

"L'enfer est tout entier dans ce mot : solitude." (Victor Hugo) 

 

Est-ce qu'une âme charitable n'aurait pas des idées ou des conseils à me donner ?  :lol:

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Je dois rendre une disert' à la fin des vacances et franchement je sèche. 

 

J'ai le choix entre ces énoncés : 

 

"On ne peut rien changer à son destin." (Escope) 

 

"L'espérance, toute trompeuse qu'elle est, sert au moins à nous mener à la fin de la vie par un chemin agréable." (La Rochefoucauld) 

 

"Je crois profondément que le lecteur lit, au fond, pour être conforté. Loin de nous changer, le livre renforce notre identité."  (José Samarago) 

 

"L'enfer est tout entier dans ce mot : solitude." (Victor Hugo) 

 

Est-ce qu'une âme charitable n'aurait pas des idées ou des conseils à me donner ?  :lol:

Prend la trois, c'est la moins bateau.

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Je dois rendre une disert' à la fin des vacances et franchement je sèche. 

 

J'ai le choix entre ces énoncés : 

 

"On ne peut rien changer à son destin." (Escope) 

 

"L'espérance, toute trompeuse qu'elle est, sert au moins à nous mener à la fin de la vie par un chemin agréable." (La Rochefoucauld) 

 

"Je crois profondément que le lecteur lit, au fond, pour être conforté. Loin de nous changer, le livre renforce notre identité."  (José Samarago) 

 

"L'enfer est tout entier dans ce mot : solitude." (Victor Hugo) 

 

Est-ce qu'une âme charitable n'aurait pas des idées ou des conseils à me donner ?  :lol:

 

J'aime beaucoup le second sujet, on peut facilement le rattacher à des thèmes sensibles et sujets à controverse comme le sexe (ou la séduction de façon plus générale), les camps de concentration ("Le travail rend libre"), la religion, etc...

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J'aime bien le premier sujet qui renvoie à l'idée de fatalisme, tu peux caser pas mal de choses là dedans c'est assez vaste. On peut parler ici du stoïcisme japonais, l'idée comme quoi ils doivent supporter tout un tas de choses dans un pays habitué aux catastrophes naturelles si je ne m'abuse. Tu peux aussi replacer l'Horloge de la fin du monde. Une horloge créée lors de la guerre froide en 1947 par l'université de Chicago. Cette horloge se base sur le nombre d'armes atomiques, de menaces de guerres, etc avec un décompte vers minuit, ou minuit serait la fin de l'humanité, une sorte de pensée fataliste de la prolifération des armes nucléaires dans le monde qui mettrait en péril notre monde.

 

Le groupe Linkin Park avait appelé son album Minutes to midnight en 2007 car l'horloge était pour la première fois à 5 minutes de minuit suite à de nombreuses tensions (Corée du Nord et Iran qui voulaient avoir l'arme nucléaire). Bref c'est une théorie que j'ai utilisé en philo qui m'avait filé une bonne note, c'est un peu éloigné du sujet de base, mais je pense que ça peut coller et que c'est un exemple pas forcément hyper connu.

 

Enfin le sujet sur le solitude est aussi hyper vaste, et on a tous notre vécu à ce sujet, donc il y a de la matière.

"Behind every kick of the ball there has to be a thought." Dennis Bergkamp

 

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Je dois rendre une disert' à la fin des vacances et franchement je sèche. 

 

J'ai le choix entre ces énoncés : 

 

"On ne peut rien changer à son destin." (Escope) 

 

"L'espérance, toute trompeuse qu'elle est, sert au moins à nous mener à la fin de la vie par un chemin agréable." (La Rochefoucauld) 

 

"Je crois profondément que le lecteur lit, au fond, pour être conforté. Loin de nous changer, le livre renforce notre identité."  (José Samarago) 

 

"L'enfer est tout entier dans ce mot : solitude." (Victor Hugo) 

 

Est-ce qu'une âme charitable n'aurait pas des idées ou des conseils à me donner ?  :lol:

 

Sur la première tu peux parler 150 ans du déterminisme et de ces conneries là. Et si t'es un branleur (comme moi :D ) j'imagine que tu peux même trouver des dissertations toutes faites à ce sujet ^^

 

Sinon Joe Cocker est mort. Tristesse.  

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Voilà, c'est fait, les billets pour Londres sont en poche !

 

Je pars le 21 Février, arrivée à Londres à 11h30 heure anglaise.

Maintenant, la course aux places, j'ai comme opportunités :

- Crystal Palace Away, 21 Février à 15h.

- Monaco à l'Emirates, 25 Février, 19h45.

 

Mon objectif premier est Monaco, si j'arrive à choper deux places (avec ma copine) c'est génial. Sinon, je tente Crystal Palace.

 

C'est mon rêve le plus cher de voir un match de BPL, un match de nos Gunners même s'ils sont mauvais, je veux vivre un match.

J'ai 20ans, étudiant, j'ai les moyens, je pense que c'est maintenant ou jamais pour y aller.

 

Si des gens peuvent m'aider à trouver des places (sites internet par exemple), je suis preneur. :)

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Je dois rendre une disert' à la fin des vacances et franchement je sèche. 

 

J'ai le choix entre ces énoncés : 

 

"On ne peut rien changer à son destin." (Escope) 

 

"L'espérance, toute trompeuse qu'elle est, sert au moins à nous mener à la fin de la vie par un chemin agréable." (La Rochefoucauld) 

 

"Je crois profondément que le lecteur lit, au fond, pour être conforté. Loin de nous changer, le livre renforce notre identité."  (José Samarago) 

 

"L'enfer est tout entier dans ce mot : solitude." (Victor Hugo) 

 

Est-ce qu'une âme charitable n'aurait pas des idées ou des conseils à me donner ?  :lol:

 

 

J'aime beaucoup la phrase d’Ésope, qui, derrière son apparente trivialité, peut être traitée, je crois, avec une certaine profondeur.

 

L'interprétation la plus simple, c'est d'affirmer que l'écrivain grec prive l'homme de son libre arbitre : il serait condamné à avoir telle ou telle vie. Toutes les actions des hommes seraient prédéterminées. Dans cette perspective, il est important de citer, comme le rappellent mes camarades, l'influence du fatalisme et du déterminisme en philosophie. Le livre de référence en la matière me semble être Jacques le fataliste de Diderot, dans lequel Jacques ne cesse de répéter, au grand désespoir de son maître, que "tout est écrit là-haut" dans le "grand rouleau". Dans ce récit, il y a une contradiction apparente entre la doctrine prônée par Jacques et le fait qu'il agisse malgré tout : il pense que tout est écrit, mais paradoxalement, croit pouvoir influer sur les choses par son action.

Il convient ici de parler, naturellement, des providentialismes (Joseph de Maistre ?) et surtout des diverses religions.

 

Cependant, dans un second temps, j'irai un peu plus loin que ces analyses qui peuvent paraître superficielles. Ésope prétend qu'on ne peut rien changer à son destin : c'est vrai, d'un point de vue étymologique ("projet arrêté" ; on ne peut rien changer à ce qui est arrêté). C'est pourquoi la question en appelle une autre : le destin existe-t-il ? Il ne faut pas se tromper de sujet, mais en ouverture, en conclusion par exemple, cela pourrait être intéressant. Un incroyant peut aisément reconnaître que l'on ne peut pas changer un destin, mais la question est de savoir si celui-ci existe.

 

Pour moi, par exemple, au-delà de ma religion, je suis persuadé que toutes nos actions sont prédéterminées, et que tout ce qui nous arrive est voulu et participe d'un projet. La réplique facile consiste à s'exclamer : "Mais alors tu ne te considères pas comme libre, puisque tout est prévu !" En effet, tout est prévu, mais et alors ? Comme les desseins de Dieu sont impénétrables, on ne pourra jamais savoir ce qui va nous advenir ; par conséquent, l'on va tout faire pour que notre destin soit le meilleur possible, et proche du bonheur. Or, il pourra s'avérer a posteriori que, si on y parvient, ce destin heureux aura été notre destin. Notre action a été déterminante pour y parvenir. D'où une distinction subtile que j'établirai entre le déterminisme (c'est la doctrine que je prône) et le fatalisme (vision superficielle qui empêche l'action au nom de la fatalité).

 

D'autres éléments peuvent être allègrement développés dans ta dissertation : Hegel et sa philosophie de l'histoire, ainsi que le déterminisme historique de Marx ; insister sur les concepts de "fortune", de hasard et de contingence ; évoquer Pascal et son : "Si le nez de Cléopâtre eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé" ; Spinoza, Auguste Comte, Hobbes et Leibniz ; faire la distinction entre liberté (plus large) et libre arbitre, en évoquant notamment Descartes ; souligner l'importance des philosophes grecs anciens, comme Aristote, et leur vision particulière des âges et des sociétés ; etc.

 

Voilà quelques idées qui me viennent comme ça. Mais n'insiste pas trop, si tu choisis le sujet, sur le destin à travers l'histoire, puisque le sujet semble plutôt porté sur le destin individuel (moins intéressant cependant).

En gros, deux ou trois temps peuvent aisément se dégager selon moi : 1° une partie dans laquelle tu adopterais naïvement l'interprétation superficielle (le destin comme entrave au libre arbitre, en évoquant les religions et Jacques le fataliste) ;

2° Une autre dans laquelle tu traiterais de ce qui semble permettre de changer son destin, à savoir le hasard, la fortune, les contingences, en citant la vision épicurienne du monde, par exemple ;

3° Enfin, mais seulement dans le cas où tu es du même avis que moi, tu finirais par une troisième partie : même s'il existe un destin, inéluctable par définition, cela n'enlève rien au libre arbitre de l'homme, et le fait de croire que le destin est une limite à la liberté n'est en définitive qu'une leurre : elle n'empêche pas l'action (déterminisme). Le fait de ne plus croire, contrairement à certains Grecs anciens et aux providentialistes notamment chrétiens, au destin, est souvent perçu comme un progrès, une émancipation de l'individu. En fait, il n'en est rien. L'individu n'est pas exempt d'aliénations, et la conscience pour l'homme du fait qu'il n'est pas libre, avec ou sans destin, est la plus grande des libertés.

 

 

Pour le reste, j'ai aussi des idées, mais il ne faut pas exagérer ! ^^

Et je veux 50 % sur les gains de la note que tu auras !

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Merci. Non, juste une année au lycée ! Mais le sujet (la philosophie en général) m'intéresse, donc j'ai pas mal lu de mon côté.

 

Chapeau en tous cas ! 

 

Quand je pense que je glandais en philo pour avoir un 5,5 au BAC après avoir écrit 8 pages de conneries... :lol: 

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p***** je prends le train une fois par an et à chaque fois ya une coquille. Une heure et demie de retard à cause d un problème mécanique x). Du coup je dois poiroter 2h a Paris pour ma correspondance. J ai pris le dernier sofoot il est sympa, ça m occupe.

 

Édit: p***** mon deuxième train est arrêté aussi à cause d un problème... Sérieux je sais que j ai la poisse mais quand même x)

"Behind every kick of the ball there has to be a thought." Dennis Bergkamp

 

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