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  1. 3 victoires en PL, 2 en EL pour le moment pour ce mois d’octobre. En ayant battu Tott’, Pool, ayant gérer un déplacement hyper compliqué à Bodo en Norvège, et un déplacement compliqué aujourd’hui à Leeds (ou Chelsea a pris 3 buts) Bravo coach. Par contre, les changements, faut impérativement qu’ils réagissent plutôt, surtout quand on produit plus rien et qu’on a un banc en conséquence comme aujourdui ..
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  2. Ah perso je l'ai trouvé plutôt mauvais, beaucoup de déchet et de second ballons et duels perdus. Quand il est en dessous ça se ressent partout d'ailleurs.
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  3. MichelMichel Platini a-t-il reçu un tableau de Pablo Picasso afin de voter en faveur de la Coupe du monde de football en Russie ? Cette piste, déjà évoquée par le Sunday Times, est aujourd’hui relancée par des écoutes judiciaires réalisées dans le cadre de l’enquête préliminaire pour « corruption » menée par le Parquet national financier (PNF) sur l’attribution des Mondiaux 2018 (à la Russie) et 2022 (au Qatar), lors d’un même vote de la Fifa, la Fédération internationale de football, le 2 décembre 2010. Le volet le plus connu de cette enquête judiciaire concerne le Qatar, et en particulier le fameux déjeuner de l’Élysée au cours duquel le président Nicolas Sarkozy et l’actuel émir du Qatar auraient sécurisé le vote de Michel Platini (lire ici). Mais les écoutes ordonnées par le PNF sur le téléphone de l’ancien joueur vedette des Bleus, que Mediapart a pu consulter, contiennent également une information cruciale sur la Russie. Dans une conversation de 2017 avec son épouse, Michel Platini a reconnu avoir reçu un tableau de Pablo Picasso offert par un certain « Ouchmanov », selon la retranscription phonétique réalisée par les policiers. Ce patronyme pourrait correspondre à celui de l’oligarque russe Alicher Ousmanov, proche du président russe Vladimir Poutine, et aujourd’hui placé sous sanctions à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Michel Platini n'a pas donné suite à nos questions. Quelques heures après la publication de cet article, il a reconnu dans Le Monde puis dans L'Equipe avoir reçu en cadeau d'Alicher Ousmanov une lithographie de Picasso intitulée « Football » et datée de 1961. L’entourage de l’ex-numéro 10 des Bleus a affirmé qu'il « ignore totalement la valeur » de cette oeuvre, qui lui a été offerte pour son 61e anniversaire, « en juin 2016 et donc après le vote d’attribution du Mondial 2018 ». Contacté par Mediapart, Alicher Ousmanov a démenti. « Il n’a jamais offert ou proposé de tableaux, y compris de Picasso, à M. Platini, tout comme M. Platini ne lui a rien offert. L’amour de M. Ousmanov pour l’art et le sport n’a rien à voir avec la politique et l’intrigue. Ils communiquaient juste de manière amicale et chaleureuse avec M. Platini, puisque M. Platini était le joueur préféré de M. Ousmanov », nous a répondu le porte-parole du milliardaire russe. L’histoire commence le 30 novembre 2014, lorsqu’un article du Sunday Times affirme que Michel Platini, alors président de la Fédération européenne de football (l’UEFA) et vice-président de la Fifa, aurait reçu un tableau de Pablo Picasso en provenance de Russie. L’hebdomadaire britannique cite un rapport d’enquête réalisé par le comité de candidature britannique au Mondial 2018, lequel s’est basé sur des informations fournies par des ambassades britanniques et des cabinets de renseignement privés. Selon le Sunday Times, ce rapport affirme que Vladimir Poutine, premier ministre russe à l’époque, aurait personnellement monté une opération secrète pour décrocher la Coupe du monde, en faisant appel à un réseau d’« oligarques de confiance » chargés de convaincre certains votants. Michel Platini avait démenti des accusations « totalement fictives », ajoutant que le Sunday Times ne détenait « aucune preuve venant étayer cette rumeur ridicule ». Des écoutes embarrassantes L’affaire aurait pu en rester là. Mais trois ans plus tard, le 14 décembre 2017 au petit matin, les policiers de l’office anticorruption (OCLCIFF) perquisitionnent simultanément l’appartement de Michel Platini à Saint-Cloud, en proche banlieue parisienne, et sa maison de Cassis, près de Marseille. Dans la foulée, l’ancien patron de l’UEFA est interrogé comme suspect libre par un procureur du PNF. Les enquêteurs étaient manifestement sur la piste du Picasso russe. C’est ce que raconte le jour même Michel Platini au téléphone à son conseiller en communication, juste après son interrogatoire : « Je pense qu’ils voulaient […] perquisitionner pour trouver des preuves, […] un Picasso. […] Ils me demandent si j’ai reçu un cadre des Russes. Je m’en souviens plus, mais si ça avait été un cadre de valeur, je m’en serais souvenu. » Mais le lendemain matin à 10 h 27, Christelle Platini appelle son mari et se charge de lui rafraîchir la mémoire. La conversation porte sur la perquisition à Cassis. Le couple Platini n’étant pas présent sur place (ils se trouvaient à Saint-Cloud), c’est leur gardienne qui a servi de témoin aux policiers. Elle leur a indiqué qu’un service à whisky a été offert à Michel Platini par un étranger. "Michel ! […] Y a le tableau de Ouchmanov." Christelle Platini à son mari Michel, inquiète de possibles découvertes policières Christelle Platini l’a appris. Elle en veut à la gardienne (« elle doit faire du zèle à trop parler »), mais aussi aux policiers : « Ça doit coûter mille euros même pas. […] Pourquoi ils s’arrêtent là-dessus et s’arrêtent pas sur autre chose qui a plus de valeur ? », s’interroge-t-elle. « Parce que y a rien d’autre. Y a que ça, le truc à whisky, c’est tout », lui répond Michel Platini. Christelle Platini rappelle alors à son époux qu’il y avait un autre objet de valeur : « Michel ! […] Y’a le tableau de Ouchmanov [phonétique]. — Oui. — En bas. — Oui. — […] Je pense qu’on a gardé le papier, mais je sais pas où il est. […] Peut-être qu’ils l’ont trouvé en fouillant dans les papiers dans notre chambre. — Bah peut-être, tant mieux. — […] J’avais gardé, tu sais, le truc d’Ouchmanov. Parce que y a le Picasso en bas d’Ouchmanov. — Oui, bah c’est bien qu’on ait gardé le [inaudible]. — Bah je pense que je l’ai gardé. Toi tu avais dit : “J’en veux pas de ce truc là”, […] quand il l’avait offert. — Oui. » « Ouchmanov » pourrait correspondre à Alicher Ousmanov, un oligarque russe proche de Vladimir Poutine, très influent dans le monde du sport, qui a présidé pendant 14 ans la Fédération internationale d’escrime – il a dû démissionner le 2 mars dernier après avoir été placé sous sanctions par l’Union européenne à la suite de la guerre en Ukraine. Ce milliardaire, présent dans la métallurgie et les télécoms, a également été actionnaire jusqu’en 2018 du club de football anglais d’Arsenal et était, jusqu’à l’invasion de l’Ukraine, l’un des principaux sponsors du club d’Everton. Lors de la perquisition, les policiers n’ont pas trouvé de tableau de Picasso dans la maison de Cassis. Ils ont par contre repéré une œuvre du maître espagnol sur un mur de l’appartement de Michel Platini à Saint-Cloud. Mais il s’agissait d’une lithographie, dont la valeur est bien moindre que celle d’un tableau, comme nous l’ont expliqué les experts des sociétés spécialisées Artprice et Sotheby’s. Si certaines œuvres imprimées de Picasso se sont vendues plusieurs millions d’euros, il est possible d’acheter des lithographies de l’artiste pour quelques centaines d’euros seulement. L'entourage de Michel Platini a affirmé au Monde qu'il possédait deux lithographies de Picasso: celle repérée à Saint-Cloud par les policiers, offerte par un journaliste italien, et celle offerte par Ousmanov, qui se trouvait à Cassis. Après avoir entendu Christelle Platini parler d'un « tableau » de Picasso le 15 décembre 2017, les policiers auraient normalement du retourner d’urgence perquisitionner les domiciles des époux Platini, puis les interroger. Mais il y a eu un gros loupé dans l’enquête. Selon nos informations, les écoutes de décembre 2017 n’ont été retranscrites sur procès-verbal par les policiers que le 19 août 2019. Soit un an et demi plus tard… et deux mois après le second interrogatoire de Michel Platini du 18 juin 2019, sous le régime de la garde à vue, dans les locaux de l’office anticorruption à Nanterre. Les enquêteurs n’ont donc pas pu évoquer avec lui le contenu des écoutes. Mais ils l’ont malgré tout questionné sur le Picasso évoqué dans l’article du Sunday Times. « Vous avez fouillé chez moi et vous avez trouvé un tableau ? Je ne suis pas corruptible, c’est impossible », leur a répondu Michel Platini lors de son audition, dont Mediapart avait déjà révélé des extraits. Ce raté dans la retranscription des écoutes est d’autant plus regrettable que l’enquête préliminaire a par ailleurs montré que Michel Platini aurait changé d’avis au sujet de la candidature russe dans les six mois qui ont précédé le vote du 2 décembre 2010. Kevin Lamour, l’un des plus proches collaborateurs du président de l’UEFA à l’époque, a confié aux policiers qu’en juin 2010, Michel Platini lui a dit que si la Russie et le Qatar gagnaient, ce serait une catastrophe en termes d’image pour la Fifa. Selon plusieurs de ses proches, Michel Platini a d’abord soutenu à la mi-2010 la candidature du Royaume-Uni, puis un peu plus tard celle du duo Belgique-Pays-Bas. Le 23 novembre 2010, deux semaines avant le vote, Michel Platini participait à un déjeuner à l’Élysée, en présence du président Nicolas Sarkozy et du prince héritier du Qatar, candidat pour le Mondial 2022. Si l’objectif premier de ces agapes était de convaincre Platini de voter pour l’émirat, la candidature de la Russie pour l’édition 2018 semble aussi avoir été évoquée. Juste après le déjeuner, le conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy, Jean-David Levitte, ordonnait en effet par écrit à l’un de ses collaborateurs de réserver un créneau à l’agenda du président, afin qu’il s’entretienne avec le président russe Dmitri Medvedev ou son premier ministre Vladimir Poutine au sujet de « Russie 2022, coupe du monde de football suite déjeuner Platini ». Interrogé au sujet de cette note de l’Élysée lors de sa garde à vue, Michel Platini a démenti avoir été influencé : « Moi j’ai dit que j’allais voter pour le Qatar et la Russie. Après, Nicolas Sarkozy a pu profiter de mon vote pour faire le barbot auprès de qui il voulait… pour les besoins de la France, j’espère. » Après trois ans d’enquête préliminaire, le PNF a ouvert en décembre 2019 une information judiciaire sur l’attribution des Mondiaux, désormais menée par les juges d’instruction Marc Sommerer et Virginie Tilmont. Les magistrats n’ont à ce stade prononcé aucune mise en examen. Michel Platini est présumé innocent. Selon nos informations, d’autres trouvailles ont été réalisées lors des perquisitions de 2017. Les policiers ont découvert que Michel Platini possédait de nombreuses montres de luxe, reçues en cadeau lors de sa carrière, dont certaines étaient stockées dans un coffre. Parmi ces montres, il y a une Patek Philippe d’une valeur de plusieurs dizaines de milliers d’euros, acquise par les services du palais de l’émir du Qatar et offerte à Michel Platini lors d’un voyage à Doha en décembre 2008. Lors de sa garde à vue, Michel Platini a indiqué n’avoir reçu aucun cadeau en lien avec la campagne de Qatar 2022 mais a reconnu avoir reçu cette montre fin 2008, deux ans avant le vote. « Comme vous allez les visiter, ils [les Qataris – ndlr] ont toujours tendance à vous offrir une montre. Ce n’est pas qu’eux, tous les gens riches qui sont dans le football offrent souvent des montres. Doit-on les accepter, les refuser ? », a-t-il répondu aux policiers. Michel Platini avait aussi évoqué cette montre au téléphone le 14 décembre 2017, le jour de la perquisition, lors d’une conversation téléphonique avec son conseiller en communication Jean-Christophe Alquier : « Ils ont fait toutes les perquisitions. Ils ont photographié toutes les montres. Tous les cadeaux que j’ai reçus depuis 40 ans, hein, tu sais, je vais te dire, il y en a un paquet, hein ! — Je sais [rires], c’est ce que tu me disais. […] Ils sont allés voir dans le coffre ? — Eh oui, dans le coffre. — Et ils ont regardé tout ce que tu avais, quoi ! — Ouais, ouais, ouais, ouais, ouais. Il y a des montres avec des brillants, des diamants, des trucs, oui. — Oui, des trucs que tu as même jamais portés, quoi ! — Il y a même une montre que j’avais reçue, une Patek Philippe avec des diamants, en 2008 à Doha, je ne sais pas du tout pourquoi. […] Ça devait être Bin Hammam qui me l’a offerte. Bah, je leur ai dit, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise, il fallait que je vous montre des montres à 500 euros ? […] Ils m’ont offert des cadeaux, qu’est-ce que je leur fais ? Je leur jette dans la gueule ? Qu’est-ce que tu voulais que je fasse ? — Mais bien sûr, mais bien sûr Michel. […] Je sais très bien. » Le Qatari Mohammed bin Hammam, ancien président de la confédération asiatique de football, est soupçonné d’être l’un des principaux architectes de l’opération de corruption présumée du Qatar pour obtenir le Mondial 2022. Il a été banni de la Fifa en 2011. "Ils ont fait toutes les perquisitions. Ils ont photographié toutes les montres. Tous les cadeaux que j’ai reçus depuis quarante ans." Michel Platini, lors d’une conversation téléphonique interceptée par la police Les enquêteurs tentent également de percer le mystère de la société de Michel Platini au Panama, dont l’existence a été révélée en 2016 par Le Monde grâce aux Panama Papers. Cette coquille offshore nommée Balney Enterprises Corp, titulaire d’un compte en Suisse, a été créée en décembre 2007, 11 mois après son élection à la présidence de l’UEFA, basée en Suisse. L’avocat de Michel Platini avait indiqué à l’époque que sa société panaméenne était « connue de l’administration fiscale suisse » (où Michel Platini était résident à partir de 2007) et n’avait « rien à voir » avec son rôle à l’UEFA et à la Fifa, se refusant à tout autre commentaire. Lors de sa garde à vue, Michel Platini a expliqué que cet argent venait de ses gains de footballeur en Italie, lorsqu’il a été recruté par la Juventus de Turin en 1982 : « C’était lié à mon contrat de 1982 et mon contrat de 1984. Cela a été régularisé en 2014 ou 2015 auprès des autorités suisses. » Mais cette déclaration ne lève pas complètement le mystère. Michel Platini a-t-il déclaré cet argent aux fiscs italien puis français, après son retour dans l’Hexagone en 1988 ? Pourquoi a-t-il créé une société au Panama pour y loger les fonds en 2007, juste après son élection à l’UEFA et son installation en Suisse ? Et pourquoi a-t-il attendu « 2014 ou 2015 » pour régulariser la situation auprès des autorités helvétiques ? Sollicité par Mediapart, Michel Platini n’a pas répondu. L’ancienne gloire de la Juve et des Bleus avait également évoqué ces fonds au téléphone le 14 décembre 2017 lors d’une conversation avec son conseiller en communication Jean-Christophe Alquier, en sortant de sa première audition au PNF. « J’avais une société des Panama, […] de l’argent qui était là depuis longtemps, pas en Suisse, que j’ai régularisé là en Suisse, il y a deux ans », a-t-il expliqué. « C’est un compte que tu avais à l’époque de la Juve ? », lui demande Alquier. « Non mais les vieux comptes qu’ils avaient, que j’ai demandé de fermer, puis ils ont pas tout fermé […], il restait quelques trucs quoi, tu vois. Ou peut-être que la banque, pour montrer que je suis client, ils ont laissé deux ou trois titres. » Sur le fait qu’il a eu de l’argent dans un paradis fiscal, Michel Platini dit à son communicant que l’époque a changé : « Ça fait quarante ans que je gagne de l’argent et puis je leur ai dit [aux enquêteurs – ndlr], vous savez le monde il y a trente ans, c’est pas le même monde qu’aujourd’hui hein. Tu pouvais mettre l’argent où tu voulais comme tu voulais, personne t’emmerdait. […] Et tout était permis. »
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  4. D'ailleurs on ne peut pas le mesurer dans les stats mais très souvent il indique aux coéquipiers autour de lui quel joueur pressé. Ou il donne le signal du pressing de la ligne d'offensifs.
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  5. Avoir deux joueurs du niveau de Partey pour un seul poste, ça me semble improbable à tous les niveaux. Ca implique une grosse indemnité de transfert, un gros salaire, et un des deux qui va vite se lasser de ne jouer que des bouts de match.
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