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J'ai une question, est-ce que certains médecins parlent un peu du fait que la cause de Cancers ou de beaucoup de maladies sont du à des problèmes psychologique ? 

Et que les névroses mentales que l'on a tous sont les principales causes de maladie et de problèmes ? Alors que souvent on cherche le problème ailleurs et on prend des médicaments ou on fait des opérations qui ne servent qu'à cacher le problème, ou à guérir le problème de la mauvaise façon. Sans toujours un franc succès ?

 

Le médecin cherche toujours la réponse dans les médicaments quand elle pourrait être dans notre tête et que se soit à nous de le chercher. Et de le trouver.

Oui une partie de la recherche médicale s'intéresse à la relation entre psychologie et maladies somatiques. Il est par exemple acté que le fait de croire en sa guérison ou en l'effet du traitement améliore significativement les chances de réussite, notamment dans les cancers.

L'effet placebo est aussi bien connu de la médecine et chaque étude scientifique tente de le prendre en compte.

 

Maintenant l'explication psychologique comme cause principale ou exclusive d'une pathologie somatique ou de sa guérison, c'est sans doute un fantasme (à par peut être pour de rares exceptions) et on tombe plus dans les médecines alternatives.

 

Ça c'est pour la théorie, mais dans la pratique médicale il y a d'énorme progrès à faire dans la relation thérapeutique, la relation médecin-malade, l'investigation des problèmes psy, etc...

Donc oui la théorie est consciente de ces aspects mais la pratique a beaucoup de retard, surtout en milieu hospitalier.

 

Après tu peux aussi prendre le problème à l'envers. Tout problème psy a des explications biologiques ^^.

 

Oui je suis totalement d'accord avec toi. C'est vrai pour les cancers j'ai exagéré. Mais une bonne santé mentale et une bonne hygiène permettrait quand même de bien diminuer le nombres d'une grande partie des maladies.

 

Le cancer on l'a plus ou moins créé de toute pièce. Je doute qu'il y en ai beaucoup dans certaines civilisations reculées qui ne possèdent pas toutes les horribles habitudes de nous les occidentaux.

 

Et l'hérédité je pense que ça reste toujours le cas d'une mauvaise hygiène physique ou psychologique de tes ancêtres. Tout ça se passe de génération en génération je pense. Donc si tu es clean, y a peu de chance que tes enfants aient de sale trucs.

Le cancer est favorisé par notre mode de vie occidental mais on est très loin de l'avoir créé de toute pièce. La principale explication de la monté de l'incidence du cancer réside tout simplement dans le recul de l’espérance de vie. Le cancer étant une maladie augmentant de manière exponentielle avec l'âge, il est logique qu'on soit plus touché que les civilisations reculées qui crevaient à 35 ans...

 

Pour l'hérédité, ton ADN n'est pas directement modifié par les événements de ta vie. Tu transmets ce qu'on t'as filé, pas ce que tu as fait. Par contre tu soulèves un concept très intéressant et à la pointe de la recherche actuelle: l'épigénétique. C'est la modification de la manière dont ton génome (qui est invariant) s'exprime. La, ton environnement va avoir un impact sur les gènes que tu exprimes et donc sur d’éventuelles pathologies. Et tout récemment sont sorties des études montrant que des modifications épigénétiques ayant lieu sur des spermatozoïdes peuvent influencer le développement de la progéniture chez l’animal. Ça irait dans le sens de ce que tu dis. Maintenant je doute que ce soit un immense facteur dans notre santé par rapport à des facteurs génétiques ou environnementaux.

Mais c'est un sujet passionnant.

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Oui une partie de la recherche médicale s'intéresse à la relation entre psychologie et maladies somatiques. Il est par exemple acté que le fait de croire en sa guérison ou en l'effet du traitement améliore significativement les chances de réussite, notamment dans les cancers.

L'effet placebo est aussi bien connu de la médecine et chaque étude scientifique tente de le prendre en compte.

 

Maintenant l'explication psychologique comme cause principale ou exclusive d'une pathologie somatique ou de sa guérison, c'est sans doute un fantasme (à par peut être pour de rares exceptions) et on tombe plus dans les médecines alternatives.

 

Ça c'est pour la théorie, mais dans la pratique médicale il y a d'énorme progrès à faire dans la relation thérapeutique, la relation médecin-malade, l'investigation des problèmes psy, etc...

Donc oui la théorie est consciente de ces aspects mais la pratique a beaucoup de retard, surtout en milieu hospitalier.

 

Après tu peux aussi prendre le problème à l'envers. Tout problème psy a des explications biologiques ^^.

 

Le cancer est favorisé par notre mode de vie occidental mais on est très loin de l'avoir créé de toute pièce. La principale explication de la monté de l'incidence du cancer réside tout simplement dans le recul de l’espérance de vie. Le cancer étant une maladie augmentant de manière exponentielle avec l'âge, il est logique qu'on soit plus touché que les civilisations reculées qui crevaient à 35 ans...

 

Pour l'hérédité, ton ADN n'est pas directement modifié par les événements de ta vie. Tu transmets ce qu'on t'as filé, pas ce que tu as fait. Par contre tu soulèves un concept très intéressant et à la pointe de la recherche actuelle: l'épigénétique. C'est la modification de la manière dont ton génome (qui est invariant) s'exprime. La, ton environnement va avoir un impact sur les gènes que tu exprimes et donc sur d’éventuelles pathologies. Et tout récemment sont sorties des études montrant que des modifications épigénétiques ayant lieu sur des spermatozoïdes peuvent influencer le développement de la progéniture chez l’animal. Ça irait dans le sens de ce que tu dis. Maintenant je doute que ce soit un immense facteur dans notre santé par rapport à des facteurs génétiques ou environnementaux.

Mais c'est un sujet passionnant.

 

Pas grand chose à répondre en dehors de merci. 

J'ai dis tout ça sans vraiment de connaissances mais surtout par supposition et tu m'as permis de confirmer certaines de mes idées.

 

Quand tu dis :

"Après tu peux aussi prendre le problème à l'envers. Tout problème psy a des explications biologiques  ^^."

 

C'est vrai qu'on peut aussi prendre le problème dans ce sens. Il me semble par exemple que pas mal de cas de depressions sont du à des réactions chimiques. Je me

trompe..?

 

Après en effet j'ai volontairement exagéré pour le cancer, mais on voit quand même un plus grand nombre de cas à des ages relativement jeunes de nos jours. Je connais pas mal de femmes qui ont eu des cancers du sein vers 40ans par exemple.

 

Et le stress dans tout ça ? Il peut être responsable de beaucoup de choses non ?

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Pas grand chose à répondre en dehors de merci. 

J'ai dis tout ça sans vraiment de connaissances mais surtout par supposition et tu m'as permis de confirmer certaines de mes idées.

 

Quand tu dis :

"Après tu peux aussi prendre le problème à l'envers. Tout problème psy a des explications biologiques  ^^."

 

C'est vrai qu'on peut aussi prendre le problème dans ce sens. Il me semble par exemple que pas mal de cas de depressions sont du à des réactions chimiques. Je me

trompe..?

 

Après en effet j'ai volontairement exagéré pour le cancer, mais on voit quand même un plus grand nombre de cas à des ages relativement jeunes de nos jours. Je connais pas mal de femmes qui ont eu des cancers du sein vers 40ans par exemple.

 

Et le stress dans tout ça ? Il peut être responsable de beaucoup de choses non ?

 

Il faut aussi prendre en compte le fait que nos moyens de dépistages sont autrement plus performant qu'il y a 50 ou 100 ans.

Ajd en France, le dépistage du cancer du sein est recommandé et généralisé pour les femmes à partir d'un certain âge. Les personnes à risque sont invitées à faire des dépistages réguliers. Les cancers du rectum, de la prostate sont très surveillés aussi.

 

Pour les personnes âgées, avant on disait qu'elles étaient morte de façon naturelle. Ajd, on a les moyens de dépister les cancers.

 

Après, concernant les cancers, les plus gros facteurs de risques sont de type environnementaux, à savoir alcool tabac alimentation travail où on est exposé à des substances toxiques, puis génétiques.

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Pas grand chose à répondre en dehors de merci. 

J'ai dis tout ça sans vraiment de connaissances mais surtout par supposition et tu m'as permis de confirmer certaines de mes idées.

 

Quand tu dis :

"Après tu peux aussi prendre le problème à l'envers. Tout problème psy a des explications biologiques  ^^."

 

C'est vrai qu'on peut aussi prendre le problème dans ce sens. Il me semble par exemple que pas mal de cas de depressions sont du à des réactions chimiques. Je me

trompe..?

 

Après en effet j'ai volontairement exagéré pour le cancer, mais on voit quand même un plus grand nombre de cas à des ages relativement jeunes de nos jours. Je connais pas mal de femmes qui ont eu des cancers du sein vers 40ans par exemple.

 

Et le stress dans tout ça ? Il peut être responsable de beaucoup de choses non ?

D'un point de vue déterministe (et sans doute scientifique), la conscience, les pensées sont du à des réactions chimiques et physiques via les neurones. Donc oui la dépression, mais comme tout états, émotions vient de phénomènes physiques/ biologiques. Mais la science est à des années lumières de comprendre ou expliquer comment ça marche.

Tu fais sans doute allusion au fait qu'on ait corrélé les dépressions avec des différences au niveau des neurotransmetteurs (sérotonine, dopamine) qui sont les messagers chimiques que s'échangent les neurones. Ce genre de données existent aussi pour d'autres troubles psy comme la schizophrénie, etc...

 

Ça été une petite révolution parce que ça définitivement clivé les barrières entre neuroscience et psychiatrie, entre l'étude du cerveau et de l'esprit. Et la on rentre dans un de mes sujets favoris :rolleyes: .

 

Pour l'incidence des cancers, Nujabes soulève un point important. L'exemple du cancer de la prostate est très parlant. C'est un cancer à développement très lent. Il est très fréquent mais c'est rarement la cause de mortalité. Ce qui fait qu'avant tout le monde mourrait sans savoir qu'ils s'en avaient un et que maintenant avec les dépistages, on en diagnostique à tour de bras.

 

@ Axelou: Oui somatique en psychiatrique, c'est physique par opposition à psychique. Donc somatiser c'est le fait qu'un trouble psychique se traduise par une manifestation physique. On parle aussi de troubles somatoformes.

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je viens d'apprendre que le batiment où je travaillais les étés pour me faire de l'argent est amianté depuis 1979

putain , je vais porter plainte avec les collégues obligés, la direction le savait à l'époque, une enquête viens de le prouver seulement aujourd'hui

super maintenant je risque le cancer ....  FUCKING CAPITALISME

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Pelé:"He is the best player in the world; He has just been a little unlucky in the past.";                   Maradona: "Totti is the world's number one" ;                     Mourinho: "He's the best player in the Italian championship in terms of spectacle and quality of play."                    Ferguson: "Totti is the fantastic player";                           Wenger: "Totti is a top, top class player. He used to play in behind the strikers and then one day they had no central striker so they played him up front and won game after game. He suddenly became the topscorer in Italy as a central striker. That means this guy has absolutely everything"             Platini: " Totti est un artiste du football. Son seul défaut est d'être romain."

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Je suis dans une situation inédite pour moi et délicate à gérer.

 

Je suis actuellement en Master 1 MEEF, préparant le concours du CAPES Histoire-Géographie à Dijon, épreuves début Avril.

Ces derniers temps, je me pose des questions, à savoir si ce métier va vraiment me plaire ou non, si je vais regretter ou pas.

Le journalisme me plaît particulièrement, j'aimerai vraiment me lancer là dedans, mais j'ai vite été refroidit il y a quelques années en voyant le prix des écoles notamment. Mais plus le temps passe, plus je me dis que ce serait un métier qui me plairait plus qu'enseignant.

 

Je me pose donc des question, et j'aimerai avoir votre avis là dessus. Dans ma tête, je me laisse deux essais pour le concours CAPES, si échec je tente un master 2 Euromédia disponible à Dijon. Mais en même temps, je me demande s'il est possible d'avoir le CAPES et enchaîner par ce master, c'est-à-dire laisser de côté le métier d'enseignant même en ayant le concours.

 

Que faire ?

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Que faire ?

 

C'est à toi de le décider, on va pas le faire à ta place  :P

Plus sérieusement, as-tu déjà enseigné ? Si oui, as-tu apprécié ?

Mais si le journalisme est vraiment ta passion, lance toi dedans à 100 % ( je sais c'est facile à dire...), on a qu'une seule vie sur terre.

 

Concernant les écoles de journalisme, j'ai un très bon ami qui faisait une prépa en droit mais qui du jour au lendemain a tout plaqué car il était pas dans son élément, il a donc bossé au MCDO puis avoir l'argent récolté il s'est inscrit dans une école de journalisme, et maintenant il kiffe, il est dans les premiers de sa promo, il a fait un peu de radio, il écrit pas mal d'articles sur un site qu'il a lancé avec des amis à lui, il commence à se faire un réseau... Bref le pied total pour lui.

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C'est à toi de le décider, on va pas le faire à ta place  :P

Plus sérieusement, as-tu déjà enseigné ? Si oui, as-tu apprécié ?

Mais si le journalisme est vraiment ta passion, lance toi dedans à 100 % ( je sais c'est facile à dire...), on a qu'une seule vie sur terre.

 

Concernant les écoles de journalisme, j'ai un très bon ami qui faisait une prépa en droit mais qui du jour au lendemain a tout plaqué car il était pas dans son élément, il a donc bossé au MCDO puis avoir l'argent récolté il s'est inscrit dans une école de journalisme, et maintenant il kiffe, il est dans les premiers de sa promo, il a fait un peu de radio, il écrit pas mal d'articles sur un site qu'il a lancé avec des amis à lui, il commence à se faire un réseau... Bref le pied total pour lui.

Intéressant ce que tu dis sur ton ami, merci !

Elle a coûté combien son école ?

 

J'ai déjà fais des stages en école primaire et collège, je m'y sentais bien et le rapport de ma tutrice a été très positif, j'étais bien dans ce métier.

J'attend de voir ce que va donner le lycée bientôt ...

 

Après je me dis que je peux me lancer dans ce métier et si je ne me sens pas bien je peux me reconvertir, tenter autre chose ..

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Intéressant ce que tu dis sur ton ami, merci !

Elle a coûté combien son école ?

 

J'ai déjà fais des stages en école primaire et collège, je m'y sentais bien et le rapport de ma tutrice a été très positif, j'étais bien dans ce métier.

J'attend de voir ce que va donner le lycée bientôt ...

 

Après je me dis que je peux me lancer dans ce métier et si je ne me sens pas bien je peux me reconvertir, tenter autre chose ..

 

Le lycée c'est cool, le collège j'ai eu plus de mal. En fait, comme toi j'aurais adoré devenir journaliste, mais ce métier m'a dégouté avant d'y entrer notamment dans le domaine du sport. Un ami de mes parents après être parti deux ans aux USA a voulu devenir journaliste sportif il y a plusieurs années maintenant. Il a eu du bol et en envoyant des articles à un journal local de chez moi, il a réussi à rentrer dans ce journal. Puis il m'a expliqué qu'il a réussi à monter et à ensuite travailler sur le tour de France pendant 15 ans sur l'Equipe. Maintenant il travaille à la FFF. Le problème comme il me l'a expliqué, c'est qu'il a conscience d'avoir eu énormément de chance, d'avoir rencontré les bonnes personnes, au bon moment et d'avoir eu des petits coup de pouce, lui qui n'est pas passé par une école.

 

Il m'a avoué que c'était un métier aujourd'hui qui ne fonctionnait qu'au piston et pas au talent, il faut juste connaître les bonnes personnes. Et quand je vois le niveau des journalistes en France, je me dis que cela ne m'intéresse pas de devenir formater comme eux.

 

Le seul média intéressant, c'est internet, là si tu sais y faire tu as peut-être moyen de monter ton truc mais c'est aussi compliqué. Après comme on dit, il faut essayer pour réussir mais bon...

 

Moi pour le métier de prof, ça me plait, moins que journaliste, mais ça va, moi j'ai beaucoup plus de mal avec le concours que je trouve d'une nullité affligeante, c'est tellement à des années lumières du métier que tu vas faire, et puis c'est tellement du formatage à la sauce éducation nationale, que c'est difficile d'y adhérer.

"Behind every kick of the ball there has to be a thought." Dennis Bergkamp

 

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Le lycée c'est cool, le collège j'ai eu plus de mal. En fait, comme toi j'aurais adoré devenir journaliste, mais ce métier m'a dégouté avant d'y entrer notamment dans le domaine du sport. Un ami de mes parents après être parti deux ans aux USA a voulu devenir journaliste sportif il y a plusieurs années maintenant. Il a eu du bol et en envoyant des articles à un journal local de chez moi, il a réussi à rentrer dans ce journal. Puis il m'a expliqué qu'il a réussi à monter et à ensuite travailler sur le tour de France pendant 15 ans sur l'Equipe. Maintenant il travaille à la FFF. Le problème comme il me l'a expliqué, c'est qu'il a conscience d'avoir eu énormément de chance, d'avoir rencontré les bonnes personnes, au bon moment et d'avoir eu des petits coup de pouce, lui qui n'est pas passé par une école.

 

Il m'a avoué que c'était un métier aujourd'hui qui ne fonctionnait qu'au piston et pas au talent, il faut juste connaître les bonnes personnes. Et quand je vois le niveau des journalistes en France, je me dis que cela ne m'intéresse pas de devenir formater comme eux.

 

Le seul média intéressant, c'est internet, là si tu sais y faire tu as peut-être moyen de monter ton truc mais c'est aussi compliqué. Après comme on dit, il faut essayer pour réussir mais bon...

 

Moi pour le métier de prof, ça me plait, moins que journaliste, mais ça va, moi j'ai beaucoup plus de mal avec le concours que je trouve d'une nullité affligeante, c'est tellement à des années lumières du métier que tu vas faire, et puis c'est tellement du formatage à la sauce éducation nationale, que c'est difficile d'y adhérer.

Merci pour ton avis et ton témoignage ! Ca confirme ce que je pensais : cher et faut avoir de la chance.

 

Ton dernier paragraphe explique peut-être mes questionnements ces derniers temps, le concours dégoûte pas mal tout de même ...

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Le lycée c'est cool, le collège j'ai eu plus de mal. En fait, comme toi j'aurais adoré devenir journaliste, mais ce métier m'a dégouté avant d'y entrer notamment dans le domaine du sport. Un ami de mes parents après être parti deux ans aux USA a voulu devenir journaliste sportif il y a plusieurs années maintenant. Il a eu du bol et en envoyant des articles à un journal local de chez moi, il a réussi à rentrer dans ce journal. Puis il m'a expliqué qu'il a réussi à monter et à ensuite travailler sur le tour de France pendant 15 ans sur l'Equipe. Maintenant il travaille à la FFF. Le problème comme il me l'a expliqué, c'est qu'il a conscience d'avoir eu énormément de chance, d'avoir rencontré les bonnes personnes, au bon moment et d'avoir eu des petits coup de pouce, lui qui n'est pas passé par une école.

 

Il m'a avoué que c'était un métier aujourd'hui qui ne fonctionnait qu'au piston et pas au talent, il faut juste connaître les bonnes personnes. Et quand je vois le niveau des journalistes en France, je me dis que cela ne m'intéresse pas de devenir formater comme eux.

 

Le seul média intéressant, c'est internet, là si tu sais y faire tu as peut-être moyen de monter ton truc mais c'est aussi compliqué. Après comme on dit, il faut essayer pour réussir mais bon...

 

Moi pour le métier de prof, ça me plait, moins que journaliste, mais ça va, moi j'ai beaucoup plus de mal avec le concours que je trouve d'une nullité affligeante, c'est tellement à des années lumières du métier que tu vas faire, et puis c'est tellement du formatage à la sauce éducation nationale, que c'est difficile d'y adhérer.

 

Jésus, Marie, Joseph...

 

Il va falloir travailler ta communication, parce que là c'est mal barré. Je plains tes élèves si tu t'adresses à eux de la même façon que tu le fais ici. 

L'espoir survit toujours, c'est pour cette raison qu'on l'appelle l'espoir.

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C'est vrai qu'on se comporte tous dans la vie comme sur un pauvre forum, habile. T'es vraiment pas malin sérieusement... Si tu veux tout savoir, je n'ai eu que des expériences très concluantes avec les élèves tout simplement parce que je suis capable de m'adapter aux situations. Il y a une différence à parler avec des élèves, et parler avec des ânes dans ton genre pour lesquels je n'ai aucun intérêt et donc aucune raison à prendre des gants ou me montrer conciliant.

"Behind every kick of the ball there has to be a thought." Dennis Bergkamp

 

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Je suis dans une situation inédite pour moi et délicate à gérer.

 

Je suis actuellement en Master 1 MEEF, préparant le concours du CAPES Histoire-Géographie à Dijon, épreuves début Avril.

Ces derniers temps, je me pose des questions, à savoir si ce métier va vraiment me plaire ou non, si je vais regretter ou pas.

Le journalisme me plaît particulièrement, j'aimerai vraiment me lancer là dedans, mais j'ai vite été refroidit il y a quelques années en voyant le prix des écoles notamment. Mais plus le temps passe, plus je me dis que ce serait un métier qui me plairait plus qu'enseignant.

 

Je me pose donc des question, et j'aimerai avoir votre avis là dessus. Dans ma tête, je me laisse deux essais pour le concours CAPES, si échec je tente un master 2 Euromédia disponible à Dijon. Mais en même temps, je me demande s'il est possible d'avoir le CAPES et enchaîner par ce master, c'est-à-dire laisser de côté le métier d'enseignant même en ayant le concours.

 

Que faire ?

Le problème du métier de journaliste c'est que tu vas effectivement payer une école très chère (sauf peut-être si tu arrives à entrer dans le M2 Journalisme de Sciences PO qui te coûtera moins cher) et que tu galèreras à la sortie. En plus, il te faut un diplôme qui vienne d'une des 12 formations reconnues pour être journaliste en France, et encore, tu vas quand même galérer avec.

Qu'il te faudra accepter de travailler éventuellement pour des petits journaux locaux de province et une nouvelle fois même avec ça tu vas galérer.

 

Et sur le piston, c'est totalement vrai. Je connais proche de moi un journaliste réputé avec qui j'avais discuté de mon envie de devenir journaliste et le premier truc qu'il m'a dit c'est que si j'avais besoin de rentrer dans un journal fallait que je l'appelle et il me ferait entrer n'importe où. Ça marche comme ça.

Dernier truc, vouloir se lancer aujourd'hui dans la presse écrite c'est très compliqué parce que l'heure est plus au dégraissage qu'à l'embauche.

Look into my eyes so you know what it's like to live a life not knowing what a normal life's like. 

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Kampberg, il troll ou prend de la drogue, t'occupes pas x)

Moi je le prend par humour, j'ai compris le personnage qu'est Fly !

 

Non il a juste la rage contre moi parce que je l'ai remis en place plusieurs fois, il vient troller sur le forum mais sur le TS il l'ouvre pas donc qu'il se calme un peu s'il veut pas que cela dégénère.

 

@GBC, oui la presse écrite se meurt peu à peu... Même le Time est à moitié en crise, il n'y a que sur internet ou tu as une maigre chance et encore.

"Behind every kick of the ball there has to be a thought." Dennis Bergkamp

 

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Le problème du métier de journaliste c'est que tu vas effectivement payer une école très chère (sauf peut-être si tu arrives à entrer dans le M2 Journalisme de Sciences PO qui te coûtera moins cher) et que tu galèreras à la sortie. En plus, il te faut un diplôme qui vienne d'une des 12 formations reconnues pour être journaliste en France, et encore, tu vas quand même galérer avec.

Qu'il te faudra accepter de travailler éventuellement pour des petits journaux locaux de province et une nouvelle fois même avec ça tu vas galérer.

 

Et sur le piston, c'est totalement vrai. Je connais proche de moi un journaliste réputé avec qui j'avais discuté de mon envie de devenir journaliste et le premier truc qu'il m'a dit c'est que si j'avais besoin de rentrer dans un journal fallait que je l'appelle et il me ferait entrer n'importe où. Ça marche comme ça.

Dernier truc, vouloir se lancer aujourd'hui dans la presse écrite c'est très compliqué parce que l'heure est plus au dégraissage qu'à l'embauche.

Oui je comprend, donc par exemple mon Master Euromédia à Dijon est inutile pour avoir un métier plus tard : c'est juste pour remplir une petite case dans le CV quoi ...

Merci pour ces précisions.

 

Le métier de journaliste ne te plairait pas ? Tu as une opportunité ;)

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Après Barty si ça te plaît déjà, je pense que tu aurais pu peut-être poser ta candidature sur le site ici pour tenter d'écrire quelques articles (après je ne sais pas du tout si Med recrute en ce moment).

 

Le site est très sympa et les rédacteurs font un super boulot, mais ça manque peut-être d'article un peu plus poussés, mais ça prends malheureusement beaucoup de temps. Déjà qu'ils s'occupent de traduire pas mal de trucs, les après matches ou encore la super revue des jeunes que nous fait Markeuls (désolé pour l'orthographe !).

"Behind every kick of the ball there has to be a thought." Dennis Bergkamp

 

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