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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

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  1. Ça t'intéresse pas du tout d'avoir le deuxième meilleur buteur européen U21 derrière Haaland à la pointe de notre attaque ? 18 buts en 22 matchs cette saison toute compétition confondue (dont 5 penalty). OK, c'est la Série A, mais on ne parle pas de Immobile ou Berardi là. En sélection, il est à 7 buts en 14 matchs. Il n'a pas encore 22 ans. Un physique taillé pour la PL (1m90), dominant dans le jeu aérien, techniquement plutôt doué et possédant une finition impériale. Potentiel Top Player (je dis bien, potentiel, il doit encore confirmer), mais ça ne t'intéresse pas... assez hallucinant de lire ça quand même. Il ne fait clairement pas parti de la même catégorie que les autres joueurs ciblés. J'aime beaucoup David, mais ce n'est pas du tout le même profil de joueur et la grosse interrogation pour le canadien, c'est de savoir s'il peut jouer seul en pointe. J'émets de grosses réserves là-dessus personnellement, surtout en PL, bien qu'il reste un candidat tout à fait crédible. Isak c'est quasiment le même prix que le serbe, sauf qu'il pèse beaucoup moins devant le but et à la finition. 7 buts en 23 matchs cette saison toute compétition confondue. Pas ouf dans le jeu aérien malgré sa taille (1m90 lui aussi). C'est bien plus risqué que miser sur Vlahovic au final. Vous voulez un 9 qui soit comme Lacazette, à savoir qui distribue le jeu, mais on a Odegaard pour ça désormais. Beaucoup se plaignent du rendement du français devant le but, mais vous voulez le même style de joueur (en moins efficace), je ne trouve pas cela très cohérent. L'animation offensive, c'est au milieu de terrain de s'en occuper, d'où l'importance de ne pas se tromper sur le choix du 8. Ce qu'il nous faut, à mon sens devant, c'est un pur finisseur capable de nous débloquer des matchs fermés à tout moment. Ce n'est clairement pas un hasard si le club a identifié le serbe comme une priorité en attaque. Son profil colle parfaitement à ce qu'il nous manque devant. On a une ligne d'attaque excellente actuellement, mais on va perdre un élément clé en la personne de Lacazette. Le remplacer par un profil plus tueur devant le but, ça me paraît essentiel. Ça impliquera forcément de jouer différemment, mais avec le talent qu'on a devant, je ne pense pas que ça posera problème. On a 4 pépites pour entourer Vlahovic, ça va être un cauchemar pour les défenseurs, surtout que physiquement, le serbe en impose et malgré son gabarit, il est vif et rapide. Sincèrement, pour l'avoir suivi avec assiduité la saison passée et cette saison, c'est vraiment le profil idéal à mes yeux. Il a tout. Il peut progresser dans tous les compartiments de jeu où il est encore un peu juste (remise en une touche, jeu de passes, efforts défensifs), y'a absolument rien de rédhibitoire à son âge.
    4 points
  2. D’après des écoutes et des rapports de synthèse judiciaires, Michel Platini a affirmé en 2019 au téléphone qu’Emmanuel Macron s’était engagé à l’« aider » judiciairement et qu’il était en contact avec le « responsable des sports » à l’Élysée à ce sujet. Selon d’autres informations de Mediapart, Michel Platini avait déjà discuté, en mars 2018, de ses déboires judiciaires avec le président Macron lors d’un rendez-vous confidentiel à la présidence, d’après l’organisateur de l'entrevue, le journaliste Jacques Vendroux. Interrogé, l’Élysée dément que ce sujet ait été abordé. L’ancien numéro 10 des Bleus est mis en cause par la justice française dans une affaire de corruption concernant l’attribution de la Coupe du monde 2022 au Qatar et tentait à l’époque de convaincre le parquet de Paris de mener une enquête sur la façon dont il aurait été dénoncé à la justice suisse par la Fifa. Certaines de ces découvertes, qui bruissent depuis des mois dans une partie de l’appareil judiciaire, viennent une nouvelle fois jeter une lumière froide sur les rapports que la présidence de la République entretient avec l’idée même d’indépendance de la justice, notamment après la révélation par Mediapart des conditions du classement de l’affaire Kohler suite à une intervention élyséenne. Les derniers développements de l’affaire Platini sont d’autant plus embarrassants que le nom d’un haut magistrat en poste à la Cour de cassation, Michel Debacq, proche d’Emmanuel Macron, apparaît dans les mêmes écoutes comme s’étant personnellement impliqué dans le dossier alors qu’il n’en était pas chargé. Cette affaire ultra-sensible semble embarrasser au plus haut point la haute hiérarchie judiciaire. La procureure générale de Paris, Catherine Champrenault, a confirmé avoir été informée en juin 2019 du contenu des écoutes par le Parquet national financier (PNF) avant de faire un « signalement » à la Direction des services judiciaires du ministère de la justice, aux fins d’enquête disciplinaire. De son côté, le procureur national financier, Jean-François Bohnert, a indiqué qu’aucune enquête pénale n’avait été ouverte, au motif que les faits avaient déjà été signalés administrativement à la Chancellerie. Sollicité par Mediapart, l’avocat général Michel Debacq déclare qu’il a rencontré Michel Platini à trois reprises « à titre toujours amical » et estime que le sujet relève de sa « vie privée ». Les éléments à la disposition de la justice montrent que bien des discussions ont eu lieu en coulisses ces deux dernières années entre l’Élysée, Michel Platini, le magistrat Michel Debacq et toute une cohorte d’intermédiaires. L’ex-joueur voulait affaiblir l’enquête pénale qui le vise, préparer son retour dans les instances internationales et amorcer une contre-attaque judiciaire via une plainte déposée à Paris. Une bonne part de tout ceci serait restée dans l’ombre sans les croisements effectués dans plusieurs dossiers judiciaires, notamment grâce aux écoutes téléphoniques qui les parsèment. Tous les éléments figurent désormais au dossier d’instruction de l’affaire Qatar 2022. I. La rencontre Macron-Platini qui embarrasse l’Élysée Tout commence le 25 septembre 2015. Quatre mois après le célèbre raid judiciaire visant les dirigeants et siège de la Fifa à Zurich, le ministère public de la confédération (MPC), le parquet fédéral suisse, ouvre une enquête visant Michel Platini, alors président de l’UEFA, et le président de la Fifa Sepp Blatter, dans l’affaire dite du « paiement différé ». Dans la foulée, les deux hommes sont bannis pour huit ans par le comité d’éthique de la Fifa. En janvier 2011, Sepp Blatter avait accepté, à la demande de Platini, que la Fifa lui verse 2 millions de francs suisses (1,8 million d’euros). Les deux hommes ont affirmé qu’il s’agissait d’un complément de rémunération lié au travail de Platini lorsqu’il était conseiller de Blatter à la Fifa, entre 1998 et 2002, et qui avait fait l’objet d’un simple « accord oral ». L’argument n’a pas convaincu le Tribunal arbitral du sport (TAS), vu l’absence de contrat écrit et le fait que Platini a attendu neuf ans pour réclamer son dû. Le timing interpelle d’autant plus que Platini a envoyé la facture un mois après l’attribution par la Fifa du Mondial 2022 au Qatar, miné par les soupçons de corruption. En mai 2016, le TAS abaisse la suspension à quatre ans, mais confirme la sanction disciplinaire de Platini, pour obtention d’un avantage indu et « conflit d’intérêts ». Michel Platini doit démissionner de l’UEFA et renoncer à se présenter à l’élection de 2016 pour la présidence de la Fifa. Depuis, il ne cesse de dénoncer un « complot » ourdi par Sepp Blatter, qu’il accuse d’avoir dénoncé les faits à la justice suisse pour l’empêcher de lui succéder à la tête de la fédération internationale. Ses déboires se poursuivent l’année suivante. En juillet 2017, le tribunal fédéral suisse confirme le verdict du TAS. Et un nouveau front judiciaire s’ouvre en France. En décembre 2017, Michel Platini est perquisitionné et auditionné comme suspect dans le cadre de l’enquête préliminaire pour « corruption » menée par le Parquet national financier (PNF) sur l’attribution du Mondial 2022. Trois mois plus tard, l’ancien patron de l’UEFA a obtenu un rendez-vous très discret avec Emmanuel Macron. Selon nos informations, Platini a été reçu par le président le 8 mars 2018, en compagnie de son ami journaliste Jacques Vendroux, alors chef du service des sports de Radio France. Curieusement, ce rendez-vous ne figurait pas à l’agenda officiel du président. Interrogé sur les raisons de cette rencontre, Jacques Vendroux s’est dans un premier temps refusé à tout commentaire, indiquant que le sujet relevait de sa « vie privée ». Il nous a finalement rappelés le lendemain pour confirmer la tenue du rendez-vous, pendant une trentaine de minutes, dans un salon attenant au bureau d’Emmanuel Macron. « Ami » de Michel Platini, mais aussi d’Emmanuel Macron, le journaliste déclare être l’organisateur de la rencontre : « Un jour j’ai dit à Michel : “Ce serait bien que tu rencontres Macron, il adore le foot.” J’ai organisé le rendez-vous. On a parlé de football, de la Juventus, de Saint-Étienne, de l’équipe de France, du titre de 84, du titre de 98. » « C’était une conversation qui était très agréable, très sympa. Celle d’un président de la République qui avait envie de faire la connaissance d’un des meilleurs joueurs du monde, et Michel qui avait envie de faire la connaissance du plus jeune président de l’histoire de la Ve République, qui est un supporter de l’OM et qui, quelque part, l’aime bien, voilà parce qu’il aime le foot », ajoute-t-il. Jacques Vendroux explique que les déboires judiciaires de Michel Platini n’étaient pas au cœur de la conversation. Mais confirme toutefois que le sujet a bien été abordé : « À un moment, le président lui a dit : “Vous en êtes où dans vos histoires ?” » Selon ses souvenirs, Michel Platini a ensuite fait « un résumé de la situation qui a duré 3/4 minutes ». Jacques Vendroux déclare ensuite : « Ça a duré 7/8 minutes, c’était très technique, je n’ai pas tout compris. » Le journaliste insiste sur le fait que le « le président n’a jamais dit : “Je vais m’occuper de vous.” Jamais, jamais, jamais ». « Il n’a jamais dit : “Je vais vous aider.” Il a dit, je sais pas, peut-être qu’il a dit une phrase du style “Je vais voir”, mais Michel n’a rien demandé. Et le président n’a rien promis. J’y étais, j’étais témoin, j’étais dans le bureau », reprend-il. L’Élysée dément « catégoriquement » ce récit. « Le président de la République, qui a de l’intérêt pour le football, a reçu le joueur de football, l’icône Michel Platini, mais en aucun cas le justiciable Michel Platini. Le président sait parfaitement qu’il ne peut pas évoquer le dossier individuel d’un justiciable », indique la présidence de la République à Mediapart. Quant au fait que le rendez-vous n’ait pas été annoncé à l’agenda officiel, l’Élysée déclare qu’il n’y a « rien d’anormal » à cela : « Il ne faut pas y voir une volonté de dissimuler. Il s’agit d’un rendez-vous discret. Ce qui est courant en matière sportive, culturelle ou artistique », ajoute-t-on à la présidence. Un mois après son entretien avec le président, Michel Platini reprend espoir. En mai 2018, son avocat suisse annonce au Monde avoir reçu une lettre du parquet fédéral suisse lui annonçant que l’enquête sur le « paiement différé » n’est « pas menée » contre Platini et qu’il « ne sera pas incriminé ». La décision du MPC n’était manifestement pas définitive, puisqu’il a finalement poursuivi Michel Platini deux ans plus tard (voir plus bas). Mais l’ancien patron de l’UEFA pense à l’époque qu’il est pénalement blanchi. La nouvelle est accueillie avec enthousiasme par Emmanuel Macron. Lors d’un entretien accordé le 10 juin 2018 dans l’émission « Téléfoot » sur TF1 (voir ci-dessous à partir 3'27), le présentateur Christian Jeanpierre demande au président de réagir au fait que Michel Platini « a été blanchi par la justice suisse la semaine dernière ». « Je m’en félicite, répond Emmanuel Macron. Et moi je souhaite qu’il reprenne toute sa place […], il a encore un rôle à jouer. » II. Le magistrat Michel Debacq dit « avoir fait ce qu’il fallait » Michel Platini peut compter sur un de ses amis : Jean-Pierre Chanal, directeur général adjoint des services de la Ville de Marseille. Lequel a été placé sur écoutes par le PNF, dans le cadre d’une enquête judiciaire sur les pratiques douteuses de la mairie (lire ici). C’est dans l’une de ses écoutes que les enquêteurs ont entendu, le 24 mai 2019, Michel Platini échanger avec Jean-Pierre Chanal au sujet du dossier. « On a été entendus par l’inspecteur comme je te l’ai dit », annonce l’ancien footballeur, avant d’ajouter : « Le procureur, il dit on entendra les témoins que vous avez cités et puis après on prendra une décision pour savoir si on avance ou pas, si on… » « Si on ouvre une information judiciaire ou pas… », complète Chanal. Platini confirme : « Si on ouvre une information judiciaire, mais Bourdon il ne le sent pas trop […] motivé à ouvrir un truc. » Sollicité, l’avocat William Bourdon, qui assurait à l’époque la défense de M. Platini, a refusé de nous répondre car il est « tenu au secret professionnel ». L’ancien capitaine de l’Équipe de France déclare alors à son ami marseillais : « Moi, j’ai envoyé un truc à l’Élysée en disant que le président il a dit qu’il m’aiderait. » « Ça serait bien qu’il le montre maintenant, hein », ajoute-t-il. Dans la même conversation, Jean-Pierre Chanal propose aussi son aide : « Il faut que je fasse moi aussi de mon côté, hein ? » « Ouais de ton côté », lui répond Platini. Chanal obtempère : « Je vais cet après-midi même appeler Michel. » « Michel » est un haut magistrat français. Pour assister son « copain » Platini, Jean-Pierre Chanal a sollicité Michel Debacq, avocat général à la Cour de cassation et ancien chef de la section antiterroriste du parquet de Paris. Classé à gauche – il a été au cabinet de l’ancienne ministre de la justice Christiane Taubira –, c’est aussi un proche d’Emmanuel Macron, dont il a soutenu la campagne en 2017. C’est également un homme de réseaux. Il est proche de la patronne du PNF de l’époque, Éliane Houlette. Dans une écoute judiciaire, il se vante d’avoir fait nommer en 2019 le patron du nouveau parquet national antiterroriste, Jean-François Ricard. C’est également Michel Debacq qui a sollicité l’avocat William Bourdon pour qu’il assure la défense de Michel Platini. Jean-Pierre Chanal « est mon ami depuis près de quarante ans et, par son intermédiaire, j’ai fait la connaissance de Michel Platini, il y a environ trois ans », explique M. Debacq, qui ajoute : « À titre toujours amical, j’ai rencontré celui-ci à trois reprises à Paris, et la dernière fois, c’était l’occasion de me remettre son dernier livre, dédicacé. J’ai été ravi de lui recommander Me William Bourdon, qui est également un ami, pour l’aider dans les plaintes qu’il souhaitait. » Le 28 mai, quatre jours après l’échange téléphonique, Jean-Pierre Chanal envoie un SMS à Michel Debacq pour lui donner des « nouvelles de son ami [Michel Platini] pour lequel William [Bourdon] est inquiet, craignant qu’on ne donne pas suite et lui demandant ce qu’il en pense », selon un PV de synthèse. Le lendemain, le magazine suisse L’Illustré publie un article sur les soupçons de collusion entre la justice suisse et le président de la Fifa, Gianni Infantino. Ce qui donne l’occasion à Michel Platini, présenté dans l’article comme la victime « d’un habile coup monté », de relancer l’entourage d’Emmanuel Macron : « J’ai envoyé [l’article] à l’Élysée, j’ai envoyé au responsable des sports à l’Élysée. J’ai dit il serait temps de sauver le citoyen français », explique-t-il à Jean-Pierre Chanal le 29 mai. Chanal lui répond qu’il a pour sa part adressé l’article à Michel Debacq, en lui disant qu’il y trouvera « toutes les bonnes raisons qui pourraient justifier une attitude offensive ». « C’est parti droit chez Michel [Debacq]. Contre-attaque, droit au but. […] J’ai fait lucarne », lance Chanal à Platini. Trois jours plus tard, le 1er juin, Michel Debacq et Jean-Pierre Chanal échangent au téléphone. La veille, le haut magistrat a déjeuné avec l’avocat William Bourdon pour parler du dossier. Mais Michel Debacq a une mauvaise nouvelle pour son « ami » Chanal : « Je n’ai pas envie de suivre », lui annonce-t-il. Une décision que Chanal lui dit comprendre : « Oui ! […] Tu n’as pas envie de rentrer dedans bien entendu, faut pas. » Michel Debacq précise alors que Michel Platini, ou l’un de ses proches, ne lui ont pas demandé « d’en faire plus ». Jean-Pierre Chanal l’interrompt : « Bien évidemment Michel, il n’est pas question de plus d’ailleurs. » La suite de la conversation pourrait poser plus de problèmes au magistrat de la Cour de cassation. Car Michel Debacq déclare : « Bon, ceci dit, comme je lui avais dit, j’avais fait ce qu’il fallait il y a quelque temps. » « Je me souviens très bien ! », confirme Jean-Pierre Chanal. Avant que Michel Debacq ne déclare : « Mais ceci dit aussi, on ne va pas renouveler constamment, d’autant plus que les uns et les autres, tu as vu, ont quelques occupations. » À quoi le magistrat faisait-il référence en déclarant avoir « fait ce qu’il fallait il y a quelque temps » ? Le parquet de Paris nous a répondu que « le procureur de la République de Paris, Rémy Heitz, n’a eu aucun échange avec une personne extérieure au parquet de Paris » au sujet de la procédure pour dénonciation calomnieuse initiée par Michel Platini. Sollicité, Michel Debacq n’a pas répondu sur ce point. L’implication de Michel Debacq dans le dossier semble en tout cas suffisamment importante pour que Jean-Pierre Chanal l’évoque une nouvelle fois au téléphone, le 5 juin 2019, avec un autre de ses amis, qui connaît aussi Michel Platini. « Ce qui m’inquiète éventuellement, ce serait que le procureur de Paris finalement considère qu’il n’y a pas suffisamment de charges dans le dossier pour véritablement ouvrir une information judiciaire », indique Jean-Pierre Chanal. Avant d’embrayer sur le rôle de Michel Debacq : « Mais bon Michel c’est pas lui le procureur, c’est pas l’avocat. Il a dit [qu’]il peut pas faire plus lui. Ce serait lui qui serait en poste, l’information serait déjà ouverte ! » Il ajoute que Michel Debacq ne « peut pas » s’être « investi plus qu’il ne l’a fait ». En parallèle de l’enquête ouverte suite à la plainte de Michel Platini, un autre front judiciaire se fait de plus en plus menaçant en France. L’enquête préliminaire initiée par le Parquet national financier (PNF) pour des soupçons de corruption dans l’attribution de la Coupe du monde au Qatar en 2022 progresse à grands pas (lire nos enquêtes ici et là). Le 18 juin 2019 au matin, Michel Platini est placé en garde à vue dans les locaux de l’Office anti-corruption (OCLCIFF) de la police judiciaire, à Nanterre. Il n’en sortira qu’à une heure du matin. Le lendemain, Michel Debacq écrit un SMS à Jean-Pierre Chanal : « Comment va notre ami ? […] Je t’embrasse. Michel. » Dix jours plus tard, les deux hommes critiquent les conditions de la garde à vue et le fait que Michel Platini ait été « descendu en geôles ». Michel Debacq « souligne alors que tout cela n’était pas professionnel et que la proximité avec la presse [qui a dévoilé la garde à vue dès le matin – ndlr] était scandaleuse », selon le PV des enquêteurs. Jean-Pierre Chanal profite de l’occasion pour évoquer les mouvements au sein de la magistrature, et le départ à venir de la patronne du PNF Éliane Houlette, « pour lequel il se dit intéressé à titre personnel », selon les enquêteurs. Et pour cause : comme l’a révélé Mediapart, M. Chanal espérait à cette époque obtenir un arrangement afin de tenter de circonscrire les enquêtes du PNF sur la mairie de Marseille, qui le visent personnellement. Michel Debacq lui répond alors qu’il lui en parlera lorsqu’ils se rencontreront, précisant qu’il a « plein de choses à lui dire ». Interrogé sur ces « choses à lui dire », le magistrat n’a pas répondu. La fin de cette conversation « caractérise une proximité et un lien amical » entre Jean-Pierre Chanal et Michel Debacq, écrivent les enquêteurs, le premier proposant au second (ainsi qu’à son épouse et ses enfants) de leur organiser un séjour touristique à Marseille. Michel Debacq continue à s’impliquer dans la défense de l’ancien président de l’UEFA. Début juillet 2019, Jean-Pierre Chanal lui fait passer un projet de lettre rédigé par l’avocat de Michel Platini, et destiné à être versé à l’une des deux procédures judiciaires. Au téléphone, Debacq et Chanal évoquent à nouveau l’importance de l’ouverture d’une information judiciaire pour dénonciation calomnieuse par le parquet de Paris, estimant que cela serait « bénéfique » pour Michel Platini dans l’affaire Qatar 2022. Alerté du rôle de Michel Debacq dans le dossier Platini, le parquet général de Paris a confirmé à Mediapart avoir saisi, le 14 juin 2019, la Direction des services judiciaires du ministère concernant d’éventuels manquements déontologiques du magistrat. III. Emmanuel Macron et le « sentiment d’injustice » Le 28 octobre 2019, l’avocat de Michel Platini, William Bourdon, annonce au Monde que le parquet de Paris a finalement décidé de ne pas poursuivre l’enquête pour « dénonciation calomnieuse » initiée par Michel Platini, et de transmettre le dossier à la justice suisse. C’est une demi-victoire. Le parquet de Paris a refusé d’ouvrir l’information judiciaire que Michel Platini souhaitait tant, mais il n’a pas classé l’affaire et a saisi officiellement la justice helvète, ce qui donne davantage de poids à sa plainte. Platini a-t-il bénéficié d’un traitement de faveur ? Interrogé, le parquet de Paris répond qu’il n’y a eu aucune interférence extérieure dans ce dossier, précisant qu’après réception de l’enquête menée par la police, « le parquet de Paris a, le 21 octobre 2019, dénoncé officiellement les faits aux autorités suisses en raison du domicile en Suisse des personnes mises en cause dans la plainte, de la commission des faits allégués de dénonciation calomnieuse sur le territoire suisse, des accusations portées contre le ministère public suisse ainsi que de la nécessaire appréciation de la dénonciation calomnieuse au regard des faits sur lesquels une enquête était en cours en Suisse ». Coïncidence : une semaine plus tard, Michel Platini reçoit une étonnante marque de soutien d’Emmanuel Macron. L’ex-numéro 10 des Bleus était l’invité de RTL, dans le cadre de l’intense tournée médiatique organisée pour la fin de sa suspension et la publication de son livre. Quand soudain, le présentateur Thomas Sotto annonce que le « président » a quelque chose à lui dire. Il diffuse alors à l’antenne un « petit message d’amitié » d’Emmanuel Macron à son « cher Michel, cher Platoche » : « Je sais que les dernières années ont été dures, que les blessures ont parfois été profondes, que le sentiment d’injustice aussi est là. Et au fond, j’avais un message, c’est ce message d’admirateur, ce message de remerciement, et ce message qui consiste à vous dire, vous avez encore plein de choses à apporter au football français et aux jeunes Français. […] Donc bravo, merci et revenez, ça me ferait plaisir. » Alors même que Michel Platini est visé par une enquête de la justice française, le président de la République n’a donc pas hésité, au mépris de la séparation des pouvoirs, à dire publiquement qu’il comprenait son « sentiment d’injustice ». Cette déclaration est d’autant plus troublante au vu des écoutes judiciaires dans lesquelles Michel Platini affirmait, cinq mois plus tôt, qu’Emmanuel Macron avait promis de l’« aider ». « Michel Platini a tort de dire cela. Ce n’est pas possible. Le président est le garant de l’indépendance de la justice », conteste l’Élysée, qui estime que l’intervention sur RTL était un « message d’amitié, sans volonté de peser sur le cours de la justice ». Michel Platini a en tout cas enchaîné les revers judiciaires par la suite. En France, le PNF a ouvert le 20 janvier 2020 une information judiciaire dans l’affaire Qatar 2022, ce qui ouvre la voie à d’éventuelles mises en examen. Dans le volet disciplinaire de l’affaire du « paiement différé », la Cour européenne des droits de l’homme a rejeté, le 5 mars, son ultime recours possible au sujet de sa suspension par la Fifa. « Au regard de la gravité des infractions commises, de la position élevée que M. Platini occupait au sein des instances de football et de la nécessité de rétablir la réputation de ce sport comme celle de la Fifa, la sanction infligée ne paraît ni excessive, ni arbitraire », a indiqué la CEDH dans un communiqué. Dans le volet pénal de la même affaire du paiement différé, Michel Platini se croyait blanchi après que le parquet fédéral suisse lui avait écrit il y a deux ans qu’il n’était pas visé. Mais le même parquet a finalement décidé, le 5 juin dernier, de le poursuivre pour des soupçons de « complicité de gestion déloyale » et « faux dans les titres ». Michel Platini a par ailleurs choisi de se séparer de Me William Bourdon, et de confier sa défense au célèbre avocat pénaliste Henri Leclerc et à son associée Frédérique Baulieu. Contacté via ses nouveaux conseils, Michel Platini n’a pas répondu. https://www.mediapart.fr/journal/france/300620/affaire-platini-des-ecoutes-et-un-rendez-vous-impliquent-emmanuel-macron?utm_source=20200630&utm_medium=email&utm_campaign=ALERTE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[ALERTE]-20200630&M_BT=135393249294
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  3. je lis vos arguments et je les comprends mais - Qui va-t-on chopper de plus performant sur le marché à 30 boules aujourd'hui ? - pour le club qu'est ce que 30 boules quand il met 60 sur white ? économiquement c'est un non-sens ... - on connait Lacazette sous tous ses aspects : remplaçant, titulaire, mauvais, excellent... au bilan ce n'est pas un investissement risqué de le prolonger en terme apport à l'équipe / prix ; - le vendre dans 2 ans pour 5 / 10 boules dans le pire des cas, amortirais un peu plus l'investissement - on a besoin de cadres, de mecs concernés par le club, de mecs sérieux: Lacazette coche toute les cases je trouve dommage de s'en passer... Il demande un salaire identique et 3 ans, c'est logique pour un gars de 30 piges bien payé il paye à nouveau les erreurs du club du passé dont il n'est pas responsable ...
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  4. J'avoue que le XI ferait rêver avec une moyenne d'âge extrêmement jeune. ESR Saliba Tavares Xhaka Lokonga Laca sur le banc ça ferait déjà un très bon groupe de 17.
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  5. Tielemans ce serait vraiment une super recrue, un joueur qui je pense, serait parfaitement compatible avec Partey. Il est très bon à Leicester aux côtés de Ndidi depuis deux ans maintenant, un profil assez similaire à celui du ghanéen. Il va sur ses 25 ans, possède l'avantage de connaître parfaitement la PL et ses exigences et surtout, c'est un vrai 8 contrairement à Bruno et Zakaria par exemple, qui sont des profils davantage défensifs (comme Xhaka). Offensivement, la contribution du belge serait un véritable atout. Il sait se projeter, jouer en transition, il possède une très grosse frappe de balle, c'est un joueur qui marque des buts et surtout, qui apporte une supériorité numérique en phase d'attaque, ce qu'aucun de nos milieux actuels n'est capable de faire, excepté nos deux MO que ce sont Martin et Emile. Techniquement, c'est excellent et il a plutôt une bonne vista, ce qui lui permet de lancer régulièrement Vardy ou Barnes sur orbite à Leicester. Un gars comme Martinelli, qui adore prendre la profondeur, il se régalerait avec lui. Je trouve que c'est également un joueur travailleur, qui a beaucoup progressé depuis son arrivée en provenance de Monaco, notamment sur le plan athlétique et tactique. Un joueur clé d'une équipe qui tourne. Vous me direz que cette saison, c'est moins le cas. C'est vrai, mais Rodgers y est pour beaucoup de ce que j'ai compris. C'est peut-être justement le bon moment pour passer à l'action. Son contrat prend fin à l'été 2023, il devrait donc être beaucoup plus abordable dans ses conditions. Si le plan c'est de prendre Arthur cet hiver en prêt et de tenter Tielemans cet été, je signe des deux mains. En plus, c'est un warrior le Youri, il lâche rien. En tout cas, le club semble vraiment ciblé du lourd, ça change d'auparavant où on affichait aucune ambition sur le marché. Là, concrètement, il nous manque un 9 et un 8 pour avoir une grosse équipe. Visiblement, le club a parfaitement ciblé nos besoins si on est prêt à passer à l'action pour de tels joueurs, une fois n'est pas coutume. Dans un monde idéal, où on signerait Vlahovic et Tielemans, on aurait un 11 de grande qualité pour la première fois depuis longtemps, capable de tenir le ballon et de performer en LDC. Evidemment, pour le moment on est loin de tout ça, mais je trouve que c'est plutôt encourageant qu'on s'intéresse à ce type de joueur et surtout qu'on passe concrètement à l'action (Vlahovic). Imaginez juste deux secondes : Vlahovic Martinelli -- Odegaard/ESR -- Saka Tielemans -- Partey Tierney ---- Gabriel -- White/Saliba -- Tomiyasu Ramsdale Si avec ça on produit pas du beau football, je ne comprends plus rien. Y'aurait moyen de s'installer durablement dans le top 4 je pense avec une équipe pareille. Il resterait à peaufiner l'effectif avec quelques doublures de bon niveau et on serait vraiment bien armé pour disputer la LDC et préparer une éventuelle reconquête du titre en PL d'ici un an ou deux.
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  6. Des personnes qui connaissent Arthur ? Le connaissant pas J'ai regardé quelques vidéos Youtube (oui je sais pas le meilleur endroit pour évaluer le niveau joueur), de ce que j'ai vu techniquement c'est pas trop mal mais il a l'air de porté trop le ballon ce qui pourrait être handicapant pour les contres attaques. Cet hiver il y aura pas énormément de piste vu que les clubs sont pas spécialement chaud à lâcher leurs joueurs en plein milieu de la saison, donc pourquoi pas pour 6 mois à voir si il performe pendant ce temps la, ça pourrait être une bonne pioche si c'est le cas.
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  7. Ca m'inquiète un peu le "pas avant que la Juve ne trouve son remplaçant". Sachant qu'on a besoin du milieu surtout pour cette semaine et la semaine prochaine, si c'est pour avoir Arthur fin janvier il n'y a pas d'intérêt. J'espère que le club fera le nécessaire pour l'avoir ce week-end. Tielemans je suis le seul à pas en vouloir ? Je préfère un Bruno Guimaraes. https://fbref.com/fr/joueurs/56f7a928/Youri-Tielemans https://fbref.com/fr/joueurs/82518f62/Bruno-Guimaraes
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  9. Il a vraiment mal vieilli
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  10. On crache pas dessus, on dit qu'il est beaucoup trop juste pour la plupart des matchs de PL. Je le met bien entendu bien devant Patino qui a été surement le joueur le plus décevant en coupe, mais on peut lui pardonner vu son âge. Même impression qu'avec Cotrell, une différence physique énorme et une certaine timidité à jouer en pro. Là ou Azeez en Europa était rentré plein d'envie. Elneny c'est un des joueurs les moins adaptés à la PL que je connaisse, là ou il serait bon dans des championnats moins exigeants physiquement, on a vu hier que malgré le mauvais match de l'Egypte à la CAN il a été loin d'être le plus mauvais.
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  11. Je crois que Kola a un salaire relativement monstrueux et pas du tout en ligne avec son niveau, ça doit pas être si simple de refourger des joueurs comme ça si ils veulent pas faire de concessions sur ce qu'ils gagnent
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  12. Depuis quand y a des clauses en PL ?
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  13. Peut etre bien que oui que c'est une Masterclass... tu as un jeu affreux de contre ( transition rapide) tu as besoin d'un attaquant costaud qui sert de point d'appui vu que Wilson est souvent blessé... Ton jeu de base est très simpliste ( on défent on défent et dès qu'on a la balle il faut trouver ASM puis ceux qui peuvent courrent pour accompagner le mouvement...) Il servira à "varier" avec des longs ballons directs ou peut être garder la balle pour faire remonter un peu le bloc En plus stratégiquement, ca se tient! Après le rachat la priorité absolue je pense est de rester en première league.. tu affaiblis un concurent direct qui base beaucoup son jeu sur son duo attaquant... Wood c'est limité mais c'est ultra combatif sur un terrain ...
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  14. 30M pour Chris Wood, 30 ans, infirme des deux pieds. Encore des gens qui s'y connaissent vachement bien en football qui ont dû superviser ce transfert du côté de Newcastle. T'es reléguable, ton équipe c'est le néant techniquement et tu vas chercher Chris Wood pour 30 patates. Masterclass absolue.
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  15. Comme @Arno j'ai un feeling un peu mitigé sur Vlahovic. L'argument avec lequel je suis le plus d'accord, c'est que Laca apporte énormément dans le jeu et ce même avec MØ sur le terrain. J'ai vraiment peur qu'avec un joueur d'un profil tout à fait différent, on perde cet équilibre offensif qu'on a retrouvé depuis le retour de Laca. Le deuxième argument de @Arno avec lequel je suis d'accord, c'est qu'un 9 qui participe beaucoup au jeu et ne marque "que" 15 buts dans la saison, ça me va aussi. A l'image du Firmino de la grande époque qui participait beaucoup à faire marquer Salah et Mané, tout en ne plantant, lui, "que" 17 buts. Un Jonathan David me semble assez proche de ce profil-là. Isak l'an dernier aussi. Par contre je suis plus mesuré dans mon feeling négatif : si on signe Vlahovic, je serai content. Tout simplement parce que le contexte joue : on va perdre 2 voir 3 attaquants de pointe, un poste qui est déjà un point faible de notre 11 quand Laca n'est pas là ou émoussé. Et les autres cibles intéressantes sont soit difficilement accessibles (Isak vient de prolonger, il semble heureux dans son club) soit des paris (David doit confirmer qu'il peut jouer seul en pointe).
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  16. Il y a vraiment des clauses libératoires en PL ??
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  17. Alors juste une précision Arno, Werner n'a jamais, au grand jamais été un top player... Ca a toujours été un joueur nul à la finition, la diff, c'est que à Leipzig, l'équipe se créait des occasions par cargaisons, donc forcément ça fini par rentrer. Werner son vrai talent c'est surtout son sens inné sur les appels ou il est très très fort, mais à la finition c'était déjà le même qu'à Chelsea, ça n'a pas changé. Vlahovic, en terme de finition, niveau stats avancées, il est même devant Haaland cette saison, c'est assez incroyable. Clairement, niveau participation au jeu, on demande à voir, mais oui, c'est actuellement le plus gros talent à son poste si t'enlève Haaland et Mbappe. D'ailleurs, c'est pas pour rien que TOUTE l'Europe le veut, y'a pas juste nous mais à peu près tout les gros clubs qui le veulent, si Arteta considère que c'est lui qui peut nous faire passer un palier, faisons lui confiance, il s'est pas tellement trompé niveau cibles pour l'instant. C'est différent de Locatelli, ce dernier avait été clair dès le début, c'était la Juve ou rien. Là Vlahovic c'est pas tout à fait le même son de cloche, le dernier article dit que effectivement il aime la Serie A et aurait aimé aller à la Juve ou l'Inter. Néanmoins, il y a aussi des réalités économiques, l'Inter n'a plus d'argent avec son actionnaire parti, et la Juve est entrain d'acheter le 9 de Sassuolo et n'a pas non plus les moyens. Concrètement, le délire de "l'agent veut pas d'Arsenal", c'est aussi une façon de dire au club qu'il faudra une grosse somme pour le faire venir, ça fait parti des négociations, c'est le jeu. C'est à mon sens vraiment différent de Locatelli.
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  18. J'ai eu un peu ce feeling aussi en regardant 2-3 matchs de la fio pour le voir jouer. Maintenant, ce qui me rassure c'est que Ramsdale je lui trouvais rien de top et il m'a fait mentir, Tomi j'ai regardé 3 vidéos youtube et on me disait que c'était plutôt un central j'étais sceptique, White je trouvais ça trop cher, Ödegaard ça parlait de 50M de livres tout l'été au final on l'a signé 35M (pas impossible que le même scénario s'applique à Vlahovic) et il est en top forme actuellement. Aussi, Ödegaard certains disaient qu'il était pas emballé par Arsenal (c'est vrai, il voulait en priorité rester à Madrid), au final il a signé, fait 2-3 déclarations d'amour envers le club et tout le monde a oublié qu'on était un second choix. Si les personnes qui ont fait ce mercato me disent que Vlahovic ça vaut le coup de casser la tirelire, j'y crois.
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  19. En même temps, on est les premiers à dire la même chose à chaque fois qu'on voit un boucher commettre un attentat. C'est même devenu un sujet fréquent de plaisanterie exagérée au sein de la fanbase, du genre "si ça avait été Xhaka, il aurait pris 15 matchs et 6 mois de prison". Si nous les fans, on le ressent derrière nos écrans, j'imagine même pas les joueurs qui vivent leur truc au quotidien. Les tacles de malade mentaux dont nos joueurs sont victimes, ils les voient en live et bien mieux que nous, étant donné qu'ils sont acteurs du jeu. Ça n'en reste pas moins une aberration. Le souci, c'est qu'il est aussi indirectement victime de sa débilité. Combien de fois, il nous a sorti des trucs totalement absurdes alors qu'on avait le match en main ? Je ne les compte même plus. Dernièrement, je ne sais plus contre qui, on a la maîtrise du match, on mène 2-0 je crois, et le type te sort un tacle du turfu qui aurait pu/dû lui coûter un rouge et nous mettre dans la panade. Maintenant, ça ne justifie en rien les propos des arbitres, mais là encore, qui s'en étonne ? On se fait entuber depuis 15 ans, TOUS les matchs on assiste à des trucs totalement dingues. Le tacle de Rodri sur Martinelli, si c'est Xhaka, c'est rouge direct, c'est une certitude. Là, l'arbitre n'a même pas sifflé faute... Nous sommes face à une injustice et un manque d'impartialité et de compétence totale de la part du corps arbitral en PL. Concernant Xhaka, il est définitivement grillé auprès des arbitres désormais, ça ne fait aucun doute. C'est injuste, mais c'est comme ça. Une raison de plus pour s'en débarrasser au plus vite, ce joueur est davantage un handicap qu'un atout et ce délit de sale gueule est une des raisons, aussi injuste soit-elle, pour laquelle on doit le vendre cet été.
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  20. Aubam qui élimine le Ghana pour nous renvoyer Partey et lui reste jusqu'en finale. True Captain.
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