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Gunners FRANCE, la référence francophone d'Arsenal

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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 03/29/20 dans Messages

  1. Ca c'est clair qu'une vie sans structure, car c'est le mot qui convient je trouve, c'est très dangereux. Personnellement j'ai déjà connu la déprime (borderline dépression même) à cause de ça, je ne sais que trop à quel point le confort (apparent) d'une vie cloîtrée est dangereux pour l'esprit. Sur les 13 dernières années qui composent ma vie professionnelle, j'ai majoritairement travaillé chez moi, en tant qu'indépendant, et comme beaucoup je me suis laissé piéger par ce style de vie. J'avais tendance à passer mes journées chez moi sans sortir, me contentant de faire mes journées de travail et d'enchaîner sur des occupations futiles, à la maison. Quand les coups durs qu'on connaît malheureusement tous arrivent, on encaisse beaucoup moins bien car on a pas de structure à laquelle se raccrocher. Les habitudes, les rituels sont très importants pour la sécurité d'esprit. Aujourd'hui j'ai réorganisé complètement mon style de vie, j'ai des rituels différents que le confinement m'enlève et ça ne fait que renforcer la conviction que mon nouveau style de vie est bien plus sain. Là pour le coup c'est vraiment "my life" Mais on profitera tous à 200% de notre liberté retrouvée quand la pandémie sera terminée. Par contre il faut être lucide : ça va prendre des mois... voir des années pour ne plus avoir peur de le chopper en sortant.
    2 points
  2. Je pense que c'est exactement l'inverse, la situation actuelle montre que le football, les loisirs, les passions sont absolument indispensables à une vie épanouie et qu'une vie cloîtré chez soit, sans obligations n'est pas enviable. Personnellement j'ai hâte de retrouver ma vie avec cette part professionnelle tellement prenante, stressante et pesante mais aussi enrichissante. Ca aide aussi à relativiser pour ceux qui estiment que les personnes au chômage ou au RSA se satisfont de cette situation, il n'y a rien de pire qu'une vie désœuvrée même avec des rentrées d'argent permettant de vivre.
    1 point
  3. Je ne sais pas pour vous mais cette période est sans doute la période de sevrage d'arsenal la plus difficile de ma vie de supporter. Autant les 2 mois de l'été, il fait beau, tu sors, tes week-end sont chargés et le mercato t'aide à tenir bon. Mais là ... entre l'ennui du au confinement, l'incertitude sur la suite du championnat et du système actuel tout court et l'angoisse des informations quotidiennes ... ca ne fait que 3 semaines le dernier match et la situation des deux premiers semaines étaient tellement inhabituelle que le manque était un petit peu étouffé. Mais depuis une semaine ça devient vraiment difficile et rien que l'idée de ne plus voir arsenal jouer encore 1 ou 2 mois voir encore plus si jamais les instances dirigeantes annulent le reste de la saison, ça me fout la déprime. Je ne tiendrai jamais 4 mois et demi de plus.
    1 point
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